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La Fraternité des Runes
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Le Blanc
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- On a toujours quelque chose à perdre Adèl'. Tu permets que je t'appelle comme ça ? Et il n'y a aucun mal à être seul, au contraire. Néanmoins je peux te retourner la même chose, gentillesse, amour, amitié, ce sont des choses inventées par les femmes pour ma part. Et de ce que tu me montres de ton caractère, tu emmerdes beaucoup de monde, j'espère que tu as assez de réserve dans tes intestins !
Raffard s'abstint de rire mais sourit à pleine dent. La chatte se mit à ronronner comme pour signifier qu'elle aimait la boutade de son maître. Au coin, l'homme en noir pivota et visa au loin pour détecter tout mouvement suspect. Il ne perdait rien de ce qui se disait ou se chuchotait derrière lui. Les filles le suivant pour le moment et relevaient bien le fait que deux navets à peau verte s'étaient échappés dans le bâtiment, sans chercher à rejoindre la sortie dirait-on. Intéressant. Avant de continuer, Raffard se retourna brusquement en baissant son arme et planta son regard dans celui de Baltana.
- On doit toujours se méfier des apparences, et si tu pensais un traître mot de ce que tu avances, tu ne serai pas là aujourd'hui, même par intérêt. Il vient toujours à un moment un carrefour qui se présente dont on doit soigneusement bien choisir la route, même pour nous, les emmerdeurs.
Il attendit quelques secondes puis s'esclaffa.
- Ho allez tu as vraiment cru que je te sortais la grande tirade sur les sentiments ? Mais je plaisante ! En revanche si tu es intéressée pour la location, il n'y a aucun soucis, mais c'est à prendre dans l'état. En penchant sa tête sur le côté, l'oiseau de nuit retrouva un visage plus convenable pour parler à Christal. Messire, ça c'est mon père ma belle, appelle moi simplement Raffard. Et si tu te préoccupe de ma sécurité, ma foi je ne refuse pas un garde du corps aussi charmant. Tu devrais d'ailleurs te rapprocher un peu plus près pour vérifier mes bonnes intentions.
Il allait faire un clin d'œil, mais s'abstint. Vellaï venait gentiment de planter ses griffes à travers le tissu de la tunique comme pour lui dire d'arrêter de jouer les bellâtres stupides.
- Non sérieusement, ma petite amie blanche ici présente a flairé une piste pendant que je travaillais à l'examen du tracé cadavérique avant que vous ne vous pointiez. Avant qu'Adèl ne vienne mettre ses grosses bottes dans les traces pour tout étaler plutôt. On doit continuer à traverser les couloirs jusqu'au sous sol j'imagine. C'est là bas que la piste s'arrête.
L’amour réjouit comme le rayon de soleil après la pluie, mais la luxure a le même effet que la tempête après le soleil. Le doux printemps de l’amour reste toujours frais ; l’hiver de la luxure arrive bien avant la fin de l’été. L’amour n’est jamais écœuré ; la luxure meurt de gloutonnerie. L’amour est tout vérité ; la luxure est pleine de mensonges perfides. Luxure ou Amour ? Difficile de trancher.
Il n'est de plus belles flammes que celles qui sortent des ténèbres, envoûtant clair obscur aux courbes ondulantes et hypnotiques. Belles à en mourir, douloureuses à en vivre. De flammes à femmes il n'y a qu'une syllabe. Fiche
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Intendant de la Main
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Quartier Maritime, Eauprofonde Eleasis 1372, Année de la Magie Sauvage Début de soirée. Climat : Frais et brumeuxKloé se dirigeait maintenant vers la verrerie, l'esprit encore chiffonné par ce qu'elle venait de constater au Manoir. Il n'était pas fort difficile de trouver ces bâtiments somme toute visiblement des ateliers, avec comme apanage, une belle cheminée utilisée pour évacuer les fumées du bois qui devait brûler vif afin d'avoir une pâte des plus faciles à travailler pour n'importe quelle forme en verre.
