|
|
La Fraternité des Runes
|
Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Plus les minutes passaient, plus la guide des deux agents de la Phalange du Rat, nommée Adeleide, se révélait grossière et mauvaise. Cette dernière avait rebroussé chemin en toute hâte pour chercher une source de lumière. C’est avec regret que l’Indulgente l’avait suivi, tout en gardant un œil sur la porte menant à l’escalier afin de s’assurer que rien ni personne n’en sortirait à son insu. Ce retour sur leur pas les éloignait encore un peu plus de sa collègue, Christal n’aimait pas cela du tout. Doréah était la seule personne de confiance dans ce bâtiment. Et la peur, mesurée et salvatrice était là, la tenant au ventre autant que l’odeur de la mort flottant ici.
Pourtant, celle-ci s’évapora pour laisser place à la surprise. Une nouvelle personne était là, une jeune femme dont la peau était plus foncée que celle de Doréah. Adeleide lui parlait dans une langue que la prêtresse ne comprenait pas. Mais elle reconnut le mot Rashemie ou quelque chose qui s’y apparentait.
Elle se racla la gorge afin de signaler sa présence, arbalète baissée, puis se présenta :
-« La bonne rencontre demoiselle. Je suis Christal et voici Adeleide. Tout va bien ? Tu n’es pas bléssée ? »
Son regard inquiet parcouru le corps musclé de la jeune femme dont l’aspect était tout à fait exotique.
« Tu étais déjà là quand cette tragédie a eu lieu ? Ou peut-être cherches-tu quelqu’un en particulier ? Sais-tu ce qu’il s’est passé ? »
« Le plaisir est un don de Sharess, gratuit pour tous, afin d'apporter le bonheur à tous ceux qui le cherchent, et la joie à tous ceux qui souffrent.»Présentations
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
La paume vint se glisser sous sa capuche pendant que son pouce se mit à lui caresser la joue. Doreah se crispa, incapable de réagir à ce geste plein de douceur et de spontanéité, hypnotisé par le regard ardent de l'homme en noir, elle resta immobile. Lorsqu'il la libéra de son étreinte, elle recula instinctivement d'un pas, et avant qu'elle n'ait pu réagir, il prît la parole.
¤ Que... Que m'arrive-t-il ... ¤
Alors, les mots finirent de transpercer sa carapace, le premier instant d'émoi se transforma en frayeur alors que dans son esprit se dessinait Calimport. Les images et les sensations l'assaillirent, elle était là, nue, ou plutôt simplement vêtue de voiles transparents. Autour d'elle, cette prison dont elle se rappelait que trop bien les contours, ce cachot où soie et fragrances délicates partageaient, avec elle, l'objectif d'agrémenter la pièce. Jolie fleur lui disait-il, belle comme la lune, son doigt la caressait doucement pendant que son autre main la maintenait fermement...
Les images se brouillèrent, dans son souvenir Raffard avait la pris la place d'un autre. Lorsque Doreah revînt à elle, elle se rendît compte de son erreur, et quand l'homme prononça son nom, elle tenta de retrouver un peu de contenance.
- " Tout ça, c'est... c'est terminé...Jamais je ne... "
Elle s'interrompît soudainement, le sourire de l'inconnu avait un aspect rassurant. Alors qu'il avait sans doute perçu son malaise, il entreprît de ramener la conversation au sujet initial.
¤ Sait-il s'il y a une échappatoire dans le sous sol... Oui c'était ça la question... ¤
En posant cette question, elle avait espéré lui faire avouer qu'il n'était nullement le propriétaire de cette verrerie. A cet instant, ce point lui semblait dérisoire, qu'importe qu'il ait menti ou pas, il fallait faire vite pour parvenir à sauver ce qui pouvait encore l'être. D'une voix faible, elle lui répondit donc
- " Oui Raffard, allons y"
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Le fait de venir de la même contré avait rapidement apaisé une tension certes bien légitime sur une scène aussi macabre. Mais la jeune femme semblait sincère quand elle disait ne pas être responsable. La barbare prit le « même si j'aimerais bien » pour de l'humour pince-sans-rire (oui si elle savait!).
