Quel est votre nom, voyageur ?
L'aventure n'attendait que vous !
   

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> RP quête, Prologue
écrit le : Jeudi 27 Avril 2017 à 02h41 par Yvhann
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Habitant des Royaumes
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Une voix hideuse ou plutôt une abjecte chose innommable, cherchait à percer l’endroit, l’air vibrait des longues longueurs d’onde basse qui dans un tremblement irrégulier, voulait prononcer un malheur. Si comme les vieilles dames des métairies l’imaginaient Hurlevent prenait place tranquillement et surement.

Ina, la druidesse des gardiens sylvestre qui de son trouble d’ouïs et de mémoire semblait incompréhensible pour l’autre druide des gardiens sylvestre Malaric, cette dernière avait trouvé dans son pur instinct, peut être une solution. Comme quoi la nature dans son chaos, se plait à façonner une trame incertaine et mystique. La s’ se mit à fabuler mentalement qu’elle deviendrait un aigle géant. L’ensemble de sa vision se troublait ainsi que l’ensemble de ses autres sens, tout semblait devenir flou, les sons commençaient à avoir des couleurs et les couleurs commençaient à avoir des sons, son corps frémit de mille spasmes, le monde disparaissait devant elle pour s’ouvrir sur un domaine bien particulièrement différent. La lourdeur omniprésente de son corps semblait disparaitre pour faire place à un légèreté inhabituel.

Malartic, dans son désespoir ne cessait de chercher à être le bras protecteur de la nature. Les dix corbeau nouvellement autour de lui se rapprochaient toujours plus jusqu’à devenir presque gênants. Alors que l’un d’eux observait attentivement le druide les autres se mirent à croasser à l’unisson, laissant à la vibration guttural première une voix nouvelle qui apaisait d’un cran, le dramatique présent. Ensemble, les dix corbeau prirent leurs envoles en direction opposé de la colonne suicidaire. Presque instantanément, la maudite vibration malsaine cessait commençant, ici et là, à faire partir du rang funeste quelques autres oiseaux qui furent guidé par les nouveaux guides de Malaric.

Durant sa sauvage empathie, une transformation se produisait, Ina était devenu un aigle, non pas géant mais légèrement supérieur à son propre gabarit, ce qui donnait un aigle d’une grosseur fort impressionnante. Lorsqu’il se rendit compte que cet aigle était sa compatriote, cette dernière prit son envol en direction du dessus de la colonne. Pour la druidesse la clarté du moment fut un baume à ses dernières souffrances que la détonation lui avait infligé. Sa mémoire revint doucement et elle prit parfaitement conscience de son état actuel. La magnificence du moment lui resterait gravé à l’esprit à tout jamais.

Son instinct ne l’avait pas trahit, en approchant du sommet de la colonne, l’effet fut instantané, des cohortes diverses se mirent à quitter l’opacité du nuage volant pour ce disperser ici et là, et amoindrir la désolation qui semblait ne plus terminer. Son vol avait l’efficacité souhaité en laissant les derniers damnés s’abattre pour combler le cratère aux veinures étrange. Dans son vol, l’accipitridé eut la sensation qu’elle était épier, normal quand des millier d’autre aviaires tourne autour de vous mais cette sensation lui donnait le dégout et non la peur ou la rage comme l’humain le ressentirait. Ce qui l’épiait n’avait rien de plaisant et surtout rien d’apaisant. Une sombre brise vint souffler sur le lieux faisant hérisser les poil des bras de Malaric qui seul avec les deux familiers au sol observait la bouche béa les voltige de sa compatriote sylvestre.

Les nuages qui apparurent derrière la forêt n’avait rien de rassurant, ils accompagnaient les craquements des branches gelé et des plaintes de la nature, laissant derrière eux, le trouble qui épaississait à vue d’oeil. L’air ambiante refroidie drastiquement faisant apparaître rapidement un brouillard d’aversion qui serpentait entre les tronc d’arbres de la forêt, ce qui venait serait sans nul doute pire de ce qui venait de se passer. La colonne se dissipait laissant en place que les morts et les blessés qui dans un mouvement morbide cessait de bouger dans la froideur de la mort, quelques soupirs dernier, eurent raison de la vie. Malartic à ce moment comprit que la nature avait choisi de nourrir la plait qui c’était creusé pour panser sa blessure et de l’altitude qu’Ina volait elle aperçut que la forme qu’avait dessiné le cratère, avait celle de ses cauchemars, un pentagramme parfaitement élaboré avec quelque variation dans les tons. Son vol devint plus difficile dû aux rafales qui commençait et de son emplacement elle pouvait voir les contours de Fort Olostin qui bien sur, ne connaissait pas pour l’instant mais savait pertinemment qu’il y avait là, de quoi s’abriter dans un avenir approché.

