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Le jour le plus long, Arrivée dans la ville
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Narration3 martel 1373 matinMachavaïl, SvetzeinCliquez ici pour dérouler le parchemin... Bluff résultat incertain Alors qu'il se présenta seul fasse aux gardes, tout en racontant ses boniments pour le moins farfelus et plutôt osés, Machavaïl put voir arriver dans sa direction les deux précédentes personnes qui se trouvaient avec lui lors de l'incident du rayon. N'y prêtant pas plus d'attention, il se concentra sur la réponse qu'il attendait. Les gardes se regardèrent incrédules, dans un premier temps puis finalement l'un d'entre eux se dévoua pour accompagner Machavaïl aux travers des boutiques devant une porte qu'il n'avait pas vu juste avant car trop bien cachée par toutes les étales et la foule.-Si vous voulez bien vous donner la peine d'entrer on va vous prendre en charge je dois rester ici dans la cour. Frapper à la porte de droite et rien qu'à la porte de droite merci bien. Devant Machavaïl il y avait un simple couloir avec un porte qui donnait dans le fond et une sur la droite. Le couloir en lui même était mal éclairé et les murs plutôt sales mais les traces de pas sur le sol montrait un certain passage par ici. Restait à savoir si Machavaïl allait prendre la bonne porte. Pendant ce temps, Svetzein observa avec attention ce que les bâtiment avait à offrir. Il put voir deux des connaissances de ce tôt ce matin se faire prendre dans un mouvement de foule et en ressortir pas tout à fait intact. L'un d'entre eux avait visiblement perdu quelque chose.Mussel, EloraA peine eurent-ils fait quelques pas que l'une de leur précédente rencontre de ce matin même, les devança. Il fût conduit par l'un des gardes en direction des échoppes pour disparaitre derrière elles. Devant eux se tenait l'autre garde qui les regardait arriver leur miche de pain à la main. Ils étaient presque sur lui mais un mouvement de foule les retarda un peu. Une grande promotion venait d'être annoncée et tout le monde se précipitait sur la boutique du marchand qui criait à tout va les qualités de ses produits. Ils se firent bousculer à droite et à gauche avant de parvenir enfin devant le garde. C'est alors que Mussel constata avec une très grande surprise qu'il n'avait plus le bijou sur lui. On venait de lui voler à l'instant même. Il se retourna précipitamment en direction de la foule sans parvenir à isoler une personne en particulier. Le voleur était encore devant eux, encore fallait-il le retrouver. Ce message a été modifié par Kolimar Velcor le Dimanche 31 Octobre 2010 à 18h58
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- Je vous remercie, toute la communauté vous remerciera pour votre diligence soyez-en certain, jeune homme, en avait-il rajouté une couche narquoise en voyant ses bobards prendre racine, germer et porter fruit dans l'esprit d'au moins l'un d'entre eux. Soit, la porte de droite alors ? Confirma-t-il en se détournant.
¤ Porte de droite, porte de droite, et "rien que la porte de droite". ¤ Pourquoi insister de la sorte ? Avait-il l'air stupide au point de confondre ses deux côtés ? ¤ Blaireau... ¤ Lâcha-t-il gaiement en avançant vers la destination prescrite. Il s'en serait pourtant fallu de peu pour qu'il s'y soit rendu, obéissant et discipliné, à cette porte de droite... Mais le bougre avait l'esprit de contradiction. ¤ Dis-moi droite une fois et je te suivrais ; réitère avec obstination et j'aurais tendance à croire que tu as quelque chose que je ne devrais point voir... ¤
- Niark !
Offrir une opportunité à un opportuniste de premier ordre était comme allécher un ours affamé avec un rayon dégoulinant de miel bien frais. Irrésistible... A pas de loup, le sembien fila vers le fond du couloir. Guettant le moindre signe de présence, il s'assura être seul et observa avec la minutie d'un cambrioleur confirmé la porte qui ne devait pas être la bonne, bien décidé à explorer toutes les possibilités.
¤ Personne ne pourra me reprocher d'avoir quelques soucis de latéralisation après tout... ¤ Songea-t-il la face ornée d'un sourire rusé.