- (Rashémi) « Oh euh... Bah j'ai déjà pris un truc ou deux... ça n'a pas de valeur mais c'est joli... Enfin pour le déplacement quoi... Surtout que tout est ouvert...»
Khloé se grattait la tête alors qu'elle vit arriver la femme que sa consoeur rashémi avait appelé. Une fille plus ou moins de la même taille que la première. Un peu fragile mais de beaux très yeux, comme la compatriote elle avait ses cheveux longs et la tenue un poil trop aguicheuse mais qui s'en plaindrait ? Elle ne semblait pas Rashémi mais inspirait quand même la confiance. Dans un autre genre elle était chou avec son petit coté fragile et doux.
- « (commun) Han ! ça fait beaucoup de belles filles pour un endroit comme ça. Et j'vais bien merci... je... viens juste d'arriver ici... Je cherche un ami en fait... Je l'ai pas vu heureusement. Le genre blond, musclé, belle gueule... J'espère qu'il n'est pas à l'état de cadavre ici ou ailleurs. Quoi vous vous cherchez quelqu'un ? Aussi ? »
Le col de sa chemise trop grande roulait de droite à gauche sous le jeu de ses solides clavicules et omoplates tandis qu'elle observait de droite à gauche. On pouvait sentir son impatience de vite fouiller l'endroit. Le charnier ne présageait rien de bon quand à la suite. Elle le cachait sous une allure un peu frondeuse mais au fond ces cadavres l'impressionnaient et lui faisaient un peu peur. Elle évitait même de trop les regarder.
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Christal ne put retenir un léger froncement de sourcil lorsque la jeune femme noire les complimenta Baltana et elle. L’indulgente était éduquée pour le Beau, dans le Beau, mais que cette demoiselle en fasse la remarque au milieu des cadavres la laissa perplexe. Elle ne s’était toujours pas présentée d’ailleurs.
-« Oui tout à fait. Nous sommes venues quérir l’un des employés de cette verrerie lorsque nous avons découvert ce massacre. Paix aient leur âme, puissent-ils reposer dans les plans des Dieux Bons pour l'Eternité. »
Ses yeux gris-vert parcoururent pudiquement le sol rougit par la mort puis se reportèrent sur la nouvelle venue. Son corps grand et musclé et son allure laissaient entendre qu’elle n’était pas citadine. Un casque cornu reposait sur ses tresses rouges, et malgré l’absence d’armure, elle était armée jusqu’aux dents. Une imposante épée se balançait à sa taille, ainsi qu’une autre lame moins commune.
¤ Les jeunes personnes sont violentes et de plus en plus précocement, de nos jours… Mais ce monde est si dangereux…¤
« La personne que tu cherches travaille-t-elle ici ou est-elle cliente ? Comment s’appelle-t-elle et comment t’appelles-tu, dis-nous? »
Son ton était tendre et sa voix douce. Ses questions sonnaient plus comme de la sollicitude que comme de l’inquisition.
« Comme tu peux le constater, un drame vient d'avoir lieux ici, et c'est très serieux! Des gobelins, probablement auteurs des meurtres, ont fui en direction de la cave il y'a quelques instant. Nous nous apprêtions à la fouiller afin de les dénicher. Peut-être reste -t-il des survivants également. Tu ne devrais pas rester ici seule, ce n’est pas prudent. Tu peux t’en aller et nous attendre à la première auberge, là-bas. Ou bien… tu peux nous accompagner si tu le désires… »
Christal sentait bien que, de cette jeune fille émanait une grande force physique et elle savait qu’une couturière se baladait avec ses aiguilles et pas avec une épée aussi longue… Mais le jeune âge apparent de l’inconnue la poussa à préciser, maternelle :
« Tu restes derrière nous, Adeleide et moi te protégerons, d’accord. Ne perdons pas plus de temps, nous cherchons quelque lumière à emporter dans les ténèbres de cette maudite… cave…»
Se disant, la prêtresse fouillait la pièce du regard, espérant trouver une torche suspendue au mur, ou des chandelles…
« Le plaisir est un don de Sharess, gratuit pour tous, afin d'apporter le bonheur à tous ceux qui le cherchent, et la joie à tous ceux qui souffrent.»Présentations
|
|
|
|
|
|
|
|
Intendant de la Main
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Quartier Maritime, Eauprofonde Eleasis 1372, Année de la Magie Sauvage Début de soirée. Climat : Frais et brumeuxDans cet antre humide où régnait un silence assez inconfortable instillant cette amitié peut être factice, amitié due à la nécessité ou au danger proche, les aventuriers furent confondus au manque de lumière. Torche était difficile à trouver, mais grâce à l'ensorceleuse un petit rai fut fourni rendant les ténèbres moins oppressantes.
