Les bois de la Bête, Première étape

Brahm hurlait et rugissait au villageois de leur céder le passage mais n'en faisant car leur têtes, ils continuaient de crier des : Au feu Au feu a tout bout de champs.

Il en attrapait certains et les poussaient sur le côté de sorte à se frayer un passage parmi eux. Tous ces efforts ainsi que ceux du tiffelin ne servaient a rien, le feu amplifiait et même avec ses yeux d'orque, la seule lumière provenait du bâtiment engloutit par les flammes.

Il dégoulinait de sueur et avait du mal à respirer, il était essoufflé, il chercha Volan et lui cria au dessus des voix :

- On ne peux rien, de s'effondrer le bâtiment est en train ! Abandonner je crains qu'il faille, je...AAARG !

Il poussa un hurlement de douleur

Sa jambe saignait abondamment et son pantalon déchiré par des crocs, les crocs des créatures qu'il avait aperçus, ce n'était pas de lycanthropes, mais des sortes d'hérissons mutants et géant !

Il attrapa Volan et lui montra du doigt sa blessure et ensuite il lui indiqua la créature :

- Celle là, qu'une bouchée on n'en fait, Viens !

Il attrapa Blood Axe et entra en rage, il sauta sur la créature tentant de lui couper la tête.


Rage + attaque au cou de la bête + tentative de coupage de tête + tentative de défense totale contra la bête.

La charité bien ordonnée, commence par soi-même. L'exaltée de Thorm, une fois sa crainte passée, ordonna à Abby: -Garde Abby!-

Elle referma les portes de l'écurie soigneusement et se permit un tour d'horizon de l'endroit, observant les allées et venues de la foule. Elle avait hésité à prendre sa monture, mais à quoi bon lui aurait servit celle-ci en pareille situation?

Regardant dans la direction que les badauds, visiblement énervés de la situation critique qu'était le feu, elle aperçut certains d'entre eux, courir en sens inverse, leurs faciès tordu par la peur. Se remémorant les paroles de Zelkior... ° ... Les gens se font massacrer par des créatures que je n’ai put identifier... ° Un doute creusa sa vigilance et elle prit Ô à deux mains, s'attendant au pire.

Seule sa progression serait lente et tortueuse. Tentant au mieux d'apercevoir Volan et Brahm, elle ne réussi qu'à apercevoir la cohue villageoise et le feu en arrière plan.

°Mmouais! Abby aurait été en fait d'une grande utilité!°
Se dit-elle, sans regret présent.

La paladin avait, de façon coutumière, regardé en arrière d'elle par précaution et n'avait pas remarqué la présence de Zelkior l'itinérant, ni de la jeune fille frêle.
° Il doit l'attendre! °
Pensait-elle.
° Pourtant il me semblait bien pressé? °
Songeait-elle.
°... nous devons éviter le plus possible de nous disperser... °
Avait-il dit.

C'est en regardant plus attentivement, qu'elle aperçut à l'une des fenêtres de l'auberge, voisine de la sienne, la jeune fille. Son regard se porta vers l'entrée de l'établissement et ne vit point l'itinérant.

° Mais qu'attendent-ils? °

Attendant leurs venues, adossée aux portes de l'écurie, Vëla se tenait sur ses gardes, regardant d'un coté et de l'autre.

Elle était trop loin et la cible trop difficile a distingué pour bien ajusté son tir.
Elle déplaçât son lit de manière a pouvoir ouvrir ça porte puis elle prit son sac qu’elle disposa dans son dos, pris son bâton dans la main gauche, gardant toujours sa baguette dans la main droite.

Elle ouvrit la porte, prenant soin de regarder dans le couloir avant de s’y engouffrer que personne de mal attentionné ne l’attendait.

Rassurer elle se dirigea vers la salle commune puis la porte principale.

Elle aperçut plus loin la guerrière adossée aux portes de l’écurie en face d’elle, a qui elle fit un signe pour signaler que tout allait bien, puis passa légèrement la tête vers l’extérieur pour voir de plus prêt se qui ce passait, prête a tirer un jet d’énergie de sa baguette en cas ou un agresseur se dirigerait vers elle.

