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Chapitre II.2, [Xarss et Ashura]
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Habitante des Royaumes
Chambre 41
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L’elfe sombre se fit l’avatar de la profonde frustration de la guerrière. Il y avait une certaine légitimité en cela, le bougre venait de frôler la mort après tout. Mais la situation ne permettait pas un tel élan d’animosité. La guerrière était bien trop proche du dangereux prédateur. C’était sa propre sauvegarde qu’il menaçait désormais avec ses belliqueuses intentions. Elle se reteint de jeter de l'huile sur le feu et de risquer d'envenimer l’altercation. L’halfeline au visage tatoué ne semblait pas intimidée et osa faire une comparaison à l’attention de la bretteuse.
- Aussi semblable que le feu et la glace, commenta-t-elle sèchement en réponse à l’halfeline.
Ashura plissa les yeux en se rapprochant de la blessure sanguinolente. Elle examina brièvement la situation, plutôt rassurante malgré ses maigres connaissances médicales. Le bois n’avait pas éclaté et le projectile n’avait pas atteint l’os. Elle pensa un instant qu’il faudrait tout de même inciser, désinfecter et recoudre mais la maîtrise de l’Art veillerait à cautériser la plaie. La guerrière suivit scrupuleusement les consignes de l’halfeline. Elle immobilisa la cuisse d’une main afin de soulager le tigre du carreau d’arbalète qui l’encombrait. Des gouttes de sueur perlaient à son front. Les mâchoires crispées, en un geste rapide et fluide, elle poussa le trait. Avant que le félin ne s’agite pour l’en empêcher, Ashura le retira complétement. Un grognement bestial s’éleva et rehaussa la crainte de la bretteuse mais le regard satisfait de la petite rôdeuse vint directement la rassurer. L’écoutant parler à son camarade enquêteur d’Outreterre sur les qualités d’un dresseur, la guerrière laissa spontanément s’échapper une remarque avec un sourire légèrement contraint.
- On peut forcer un animal à faire des tours. Mais pas à faire confiance à l’homme…
Ashura s’apprêtait à retirer le deuxième trait mais la tension ambiante entamait sa sérénité. Elle décida d’apaiser les mœurs et s’adressa à la rôdeuse d’un ton légèrement plus cordial. - Je me nomme Ashura de Sundabar précisa-t-elle. Et voici Kryssyor. Je suis caravanière de profession et de par ce fait, je suis informée des risques encourus à vouloir sortir des sentiers battus. Sachez que nous sommes mandatés par les autorités de la cité joyau. Nous avons de bonnes raisons de prendre ces risques. Bien qu’aucune raison ne valent vraiment d’affronter un tigre…
La guerrière se questionna sur les paroles de la petite rôdeuse.
- Sa compagne, comme tu l’as précisé, que peux-tu me dire à son sujet ? Tu étais à sa recherche ?
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Sentinelle
Chambre 24
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L’intervention de la belle Ashura sauva peut être les apparences mais au fond du renégat une colère difficilement contrôlable s’opérait. Il dû à grand effort, contrôler son tempérament meurtrier présent. Il se rappelait les consignes du maitre thiefelin de l’ordre du corbeau: Toujours respirer avant de prendre une décision.
Pour inspirer et expirer, il le faisait sans répit. Quand bien même que les paroles dénué de réparties et de compassions de l’halfelin l’enrageait c’était moins pire que le fait qu’elle l’ignorait au début de sa détestable lancé verbale. Très vieilles techniques que sa génitrice employait que trop bien, en temps passé. Le fait de voir autant de perfidies en surface lui vrillait le coeur et commençait à le faire douter du bien fondé de son vouloir de rester libre au dessus. Le pire fut quand elle s’adressait à lui sur un ton condescendant. Il entrevoyait sa génitrice, pire sa soeur cadette. Ses dents se serrèrent dans sa mâchoire en lui en faire saigner les gencives.
Décidément c’est un fouet qu’il lui faudrait.* Se dit-il s’apaisant de sa colère montante. L’effronté l’accusait de menace quand il n’avait en rien perpétrer de telle chose. En Outreterre, elle serait déjà sur la table des supplices à cracher son fiel.
-Votre petitesse d’esprit ne vous permet pas de m’insulté de la sorte Madame je ne sait qui. Je ne voit pas où j’aurais impunément menacé qui que ce soit. Si vous trouvez que de se faire attaquer par surprise par une telle bête soit un manque de sagesse et un manque de discernement, vous valser dans le ridicule; la victime ici c’est Assylyyum et moi et il ne faudrait pas confondre les évènements réelle, je ne crois pas que vous étiez là au moment de l’attaque, n’est-ce pas? Puis mourir debout est mieux que de rester en vie et courbé.-
Il prit une autre profonde respiration pour continuer le plus sagement mais surtout le plus adéquatement possible. Il rit intérieurement par contre de la dernière phrase de la deuxième lancé de la halfelin sur ce qui était du choix de repas de la bête; il ne pouvait passer outre l’humour de choix. Quoi qu’il en était sa colère non cacher ne lui permit pas d’en rester là...