Dessinant un cercle planant elle vit non loin d’eux, trois individus; l’un était accroupi auprès d’une rivière qui serpentait les herbes marécageuses et non loin de lui, tapis dans un lit de fougère une forme humanoïde qui semblait, soit dormir soit rester bien à l’abris de son bivouac improvisé et juste à la lisière de la forêt une autre forme humanoïde qui tentait, tant bien que mal de se protéger de l’intempérie qui s’abattrait bientôt sur elle.

Plus loin et au sol, Kyu eut un sentiment étrange quand il vit s’éparpillé la colonne d’oiseaux dû à un aigle de taille incertaine, mais surtout quand il vit la forme du nuage qui avançait vers eux, il avait la même forme que l’enclume de son père puis soudain, lui aussi eut les poils qui s’hérissait sur ses bras, ainsi que les deux autres personnages qui étaient non loin de lui. La noirceur du centre du nuage avait de quoi d’inquiétant, le moine itinérant n’était pas sa première rencontre d’un tel phénomène et il comprit rapidement que si il ne se mettait pas à courir rapidement pour rejoindre Fort Olostin d’ici peu, il mourait avant que le soleil par dessus les nuage est atteint le zénith.



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écrit le : Lundi 01 Mai 2017 à 15h06 par Ina
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Quelle sensation. La liberté, le vent dans les plumes. Rien pour l’empêcher de faire ce qui lui faisait envie. La jeune femme se délectait de son premier envol en solitaire. Les sensations sur les aigles géants étaient déjà indescriptibles. Mais là… De mémoire endommagée, rien ne souffrait comparaison avec l’instant présent. Si seulement elle avait pu rester ainsi et continuer son vol. Mais sa compagne l’attendait en bas ainsi qu’un confrère gardien. Ce retour à la nature lui avait remis quelques idées en place. Surement pas tout mais au moins elle retrouvait l’idée de confrérie et le fait que l’homme en bas en faisait partit comme elle.

La brise changea de nature. Au lieu d’être sereine et agréable, elle devint oppressante et glaciale. Ce nuage qui s’avancerait au loin n’y était surement pas étranger. La menace était sérieuse. Plus que sérieuse. La forêt dans son ensemble semblait s’affaiblir au contact de cette brume. Et cette brume se dirigeait vers eux et ce pentagramme. Il fallait trouver un endroit ou prendre abris. Dans son état, elle ne se sentait pas capable de luter face à une force antinaturelle d’une telle force.

Plusieurs fermes aux alentours. Une un peu plus grande que les autres. Et par chance elle se trouvait peu loin et en direction du fort qui trônait au loin. La destination la plus sure était ce fort. Mais vue la vitesse du nuage il n’y avait aucune certitude quand à leur capacité de l’atteindre. Il y avait également quelques autres personnes dans le coin. La jeune femme ne pouvait s’imaginer les laisser là dans l’ignorance de ce qui arrivait.

Elle plongea donc en piqué vers ses affaires et se posa avec plus ou moins de grâce mais en soulevant un bon nuage de cette poussière grise qui gisait au sol entre les oiseaux morts. Elle ne voulait pas quitter ce corps parfait. Taillé pour la vitesse et la liberté. Mais il le fallait. Elle ne se ferait jamais comprendre des autres autour d’elle. L’aigle pris donc une grande inspiration et commença à se retransformer en humaine. Certaines plumes disparurent d’autre s’envolèrent dans le vent. Le duvet laissa place à la peau. L’espace de quelques secondes la jeune femme du se réhabituer à la taille et au poids se son propre corps.

Regardant ses mains, elle eut une petite moue de déception, mais lorsqu’elle releva la tête vers son compagnon, le sourire lui revint. Un gardien. Quand les gardiens travaillent ensemble, rien n’était impossible. Il fallait maintenant en faire une nouvelle démonstration avec ce phénomène inquiétant qui s’avançait vers eux. Mais pas ici.


-Gardien ! Il faut partir. Nous ne pouvons pas rester ici. Ya un truc vraiment pas beau qui s’amène vers nous. Et il y a des personnes dans le coin, nous devront les prévenir. J’ai pu voir un fort un peu plus loin en direction nord nord-est. Je ne pense pas qu’on puisse l’atteindre avant que le nuage nous rejoigne mais il y a une ferme de bonne taille sur le chemin. Nous pourrons toujours nous y abriter si besoin.