Déjà à l'arrivée quelque chose ne tournait pas rond. La porte d'entrée principale avait été fracturée et la porte se trouvait béante, laissant loisir à quiconque de venir se servir dans les modèles de bouteilles et de verres à boire diverses, voire quelques œuvres d'art qui trônaient dans la salle de démonstration. Kloé pouvait sans peine entendre quelques voix au-delà de cette pièce d'accueil, voix qui discutaillaient calmement. Pourtant une étrange atmosphère régnait en ces lieux, une ambiance qui était propice au redressement des cheveux fins sur la nuque : son instinct la prévenait de façon impérieuse et frissonnante. Il n'y avait pas que l'ambiance, il y avait aussi une drôle d'odeur et même si la jeune femme n'était pas familière avec les arômes obligés dans une verrerie, la moite senteur de la mort planait en ces murs.
Dans la pièce principale, les présentations étaient faites entre ces drôles de dames et l'homme étrange d'une politesse exquise pour le moment, à la langue veloutée promesse de mille et un plaisir imaginés pour l'instant. Pourtant il y avait dans le coeur des ombres de suspicions qui refroidissaient les ardeurs, assombrissaient les jugements et faisait comme un point d'interrogation qui planait au-dessus des têtes tels des épées prêtes à se décrocher de leur illusoires attaches. Pourtant on était arrivé à une sorte d'accord tacite, accord peut-être habilement suggéré par Raffard que l'animal félin accompagnait de manière typiquement chat, chaotique, individualiste et totalement conscient de sa propre beauté... Un peu à l'image du maitre en somme.
Même si les questions restèrent en suspends, le groupe se décida pour la cave, ma foi il n'y avait pas à explorer plus en avant, ou alors peut-être les pièces du devant. Il était fort à parier que de toute façon elles étaient soit entièrement vides, soit contenant un cadavre ou deux, voire plus. L'escalier qui y menait laissait place pour un homme, et s'enfonçait d'environ deux mètres en dessous du niveau du sol. Pas vraiment un plongeon dans les affres d'une profonde abysse. Au bas de l'escalier le couloir se divisait en deux petite couloirs : vers la droite on arrivait sur une petite pièce ouverte où trônait des tonneaux, des coffres et des chiffons en tas. Le couloir tournait à 90 degrés vers la gauche pour arriver à une première porte, puis un peu plus loin vers la droite où se trouvait deux nouvelles portes pour aboutir au point de départ, c'est à dire les bas de l'escalier.
Quelques grattements se laissaient entendre, peut-être des rongeurs ou encore le parcours d'insectes qui creusaient la pierre ou tout autre chose bien évidemment. Il va sans dire que l'endroit était assez sombre et qu'une petite lumière serait la bienvenue afin de pouvoir discerner tout détails qui pouvaient être d'importance surtout si ces détails décidaient de prendre vie pour écorcher les douces peaux de ces demoiselles et de ce monsieur. me faut savoir dans quel ordre vous descendez les escalier et quel directions vous décidez prendre en groupe ou en individuel c'est comme ça vous va ^^Votre HRP
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Aventurier
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Décidément la recherche d'Arguilas impliquait de farfouiller beaucoup de bâtiments insalubres et aussi ouverts aux 4 vents que le postérieur d'un gobelin (disait-on). Encore une fausse piste? Mais il se trouvait où ce Renaudin?! Enfin Arguilas surtout...
-" Celui là... Je vais lui casser sa gueule pour m'avoir courir et m’inquiéter... Vrai vrai..."
Marmonna t'elle entre ses dents. Et elle manqua de bazarder la porte à GRANDS COUPS DE PIEDS RÂGEURS de colère et de frustration. Mais elle se retint. Et puis assez vite elle se rendit compte à l'intérieur que quelque chose clochait. Il y avait, en plus des odeurs artificielles, l'odeur un peu piquante des cadavres. Khloé n'avait tué jusqu'à ce jour que des animaux. Et encore en s'excusant des esprits qui leur étaient liés (les Rashémis moyens sont plein de superstitions). Elle espérait qu'il ne s'agissait pas de dépouilles humaines.