-L’altercation!??? Vous avez royalement du front, maintenant c’est la victime d’une attaque qui créer l’altercation? Retournez la situation, et si c’était vous qui se serait fait attaquer et que par la suite on vous accuse d’un manque de discernement pour vous avoir fait mordre et ouvrir le ventre par une bête de la sorte puis qu’ensuite on vous insultes de ne pas être au bon endroit au bon moment et que pour la final VOUS me menacer de me jeter une foudre sur le bord de la tête! Non mais décidément votre effronterie dépasse de beaucoup votre grandeur. Le mal se dissimule bien là, ou on ne le cherche pas. Vous en êtes l’exemple parfait. Et que connaissez vous de la peur? La loyauté que me porte Vorn dépasse surement celle que vous portez au respect des autres.-
Il allait lui lancer une suite quand comme un coup de poignard au coeur il eut un sentiment paisible. D’où il venait il ne pouvait savoir mais comme il venait de faire une piété à Eilistraée il conclu que ce devait être une main apaisante de la déesse qui lui venait en aide. Il reprit de nouveau ses respirations pour se calmer tout en enlevant son havresac pour y remettre sa chaine clouté. Par la même occasion, Vorn toujours aussi apeuré des deux félin de taille dans son entourage, reprit sa place sur le dessus du sac et il y restait même quand Xarss remit ce dernier sur ses épaules. En ajustant l’ensemble pour que sa mobilité soit exemplaire le jeune drow écoutait la suite. Il ne s’attendait pas vraiment que la sakphul lui réponde et sincèrement il en avait souper de cette garce effronté qui semblait avoir la science infuse. Il passait sa présence pour prendre le pouls de sa compagne d’enquête.
Ha Ashura! * Se plaisait-il de s’exclamer mentalement quand cette dernière prit de nouveau la parole; elle ne faisait rien pour que son intérêt envers elle cesse.
Quand cette dernière fit les présentation une grimace envers la barbouillé ne put se faire voir dû aux bandages de déguisement. D’ailleurs cette maudite bandelette commençait à le fatiguer royalement et il marmonnait des injures silencieuse à son égard.
La dernière question de la bretteuse le fit douter un instant. * Où elle veut en venir avec la propriétaire de cette bête? Puis intéressé par la suite, il disposait de l’endroit en ayant une oreille attentive à la réponse tout en allant quérir sa monture en approchant dans des pas souples.
-Ici Assylyyum, pauvre bête, je te dois bien des remerciements, sans toi je n’y serais sans doute plus. Tu est une brave ma belle et je ne mérite possiblement pas ton amitié mais sache que je te suis reconnaissant.-
Il entonnait par la suite sa nouvelle prière...
-Sors des ténèbres et embrasse la lumière. Tourne ton visage vers le ciel et oubli ta vie première. Danse dans la forêt et chante avec la brise. Et prend place sous la lune au milieu des arbres et des frises. Soutient les nécessiteux et combats le mal avec l’acier. Joint-toi à la chasse et rejette ton ancienne loyauté. Chasse le monstre qui te dévore à l’extérieur et à l’intérieur. Car ton sang te nettoiera, n’aie pas peur. Accepte la confiance de tes soeurs et ne laisse pas ta voix au-dehors. Car en entrant dans le cercle, les faibles deviennent forts.-
La tête contre celle d’Assylyyum sa main gauche flattait le cou de la jument; se fut elle qui l’apaisait le plus, qui aurait crut, le petit exposé sur la relation avec les animaux de l’effronté avait fait son chemin dans l’esprit du sombre éclairé. Il soupirait de nouveau, trop de soupir pour une seul journée.
Art de la magie +5. Pour connaitre le sort préparer. Acuité auditive +8.
L'Art en tant que science est la connaissance universelle des forces de l'univers; en tant que magie, elle est l'application pratique et physique de ces mêmes connaissances. Lil waela lueth waela ragar brorna lueth wund nind kyorlin elghinn. (L'idiot et l’imprudent trouvent des surprises et parmi elles, attend la mort.) 6 Sorts niv.0: 4 Sorts niv.1: 2 sorts niv.2:-1=1fiche Xarss
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Façonneur de Montagnes
Chambre 6
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Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Xarss, art de la magie : 1d20 + 5 = 11 Xarss, perception : 1d20 + 8 = 24 L'halfeline soupira, et ferma le poing. Si Xarss fut incapable de déterminer la nature du sortilège, il sembla évident que celui ci venait d'être interrompu. La tension baissa donc d'un cran malgré les invectives suivantes du drow. Elle hocha la tête en écoutant les question d'Ashura et une fois qu'elle eut enlevé le premier trait, elle incanta, la main posée sur la partie haute du corps du fauve.C'était le même langage qu'avait employé l'orque plutôt dans la journée. Lorsque le Pouvoir se déchaina les premières plaies du tigre se résorbèrent rapidement. L'opération était toujours assez impressionnante à observer, la chair, puis l'épiderme et enfin les lèvres se refermaient sous leur yeux comme si le temps déviait de sa course pour permettre une convalescence à la vitesse de l'éclair. Le tigre, apparemment habitué, ronronna de soulagement.