Disant cela la jeune femme avait détourné son attention du gardien. Elle avait rassemblé ses affaires. Attaché son sac, récupéré ses armes. Puis elle regarda son confrère pour finalement réaliser qu’il y avait à peine quelques minutes elle l’avait menacé avec son arme et lui avait dit des choses peu rassurantes. Tapotant son index sur son nez, elle ouvrit des grands yeux.

-Oui, bon, heu….désolé pour tout à l’heure. Je crois que j’ai perdu un peu de bon sens. Je suis… une gardienne. Comme toi non ? Alors il ne faut pas trainer dans le coin. J’ai des trous de mémoire. C’est dit un peu vite, ça peut paraitre étrange, mais on a la même broche. Et je suis sûre… je sens que les gardiens sont des personnes de bien. Donc on doit pouvoir compter l’un sur l’autre même sans trop se connaitre non ?

¤Tu dois passer pour la folle du logis ma pauvre. J’ai pas encore tout récupéré. Les gardiens c’est bon. Leth c’est bon aussi. Je protège la nature, bon ça c’était la partie facile. Je me transforme en aigle, et ça c’est du lourd. Mon nom… ma vie…ce que je fais chez les gardiens. Si ça se trouve je suis juste la concierge et lui le chef…et je viens de lui donner des ordre… Oulala ça va barder si c’est le cas. ¤



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Le meilleur moyen de ralonger sa vie, c'est d'essayer de ne pas la racourcire.
 
 
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écrit le : Lundi 22 Mai 2017 à 15h01 par Xale
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Xale était dans le palais, c'est le nom qu'avait donné les garde à la fosse au esclaves. Il était au centre, et regardait partout alentour, mais personne. Il examinas la pièce pendant plusieurs minutes. Il s'effondras alors au sol, à genoux, il baissas la tête.

«Qu'est-ce que je fait ici? Ne me suis-je pas enfui?»

Pensât-il. Des sueurs froides lui coulait le long de la colonne. Soudain, il entendit un bruit. Il se levas et se mis sur ses gardes, prêt à attaquer a n'importe quel moment. Il vit alors une figure dans les ténèbres. Cette figure lui était étrange. Bizarre car il croyait connaître tous les esclaves du palais. Derrière la silhouette, il vit une paire d'yeux de couleur émeraude éclatante qui le fixais et discernas un geste. Le genre de geste qu'il connaissait très bien. La paire d'yeux avait pris une forme plus ou moins solide et fouettais à grand coups la silhouette alors accroupis. Une fureur bouillonnas à l'intérieur du demi-elfe. Il pris une de ses hachettes, et se lança sur la paire d'yeux. Il s'étais juré de combattre l'esclavagisme, surtout quand il était fait par des Duergars. Il fonça à toute allure, pris un élan pour frapper la paire d'yeux, mais sentit son corps paralyser. Il ne pouvait plus bouger.



Dit-il à haute voix. Mais ses jambes ne lui répondais plus. Alors, une chose à laquelle il ne s'attendait pas survint. La paire d'yeux disparu dans les ténèbres, la silhouette se levas et ouvris ses yeux. Ils était d'une couleur qu'il n'avait jamais vu jusqu'à présent. Une couleur qui apaisait et en même temps effrayait. La silhouette parlas mais aucun son ne sortit de sa bouche. Xale essayas d'entendre ce que la forme voulait lui dire, mais en vain.



S’écriât-il de vive voix, dans le commun profond. Il étais assis, dans l'abris de fortune qu'il avait fait. Il n'étais plus dans le palais mais dans la haute forêt. Des sueurs froides lui coulait de partout, mais étais brûlant, comme si il avait fait une fièvre. Ses mains étais froide du à la neige, ce qui lui était agréable. La rosé douce matinale le réconfortas et pris quelques instants pour se remettre de ce qui venais de ce passer.

Un instant il se couchais dans la forêt, un autre il était au palais et encore dans la forêt.




Se dit-il. Sans le vouloir, à son réveil il avait parlé une langue qu'il détestait, bien qu'il la maîtrisait. Il touchas le pendentif de son père, comme pour se rassurer. Sa menotte étais glaciale, il enveloppas sa main gauche sous son armure de peaux.

«Il me faut de l'eau et ensuite je peut repartir» pensât-il. Sa réserve d'eau était presque vide et savait qu'il y avait un ruisseau non loin d'où il était. Il se levas, pris son havresac qui contenait quelques maîgres provisions et se mis en route.