Elle décida de prendre une jolie fiole vide histoire d'avoir un souvenir.
Des gens discutaient calmement dans une pièce voisine. Elle décida de s'approcher un peu pour en entendre plus.Elle savait être silencieuse et avait une bonne ouïe, talents développés par ses escapades nocturnes de chez ses parents. Même si son humeur actuelle était plus à aller droit au but les odeurs de morts appelaient la méfiance...
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Aventurière
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Alors que leurs pas s’engageaient dans l'escalier, les discussions s'estompèrent. L'obscurité régnait sur cette partie du complexe et leur progression en file indienne limitait d'autant le champs de vision. Christal sur ses talons, l'ensorceleuse suivait le binôme formé d'Adelaïde et du nouveau venu. Parvenu dans la cave, le silence laissait entendre quelques bruissements, tandis que le manque de luminosité interdisait toute certitude quant à ce qui pouvait bien les attendre en ces lieux.
¤ Je déteste ces tréfonds où ta divine lumière nous laisse aveugle ¤
Alors que le regard de Doreah tentait de rompre les nimbes opaques, elle avait inconsciemment déporté son attention, oubliant les inquiétudes qu'elle entretenait sur Raffard et balayant du même coup ses convictions sur la fourberie d'Adélaïde.
¤ Il y a deux chemins, des portes à notre gauche et une pièce à notre droite... Difficile d'en dire plus, et impossible de savoir si les fuyards sont passés par là...¤
Ses sens ne lui apportant pas les réponses escomptées, la belle Calishite n'était pas sans ressource. Elle porta la main à sa ceinture, fouilla dans une bourse et en retira un petit objet luisant. En regardant par dessus son épaule, la prêtresse de Sharess pu reconnaître un petit morceau de mousse phosphorescente. Doreah releva sa paume et, avec son autre main, souleva son arme.
" Vierge lunaire, éclaire mon chemin !" " Dame d'argent, transperce l'obscurité de ton fabuleux pouvoir" " Séluné, fais de moi ton serviteur dans ce combat millénaire contre les ombres de ce monde "
La faible lumière contenue dans sa paume disparu, tandis que de son bâton commençait à s'élever une luminosité de plus en plus forte...
Sans transition, la voix de la séduisante métisse s'éleva... - " Allons y, ne traînons pas " Puis fixant le regard de Cristal, comme pour s'assurer de son soutien, elle poursuivit -" Je vais avec Raffard dans la pièce à droite, Cristal, tu accompagnes Adélaïde dans le couloir, elle devrait pouvoir nous dire si quelqu'un s'est récemment enfui par l'une de ces portes "
{ Lance le sort lumière + Jet de détection et perception auditive }
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Aventurière
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La petite compagnie prit le sombre escalier. Christal fît bien attention où elle posait chaque pied. Elle avait à présent tendance à se retourner plus souvent. Sa bosse la lançait toujours. Telle une cloche énorme, elle lui rappelait à chaque gong, qu’elle avait était été agressée lâchement par cette demi-orque inconnue prétendant être le vigile des lieux. Dans le noir et durant les quelques secondes de silence instaurées au sein du groupe, les pensées et les bribes de souvenir se bousculaient. Au temple de Calimport où elle avait été instruite Indulgente, les hauts prêtres se répartissaient les domaines de formation selon leurs compétences particulières qui les distinguaient. S’ils avaient pourtant un point commun, c’était qu’à leur façon, les instructeurs faisaient tous montre d’une grande sagesse. C’est ainsi que l’un d’eux leur avait un jour enseigné : ‘L’Amour a été inventé par les Dieux Bons, Germes du plus sublime idéal, de qui nous nous efforçons d’être les fidèles reflets. En découle la bonté, l’amitié, le courage, la confiance, l‘éternité ! Mais comme tout concept, ces vertus connaissent leur pendant erronés. Prenons la confiance. En soi comme en l’autre. Elle est gage de réussite, sans elle, tout s’écroule. Les écueils à éviter cependant sont la suffisance et la naïveté. Elles sont le travers de la Confiance et vous coûteront cher.’ Christal pinça les lèvres. Elle avait été suffisante ET naïve ! Ici une bonne leçon avait été comprise.