L'halfeline prit un instant pour réfléchir aux questions de la bretteuse.Linaë | | Si vous calmez votre haine, je vous soignerais. Quoique vu vos bandages, vous m'avez déjà l'air dans un triste état. Venez par là, et, au passage, votre amie ne réagit pas au nom que vous lui donnez... Mais laissez-moi avant vous répondre en essayant d'éviter d'alimenter votre hargne...
Ce n'est pas se faire prendre par surprise qui suppose votre manque de discernement. A vrai dire, vous avez survécu, et c'est déjà des plus respectable. Je suppose cela parce que vous auriez dû être accompagné, les Marches semblent être paisibles mais... et bien, vous n'auriez pas idée vous aventurer dans l'Anauroch ou dans l’Épine sans guide, si ? J'entends votre expérience Ashura, mais tout talentueux que puisse être les caravaniers, il est bien rare qu'ils s'enfoncent sous les arbres, ce n'est pas pour rien que nous les accompagnons régulièrement, et que le Chevaucheur à tant de bornes-sanctuaires ici. Et oui, vous créez l'altercation, je ne vous ai pas attaqué, je vous ai même probablement sauvé la vie, même si vous n'avez pas l'air de vouloir de le reconnaître. Les Rouges sont déjà des adversaires plus que dangereux, mais celui-ci, et bien disons qu'il est au dessus du lot. Vous auriez dû abandonnez le combat, vous montez des juments de la cité, elles auraient pu le distancer. Mieux vaut survivre que mourir tout court, l'honneur à sa place lorsque l'on a des camarades à sauver, pas quand on ne doit se soucier que de sa propre vie. Et comprenez bien, ce n'est pas comparable, j'ai vu ses traces en arrivant, je savais qui vous attaquait avant de le voir, et je suis accompagnée, elle pointa le ciel, un rapace tournait tranquillement au dessus de leur tête. En ville, ou ailleurs, vous me surpasseriez peut-être, ici, me comparer à vous ne vous sert pas, dit elle sans orgueil, mais avec une logique évidente. Si vous voulez une comparaison, voyez plutôt la situation ainsi : n'auriez vous aucun compassion pour un homme qui vous attaquerais de façon aléatoire si vous découvriez après coup qu'il venait d'assister au meurtre de son âme sœur ? On ressent souvent une haine tenace contre la totalité du monde lorsque l'on vient de perdre sa raison de vivre. Nous ne sommes pas si différents d'eux vous savez, mais ils sont plus vrais, n'ont pas construit de limite.
Et oui, c'est vrai, j'ai rarement beaucoup d'intérêt pour le respect de ceux qui n'ont pas l'air de le désirer. Je ne vous menaçais pas de vous foudroyer, je vous prévenais de ce qui pourrais se passer si jamais vous essayiez de m'attaquer. J'appellerais plutôt ça de la dissuasion. Quant à la peur... ah... perdez vous quelques années dans la jungle, vivez avec le sentiment de ne plus être le traqueur mais le traqué, et vous comprendrez quel type de peur j'ai pu ressentir dans mon existence.
Mais je m'attendais à ce que vous ne partagiez pas notre philosophie, mais je comprends. Mais je dois admettre que vous jouez de malchance, vous n'êtes pas sur un territoire de chasse. Si Yordan n'avait pas été plongé dans la colère, il ne vous aurait pas attaqué, même si... c'est étrange, il à l'habitude des bipèdes. Quelque chose dans votre odeur peut-être. Nous verrons.
Je suis Linaë, druidesse du Cercle de Lunargent. Vous êtes encore des francs-tireurs et bien, j'ai de sérieux doute quant à la coïncidence. Nous accompagnions un duo à la recherche d'une des notre. Myal'sa, une rôdeuse de notre Cercle. Yordan est son compagnon. L'un de mes camarades et deux autres envoyés de la Cité observent des traces de combat plus loin.
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Le sourire qui apparaît constamment sur le visage de cette halfeline aux oreilles à faire pâlir une elfe est rendu difficile par un cicatrice profonde sur le coté de sa joue. Cicatrice que dissimule en partie les tatouages spiralés qui recouvrent la quasi totalité de son visage. |
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Elle ferma les yeux, le visage emprunt d'une évidente inquiétude.