Sa tête sous l'eau froide du ruisseau lui faisait du bien. La chaleur qu'il avait alors sentis au matin était disparus. Soudain il entendit un éclatement sourd. Comme si la foudre avait frappé non loin de lui. Il levas la tête en panique, prêt à attaquer quand il vit, au loin, une myriade d'oiseaux tourner en grand cercle dans le ciel. Certains plongeait et allais s'écraser au sol. Il ne pût s'empêcher de sentir une tristesse face à la scène. Lui même avait pensé plus qu'une fois à s'ôter la vie, mais tout cela était derrière lui. Il baissas les yeux et vit un humanoïde accroupis de l'autre côté du ruisseau à une vingtaine de mètres de là où il était. La forme contemplais la scène à laquelle il venait d'assisté. La forme ne l'avait pas remarqué. Lui non plus ne l'avait pas senti. Elle avait une sérénité qui se sentait dans l'air, était-ce pour sa qu'il ne l'avait pas sentis plus tôt? Comme une présence animale qui est habitué a se fondre dans la nature. Il reculas très lentement pour ne pas se faire entendre et se dissimulas derrière des buissons tout en observant la créature.

«Ont dirais un Orc» se dit-il. Il en avait déjà vu autrefois alors que certains venait acheter des esclaves au palais. Mais il n'étais pas comme les autres. Il paraissait légèrement plus homme que Orc. Il décidas d'attendre ce que la créature ferais avant de bouger. Xale s'efforça de retenir son ventre de gargouiller pour ne pas divulguer sa cachette.




[Elfique] (Par Syrynya, la vengeance seras douce)
 
 
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écrit le : Mercredi 24 Mai 2017 à 05h03 par Isandre Danathaë
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Dix corbeaux !
Cela semblait si peu et demeurait pourtant tellement mieux que rien.
Malaric remercia silencieusement son dieu de lui avoir permis d'arracher les noirs oiseaux au tourment qui les condamnaient.
Observant la gestuelle étrange de l'humaine, il fut interrompu dans sa phrase lorsque celle-ci se transforma en un majestueux aigle. Sans attendre, le rapace s'élança dans les airs et monta rapidement vers les nuées de volatiles venant continuer à alimenter au sol la colonne meurtrière. Par bonheur, l'effet fut immédiat et l'apparition du prédateur dispersa efficacement la majorité des candidats au suicide.
Le cœur soudain soulagé, Malaric entama avec force ricanements une gigue voulant exprimer l'intense joie que cet inattendu dénouement suscitait.


- Haha ! Bien joué, l'emplumée ! Bien joué ! Exulta t-il vers sa consoeur métamorphosée, le poing dressé vers le ciel.

Cette dernière ne semblait plus pouvoir l'entendre maintenant et tournoyait plus largement, comme scrutant la région au loin, mais le serviteur de Silvanus ne pouvait s'empêcher de jubiler.
Brusquement, un frisson intense lui remonta l'échine et lui fit cesser ses gesticulations désarticulées.
Son instinct lui fit tourner la tête en direction du vaste nuage sombre qui s'avançait sur la forêt, menaçant et dressé. Le fourmillement ressentit jusque dans ses tripes semblait pointer un danger que le druide ne parvenait pourtant pas à cerner avec précision.
C'est cet instant que choisit l'inconnue pour réapparaitre, reprenant forme humaine juste après avoir atterri à proximité des possessions qu'elle avait laissé au sol. La déclaration qu'elle lui fit aussitôt ne fit que renforcer le caractère d'urgence qu'il y avait à quitter les lieux en s'éloignant au plus vite des périlleuses nuées obscures.


- Pas beau... Vraiment pas beau ! C'est ce que m'disent mes boyaux aussi... Lui répondit Malaric en filant vers ses propres affaires.

Saisissant son sac à dos et son bâton, il siffla une note brève vers le loup et l’apostropha.


- Draak ! Viens-là, loupiau ! On gicle ! Bouge tes puces !

Revenant vers l'humaine qui s'était apprêtée, elle aussi, il fut agréablement surpris de l'entendre lui faire ce qui ressemblait tout à fait à des excuses. Pour une fois qu'il tombait sur quelqu'un d'aussi bizarre que lui, il se sentait presque bien.

- Pas de souci, fillette ! Lui répondit-il avec un clignement d'oeil complice. Les étrangetés, ça m'connait. Alors t'en fait pas pour c'vieux Malaric.
Désignant son loup, il ajouta : Et puis Draak qu'est le plus futé d'entre nous dit que t'es une amie, alors j'm'inquiètes pas. Filons vite du coin ! T'as r'péré les lieux et tu sais où sont les gars à prévenir du danger, alors j'te colle au train !


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Sorts mémorisés : Niveau 0 : Détection du Poison, Illumination, Purification de Nourriture et d'Eau, Détection de la magie - Niveau 1 : Enchevêtrement, Soins légers, Apaisement des animaux.