La jeune prêtresse n’avait rien pour générer de la lumière, ni bougie, ni bâton magique. Le réconfort offert par celui de Doreah fût de courte durée. Sa collègue lui proposait de se séparer et d’accompagner chacun de son côté l’un des deux étrangers. Cela lui paraissait logique, certes. L’idée de se retrouver seule avec Baltana dans cette cave glauque la convainquait beaucoup moins. Après sa petite tirade sur la gentillesse et l’amitié, l’Indulgente n’avait aucun espoir que cette dernière l’aide en quoi que ce soit. Elle se demandait même ce qu’elle faisait encore là. ¤ Chaparder certainement ! Si les gobelins sont là, elle me poussera dans leur bras et fuira…¤ C’est pourquoi, quand Doreah sonda le regard de sa collègue pour chercher de l’assentiment, elle vît les beaux yeux de Christal se plisser dans cette moue qui disait ‘Tu me le paieras !’. L’Indulgente, au fond, espérait que Doreah soit en meilleurs compagnie qu’elle.
« Tu as de quoi éclairer Adeleide ? »
« Le plaisir est un don de Sharess, gratuit pour tous, afin d'apporter le bonheur à tous ceux qui le cherchent, et la joie à tous ceux qui souffrent.»Présentations
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Mercenaire
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Baltana hocha négativement de la tête à la question de la belle prêtresse, elle répondit sur son ton froid, presque monocorde habituel.
*Cette connasse de bronzée commence sérieusement à me courir sur la ligne de démarcation, si elle la dépasse, on retrouvera son cadavre au milieu des autres. Me faut ces runes, absolument et personne ne m’arrêtera. Personne.*
- « Non ma belle, j’ai pas de torche. Bouge pas de là. Je vais en trouver une, ça ne devrait pas être trop compliqué. Au pire un bout de bois, une chemise et de la poix et ça en fera une faite maison, ca doit se trouver dans ce fichu atelier et malgré le foutoir. Au fait ta copine, elle espère me commander ? Faudra qu’elle sache que je n’ai qu’une déesse et aucun maitre.»
Épée posée sur son épaule elle se redirigea vers la salle principale … pour tomber … sur une autre nénette, dès qu’elle put la voir, elle se mit en garde.
- « Par toutes les Durthan (contraire des Athrans, pour info, en gros leurs doubles maléfiques ^^), qu’est-ce que c’est encore que ça ? Qu’est-ce que vous foutez la ? Cet endroit commence à être trop fréquenté à mon gout … Hey ramenez vos miches, y a … encore … quelqu’un … en plus. Et je l’avais pas vue dans les macchabées, donc elle a pris la porte. »
Elle avait clairement l’accent rashémi en parlant, elle avait aussi insisté sur le « encore », gardant sa lame pointée vers la nouvelle venue, de cuir vêtue aussi.
- « Alors ? vous êtes qui ? Quoi ? Et vous venez faire quoi ici ? Dites la garde et je vous ouvre la gorge. Pas besoin de fouilles merde ici. »
« Il n’y a que trois personnes en qui j’ai confiance ; moi, Loviatar et la troisième ça n’est pas vous … »La fiche a Baltana
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Aventurier
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Oh... Une des femmes ouvrait la porte. La barbare en avait entendu deux ou trois. Elle avait entendu mentionner le nom de Séluné. Qui était une déesse bonne à priori. Pas trop connue en Rashémie mais Khloé avait une paradoxalement bonne culture (eh oui même si c'est une barbare... probablement la plus intelligente des royaumes mais la concurrence n'est pas rude). Elle aurait voulu en entendre plus pour vraiment se faire une idée. Elle aurait pu se dissimuler rapidement (elle était plutôt bonne à ce jeu) mais c'était pas son tempérament.
En tout cas si c'était elles les meurtrières c'était maintenant qu'il fallait entamer les hostilités. Elle porta la main à la poignée de son épée en reculant d'un pas. Pas plus. La distance était parfaite pour les affronter l'un ou l'une après l'autre.