Voyons voyons mon jeune ami, vous croyez vraiment que les montagnes grandissent seules ?
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Habitante des Royaumes
Chambre 41
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L’intuition de la bretteuse avait fait mouche, l’improbabilité de la coïncidence avait entraîné la certitude et la conviction. Mais il restait une part de doute.
- Les envoyés de la cité dont vous me parlez, s’agit-il d’un fils de la roche à la toison rousse et d’une jeune femme… précieuse ?
Ne prenant pas le temps du répit en entamant une conversation cordial, un genou à terre, Ashura reposa les mains sur la fourrure du fauve afin d’achever sa besogne. Le tigre avait émis un grognement de soulagement suite au soin prodigué par la petite druidesse. La guerrière n’était pas un être belliqueux de par nature et elle apprécia de traiter les plaies plutôt que de les causer. Elle réitéra l’opération. Avec une main ferme, elle ôta le trait de la chair du félin aussi prestement que cela fût possible.
Une fois l’opération terminée, un sourire franc vint illuminer son visage. Elle prit le temps de s’asseoir près des fauves afin d’observer la druidesse dans son œuvre médicinale. Malgré la tension ambiante, les échanges avaient quelque peu diminués entre Linaë et l’elfe noir. Ashura jeta un regard récalcitrant à ce dernier quand l’halfeline vint proposer ses soins et par la même occasion, prendre le risque de corrompre l’identité du renégat. Désirant changer de sujet et surtout, approfondir les questionnements qui encombraient son esprit, la bretteuse Marchéenne reprit la conversation d’une voix courtoise.
- Myal’sa vous dite… Il n’y a effectivement aucune coïncidence dans la situation présente.
Ashura se mit à réfléchir rapidement aux informations qui venaient d’être donnés. Khelrod et Sirine avaient, semble-t-il, omis le caractère secret de la mission qui fut confiée plus tôt dans la journée. Si la druidesse paraissait être une alliée honnête et une proche de la famille, les enquêteurs semaient volontairement des indices pour que l’on remonte plus facilement jusqu’à eux et cela, énerva quelque peu la jeune guerrière de ce manque de discernement mais elle n’en montra rien à son interlocutrice. La propre famille de la victime avait été écartée pour des raisons évidentes après tout.
- Que savez-vous de cette affaire exactement ? Quelles sont vos rapports avec elle, outre l'appartenance au même cercle ? Les traces qu’ils observent actuellement sont celles de Myal’sa ? Questionna la bretteuse avec une certaine légèreté afin de ne pas éveiller d'éventuelles craintes.
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Sentinelle
Chambre 24
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Le simple fait de s'éloigner un peu du groupuscule, de faire contact avec Eilistraée, de caresser la monture, le calme revint tranquillement et à sa grande stupéfaction, la petite effronté offrit une suite qui conclut l'animosité ambiante. Les paroles qu'elle employait lui suffit, elle avait comprit, du moins elle le laissait croire. Il embrassait le museau d'Assyylyyum pour ensuite s'approcher sur des pas contrôlé , souple et gracieux. La peur, Xarss ne l'avait jamais connu, se serait sans doute sa perte un jour, quoi que présentement c'était plutôt de l'admiration pour la bête qui l'avait attaqué qui l'autorisait à prendre place auprès d'elle.
-Yordan! Tu est une brave bête félin, tu as de la peine pour celle que tu côtoie et qui à disparut? Je comprend maintenant, j'ai aussi perdu une belle, elle me manque et mon âme est aussi blessé que la tienne.-
Sa main osait même jusqu'à entrer dans l'épaisse fourrure pour l'apaiser. Si le drow avait explosé un temps, maintenant l'on pouvait sentir son calme et même sa tristesse intérieur puis il ajoutait...
-Linaë, veuillez m'excuser, mon tempérament explosif vient de deux tares, je suis né d'une erreur ainsi que d'un grave problème et la seule chose qui me gardait heureux, le grave problème la éliminé, devant mes yeux, il m'a fallut la voir mourir à petit feu sans pouvoir agir... Cela explique surement que je tiennent très peu à la vie.-
Une inspiration se montrait soudainement difficile, saccadé bruyante puis il fallut tout son contrôle pour rester de marbre, par chance, les bandages cachait le visage atrophier par la peine. Puis comme si il avait reprit un souffle nouveau il complétait les dires entreprit par les deux femelles. Regardant Ashura puis ensuite la druide il ajoutait...
- Serait-ce la mère de la petite blessé de qui vous parlez!?-
L'intérêt pour l'enquête reprenait du gallon. * Enfin, un lien, une autre légère piste à suivre. * Se questionnait-il continuant de flatter le gros félin Yordan. Xarss connaissait les points sensible de Vorn, le dessus de la tête, légèrement en arrière des oreilles, machinalement sa mains c'était dirigé là. Il réfléchissait aux propos et trouvait d'appoint cette rencontre.