Fiche de Malaric, druide de Silvanus
 
 
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écrit le : Jeudi 25 Mai 2017 à 02h59 par Yvhann
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Habitant des Royaumes
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Un tremblement vint secouer la terre avant même qu’une forte bourrasque vienne déraciné quelque arbres à la frontière du boisé. Les craquements sourd et sec des branches qui brisait donnait au moment un instant d’inquiétude au deux druide. La nuit semblait vouloir revenir, le couvert nuageux dansait à un rythme endiablé tournant widdershin comme les mages et druides malveillants quand ils invoquent le mal à s’établir en surface. Levant d’instinct les yeux vers le ciel, tous purent voir l’éclair surnaturel violet qui sortie du centre de la masse nuageuse pour venir frapper le centre du cercle qui avait déjà été frappé antérieurement lors de l’ouverture du portail instable. La force de frappe de cette dernière fut-elle que les deux druides et compagnons animal, furent expulsé de l’endroit se faisant renverser sur le dos quelques mètres plus loin. Sans dommage à part, une fois de plus, les oreilles qui cillèrent et leurs yeux qui picotait de lumière verdâtre dû à l’éclat. Une secousse se fit ressentir au sol comme si la terre mère hurlait de douleur dû à l’impact de l’éclair au sol. Eurent-ils terminé qu’une série d’éclairs violente sortie des nuages mais cette fois-ci aux éclats bleuté, orangé et rose qui ne vinrent pas frapper le sol mais s’éparpillèrent dans l’immense masse nuageuse. Pour les non néophyte de la météo, les tonnerres survint toute suite après les éclats inquiétant. Le ciel semblait bouillonner, les formes changeait rapidement laissant voir pour les plus imaginatifs, des horreurs sans noms. Malartic avait eut la sagesse de calmer son loup avant que l’éclair puisse frapper, ce dernier ne parut pas apeurer mais plutôt en garde, comme si un être non recommandable venait de prendre pieds non loin, son grognement ne laissait de doute sur les intentions prochaines du canidé sauvage, si la Chose sortait du cercle le loup attaquerait mais rien n’en sorti, pour l’instant.
Même si leurs yeux ne leurs donnaient pas tout leurs avantage, ils purent sans peine trouver un chemin aisé entre les marécage presque gelé pour se rendre auprès de la route.

Kyu, lors de la première éclair eut une image qui vint s’étamper dans sa mémoire et dans son corps, une image qu’il n’oublierait jamais et qu’il tairait pour le reste de son existence, au même moment un mouvement sur sa gauche se fit brusque et soudaine, un être qu’il avait aperçut dans l’un de ses rêves apparaissait sortant du sol. Pour le moine itinérant, il était certain que cet être était Xale, l’esclave au futur incertain, son image lui revint quand les autres éclaires colorées perçaient la noirceur grandissante. Pour Xale, l’éclat que laissait les éclairs dans le fond des yeux du demi-orque lui laissait un arrière goût de fatalité. Si le demi-elfe avait sursauté au tonnerres, Kyu n’avait même pas réagi, seul son regard perçant cherchait à éliminer l’image dernière, du dernier fils du forgerons fou. Sans attendre, dans un mouvement fluide et lent, une invitation à s’approché de lui fut fait pour invité l’ancien esclave. L’invitant ne semblait pas avoir d’arme visible, l’herbe local lui couvraient à mi cuisses qui elles étaient recouverte de braie aux tons sombres. Recouvrait ses épaules musculeuses une peau finement tanné de loup noir qui semblait avoir la tête qui oeuvrait comme couvre tête qui pendait à l’arrière. Chose surprenante, les crocs de sa mâchoire inférieur semblaient avoir été aboli, arraché ou bien brisé. Son teint basané olivâtre laissait savoir qu’il ne devait pas souvent s’abrité, seul, traversant la peau de loup noir jais, une fine ficèle de cuir souple semblait retenir un sac caché de l’autre coté de son épais torse. Une certaine sagesse transpirait sur le visage presque étonné du moment.

Plus loin, la bourrasque fit s’élever la poussière accumulé dans les hautes herbe crachant ainsi dans les yeux, l’impureté poussiéreuse de la route qui menait au Fort. Le vent glacial qui l’accompagnait entrait dans les voies respiratoire y laissant un pincement aigu et sec désagréable, l’air avait un goût d’ozone prononcé puis rapidement les premier flocons de neige se mirent à tomber à l’horizontale, criant de leurs rapidité, l’effrois ressentit en hauteur. Ce n'était pas une tempête ordinaire présumait se drôle de félin et fallait mieux tenter de trouver refuge avant que le pire puisse le prendre par surprise.

