Ça serait parfait. J’aurais résumé la situation de manière très concise.
La seule chose qu’Ashura omet volontairement de raconter, c’est que Kepesk - l'Orageux, c'est Jetro, le technicien de surface. Si jamais c’est son hobby, je ne lui grille pas sa couverture !
Pour les chevaux, j’explique la procédure, histoire d’assurer la principale solution de repli !
L’endroit choisi offrait un certain confort et sécurité. Idéalement, il faudrait tendre des lignes d’attache ou aménager une sorte d’enclos. En fonction des conditions et ce que nous avons pris comme fourniture en partant de Sundabar. (Nous n’avons pas mentionnés le grain et l’avoine, mais j’imagine que l’on en a). De préférence un endroit plat, pas dans un creux. Evidemment, l’eau est indispensable. Des sacs assez solides peuvent faire office de seau pour les faire boire. La technique, pour éviter les coups de dents intempestifs, c’est de tendre une corde et d’attacher le cheval au milieu. Une corde attachée haut, à bout de bras. Environ 6 mètres pour un seul cheval. La corde est munie d’un système d’arrêt pour que le cheval ne puisse pas faire glisser le nœud (un anneau bloque la corde). Dans tous les cas, les cheveux ne doivent pas pouvoir atteindre la corde avec les dents, même en bout de longe.