- Je peux vous rejoindre sans crainte ? Cria t’elle vers la guerrière.

Elle n'avait jamais été dans une telle situation et était mal à l'aise.

Adossé contre la haie qui servait de séparation entre le jardin et la rue, zelkior tentait de rester tapis dans l’obscurité de la nuit bouleversé par les lueurs des maisons en flammes. Posant ces yeux pâles sur la scène qui se jouait devant lui, il resta passif laissant les protagonistes continuer leurs jeux.
¤Des hobgobelins … je ne m’attendais pas du tout à voir ces créatures par ici. Que peuvent-ils rechercher ici. Un simple pillage ?! J’en doute. Ils n’ont pas l’air de ce concentrer sur les bâtiments clés de la ville.¤

C’est avec un regard détaché qu’il regarda la mise à mort des villageois, trop occuper à chercher la raison de la présence de ces créatures. Ces muscles se crispèrent instinctivement, lorsqu’il vit les hobgobelins se diriger vers lui. La peur l’envahit brutalement quelques secondes. Il le savait très bien ; tenir tête à trois d’entre eux serait suicidaire. Cependant leurs comportements laissaient croire à l’Illuskien que sa position n’était pas encore repérée. Tournant les talons, il repartit dans la direction identique aux créatures essayant de ne pas perdre de terrain. Avançant accroupit et adossé à la haie, zelkior avançait sans précipitation inutile, pouvant trahir sa présence.

Les flammes léchaient à présent le ciel, sans vouloir mettre fin à leur ballet destructeur. Ponctué par les hurlements des villageois, zelkior se tenait maintenant accroupi contre la haie proche du croisement. Jetant un regard furtif derrière lui, les trois créatures s’approchaient dangereusement de sa position. Balayant rapidement le paysage chaotique, son regard se posa sur une silhouette familière vêtu d’acier, brandissant entre ces mains une lame. Zelkior le savait, si le combat devrait s’engager, ce retrouver seul face à ces créatures signeraient sans nul doute sa mort.

Relâchant ces muscles, zelkior bondit des ombres que lui procurait la haie. Dévalant les mètres avec une agilité et une rapidité remarquable, il remarqua la jeune magicienne entrouvrant la porte de l’auberge. Stoppant brusquement sa course, il ouvrit la porte d’un geste brutale.
-(commun) je vous pris d’excuser mes manières dame Elode, mais je vous prierai de me faire confiance. Nous avons que très peu de temps.
Agrippant fermement la main de la jeune magicienne , il l’extirpa de l’auberge. Avalant les derniers mètres qui le séparaient de vëla, il entrouvrit sans délicatesse la porte de l’écurie et s’y engouffra, entrainant la magicienne et la guerrière avec lui. Entrouvrant le porte, il se plaqua contre le bois laissant son regard se porter sur la haie qu’il venait juste de quitter, attendant les créatures.
-(commun) Ce ne sont pas des lycanthropes qui ont attaqué le village mais des hobgobelins qui ont mené l’assaut. Je ne sais pas ce qu’ils veulent, Il ne semble pas cibler les bâtiments clés d’un pillage classique. Trois d’entres eux vont arriver de la ruelle par laquelle je viens de vous rejoindre. Ce ne sont pas des créatures que l’on peut affronter seul.
Tournant la tête le moine balaya du regard l’intérieur de l’écurie, cherchant des issues secondaires.



Ce message a été modifié par Zelkior le Samedi 17 Janvier 2009 à 00h35

Volan, en tenue de combat complète, ne savait pas se qu'il se passait réellement et surtout se qui étaait l'origine de l'incendie. Il essayait, en vain, de teter de calmer la population sachant parfaitement bien qu'un groupe désorganisé et paniqué pouvait faire énormément de dégats, et avant tous des dégats humains, en piétinant par exemple tous ceux qui avaient eu la malchance de tomber. De plus, il voulait essayer de les faire former une chaîne humaine pour essayer de stopper l'incendie mais en voyant les réactions des gens, il comprit que cela ne serait pas possible.