Sur la route plus loin un archer qui avançait tant bien que mal entrevoyait des ombres sur le chemin qui menait au Fort, surement des marcheurs qui malencontreusement étaient dans la même situation que lui.

Dans les métairies, des cries à l’unissons se firent étouffé par une horreur sans noms, la cuillère de bois qui venait de brasser le ragoût de lièvre et de perdrix de Marta tomba au sol, jamais de sa vie de septuagénaire, elle avait laissé tombé quoi que ce soit dans sa cuisine. Son homme n’eut même pas le temps de sortir son coutelas d’ivoire de son grand père, lui aussi tomba au sol auprès de la cuillère.



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écrit le : Vendredi 26 Mai 2017 à 16h45 par Xale
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Les éclairs laissèrent une empreinte lumineuse sur les rétines du demi-elfe. Quand le tonnerre rugis, il fit un saut et se levas, la main droite sur le kukri qu'il dissimulais derrière ses peaux qui lui servait d'habillement. Quand il se levas, il vis que l'orque lu tendait la main en guise d'approche. Ses yeux ne transpirait pas de malice, ce qui rassuras Xale, mais pas assez pour qu'il baisse sa garde. Les crocs manquant de l'orque lui rappelait sont ablation. Il ne put s'empêcher de lever sa main afin de toucher la pointe manquante de son oreille gauche. C'était un cadeau que lui avait fait ses geôliers pour lui rappeler la valeur qu'il avait à leurs yeux. Le tonnerre se fit plus bruyant et plus menaçant. Il traversas le ruisseau et s'approchas tranquillement de l'orque, la main toujours sous ses peaux, prête a dégainer en cas de danger. La peau de loup qu'avait l'orque en guise de couvre chef forças Xale à en déduire qu'il devait être soit itinérant, chasseur ou bien un marchand perdu. Le manque d'armes lassait plus croire en la première option, mais la peau de loup noir le laissait perplexe.
«Peut-être il l'as volé?Est-il un voleur comme moi?» pensas Xale.
Mais il y avait une certaine sagesse et sérénité dans le visage de l'orque. Il se sentit mal à l'aise quand il vit le reflet des éclairs dans les yeux du personnage musclé devant lui. Il était maintenant assez près qu'il sentait l'odeur du feu et de la sueur émanant du colosse.

-Quoi toi veut moi? Qui toi être?dit-il dans son commun maladroit.

Il vit que le moine restas un instant sans parler. Sa main se resserras sur le manche de son arme. Le molosse au teint olivâtre n'avait peut-être pas d'armes sur lui, mais que pouvait-il bien cacher derrière son dos? L'eau glaciale du ruisseau lui coulait sur les tibias et lui donnas un frisson dans le dos. L'orage grandissant et l'incertitude des intentions de l'orque le rendait nerveux. Si l'orque devait attaquer qu'il le fasse vite, il ne fallait pas rester là trop longtemps, il sentait que le ciel devenais plus dangereux à chaque seconde.

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[Elfique] (Par Syrynya, la vengeance seras douce)
 
 
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écrit le : Lundi 29 Mai 2017 à 19h24 par Baelsul
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Baelsul aimait la fraicheur du petit matin, la rosée qui se déposait sur la végétation. C’était pour lui symbole de vie et de renaissance. Malgré cela, la nuit avait été difficile et d’étranges visions avaient assombri ses rêveries. Habituellement paisibles et réparatrices, elles lui laissaient cette fois une sensation de noirceur dans la bouche et dans l’humeur.

Il s’était écarté de la route qui le menait à Fort Olostin au crépuscule afin de trouver le repos à l'abris des passants. Il était arrivé à cet endroit depuis Everlund, c’est là qu’on lui avait dit :

¤ Si vous cherchez l’aventure ? La Haute-Forêt ? Alors vous devriez aller à Fort Olostin jeune elfe ¤ se souvint-il.

Après avoir mangé un peu de baies qu’il avait ramassé la veille et une bouchée de pain elfique, il ne se sentait toujours pas mieux. Ce n’était dont pas la faim qui lui avait donné cet étrange ressenti. Baelsul continua sa préparation matinale en priant notamment Corellon Larethian, sa divinité principale puis Rillifane le Seigneur des Feuilles étant donné sa proximité avec la Haute-Forêt. C’est lorsqu’il entreprit de faire ses exercices et échauffements habituels, nécessaires à l’entretien de la maitrise de l’art martial qu’il souhaite développer, que Baelsul entendit un bruit strident.