_ Avant de filer au fond : Fouille, détection et perception auditive pour vérifier qu'il est bien seul et qu'il n'y a pas de meurtrières depuis laquelle on pourrait l'épier. _ Déplacement silencieux vers le fond du couloir. _ Détection des pièges sur la porte du fond. A nouveau détection et perception auditive sur le couloir et vers la place pour être sûr. _ Si tout est ok, Machevaïl colle son oreille à la porte : perception auditive pour voir s'il y a quelqu'un de l'autre côté. _ Si pas de signe de présence, il frappe tout doucement à la porte, au cas où. Puis il essaye de l'ouvrir. (désamorçage et crochetage avec outils de cambrioleur s'il le faut)
_ Dans le cas où il sent le moindre traquenard, il suspend son action
EDIT KOLIMAR jet de saut 11(dé)+6(comp)=17 DD=5 réussite
Ce message a été modifié par Kolimar Velcor le Jeudi 02 Décembre 2010 à 21h22
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Narration3 martel 1373 matinMachevaïlCliquez ici pour dérouler le parchemin... fouille couloir réussite Détection et perception auditive résultat incertain Machevaïl sentait le coup fourré. Pourquoi tant d'insistance sur cette fameuse porte. Machinalement il regarda le couloir où il se trouvait d'où ne sortait aucun bruit mis à part celui de ses pas. C'est alors qu'il tomba sur quelque chose de bizarre. Juste après la première porte qui le concernait, posée en plein milieu se trouvait une dalle légèrement surélevée par rapport aux autres. Une dalle plus haute et surtout mobile. Il était évident qu'elle actionnait quelque chose mais quoi ? La question restait posée. Il était seul, et bien seul. Il pouvait toujours aller voir du côté de la porte du fond mais il lui faudrait passer cette fameuse dalle, ou alors se contenter de frapper à la première porte qui elle ne présentait aucun risque en apparence. Sinon il pouvait montrer la plus grande des qualités de tout bon roublard, la fuite et prendre la porte par laquelle il était entré. Par contre il lui faudrait sans doute trouver une bonne excuse quant à son retour.
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e hin et la chondathienne étaient presque arrivés sur le garde lorsqu’ils entendirent la réclame. La moniale fut surprise par le mouvement de foule qui en suivit, comment des gens pouvaient ils manquer d’autant de civilité. On aurait dit des rapaces se ruant sur un cadavre. Elle se demandait encore comment ils étaient parvenus jusqu’au garde en un seul morceau. Et ce fut au moment où elle demanda à l’homme mètre de présenter l’objet du délit au garde que celui-ci l’avertie qu’il n’était plus en sa possession et sans nul doute voler au cours de la bousculade. Elle essaya de repérer une personne suspecte dans la foule, mais sans aucun indice et surtout n’ayant rien vu de la scène qui avait permit le vol, il lui était totalement impossible de trouver le voleur. Ceci dit, deux choses lui passèrent immédiatement en tête, la première le voleur savait que le collier était dans la miche, sans quoi jamais il n’aurait pu être volé par hasard. Et la deuxième chose, était que ce vol avait dut être organiser donc soit le marchand était dans le coup, soit on l’avait incité à faire sa soudaine promotion.
Ce fut alors qu’elle fut de nouveau partagée sur les choix qu’elle devait faire, courir après ces voleurs, rejoindre l’homme qui tout comme eux avait été victime de ce sortilège ou encore partir en direction du monastère pour remplir sa mission première. A contre cœur, la moniale élimina cette dernière option de suite, car même si cette mission était la plus importante à ses yeux, elle ne pouvait la mettre en danger avec le sortilège inconnu qui était sur elle et sur Asaria. Puis après une petite réflexion rapide, elle se décida de faire part des faits aux gardes au sujet des événements de ce matin et de laisser ensuite la garde se charger de l’ordre de la ville. N’était ce après tout pas leur rôle de faire ceci. Se tournant donc vers le garde et le salua de son plus beau sourire, avant de lui relater les événements de ce matin au sujet de ce mystérieux couple et de leur morceaux de pain plutôt bien garnis. Puis de lui annoncer que malheureusement avec ce qui venait de se passer à l’instant, ils avaient été à leur tour délesté du précieux collier. Elle lui demanda donc s’il connaissait le marchand venant de faire sa promotion, car pour elle, il ne faisait nul doute que celui-ci est participé volontairement ou non à ce petit tour de passe-passe. Finissant enfin son résumé de l’affaire, elle poursuivit avec le deuxième motif de leur venue. - J’espère que tous ses renseignements pourront vous aider à appréhender ce groupe de voleur, mais je dois avouer que nous sommes arriver ici pour une toute autre raison. Il y a eu, à l’entrée de la cité, un problème avec les membres d’un palanquin qui a été amené ici par la suite. Et nous aimerions discuter avec une des autorités de ce lieu afin de pouvoir nous entretenir avec ces personnes.