* Effectivement, il n'y à rien pour rien.* Il avait connu le combat avec une bête qu'il ne connaissait pas, avait été apaisé par Eilistraée, embrassé une jument, il c'était confier dans un court partage et le plus important et inimaginable, il avait pardonné. Le travail intérieur s'opérait difficilement mais il s'opérait. Un pas encore de franchi sur sa voie. Le sentiment qu'il ressentait présentement était véritable, il était heureux, il se sentait en vie, il avait, contrairement à sa race, évoluer au lieu de développer. Depuis sa sortie d'Outreterre, il n'avait jamais évoluer en si peu de temps. Il comprenait aussi qu'un prochain danger le guetterait, l'amour rendait-il plus fort ou plus faible!?
L'Art en tant que science est la connaissance universelle des forces de l'univers; en tant que magie, elle est l'application pratique et physique de ces mêmes connaissances. Lil waela lueth waela ragar brorna lueth wund nind kyorlin elghinn. (L'idiot et l’imprudent trouvent des surprises et parmi elles, attend la mort.) 6 Sorts niv.0: 4 Sorts niv.1: 2 sorts niv.2:-1=1fiche Xarss
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Façonneur de Montagnes
Chambre 6
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Le tigre grogna lorsque Xarss voulut le flatter. Une trêve était une chose, de là à se laisser caresser comme un chat domestique. Aussitôt les soins terminés, il se dressa sur ses pattes. Puis il passa sa tête sous le bras de l'halfeline et l'aida à se relever. Il s'éloigna ensuit un peu plus loin en compagnie de la panthère, laissant les bipèdes à leurs occupations. La druidesse les regarda, avant de revenir à la réalité.Linaë | | My est ma sœur de cercle... Mais elle est presque ma sœur tout court. Elle m'a sauvé les fesses tant de fois que je ne compte plus. Yordan et Kordan, nous les avons trouvés ensemble il y a des années, après avoir démantelé un réseau de commerce de fourrure... elle sourit, mélancolique.
Elle soupira et regarda Ashura.
Je sais ce qu'on m'a dit, que Seygwine avait été attaquée et que sa mère était introuvable. Il en est du devoir de tout les membres du Cercle d'aider à sa recherche. Voilà pourquoi nous avons accompagnés vos amis - puisque vous semblez les connaître - dans leurs recherches. Nous avons trouvé un cadavre et les restes d'un combat un peu plus loin. Ils ont du trouver un moyen de séparer My et Yordan, puis réussit à la capturer... Enfin, j’espère qu'il ne l'ont que capturée... La seule raison pour laquelle on sait que c'est elle, c'est qu'on a retrouvé l'une de ses flèches dans le cadavres. My est trop douée, elle ne laisse pas de traces de son passage.
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Le sourire qui apparaît constamment sur le visage de cette halfeline aux oreilles à faire pâlir une elfe est rendu difficile par un cicatrice profonde sur le coté de sa joue. Cicatrice que dissimule en partie les tatouages spiralés qui recouvrent la quasi totalité de son visage. |
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Elle leva la tête, et émit un court sifflement auquel le rapace au dessus d'eux répondit par un cri strident avant de s'éloigner. Au même moment, le grand tigre poussa un grondement étonné un peu plus loin, suivit d'un bruit qui trahissait un certain soulagement. Un petit louveteau venait de lui sauter entre les pattes. Il posa sa grosse tête contre sa toute petite truffe en signe d'affection. Après quoi le jeune loup grimpa sur la dite tête et s'assit sur son crâne, lui donnant une attitude assez amusante.Linaë | | Ah ! Et voilà Alushtas, le jeune compagnon de la petite Seygwine. Votre amie... Sirine, je crois ? L'a pris sous son aile dans la matinée. J'avais peur qu'il se soit perdu, c'est très bien.
Elle se tourna ensuite vers Xarss.
Dites moi, avant que je ne fasse mon possible, de quelle sorte de maladie souffrez vous ? Vous êtes enturbanné comme un lépreux, sentez la fausse-mûre et gambadez comme un daim... Voilà un mal dont je n'ai pas souvenir, conclut la druidesse, visiblement suspicieuse.
