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ummmm....
Albreth ne connaissait pas cette taverne, mais il avait entendu dire dans une ruelle sombre, qu'elle était le rassemblement du mal de la région, il se devait donc d'y jeter un oeil.
Il poussa la porte grinçante tout doucement, il entra dans la salle vide, seul le tavernier était fidèle au comptoir. S'approchant de ce dernier, il jetait des regards froids sur les moindres meubles de la pièce

Tavernier: qu'est-ce que je vous sers mon brave?
Albreth: un vin chaud. Est-il normal que cette taverne soit aussi vide que les collines de Presia?
Tavernier: oh, vous savez..
Albreth le coupa aussitôt
Albreth: non je ne sais pas, non...
le tavernier se mît à sourire
Tavernier: et bien, les temps sont durs aujourd'hui

Albreth prît son verre de vin chaud, payer le brâve homme et alla s'asseoir tout au fond de la taverne sous une source de lumière, ce qui faisait encore plus ressortir ses yeux rouge glaçé

aral était nouveau dans la région et cherchait un endroit où aller et des gens de son métier lui avait parlé de cette taverne dans les quartiers sombre.

En entrant il ne vit personne sauf le tavernier et un demi-orque à une table. Le tiefflin, portait un capuchon noir cachant le haut de son visage alors on pouvait le prendre pour un humain, alla au comptoir et le tavernier lui dit.

Tavernier: Je vous sers quelque chose?

-Une bouteille de cidre, votre meilleure.

Quand le tavernier lui eu remit sa commande, il paya et alla à une table dans un coin sombre puis but une grande gorgé de sa bouteille en renversant sa tête en arrière ce qui fit tomber sa capuche de sa tête dévoilant le reste de son visage.

Quand, il arrêta de boire et eu ouvert les yeux on pouvait voire qu'il avait des yeux de chat rouge sang. Ses pupilles étaient élargies à cause de la pénombre autour de lui. Il sourit et on put aussi voir qu'il avait des crocs. Il ce cala dans sa chaise et mit ses pieds sur la table devant lui en avalant une autre gorgé de cidre. Le voleur ce mit à balayer la salle du regard.

Une silhouette entra dans la taverne, et se dirigea vers le tavernier. Celui-ci, plongé dans ses pensée, ne le remarqua d'abord pas, puis sans même lui laisser le temps d'ouvrir la bouche, lui balança un cruchon de cidre à la figure
-Ouste ! fout le camp ! je ne veux plus te revoir ici !
L'assailli leva une main mais tomba bientôt à terre, et n'eut pu pas s'expliquer qu'il se prenait déjà des coups de pieds dans le ventre. Sa capuche tomba pour révéler une chevelure luxuriante, digne de l'elfe qu'elle était.
-Fout le camp catin !
L'homme saisit rudemant la jeune femme par le bras et la jetta hors de sa taverne, puis se remit derrière son comptoir. La scène n'avait duré qu'une minute

aral ne comprit pas l'attitude du tavernier, il savait qu'une elfe n'était sûrement pas dans la clientèle habituel de l'établissement mais ça ne justifie pas une tel attitude. Cela piqua sa curiosité et il partie à la suite de la femme en terminant sa bouteille et la posant sur le comptoir avant de sortir. Le tiefflin ce précipita derrière la jeune femme pour la rattraper. Une foi à sa hauteur il lui dit.

-Mademoiselle ça va? Excusez ma curiosité mais en voyant la manière dont il vous à traité j'ais voulue savoir pourquoi?

L'homme détailla le visage et le corps de l'elfe. Le visage et la façon de ce tenir d'une personne pouvait montrer ses émotions.