Cependant, il était heureux de voir que Brahm le soutenait et tentait, tout comme lui, d'apaiser la foule terrifiée. Mais, comme lui, il n'arrivait à rien et cela avait le don de mettre les nerfs du semi fiélon en pelotte et lui donner des envies de meurtres. Mais il se contint et respira profondément pour se calmer et ne pas laisser ressurgir son côté démoniaque qu'il avait beaucoup de mal à canaliser.

Soudain, il sentit que quelqu'un l'attrapait et il se retourna, prêt à planter dans le corps de l'impudent toutes els pointes de son trident. Cependant, il retint son coup en reconnaissant le demi orque qui lui servait de compagnon de route et suivit son doigt pour voir qu'il avait une blessure à la jambe, ainsi qu'un ennemi qui avait visiblement l'intention de le dévorer. Volan fit quelques pas pour se retrouver derrière la créature et la prendre en tenaille et la frappa de toute ses forces en visant un point vital.

Prends la créature en tenaille pour la frapper de son trident

Pour la première fois depuis plusieurs jours, Selora put apprécier les capacités qui étaient les siennes. Elle-même avait été surprise de constater avec quelle force, bien que les Marches d'Argent ne soient pas son territoire de traque habituel, l'itinéraire le plus approprié s'imposa à elle durant le court moment que la rôdeuse avait pris pour établir son plan de route. Un sentiment de facilité coula dans sa tête tel un nectar sucré pour un bref instant tandis qu'elle entamait sa progression vers le gué de la Surbin d'un bon pas, laissant derrière elle Quaervar sans le moindre remord.
Malgré toutes ces bonnes dispositions, la jeune naine devait encore parcourir les plaines qui la séparaient de sa destination. Et au vu du relief qui s'offrait au yeux de la rôdeuse, cela promettait d'être long. Son estomac commençait à lui rappeler douloureusement qu'on ne l'avait pas rempli depuis longtemps, et les gibiers ne foisonnaient pas dans les environs.

¤ Ca promet une amusante promenade ¤Songea Selora avec un goût amer en bouche. Autant dire tout de suite qu'elle ne mâcherait rien avant d'avoir atteint son objectif. Dans pareil situation, la meilleure chose à faire consistait à se remplir le ventre avec de l'eau.

¤ Aucune chance que ça te nourrisse, mais au moins t'évites de sentir le creux qui occupe ta panse. ¤

Selora prit donc le temps de sortir de son sac son outre, pleine d'une eau qui n'avait pas été changée depuis sans doute un peu trop de jours. N'en étant pas à ce détail près, elle avala de longues gorgées du liquide, laissant passer dans le fond de son palais l'arôme si particulier de l'eau stagnante. Satisfaite, elle rangea l'outre un peu plus vide avant de jeter son sac sur ses épaules et de se remettre en marche. Elle verrait le soleil se coucher sur l'horizon ce soir.

¤ Les Uthgardts ne tolèrent pas que l'on pénètre sur leur territoire sans permissions... Ils n'aiment pas les pratiquants de l'Art et redoutent de ne pouvoir rejoindre leurs ancêtres dans la mort en étant enterré près des ossements de ces derniers, dans un Tumulus. ¤ [I]Se répétant ces informations en boucle tel un mantra, la naine sale et puante à qui une longue marche n'apporterait au mieux qu'une propreté corporelle inchangée, sinon plus repoussante avançait au plus pressé que son corps pouvait tolérer, en tenant compte de la durée durant laquelle l'allure devrait être maintenue. Plus vite elle serait rendue à son point d'arrivé, plus vite les barbares se mettraient sur le pied de guerre et couperaient l'avancée du convoi. De plus, mieux valait ne pas camper dans les plaines à la nuit tombée. Seule au milieu d'une étendue plane et répétitive, elle ne serait pas difficile à repérer pour tout agresseur éventuel. Considérant ces contraintes, Selora avait résolu de fouler d'un bon train la distance qu'il lui restait à parcourir.