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Le sourire qui apparaît constamment sur le visage de cette halfeline aux oreilles à faire pâlir une elfe est rendu difficile par un cicatrice profonde sur le coté de sa joue. Cicatrice que dissimule en partie les tatouages spiralés qui recouvrent la quasi totalité de son visage. |
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Sentinelle
Chambre 24
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Toujours peiné, il le fut un peut plus quand la bête s'éloignait d'eux pour prendre ses distances. Il regardait cette beauté sauvage se demandant si un jours si il en reverrait un. Il chassait rapidement les pensée mélancolique pour écouter de nouveau la jeune halfeline. Il réalisait que plus de monde que convenues semblaient être au courant de leurs enquête. Ne laissant rien transparaitre il étudiait encore une fois les tissages que pouvait porter les nouvelles informations. La fille agressé et blessé, la mère disparut suite à un combat qu'elle aurait prit soins de laisser une trace, un louveteau appartenant à sa fille et le plouf ainsi que l'intouchable Sirine qui devrait s'amener bientôt à en croire les dires de la druide.
Le renégat regardait Linaë droit dans les yeux puis sur un ton simple sans artifice commençait avec douceur...
-Mon mal ne peut, malheureusement, être guéri. Il serait compliqué et surtout nous n'avons vraiment pas le temps pour une telle explication, seulement, ce qu'il faut savoir, est qu'il est ancien et que je suis le seul à pouvoir m'en sortir en le guérissant par ma seul volonté; par-contre mes blessures causé par Yordan, elles peuvent, si vous le voulez toujours, être guéris. Ceci compensera, si l'on veut, à la perte de ma fiole de soins qui m'a quand même couté plus cher que j'aurais dû, mais de cela vous en êtes vraiment pas responsable, encore une fois, ceci est dû à ma naïveté: Comme disait mon père, il y à bon, bonasse et épais, il m'a toujours mit dans le dernier, faut bien croire qu'il avait ces raisons de le croire et je me plait à dire que le fruit ne tombe jamais bien loin de l'arbre.-
C'était venu tout seul et facilement, déformation singulière de son ancien lui probablement. Il levait les yeux par la suite sur Ashura, comme pour y prendre le pouls de sa performance dernière. À la voir il ne put savoir sur l'instant, ses yeux regardait bien la bretteuse, mais son esprit trouble encore, se voyait différemment avec elle; un peu perdu dans ses pensées non chastes, il dû se fouetter pour revenir au présent. Souriant sans être vu dû au bandages qui lui cachait tout rictus, il se sentit soudainement niais.
Vorn émit un gargouillement de la panse; *son repas!* S'exclamait le sombre et indulgent drow, avec toute cette enquête, si lui il n'avait pas à s'alimenter, son fidèle compagnon, lui, avait faim. Le faussement appelé Kryssyyor libérait son minuscule fauve à aller se trouver de quoi se mettre sous la dent. Laissant libre cours à son félidé minuscule, le jeune drow s'approchait par la suite auprès de Linaë et lui posait une question sur une ton doux et éloquent...
-Vous dite appartenir à un cercle... Druidique et que vos soeurs et frères, j'imagine, ont le devoir de retrouver la dénommé My, mère de la petite Seygwine qui elle aussi fait parti du même cercle... Avez vous eut des menaces quelconque ces dernier temps?-
Il ne s'attendait pas à avoir un grand résultat et une grande révélation de sa question, en fait elle avait été posé que pour diverger de la question de la jeune druide au propos de son mal. Il aurai put s'offrir la bassesse d'utiliser le bluff pour tenter de berner l'halfeline mais il avait préférer le faire dans la vérité absolue et sans mensonge aucun, comme sa nouvelle voie lui autorisait. De plus il savait que Eilistraée lui avait donné force et bon sens, il ne voulait quand même pas berner la déesse qui depuis peut, lui vouait une vénération.
Dans son for intérieur il souhaitait simplement que la druide ne demande pas d'enlever les bandages pour qu'elle puisse le guérir, sinon il craignait la réaction de la jeune druide face à un immonde drow qui tentait d'abusé de sa confiance. Épaules basses, tête légèrement abaissé, son approche c'était fait boiteuse et lourde.
L'Art en tant que science est la connaissance universelle des forces de l'univers; en tant que magie, elle est l'application pratique et physique de ces mêmes connaissances. Lil waela lueth waela ragar brorna lueth wund nind kyorlin elghinn. (L'idiot et l’imprudent trouvent des surprises et parmi elles, attend la mort.) 6 Sorts niv.0: 4 Sorts niv.1: 2 sorts niv.2:-1=1fiche Xarss
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Habitante des Royaumes
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Le caractère naturel des animaux apaisât avec une facilité déconcertante les tensions qui régnaient il y a peu encore. La guerrière, toujours accroupie dans l’herbe non loin de Linaë, vint même à se gausser de l’attitude que le Tigre eut à l’égard du jeune louveteau qui venait de rejoindre l’improbable assemblée. Les deux bêtes paraissaient former une étonnante figure totémique. Une complicité sincère liait visiblement chacune des créatures présentes. Une harmonie confortable opposée à l’extrême aux dernières échauffourées.