Baltana repéra rapidement les quelques tonneaux devant elle, à la recherche d'un peu d'eau fraîche. Il y avait la cinq grands tonneau et ce serait bien le diable de n'en trouver aucun qui en contienne. Après tout avec tout ces ouvriers, il fallait non seulement qu'ils puissent boire mais aussi manger. Le premier ouvert contenait d'ailleurs des gâteaux de blé sec, avec des éclats de noix. Un peu plus loin à l'arrière se trouvait l'objet de ses recherches. Au moment où elle s'approcha, avec derrière elle Christal et Khloé qui inspectaient les environs, une tête émergea, tel un pixie qui sortait de sa boite à malice. Au premier coup d’œil c'était un humain, à moitié asphyxié d'avoir retenu son souffle aussi longtemps. Jeune, assez beau en fait, il s'accrocha au rebord les yeux exorbités de frayeur à la vue de ce monde qui le regardait reprendre à grande goulée un souffle qui faillit lui manquer.
Kloé n'avait pour l'heure trouvé aucun indice de son ami Aguilas, mais quelque chose lui disait qu'il trouverait réponse ici à sa disparition. Elle sentait au profond d'elle-même qu'il était vivant.
Cependant Doréah et Raffard qu'un souffle ténu de douceur avait enveloppé dans une douce émotion s’apprêtaient à pousser la porte légèrement entrouverte devant eux. Une drôle d'odeur envahit leurs narines mettant tout leur sens en alerte. Sur le mur de droite une forme affaissée, enchainée par un pied. Des longs cheveux défaits s'étalaient sur le sol froid et crasseux, un visage livide et émacié apparu dans la faible lumière. Les vêtements qui eurent leur temps de gloire étaient déchirés, tâchés de sang, de vomi et d'excréments. Un déchet, le souvenir de ce qui fut sans doute un homme vigoureux, riche et rieur. Sur la peau blanche de ses bras et ses jambes, des sortes de boursouflures comme marqués par les lanières du martinet, des lignes où la peau décolorée et infectée s'était rebellée en petit monticules d'un pus blanc. Il était évident qu'il n'en avait plus pour longtemps, son esprit déjà semblait être parti vers le royaumes où le repos était la récompense ultime d'une vie faites de souffrance.Votre HRP
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Raffard s'engagea le premier dans la pièce. Ils avaient perçus l'odeur acre de la mort, l'ensorceleuse éleva son bâton par dessus l'épaule de son compagnon d'infortune. La douce lumière illumina une salle que rien ne venait égayer, ni mobilier, ni parures... Pourtant, ne tarda pas à en deviner sa fonction
¤ Un cachot... Dans une verrerie... ¤
Sur le mur de droite était enchaîné un homme, ou plutôt ce qu'il en restait. Un examen rapide suffit à confirmer ses premiers soupçons, mais la suite des conclusions fît naître un haut le coeur qu'elle eut bien du mal à contenir. Malgré elle, elle du prendre appui sur le bras de Raffard pour ne pas chanceler...
- " Cet homme est enchaîné là depuis combien de temps ? Regarde ce qu'ils lui ont fait... C'est impensable ! Tu sais... Tu sais ce qui se passe içi "
Elle déglutît, puis, sans lâcher le bras de Raffard, elle reprît avec peine
- " Tu penses qu'il est encore vivant, qu'il nous entend ? Que pouvons nous faire pour l'aider ? "
Enfin, elle libéra Raffard de son étreinte et s'approcha doucement
- " Vous m'entendez ? "
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Khloé était soulagée de la baisse de tension générale de la scène.