¤ L’intuition se confirmait-elle ? ¤

En tout cas il n’eut le temps que d’une respiration avant qu’apparaisse au loin une colonne de fumée noire dans laquelle semblait se dérouler une chose abominable. Une nuée d’oiseau s’y massait et y disparaissaient. Bien que les connaissances de Baelsul restaient limitées en matière de comportement animal, il en savait assez pour trouver le phénomène tout à fait étrange. Le panache de fumée se formant peu à peu, son instinct intrépide et aventureux le poussèrent à s’en rapprocher !

Soudain, des éclairs retentirent et Baelsul s’arrêta net, alors il vit au loin devant lui une créature qui ressemblait à un Orc et une autre qui paraissait être un de ses congénères, a priori étranger aux Marches d'Argent au regard de son accoutrement. S’approchant de manière la plus discrète possible, il chercha à savoir ce qu’il s’y déroulait.

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écrit le : Mercredi 31 Mai 2017 à 15h40 par Yvhann
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L’imprudent qui avait cru pouvoir libérer cette chose innommable, découvrit que trop rapidement sa bévue, maintenant Xyarvv n’était plus le seul à être emprisonné, auprès de lui l’un des fils de Smylla venait de commettre l’irréparable. De cette malencontreuse bourde, tout près des rêveurs néophytes, une autre abomination venait de prendre vie ou plutôt, celle qui à jamais dormait venait de s’éveiller, sa jumelle tant qu’à elle, tout comme Xyarvv, était encore enchainé mais pour combien de temps encore, pour le grand malheurs des résidents de ce coin de pays; les loups de leurs appels incessants augmente la peur et assouvissent les craintes faisant fuir les derniers survivants de ce réveil brutal.

Xale tentait tant bien que mal à percer le bien vouloir du demi-orque qu’il venait d’apparaître devant lui, ou était-ce lui qui avait apparut devant l’autre, peut importait, le regard du moine ne trahissait pas une fourberie. Pour le semi-elfe esclave, il était pas évident d’en savoir plus coté social, il devrait garder ses compétence en alerte au cas où mais rien de tel que la communication et il avait comprit cette dernière ce qui fait automatiquement réagir Kyu. Parmi les flocon et le vent qui grondait son pouvoir, la voix du demi-orque était quand même assez forte et guttural…


-T’aider! Je suis Kyu, fils de forgerons fou et moine de l’ordre du corbeau. Je vous cherche depuis dernière lune. Il nous faut partir avant qu’il soit trop tard. Tempête nous perdre si pas abrité.-

Presqu’aussi rustre en langage le demi-orque avait été franc et directe, restait à savoir ou pas si il était sincère. Sa posture était pourtant celle de quelqu’un qui chercher à vous tendre le bras pour vous sortir d’une impasse, la main tendu vers Xale pour l’extirper du sol froid et boueux pour ensuite le hisser sur la route. Les oreilles semi pointues du moine eurent un mouvement animal sur le coup, l’une d’elle se dressait, la gauche spécifiquement, puis les yeux olive de Kyu se tournèrent vers la gauche aussi scrutant la route dernière lui, comme si il avait entendu quelque chose dans cette enfers blanc. Il revint rapidement à l’ex-esclave pour porter main forte.

Intérieurement le moine fut heureux, il venait de trouver l’une des personnes qu’il avait vue en rêve, la prophétie rêveuse était donc réel, restait maintenant à trouver les autres et il lui restait jusqu’à la prochaine lune, peut être pas, il n’était certain de rien.

Baelsul qui questionnait son intuition sur la route qui le menait à Fort Olostin ne pouvait manquer l’horreur qui venait de se passer devant ses yeux et se poser des questions légitimes sur cette colonne de fumé vivante. Sa curiosité le fit presser le pas mais comme si la nature ou le malheur, cherchait à lui barrer la route, la tempête laissait apparaitre des éclaires bénéfique pour le marcheur car il aperçut non loin, sur la route, des formes humanoïdes, deux précisément et elles ressemblaient pour une à un orc et l’autre sont semblable mais en plus petit. Quoi qu’il en était avec ce temps et cette possible menace il fallait garder la prudence et se servir de sa sagesse pour survivre dans ce coins de pays que l’on savait plus dure encore. D’un pas agile, souple et se voulant silencieux dans cette tempête le jeune semi-elfe avançait avec prudence mais n’avait pas ombre pour ce cacher adéquatement car le chemin qui traversait ce terrain marécageux n’offrait guère de cachette. L’archer s’approchait furtivement quand son regard perçu que la masse la plus imposante se tournait soudainement vers lui mais que cette dernière avait un bras tendu vers la masse la plus petite et il put discerner avec difficulté que c’était un duo composé soit d’un orc mais beaucoup moins imposant et d’un humain habillé sensiblement pareil, recouverte d’une peau comme seul vêtement et surtout, sans armes apparente. Avait-il été perçu ou pas il ne pouvait dire mais connaissant la cruauté des orques local et leurs détestables manies d’apparaitre en groupe, l’archer n’était certain de rien. Le pire était quand regardant en avant on en oubliait souvent l’arrière et non loin près de la route, dans son dos, qu’un groupuscule d’êtres sortirent des marécages mais d’eux ils n’en savait rien et ne pouvait savoir.