La jeune bretteuse s’apprêtait à s’adresser à la druidesse quand celle-ci se mit à questionner le renégat sur la nature de ses maux. Ashura crut percevoir une teinte de soupçon dans le creux de sa voix. Une défiance rationnelle tant que le Drow s’évertuerait à alterner ses nombreuses facettes. Tantôt crachant du venin, tantôt discourant d’une voix doucereuse. Suite aux suppositions que la druidesse venait d’émettre, Ashura se mit dévisager longuement le renégat, la tête de biais de sorte à ce que l’halfeline ne puisse apercevoir son regard lourd de sens. S’il était évident que les rôdeurs de la région connaissaient les caractéristiques des Elfes noirs pour avoir dédiés leurs vies à les traquer. Offrir la possibilité de se faire analyser par une druidesse, qui par définition pouvait connaitre l’essence de la nature de chaque être, était tout autant une mauvaise intention. La guerrière écouta l’ancien esclavagiste se perdre dans ses inconvenantes envolées lyriques, espérant le voir faire le choix le plus pertinent. Leurs regards se croisèrent, mais au grand dam de la Marchéenne, les gestes du Drow allèrent dans le sens inverse.
Elle se releva prestement et en deux grandes enjambés, vint se placer entre les deux autres individus. Tournant le dos à la druidesse de toute sa hauteur, elle se mit à s’exclamer à l’attention du renégat d’une voix forte et affirmée : - Mon cher camarade ! Vous n’allez tout de même pas exposer notre généreuse bienfaitrice à vos troubles infectieux ! Je suis certaine que Dame Sabetha vous attend pour vos soins. Elle aura tout le loisir de vous ausculter à ce moment-là. De plus, l’affaire qui nous incombe nécessite de presser le pas. Nous avons déjà beaucoup trop tardés ne trouvez-vous pas messire Kryssyior ?!
Sa voix était cordiale et avenante mais ses yeux lançaient des éclairs gris. Elle défigurait d’un regard désapprobateur les traits noirâtres et les deux pupilles ensanglantés de son partenaire d’infortune. Toujours en travers du chemin qui séparait l’halfeline et le Drow, Ashura se décida très vite sur la suite des opérations. Il fallait aller à l’essentiel aussi elle trancha quant à l’implication que devait donner à la petite druidesse dans cette sordide affaire. Les pans de sa cape tournoyèrent tout en soulevant quelques feuilles qui demeuraient au sol. D’un geste gracile et spontané, elle pivota les épaules pour faire front à la dénommée Linaë et ainsi masquer aussi subtilement que possible, la silhouette de son inconscient partenaire à la démarche traînante.
- Je me dois d’aller aux aspects cruciaux et pour ce faire, j’aurais besoin de toute votre attention, je serais brève. Nous avons passés la matinée à auditionner des savants afin de résoudre cette enquête et trouver l’origine du mal qui la ronge. Nous avons trouvés une personne de confiance afin de traiter la jeune Seygwine. L’agresseur aurait succombé au châtiment de ses commanditaires non loin d’ici. Nous sommes missionnés par le Commandant Beiran en personne afin d’inspecter la scène de crime. Nous n’avons pas le temps de nous palabrer. J’ai fait un serment à Taëlyne. Le temps joue clairement contre nous. Pouvez-vous nous aider à atteindre les lieux ? Je vous en prie…
Les idées s’enchaînèrent rapidement et elle en revint à visualiser la jeune fille dans sa chambre de soin, entourée d’un orque spiritueux, d’un médecin de caserne incompétent et d’une belle alchimiste saphique. Rien n’affirmait pour le moment que le groupe d’enquêteurs se rapprochait d’une quelconque réponse médicinale à fournir aux érudits qui veillaient encore à son chevet. Cette constatation affecta grandement les humeurs d’Ashura et fit aussitôt retomber les trivialités ambiantes. Son initiative avait initialement été de seulement détourner l’attention de la druidesse mais elle se mit à s’emballer. La situation n’avait pas été étudiée préalablement et la jeune bretteuse improvisait, le ton de sa voix se mit à changer involontairement. Il fallait remédier à la situation. Il fallait agir. Il fallait se hâter.
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Façonneur de Montagnes
Chambre 6
3 gemmes
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L'halfeline fronça les sourcils pendant un instant tendu... et puis, elle haussa les épaules semblant considérer qu'après tout, si l'enturbanné voulait rester ainsi, c'était son problème.
Elle écouta Ashura puis se leva. Leur tournant le dos, elle contempla encore une fois les arbres. Assez longtemps pour que les deux compagnons puisse se demander si elle ne les avait pas oublier. Elle ramasser une pétale violette tombée au sol et la regarda avant de l'envoyer au vent. Elle ne se tourna pas pour répondre.Linaë | | Alors vous êtes envoyés par Beiran... Vous croyez vraiment que vous allez retrouver quelque chose ? Cette vieille épée est dévasté par la vengeance... Il est protégé par Sylvanus, mais le Cercle craint toujours que ses fantômes ne le pousse à servir le Seigneur de la Chasse. Vous voulez vraiment dire que sa fille et sa petite-fille ont été attaqués et qu'il n'a pas encore dévasté la ville pour retrouver les coupables ?