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¤ Tiens tiens tiens... ¤ fit le voleur accroupi devant la dalle surélevée. Ce genre de joujou, il en avait éprouvé des tas lors de son entrainement parmi les Entailleurs de Sanglaive à Urmlaspyre et, parce que la sanction avait été cuisante et immédiate, avait appris à s'en méfier. La vigilance acquise dans de telles conditions faisait valoir son influence sur les instincts vénaux du sembien ; on ne l'y prendrait pas qu'on se le dise !
Il étudia ce qui avait tout l'air d'un chausse-trappe destiné au genre d'individus de son acabit et n'y décelant rien de bien mesquinement trop étendu, prit son élan et bondit un peu lourdement par-dessus l'obstacle. ¤ Bouhouh ! Le froid et l'humidité, ça rouille méchant les jointures !¤ Constata-t-il, mauvais joueur, au regard de son saut certes efficace mais peu gracieux. S'assurant une fois encore qu'il n'était point observé à la dérobée, il entreprit de progresser furtivement vers la porte qui promettait certainement monts et merveilles. ¤ A nous le pactole ! ¤
Sur ses gardes, jusqu'au fond du couloir, il savait qu'il ne fallait point relâcher son attention ; trop de ses camarades avaient été fauchés stupidement sur le tard se croyant dégagés de tout traquenard. Aussi, les sens en éveil, c'était un gredin averti qui parcourut les derniers mètres le séparant de son objectif. Il approcha prudemment des battants du dernier obstacle, l'excitation gagnant un octave, et observa méthodiquement ses rouages...
¤ Trois p'tit coups pour la politesse et aroh sur les cadeaux ! ¤ Que pouvait-il y avoir de plus attrayant pour Machevaïl qu'une surprise si bien gardée ? Refoulant ses pensées pessimistes sur les potentielles conséquences s'il venait à être pris la main dans le sac, il se concentra pour écouter la "réponse".
Déplacement discret (à la moitié de sa vitesse) jusqu'à la porte. Tout au long du reste du couloir, il essaie de détecter de nouveaux pièges. S'il en trouve, ne pas tenir compte du reste de l'action et suspendre. Sinon : détection de piège sur la porte, il frappe trois fois, attends 1 minute(perception auditive en collant son oreille à la porte), puis se baisse pour regarder par le trou de la serrure si c'est possible, essaie de clencher et si c'est verrouillé, essaie de la crocheter avec ses outils de cambrioleur. S'il entend du bruit à l'intérieur, il suspend son action, bien sûr.
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Narration
Machevaïl déplacement silencieux résultat incertain fouille résultat incertain perception auditive réussite
Machevaïl
Progressant le plus doucement possible tout en fouillant le sol sur lequel il marchait, Machevaïl ne vit pas qu'une des dalles était légèrement mobile. Lorsqu'il marcha dessus, elle craqua faisant un bruit de tous les diables. Il était tout près de la porte quand cela arriva et pu entendre clairement que quelqu'un ou quelque chose bougeait derrière et se rapprochait, l'instant était décisif et seul lui savait ce qu'il convenait de faire.
Elora
La discussion avec le garde s'engagea cordialement. Celui-ci renseigna la moniale en lui disant que le marchand était plus que connu. Il venait tous les jours présenter ses marchandises et qu'il avait toujours les mêmes habitudes. Toutes les heures, il lançait sa promotion pendant dix minutes sur certains produits. Cette fois-ci ne faisant pas exception à la règle, réglé comme une horloge qu'il était. Le mouvement de foule était courant selon ses dires, car les produits qu'il présentait étaient d'excellente qualité et parfois fort rare. Lorsqu'elle lui parla de la mésaventure qu'ils avaient subi tout deux le garde pris un air sérieux.
-Je comprends bien votre problème et je suis ravi d'avoir des citoyens d'une telle trempe parmi cette ville. Mais, voyez-vous, en l'absence de preuve je ne peux que guère qu'ouvrir l'œil un peu plus. Pour ce qui est des autorités il suffit d'aller voir les gardes disposés près de cette porte là-bas ils vous renseigneront. Dites leurs que vous voulez rencontrer le permanent de service à propos de votre affaire et que vous venez de ma part.