« Il s'appelle Arguilias... Il bossait pour un mec...Renaudin... Euh... Ah et moi c'est Khloé ! Si vous ouvrez la marche sans mentir ça me rassure hein ? Mais c'est un peu la honte pour une berserker de la loge du loup de se cacher derrière les autres. Non... je vais passer devant. »
Ainsi sa fierté d'appartenir à la prestigieuse loge barbare complétait le courage qui pouvait lui manquer. Un berserker ne devait avoir peur d'aucun risque.
Elle n'avait pas prêté attention à sa compatriote partie soulager une brûlure. Aussi n'était-elle pas au courant de sa découverte. Elle avait quand même tiqué à la mention d'un esprit ours mais ce n'était pas l'endroit pour discuter folklore de la lointaine rashémi.
Sensible à l'attitude maternelle qu'avait pris la femme en face d'elle. Khloé adapta son comportement.
- « Je dois vous appelez madame ? »
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
La belle prêtresse âgée d’une vingtaine d’année seulement ne pouvait qu’être amusée par cette question :
-« Oh Je t’en prie ! Appelons nous par nos prénoms, pour commencer ! Khloé… »
Se disant, l’attention de la prêtresse se reportait déjà vers les escaliers. Adeleide l’avait entraînée en dehors de la cave, mais comme aucune chandelle ni torche ne semblait être trouvable dans la première pièce du haut, la disciple de la Dame des Plaisirs ne s’attarda pas plus longtemps. Elle calma les ardeurs de la jeune fille Berseker d’un geste de la main et sans lui laisser d’autre choix, s’engagea la première dans la salle dans laquelle elle aperçut à l’angle la lueur magique émise par le bâton. Cela paraissait suffire à éclairer la salle jonchée de tonneaux, ainsi que la première pièce, dans laquelle elle avait aperçu sa collègue Doreah et Raffard s’engouffrer.
Christal n’eut pas le temps de les suivre. Une tête avait jaillit d’un tonneau. Un jeune humain s’y était apparemment caché, en apnée.
« Un survivant ! » s’exclama la dévote à voix basse. Elle se dépêcha d’aider l’homme à s’extirper de l’eau en le rassurant :
« Du calme, l'ami, du calme, tout va bien ! Nous sommes là pour t’aider. Sors donc de là et reprend ton souffle, doucement. Voilà… Je m’appelles Christal, prêtresse de Sharess. Tu es blessé ? Qui es-tu et que s’est-il passé ici ? Racontes-nous vite ? Y’a-t-il d’autre survivants? Concentre-toi, c’est important ! »
« Le plaisir est un don de Sharess, gratuit pour tous, afin d'apporter le bonheur à tous ceux qui le cherchent, et la joie à tous ceux qui souffrent.»Présentations
|
|
|
|
|
|
|
|
Mercenaire
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Alors qu'elle venait de plonger son bras dans le tonneau un étrange individu en jaillit ... était ce le bonhomme recherché ? Allez savoir ... il avait fait sursauter la roublarde
- "Qu'est ce ... BORDEL !"
Alors qu'elle avait déjà armé une magnifique mandale qui aurait fini sur l'appendice nasal de l'apnéiste la jolie prêtresse était déjà sur ce type
*Mais elle saute sur tout ce qui bouge ... C'est pas possible ça ... T'inquiètes pas, gaillard ... tu l'auras ... Enfin tu auras pire ...*
- "Tout va bien, tout va bien, c'est un bien grand mot, ma cocotte ... y a juste une montagne de cadavres un peu plus loin, mais a part ça ... tout va bien, je te l'accorde !"
(Rashémi) - "T’inquiètes pas ma grande. Elle saute sur tout ce qui a un appendice entre les jambes ... je pense qu'on est plus ou moins a l’abri. Au fait, t'es de quel coin de la Rashéménie ?"
Elle posa son regard d'acier sur l'homme, un regard ou il n'y avait aucune compassion, intérieurement, elle riait, elle était heureuse.
- "Ton nom, espèce de lâche. Tu n'as même pas été fichu de combattre pour tenter d'aider tes camarades. C'est a la portée du premier imbécile venu de prendre un bout de bois et de cogner jusqu’à l'en briser sur le crane de l'ennemi."