La tempête prenait de l’ampleur et les craquements des branches de la forêt non éloigné donnait aux présents une inquiétude sans contredit. Cette tempêtes serait sans doute l’une des plus violente de la décennie d’après Malaric et Ina qui venait tout juste de prendre pieds sur la route qui les mènerait à un abri bien mérité.

Le sifflement hurlant entre les carreaux mal étanché des chaumières de la métairie était les seul à se plaindre car plus aucun habitants ne pouvait maintenant crié leurs détresses, ils avaient tous et rapidement trouver le silence, celui que l’on ne peut retrouver ailleurs que dans l’effrois le plus pure. Les feux dans les cheminées crépitaient de leurs dernière buches car plus aucun vaillants n’étaient là pour les garnir.



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écrit le : Jeudi 01 Juin 2017 à 12h50 par Xale
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L'orque avait dit vrai. La tempête se faisait de plus en plus forte et Xale le sentait. Il eu un moment de décision hâtif envers ce que le moine venait de lui dire. «Pourquoi il me cherche? Est ce que les Duergars l'on envoyé?» pensât-il. Pendant une seconde il serrât le manche de son arme pour asséner un coup à l'orque. Mais il ne le fit pas. Il pris la main de l'orque et se laissas hisser vers la route de terre battue. Ses bottes commençais à s'enfoncer dans la boue. Il dût faire un petit effort supplémentaire pour ne pas les laisser la et se retrouver pieds nues, quoi que ça n'aurait pas été la première fois. Il ne savait pas si s'était le martèlement de l'orage ou l'air hivernal, qui à chaque millième de seconde, semblait devenir plus lourd de façon exponentielle, qui le poussât à agir de la sorte. Il avait tendu la main gauche ce qui fit résonner le léger tintement des mailles de la chaîne encore suspendue à la menotte, l'une contre l'autre. Gardant bien sûr la main droite toujours sur son arme.



Pour certains, le fait qu'à cet instant le semi-elfe parla le commun profonds aurait parut absurde, mais il avait de bonnes raisons. «Si il me répond en commun profond, il y as des chances qu'il soit avec ces chiens de nains.» se dit-il. La question en aussi avait une raison, savoir ou l'aurait-il emmené. Xale vit la une chance de pouvoir en savoir plus ses rats des cavernes qui l'avait enchaîner. Il se dit qu'aussitôt qu'il sentirais une menace pour lui venant de la part du moine, il l'attaquerais. «Si j'arrive à éliminer un orque, peut-être se diront-ils que je ne vaut pas la peine d'être poursuivie». Peut-être il était vraiment qui il disait et Xale s'en faisait pour rien, mais étant jeune il avait vite appris l'art d'utiliser certaines opportunités et surtout qu'il faut toujours s'attendre au pire.

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[Elfique] (Par Syrynya, la vengeance seras douce)
 
 
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écrit le : Mercredi 07 Juin 2017 à 13h21 par Baelsul
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Absorbé par l’observation des deux êtres, Baelsul en avait presque oublié la tempête qui s’intensifiait et plus encore l'horrible colonne de maccabre, jusqu’à ce qu’une branche vint tomber à ses pieds. Il reprit sa concentration mais était désormais décidé à presser le pas vers un abri. Les arbres environnant commençaient à grincer et craquer.

¤ Ce n’est pas une chose habituelle, l’urgence me pousse à m’activer ! ¤

Baelsul, vers qui on avait regardé précédemment, décida alors de briser ce moment d’observation et de se diriger directement vers les deux personnages au pas de course, rompant ainsi avec son attitude précédente. Malgré les risques, ces derniers ne semblaient pas agressifs outre-mesure, ou tout du moins pas l’un envers l’autres. Mais l’urgence était telle qu’il fallait agir vite pour trouver un refuge.

En s’approchant, il salua les deux individus, d’abord du regard. Il s’aperçu alors qu’ils étaient en pleine conversation, mais ne put s’empêcher d’interrompre :

« Vite, vite je crois que la tempête s’intensifie, connaissez-vous un refuge approprié près d’ici ? Où se situe Fort Olostin ? »
Puis se rendant compte qu’il était allé un peu plus vite, il ajouta un simple « Bonjour »


 
 
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