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n apprenant l’action répétitive des annonces du commerçant, elle comprit qu’il n’apprendrait rien en allant l’interroger. Il avait été utilisé sans même le savoir par ce groupe de voleur. Elle ragea contre elle-même de ne point avoir été plus prudente sur la route et de vérifier qu’ils n’étaient pas suivis. Après tout, que ce soit le mystérieux couple où le jeune voleur qu’il avait aidé à arrêter, nul doute que les deux devaient faire parti d’une organisation ou tout du moins d’une bande. Il était donc plus que probable de l’un des complices les ait vu ramassé le pain et y découvrir le collier, puis les ayant suivi jusqu’ici, celui-ci avait profité du mouvement de foule pour leur subtiliser le collier. Même si cela la dérangeait au possible, elle avait pris sa décision de ne pas poursuivre son enquête sur ce collier. Et puis elle doutait fortement de pouvoir faire quoique ce soit seule ou avec son compagnon du moment contre une organisation de roublard. Aussi après avoir demandé le nom du garde afin de le nommer lors de sa rencontre avec les dites autorités, elle le remercia de son plus beau sourire le garde et partit en direction des personnes qui lui avait indiquées.
Chemin faisant, elle réfléchit à comment présenter sa requête pour pouvoir rendre visite aux membres du palanquin sans pour autant leur dire qu’ils avaient été victimes d’un sortilège malencontreux lors de leur entrée dans la cité. Car tout comme Poucet, Elora ne souhaitait pas – pour une fois – se faire trop remarquer, au cas où cela puisse nuire à sa mission pour le monastère. C’était sa première mission, elle s’était jurée avec Asaria que quelque soit les bâtons qu’on leur mettrait dans les roues, elles parviendraient à l’accomplir comme il leur avait été demandé par leur maître respectif.
Arrivé devant les gardes de l’entrée, elle leur dit venir de l’homme que le hin et elle venaient de quitter. Puis leur expliqua la raison de leur venu : - Nous avons pu constater un effet magique qui a sur le coup échappé au mage protégeant l’entrée de la cité. Ne pouvant s’absenter de sa position pour le moment, nous sommes donc venu afin de faire part de ce fait au autorité et également se renseigner au près des membres du palanquin qui furent indirectement à l’origine de celui-ci, s’ils savent ce que cela pourrait entraîner.
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¤ Ta tintin tida titatid... ¤ Entonnait-il gaiement en prospective dans sa tête, l'hymne à la joie de quelque profit substantiel et aisément saisissable. De ceux qu'il appréciait tout spécialement : sans gros risques et nés d'une complète opportunité surprise, une sorte de présent impromptu en somme. Il approchait de la porte du trésor. Comme il avait hâte de contempler le fructueux larcin! ¤ Chiote !¤ Quelque chose craqua subitement sous le pied du sembien pourtant attentif à tous les signes pouvant trahir sa présence. D'une moue blasée il baissa les yeux sur la dalle traitresse. ¤ è é ¤ Étouffa-t-il, plus en colère contre son inaptitude à capter la présence de l'obstacle que contre l'obstacle lui-même. ¤ Pas fichu de dénicher un traquenard juste devant ton nez ! ¤ Se morigéna-t-il. Ces paroles, prononcées par le formateur impitoyable des Entailleurs de Sanglaive, avaient souvent résonnées à ses oreilles et à celles de ses camarades. Même s'il se plaisait à croire qu'il n'en avait que peu bénéficié, comparaison faites avec les plus malhabiles des jeunes recrues de la guilde naissante. ¤ Gros balourd de Frenan ! Rachètes-toi des paluches ! Tu vas manger si l'gros nous prive de soupe à cause de toi ! ¤ Se souvint-il. Le bougre de Frenan n'était point taillé de la matière du malandrin de la cambriole : ses exploits avaient souvent entraîné la chute de ceux qui avaient le malheur de faire équipe avec lui. Chose qui n'avait pas tardé à être une source de trahisons et de conflits des plus profitables et vindicatifs, pour le plus grand plaisir de Sanglaive lui-même. ¤ Tu as du te régaler vieux cochon... ¤ Pour l'heure, lui qui avait toujours tenu à faire montre d'aptitudes certaines dans le but d'éviter ce genre de remarques et les châtiments qui s'en suivaient tant de la part des autres aspirants involontaires que de ses maîtres, ne pu s'empêcher de voir surgir ses anciennes peurs sur le devant de la scène. Il sourit, ironique ; on ne fuyait pas si facilement