L'autre se mit en garde. Elle était sur la défensive aussi. Plutôt jolie, bien foutue, correctement bâtie... Carrément canon même... Une bonne demi tête de moins que Khloé mais pas petite non plus. Elle tenait son épée correctement... Khloé avait de l'appréhension. Non pas qu'elle était impressionnée (c'est une dure) mais à l'expectative de se retrouver à tuer quelqu'un. Cela avait failli arriver lors d'un crise de rage impromptue. Elle ne reconnu pas l'accent rashémie de la jeune femme, trop léger par rapport au sien. Elle tiqua en revanche à la mention des sorcières maléfiques de son pays. Leur nom avait, de plus, était mentionné avec l'intonation exacte. C'était curieux.
« (en rashémi)Rashémen ?! Tu es Rashémen ? »
Elle en choisi d'ignorer la menace et de résister à la tentation de sortir son épée avec un sourire en répondant « la garde ? ». Un berserker ne laisse pas passer les menaces normalement... La situation était sérieuse et la surprise de taille. Une compatriote si loin ?!
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Aventurière
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Doreah fît quelques pas, comme prévu Raffard était à son côté. Tandis que la lumière qu'émettait son bâton n'éclairait plus que faiblement les deux dernières comparses, elle songeait à Christal et à ce qu'elle venait de lui demander
¤ Evidemment, ça ne l'enchante pas de se retrouver seul avec Adélaïde. J'espère ne pas l'avoir mis en danger. ¤
La situation était ainsi, et l'ensorceleuse était convaincu d'avoir fait le meilleur choix. Se séparer permettrait non seulement d'effectuer plus rapidement les recherches, mais pourrait également délier quelques langues...
¤ J'ai l'impression d'avoir mis le pied dans un nid de serpent... A qui faire confiance... Je dois savoir si on peu se fier à ce bellâtre ! ¤
La détermination n'avait pas quitté la belle calishite, et juste avant qu'ils ne dépassent le coin du couloir qui les mènerait dans la pièce, celle-çi se tourna vers l'inconnu. Son joli visage se para d'un charmant sourire, son regard se figea droit dans celui de l'homme qui désormais lui faisait face. Il la dépassait d'une bonne tête, ce qui l'obligea a relever son visage et à dévoiler sa gorge nue sur laquelle reposait une simple chaîne en argent. Au bout de cette chaîne se trouvait un pendentif, alors invisible car camouflé par le paysage vallonné qui se dressait fièrement aux yeux de l'humain
- " Vous savez sûrement me dire s'il existe une issue vers l'extérieur à partir ce ce sous-sol ? "
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Mercenaire
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- « Christal, ramène tes fesses ou je m’en occuperai bientot ! Merde !»
*Par Loviatar, elle est pas rapide celle la … *
La roublarde fixait son interlocutrice en chemise, vu que la prêtresse trainait, elle avait haussé le ton. Vu son air, cette barbare était bien du pays … Elle lui répondit simplement dans sa langue natale
(Rashemi) – « Je suis Rashemen, belle gueule … Et je travaille la … au cas où tu te poserais la question, non le tas de macchabée n’est pas mon œuvre, même si j’aimerai bien. Et ça ne me dis toujours pas ce que tu fiches ici ma grande. »
La roublarde se crispa, se dirigeant vers un tonneau de flotte afin d’y plonger son bras endoloris afin de rafraîchir son pansement et ensuite d’empoigner une torche ou une lampe à huile, bref un truc qui traine et fait de la lumière.