Les longs voyages donnaient souvent une occasion de s'occuper l'esprit en réfléchissant, afin de ne pas se concentrer sur le trajet qui paraîtrait alors plus long et plus pénible. Les premières pensées de la rôdeuse allèrent à sa propre personne, puisque le concept de durée avait éveillé en elle le souvenir de son « lien » avec l'Amasstarte, quasiment symbiotique étant donné l'importance qu'il avait pour chaque membre de la guilde. Un frisson involontaire parcourut son échine à la vision de son sort, en cas d'absence prolongée. Froideur de la mort et douleur intense confondue en une unique et éphémère perception avant que tout ne s'arrête...

¤ Sois fort, ne montre jamais les tourments qui habitent ton cœur ¤Se reprocha la jeune naine en constatant qu'elle s'était laissée aller aux malheurs de sa propre condition.

¤ Si tu dois mourir en faisant ton devoir, qu'il en soit ainsi ! Pour le moment, ta vie n'a pas d'importance... ¤

Recadrée par ce rappel à l'ordre, Selora décida que la meilleure façon de passer le temps consistait à imaginer ce qu'un certain moine pouvait être en train de faire, les pires scénarios étant généralement ceux qui l'amusait le plus et qu'elle se plaisait à ré-imaginer le plus de fois. Ses oreilles et ses yeux restaient néanmoins aux aguets, bien qu'il aurait certainement été bien difficile de rater une présence ennemie dans les parages.



Le grondement devenu perpétuel avec le temps avait commencé à agacer la rôdeuse, qui peinait à présent à mettre un pied devant l'autre. Malgré ses bonnes dispositions, la marche rapide lui avait coûtée plus qu'elle ne s'y était attendue, et même la vision de Zelkior pendu par les pieds et roué à coups de bâton ne lui aurait arrachée le moindre sourire. Il restait une unique ration dans son sac, au fond. Mais elle avait préféré ne pas puiser dans ses dernières ressources dès maintenant. La naine était convaincue de pouvoir tenir encore un peu.

Elle accueillie la vue du gué avec un franc soupir de soulagement. Selora sentit ses mollets s'enflammer, les tendons comme chauffés à blanc à force d'avoir trop servi.

¤ Aïe ! S'arrêter après une longue marche quand on a bien poussé sur ses jambes, c'est pas une bonne idée ! ¤

Massant ses mollets pour en chasser la lave en fusion qui, semblait-il, avait remplacé le sang dans ses veines, elle observa avec une moue désapprobatrice l'étendue de tente qui s'étalait sous ses yeux. Un grand nombre de gens qui se trouvaient sur son chemin, autant dire un grand nombre de potentiels obstacles au bon déroulement de sa mission. C'aurait pu n'être qu'une simple infiltration avec la nuit qui approchait, mais des sentinelles vinrent lui fermer cette belle opportunité. Deux blancs-becs torses nus armés de lances s'avancèrent à sa rencontre, et la naine eût un petit gloussement intérieur en détaillant la ridicule barbichette qu'ils arboraient tous deux. Leur question lui ôta tout envie de s'esclaffer.

¤ Bon, ces humains m'ont l'air peu aimables. Je pourrais les tuer, mais je doute que personne ne réagisse. Et vu le nombre de tentes, mes espoirs de l'emporter sont minces. Quand à jouer de diplomatie... Pfff, ils n'auraient pas pu aller planter leur tente ailleurs ! Comment vais-je pouvoir trouver les Uthgardts dans ses conditions ! ¤