le conditionnement de plusieurs années de pressions ininterrompues. Des pas se rapprochaient, il put l'entendre clairement au travers de la porte. Un instant de panique prit le voleur aux tripes : que devait-il faire à présent ? Sauter le plus loin possible de cette dalle grinçante ? Après tout, il n'y avait peut-être pas de chausse-trappe. Du moins n'en avait-il point vu. ¤ Une vieille planche pourrie voilà tout ? ¤ Il pouvait peut-être encore fuir à toutes jambes, sauter la première dalle piégée et rejoindre la cour pour se fondre dans la masse. Une fois à l'extérieur il aurait tôt fait de disparaître. Une bonne cervoise dans une auberge devant un bon feu pour réchauffer ses os transits et qu'on ne lui parle plus de cette histoire de mages et de rayons à la mord-moi-le-nœud ! ¤ Ou pas... ¤ Il se figura une de ses caracolades peu gracieuses suivie d'une gerbe de flammes létale : d'abord agréable l'espace d'un instant, régénérant sa chaleur corporelle puis fatale, l'instant suivant, grillant la couenne comme un cochon au rôtissoire. Les pas se rapprochaient... ¤ Trop tard... ¤ Il fit définitivement le deuil de ses ex-futurs-bénéfices potentiels... Optant pour la seule attitude valable à ses yeux, il se redressa d'un air digne et se prépara un masque avenant et sévère puis leva le poing. ¤ Si tu es pris la main dans le sac, plonges-y l'autre et souris de toutes tes dents plutôt que de nier bêtement... ¤ Il frappa vigoureusement quatre fois contre la porte en appelant doucement._ Y-a-t-il quelqu'un là-dedans à la fin ? Rugit-il sur le ton du gentleman pressé qui ne souffrait point l'attente impartie. Bon sang ! Ajouta-t-il pour faire bonne mesure. Avant de tambouriner à nouveau.
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Narration
Machevaïl
jet de réflexes échec
Tentant le tout pour le tout, le roublard frappa violemment à la porte. Cependant il aurait du faire un peu plus attention, car à peine eut-il touché la porte qu'un violent flash en sortie le propulsant vers l'arrière, pile sur la fameuse dalle branlante. Il appuya de tout son poids sans pouvoir rien faire. Aussitôt, un violent vacarme se fit entendre dans tout le couloir et même sûrement au delà. De la porte d'où il venait d'entrer ainsi que de l'issu à sa droite des grilles tombèrent. Il se releva attendant un quelconque évènement nocif pour sa santé. Il ne se fit pas attendre et un gaz sortit de minuscules trous qu'il n'avait pas remarqué avant. Il tenta bien sûr de retenir sa respiration mais, finalement il craqua et inspira un grand coup de l'étrange mixture volatile. Les effets se firent presque immédiatement ressentir. Ses jambes ne le tinrent plus, il se sentait soudainement gagné par un sommeil profond, puis il s'écroula. Quelques temps plus tard, il se réveilla sur une paillasse si dure qu'il en avait mal au dos. Des barreaux ornaient sa fenêtre et la porte de la pièce plutôt sale où il se trouvait. Il n'y avait aucune équivoque quant à l'endroit où il se trouvait. C'était une cellule de prison. La bonne nouvelle c'est qu'il était vivant, la mauvaise est qu'il ne portait que sur lui que ses habits. Un bruit derrière lui, lui précisa qu'il n'était pas seul dans la pièce. Allongé juste en face de lui une silhouette se dessinait sans savoir s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme. A voir l'état de ses vêtements cela faisait un certain temps qu'il croupissait ici. Restait à savoir quel sort lui était réservé pour lui.
Elora
La réponse de l'homme fut immédiate.
-Première porte à gauche. Deuxième bureau sur la droite.
Ils s'exécutèrent sans demander leur reste et se présentèrent devant la dite porte. Elles étaient ouvertes et là se tenait une impressionnante foule de personnes s'agitant devant divers comptoir et autres bureau exposant des griefs pour la plupart. Ils suivirent les indications du garde et se présentèrent devant un bureau où se tenaient deux gnomes. Un panneau était suspendu sur ce dernier où l'on pouvait lire l'inscription.
QUOTE | Désenchantement, désenvoutement et enlèvement de malédiction |
Devant eux se tenaient deux elfes essayant de leur faire comprendre qu'ils avaient été transformés dans leur forme actuelle. Les deux gnomes ne semblaient pas convaincus et s'efforçaient de leur dire qu'ils étaient impossible d'enlever ce qui n'existait pas. Finalement après de longues palabres, les gardes vinrent sortir les indésirables.