L'elfe remit prestement sa capuche, un aperceptible mouvement prévint Barak d'une manoeuvre et il put voir un éclat d'argent briller... juste avant de sentir le froid d'une lame sur son cou
-oh, excusez moi, je vous avez pris pour quelqu'un d'autre !
la jeune femme eleva sa capuche et rengaina sa dague, puis recula d'un pas de manière à pouvoir juger de son interlocuteur
je suis désolée, j'ai du gacher votre bière. Je ne voulais pas vous déranger mais voyez-vous... enfin non, cela ne vous regarde en rien, je vous pris de m'excuser.
elle fit demi-tour

aral fut impressionné par la rapidité de la femme dans le maniement de sa dague. Le voleur réfléchit aux personnes pouvant avoir une telle habileté à la dague. Un éclair passa dans l'esprit du tiefflin, ­«une voleuse!».

Baral ce mit à suivre la jeune femme discrètement. Si il réussit à la suivre, il connaîtra peut-être la vérité sur elle et si elle le repère ce sera une preuve qu'elle est une voleuse.

Jehans dans une ombre, observait l'endroit que l'on lui avait mentionné, " La botte noir". Il vit deux personnes en sortir, s'arrêter puis repartir, l'une dans une direction et l'autre la suivre.
Il entra en ce lieu et se dirigea sans bruit, jusqu'au comptoir. Sa cape à la couleur sombre jais ne laissait voir aucune arme. Et ...

- Une chambre, et à manger, si possible.-

Cette voie était douce, mais ferme, il y avait un accent étranger dans son parlé, comme si, il ne parlait pas souvent. Puis il alla s'asseoir à une table dans un coin, en attente de son repas. Il ne se décoiffait pas de son capuchon et ses mains ganté d'un cuir souple aussi sombre jais que sa cape et ses mocassin, laissait voir, au petit tapotement sur la table, qu'il était nerveux.

La serveuse apporta son repas à Jehan, puis lui donna une clé
-Chambre 3 monsieur.
elle s'en retourna d'où elle venait, mais alors qu'il commençait son repas, il trouva un message en elfique dans son plat de pommes de terre: "ne buvez rien et ne dormez pas dans cette auberge où vous y perdrez


suite de la rencontre entre l'elfe et baral sur suite

Jehans resta stupéfait devant l'avertissement. Il était tellement affamé qu'il n'avait pas porté attention à l'odeur de la nourriture, qui lui d'ailleurs et en tout temps, inspecta celle-ci avant chaque repas, déformation professionnel.
Il cessa sur le coup de manger, fouilla en son escarcelle, y sorti une petite boite, prit et versa une légère poudre sur ce dit repas, .... Rien, il était mangeable. Se qu'il fit prestement.
Il attendit quelque temps, puis se leva et alla au second étage à la chambre 3. Il l'inspecta de toute part, il tira se qui servait de rideau à la fenêtre, ouvrit celle-ci, regarda l'extérieur longuement et laissa la fenêtre ouverte puis sorti de la chambre. Il verrouilla la porte et descendit au comptoir du premier, espérant voir la serveuse.
Dans son attente, il vit le demi-orque encore attablé et seul. La serveuse tardant son arrivé décida de s'en approcher et ...

-Tu joue?- ( en orque )

Jehans laissa des dés tomber sur sa table, il resta debout, dans l'attente d'une réponse.

Voyant le désintéressement de l'orque, Jehans pensa,
* ... Car Ubbo-Sathla est la source et la fin. Avant la venue de Zhothaqquah ou de Yok-Zothoth ou Kthulhut des étoiles, Ubbo-Sathla demeurait dans les marécages écumants de la terre nouvelle née; une masse sans tête ni membres, engendrant les têtards gris et informes de l'origine et les hideux prototypes de la vie terrestre... Et toute vie de la terre, est-il dit, devra faire retour à travers le grand orbe du temps, à Ubbo-Sathla.
Le livre, ... Le livre d'Eïbon, il me faut trouver le livre d'Eïbon.*

La serveuse n'était pas réapparût, le seul client à part lui, de marbre et de plus il n'avait pas payé, ... Il mit la clé sur le comptoir et sorti de la botte noir.

La nuit était chaude et humide, la lune gibeuse laissait échapper les tourments à venir. Se déplaçant dans les ombres de la rue, Jehans cherchait la bibliothèque.