Comme d'habitude, elle faisait preuve de sa délicatesse baltanesque, se fichant bien de la douleur du bonhomme, le traitant de lâche alors qu'elle n'aurait pas fait mieux, mais dans son cas, elle qualifierai ça de prudence ! Pour elle, le temps était compté, et il n'était plus question de tergiverser, sa douleur le rappelait sans cesse.
« Il n’y a que trois personnes en qui j’ai confiance ; moi, Loviatar et la troisième ça n’est pas vous … »La fiche a Baltana
|
|
|
|
|
|
|
|
Le Blanc
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
affard plissa les yeux une fois pénétré dans la pièce. L’odeur, la pénombre et surtout cet homme qui gisait comme… comme un ersatz d’humain dans toute sa superbe ? La fine fleur de la bourgeoisie déchue, tombée du piédestal doré jusque la fosse à purin. L’oiseau de nuit jeta un rapide coup d’œil à son bras, il ne s’attendait pas à ce que Doréah, qui affichait un masque si fort sur son visage fut à ce point bouleversée par cette vision.¤ On dirait une petite fille... Ou bien je suis devenu trop insensible à mon âge ? J’espère qu’elle ne sera pas trop déçue de qui je suis vraiment, et de ce que je vais m’apprêter à faire à cette face de lépreux ¤ La chatte blanche demeurait à bonne distance du gisant pustuleux. Son instinct animal lui suggérait de ne pas s’approcher et cette peur se transmit aussitôt à Raffard qui, tout en raccrochant son arbalète, passa son bras autour de la jeune femme pour lui indiquer de ne pas s’approcher. Il la contourna, serra les mâchoires et ajusta ses gants avant de serrer le poing. Une fois à genoux à côté de l’homme, l’oiseau de nuit lui saisit la tête sans ménagement et la tourna dans tous les sens pour trouver quelque chose sur sa peau. Un signe particulier, autre que les ravages qui s’affichaient sur son derme.- Je sais plus ou moins ce qui se passe, aucune confirmation, juste des déductions lâcha-t-il en continuant son examen. Dans son état il va crever dans les minutes qui suivent, et j’ai besoin de lui vivant. Mais franchement, je ne saurais pas dire ce qu’il a. Soupirant, visiblement contrarié, Raffard passa une main sur le front de l’homme et l’autre à sa ceinture pour enclencher quelque chose. Une lueur bleutée brilla au niveau de sa taille et de sa paume pour venir nimber le cadavre en sursit d’une aura chaleureuse. Il attendit que les soins se diffusent et commença à lui donner quelques claques pour le réveiller.- Réveille-toi Renaudin ! J’aurai plein de questions pour toi mais je ne vais t’en poser qu’une, et en fonction de ta réponse, j’aviserai de ton sort. Où. Est. Xanesha. Le timbre n’avait plus rien de mélodieux, sa voix s’était sensiblement changée en quelque chose d’éraillé, comme grésillant, à la manière d’un feu consumant le bois de ses flammes.Deux charges pour ce pouilleux Connaissances mystères pour regarder sur sa peau une présence particulière
L’amour réjouit comme le rayon de soleil après la pluie, mais la luxure a le même effet que la tempête après le soleil. Le doux printemps de l’amour reste toujours frais ; l’hiver de la luxure arrive bien avant la fin de l’été. L’amour n’est jamais écœuré ; la luxure meurt de gloutonnerie. L’amour est tout vérité ; la luxure est pleine de mensonges perfides. Luxure ou Amour ? Difficile de trancher.
Il n'est de plus belles flammes que celles qui sortent des ténèbres, envoûtant clair obscur aux courbes ondulantes et hypnotiques. Belles à en mourir, douloureuses à en vivre. De flammes à femmes il n'y a qu'une syllabe. Fiche
|
|
|
|
|
|
|
Suivre ce sujet
Pour recevoir une notification par e-mail lorsqu’une réponse est faite dans ce sujet et que vous n’êtes pas présent sur les forums.
S’abonner à ce forum
Pour recevoir une notification par e-mail lorsqu’un nouveau sujet est créé dans ce forum et que vous n’êtes pas connecté.
Télécharger / Imprimer ce sujet
Télécharger ce sujet dans différents formats ou afficher une version imprimable.
|
|
|