Elle se retourna, un questionnement inquiet au fond de ses yeux sages. La druidesse désignait Myal'sa comme sa fille, et non sa belle-fille, attitude logique pour des elfes.
La dernière fois qu'un de ses éclaireurs s'est fait capturé, il a cassées les dents de trois badauds pour le retrouver. Et il a descendu une escouade de sembiens pour le libérer. Si il a trouvé quelque chose, il n'a pas dû en laisser grand chose. Et si Taëlyne s'en mêle...
Bon. Je vais vous aider, laissez moi envoyer un message à vos compagnons, et nous trouverons ce que vous cherchez.
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Le sourire qui apparaît constamment sur le visage de cette halfeline aux oreilles à faire pâlir une elfe est rendu difficile par un cicatrice profonde sur le coté de sa joue. Cicatrice que dissimule en partie les tatouages spiralés qui recouvrent la quasi totalité de son visage. |
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Elle saisit un petit bâton et s'approcha du lieu du combat, ou les chevaux et le tigre avaient retournée la terre. Elle traça des signes qui étaient à l'évidence des messages à l'attention de son compagnon. Et puis, alors que Vorn sortait des bois, arborant fièrement un demi mulot entre les crocs, sous le regard visiblement approbateur de ses cousins, elle fit signe à ces derniers. Le tigre - toujours chapeauté du louveteau - parti devant, pendant que l'halfeline monta sur le dos de la panthère.Linaë | | Bien, dites moi à peu prêt ce que vous à indiqué le Commandant, et nous trouverons ce que vous cherchez.
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Le sourire qui apparaît constamment sur le visage de cette halfeline aux oreilles à faire pâlir une elfe est rendu difficile par un cicatrice profonde sur le coté de sa joue. Cicatrice que dissimule en partie les tatouages spiralés qui recouvrent la quasi totalité de son visage. |
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Voyons voyons mon jeune ami, vous croyez vraiment que les montagnes grandissent seules ?
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Habitante des Royaumes
Chambre 41
1 gemme
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La manœuvre si peu subtile de la guerrière avait pourtant détourné l’attention de la druidesse avec succès. Elle laissa s'échapper un profond soupir de soulagement. La petite Linaë paraissait étonnée, elle afficha un air abasourdi à l’évocation du commandant Beiran et aux doutes, Ashura se contenta de fermer les yeux et d'hocher la tête pour confirmer la situation. La terrifiante réputation de l’Elfe continuait de croître. Un tel homme doit avoir des légions d'ennemis, songea-t-elle brièvement. Pour sa part, la bretteuse Marchéenne se reprocha ensuite d’avoir forcé le pas au dénommé Kryssior. Au moins puisa-t-elle du réconfort dans la certitude qu’elle avait fait le bon choix. Tout en contemplant l’halfeline qui s’afférait à une sorte de rituel pour communiquer avec son comparse, elle se mit à donner quelques explications supplémentaires sur une zone à l'ouest, à mi-chemin entre la ville et la Prise du Héraut puis ajouta:
- A vrai dire, le commandant n’a rien trouvé sur place pour étancher sa colère cette fois-ci. Les commanditaires du forfait ont tentés de faire disparaitre l’assassin dans une flaque d’acide avant de se volatiliser par magie…
Ashura marqua un temps prémédité dans son discours.
- Je ne pense pas que nous trouverons grand-chose mais le commandant à prit le soin de nous laisser l’initiative. Linaë, merci de votre sollicitude. La bretteuse prit un air plus grave et tenta de capter un instant le regard distrait de la druidesse.
- Linaë, appela-t-elle à nouveau l'halfeline. Je me confie à toi car tu sembles par la force des choses avoir déjà un pied dans cette histoire. Je préfère avoir des alliés totalement informés que mal renseignés. Je compte sur ta discrétion. Cette histoire dépasse même le commandant, en ce cas, ne pends aucun risque.
Les mots furent donnés sur le ton de la confidence. Ce territoire était son royaume, la guerrière n’aurait jamais pu se montrer autoritaire pour faire passer ses idées. L’halfeline émit quelques subtils appels et aussitôt, les animaux se remirent en position de départ. Ashura se retourna vers sa monture, sans attendre de réponse particulière. Elle prit le soin de resserrer l'attache de la sangle puis en quelques mouvements lestes, se retrouva de nouveau perchée au-dessus de la jument et prête à suivre la cohorte sauvage. Les rouages de son esprit tournaient frénétiquement, déjà portée sur la suite des événements, la guerrière songeait aux indices que la scène de crime était susceptible de contenir.
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