(Rashemi) – « Ha oui, vu qu’ils n’en auront plus besoin … si tu repère un truc qui te plait … fais toi plaisir. Peut-être en tireras tu quelques pièces. Et je ne sais pas ce qui t’a motivé … mais ici tu ne trouveras que désolation. La preuve. Là où je vais il y a une pluie de cadavres. Et la ca n’est pas l’esprit de l’Ours qui a fait ça. »
« Il n’y a que trois personnes en qui j’ai confiance ; moi, Loviatar et la troisième ça n’est pas vous … »La fiche a Baltana
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Le Blanc
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'homme en noir ne broncha pas une seule fois lorsque son compagnon de cave invoqua Séluné en personne pour faire jaillir de la lumière. Sans même une incantation, sans un grimoire.¤ Encore un foutu génie de la magie, où va le monde...¤ Vellaï aidait Raffard à s'orienter dans la pénombre mais il fallait reconnaitre qu'une source de lumière directe pouvait éviter de marcher sur des débris ou repérer d'éventuels pièges. Pièges posés par des gobelins apeurés, dans le genre grosse corde et épieu, voire un trou. Le fin du fin de la mécanique pensa le bellâtre avant de soupirer. Plus il évoluait, plus il s'attendait à trouver celui qu'il cherchait étendu là dans une mare de sang. Au départ, il était plus ou moins venu pour lui, mais ce à quoi il avait assisté là haut l'avait tellement fasciné qu'il avait "perdu" beaucoup de temps à tenter d'examiner ce théâtre de la mort. Cette fois, arbalète et viseur parés, Raffard tenta de ne pas perdre trop de temps. Il marchait prudemment, n'hésitant pas à se mettre devant la jeune femme pour prendre le premier coup, et surtout pour avoir la vue dégagée. Lorsqu'elle le dépassa et se retourna, le Blanc dégluti silencieusement, sentant le sang affluer jusque toutes ses extrémités. Sa main libre se porta jusqu'au visage de la jeune femme. Jusque sous sa capuche, pour venir caresser délicatement sa joue avec son pouce, non sans avoir admiré furtivement ses formes généreuses- C'est un peu prématuré tu sais, et puis cet endroit, moi... je ne trouve pas ça très romantique mais... Retirant sa main, Raffard fronça les sourcils, renifla fortement et ferma les yeux un moment. Non pas pour attendre une gifle en réponse à son geste aventureux, mais pour se rappeler d'une chose qui lui revint tout à coup. L'air iodé d'Eauprofonde ne t'a pas encore attaqué. Tu sens le désert du Calimshan, non, plutôt la fleur de lune. Une fleur qui pousse dans le désert, qui éclot en fin de soirée et se fane au levé du jour. Son nom est "la belle sous la lune", pour être tout à fait exact en calishite. Ta peau dégage la même fragrance délicate. Merci pour ce souvenir agréable, Doréah... La chatte s'étira sur les épaules de son maître avant de bondir à terre et de reprendre l'investigation elle même, arrachant les deux protagonistes à cet instant à la fois intime et complètement étrange.- Ma foi, c'est une verrerie ici, pas une forteresse, à l'origine il n'y a pas d'autres sorties dissimulées, tout ce qu'on est venu chercher est encore ici. Accélérons un peu avant que certaines personnes ne viennent piétiner sauvagement une hypothétique nouvelle scène macabre. Tout ça bien sûr, dans l'hypothèse que des sapeurs n'aient pas creusés une nouvelle sortie, auquel cas il se peut qu'on ait à se salir les mains ce soir. L'oiseau de nuit sourit à demi, comme si cette éventualité pouvait lui faire plaisir. Ou qu'il n'avait absolument pas peur, ou qu'il savait déjà à quoi s'attendre, c'était impossible à dire.
L’amour réjouit comme le rayon de soleil après la pluie, mais la luxure a le même effet que la tempête après le soleil. Le doux printemps de l’amour reste toujours frais ; l’hiver de la luxure arrive bien avant la fin de l’été. L’amour n’est jamais écœuré ; la luxure meurt de gloutonnerie. L’amour est tout vérité ; la luxure est pleine de mensonges perfides. Luxure ou Amour ? Difficile de trancher.
Il n'est de plus belles flammes que celles qui sortent des ténèbres, envoûtant clair obscur aux courbes ondulantes et hypnotiques. Belles à en mourir, douloureuses à en vivre. De flammes à femmes il n'y a qu'une syllabe. Fiche
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