-Je ne sais pas si ce n'était pas des elfes mais en tout cas ils sont l'arrogance qui va avec. Que puis-je pour vous ?
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Le sembien revint à lui dans un état vaseux. Un goût douceâtre encombrait une bouche pâteuse et il renifla pour chasser les mucosités de ses narines bouchées alors qu'il ouvrait des yeux gonflés, clignotant des paupières pour définir une certaine logique à son monde visuel.
- Et chuis où là ?
Sa question lâchée à la cantonade n'attendait pourtant de réponse que ses propres souvenirs : la porte, le piège, l'explosion de lumière, la grille, la fumée... ¤ Pas étonnant que j'ai les naseaux en feu ¤ Railla-t-il en reniflant de plus belle. Il palpa son corps et ses vêtements. ¤ A poil... ¤ Si l'expression n'était point tout à fait appropriée - il était décemment vêtu tout de même - il n'avait plus ni armes, ni quoi que ce soit d'utile en sa condition. ¤ Et c'est ainsi que s'achève l'épopée du flamboyant Machavaïl, dit le Teigneux, alias Inatul, alias... Rhhaa ! ¤ Dans l'espoir, il était gourmand. Dans l'opulence, il se montrait généreux et dans la merde, il se faisait cynique ! Un instant seulement avant de comprendre sa situation ; pas de la façon dont on conçoit l'emprisonnement d'un clin d'esprit. Machevaïl était pragmatique. Qui disait prison, disait notamment attente, longue attente probablement. L'agitation ne ferait que le desservir. Son meilleur parti consistait à prendre du repos. Après tout on y était mieux installé que dehors aux quatre vents ¤ La taule, bon sang ! Faudra voir à ce que les proprios soient point trop radins sur la bouffe... ¤ Eauprofonde était réputée pour son sens de la justice ; ils voudraient peut-être entendre les bafouilles qu'il pourrait mitonner pour sa défense. ¤ Note ! J'ai rien fait de répréhensible. Si ces cons de gardes savaient indiquer la bonne porte aussi... ¤ Il préparait déjà son plaidoyer... S'il doutait de faire entendre à ses geôliers qu'il n'avait point l'allure du voleur qu'il était, il était convaincu d'avoir en main des arguties qu'ils ne pouvaient pourtant nier. ¤ Reste que les belles paroles, échangée par un estranger contre son pauvre sort, y'a bien des bleds où qu'ils s'en cognent !¤
C'est à ce moment qu'un froissement de loques, un souffle expirant ou un coup d'œil peut-être, attira son attention sur la forme allongée. La pénombre jetée par la fenêtre ou les vapeurs de son bain de fumée involontaire l'ayant soustrait jusqu'ici à son attention, lui révélait à présent l'autre prisonnier. ¤ Allons, allons, un intrus loqueteux dans ma maisonnée : que diable ? ¤ Il sourit sarcastique, s'imaginant sa propre image dans quelques semaines en détaillant ses frusques en friche. ¤ Soit ! gouailleur, au moins une feuille sensible pour taper la causette ! ¤ Se redressant légèrement, il s'étira sans pour autant se lever : comme dit, le temps ne comptait plus en geôle et il n'avait même pas pris la peine de relever. Moisir dans une boîte noire pendant plusieurs jours, il avait déjà connu ça. ¤ Ma mère, sainte catin si tu me sens de là-bas, je te dois au moins ma patience dans cette situation ! ¤ Raillait-il en se remémorant ses passades en cabinet noir pour quelque bêtise ou parfois pour rien que la mauvaise humeur de sa génitrice. Sa mère ne l'avait point aimé et l'aurait volontiers suicidé si elle l'avait pu. Les cercueils de punition avaient aussi été un des châtiments favoris de ses instructeurs et maîtres de la guilde de voleurs d'Urmlaspyre. ¤ De beaux bâtards qui confondaient leurs demeures futures avec des cachots pour enfants ¤ Songeait-il avec amertume, en se réjouissant de la fin tragique et définitive du groupe de bandits l'ayant élevé.
- Hé ! Appela-t-il d'une voix enrouée. Il toussa trois fois, cracha un épais mollard emprunt de cette salive désagréable pleine du gaz soporifique dans un coin éloigné de la cellule et s'éclaircit la gorge avant de reprendre. Hé camarade ! T'es mort ou tu fais semblant ?
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