La faim entamait la patience de Selora aussi sûrement que la rouille attaquait les métaux plongés dans l'eau. Lentement, au cours des heures passés, le manque de nutriments avait grignoté son esprit. A présent, la naine en avait conscience, mener une réflexion prolongée l'agaçait, et un rien la mettrait hors d'elle. Se retrouvant à fleur de peau pour avoir commis la sottise de ne pas s'alimenter avant le départ d'autre chose qu'une malheureuse bière depuis longtemps oubliée, elle se retrouvait en fâcheuse position pour s'en tirer sans une égratignure avec les nouveaux arrivants. Son cerveau épuisé lui souffla de jouer en partie franc jeu pour le moment, et d'aviser par la suite. La proposition n'avait rien de mirobolant, pourtant dans la présente situation rien de mieux ne lui vint. Elle s'apprêtait à prendre la parole lorsque les mots des deux sentinelles prirent un sens pour elle. Ils avaient désignés les lieux comme ceux « des fils d'Uthgardts ». Donc...

¤ Des barbares ! Je les ais trouvés ! ¤

Fort de ce constat, et n'accordait pas la moindre considération au temps qu'il lui avait fallu pour parvenir à décrypter une phrase aussi simple, la rôdeuse conçût un nouveau plan à l'improviste en exploitant les ultimes restes d'énergie que son corps était parvenu à conserver : jouer cartes sur table, puisqu'elle était dans un état de délabrement encore plus avancé qu'elle ne se l'était figurée. Sa voix lui parvint, comme à travers un épais brouillard, lasse et pâteuse :

- Écoutez, je pourrais vous expliquer tout de suite pourquoi je me suis introduite sur vos terres, mais je puis pratiquement vous certifier que je m'écroulerais d'épuisement avant de vous avoir donné pleinement satisfaction, morte de faim que je suis. Par-contre, une fois l'estomac un peu plus plein, je me ferais une joie de discuter avec vous. Je ne réclame pas des mets de choix : de quoi me remplir la panse suffira amplement.

Jugeant sa requête difficilement qualifiable d'insultante, même pour les barbares, la naine s'efforça de s'agenouiller de manière digne, non pas pour offrir une piètre ébauche de révérence à ses interlocuteurs, mais parce que ses jambes devinrent plus flasques qu'un poisson sans arêtes, sans l'avertir autrement que par un fourmillement aux niveau de la partie basse de son corps. Dans cette position, certaine peu gracieuse, mais au moins reposante, elle attendit de voir la réaction des deux barbares en espérant qu'elle ne se ferait pas trop longue, sans quoi la rôdeuse n'aurait plus qu'à brouter l'herbe qu'elle trouverait à porter de sa bouche.

- Mais oui! Venez sans crainte, je vous attend, vous et Zelkior!-

Lui avait lancé la paladin aux aguets. Toujours Ô dans ses mains, le regard vif à scruter les moindres mouvements, Vëla sentait le conflit venir. Tout son corps éprouvait un certain regain d'énergie qu'elle aimait en tous points.

Elle n'était pas de celles qui aimaient se battre, mais quand il le fallait contre des créatures viles ou bien contre des âmes noires, elle en prenait un plaisir véritable. Sa respiration se faisait lente, profonde et ses expirations étaient retenues au maximum, ce qui lui amenait clarté d'esprit et un contrôle de soi absolu.

Quand elle vit Zelkior apparaître au devant de l'auberge, elle se demanda bien d'où il venait, elle ne l'avait pas vu sortir auparavant, mais peu importe, il était là avec la jeune Elode prêt à la rejoindre. Surveillant leurs arrières au cas d'une attaque surprise, elle ne vit rien qui pourrait les mettre en danger.

Une fois les deux arrivés à l'écurie elle resta surprise que Zelkior chercha à entrer dans l'établissement pour leurs expliquer ce qu'il venait de voir.

° Il veut que l'on puissent les surprendre! ° Se dit-elle machinalement et elle s'y prépara en s'adossant à la porte ouverte de l'écurie tout en gardant un oeil attentif.
° Des hobgobelins, serviteurs aveugles de la cause du mal... Vous allez périr au nom de Torm... Que la justice divine soit accomplie! °

Se dit-elle, en se préparant à l'attaque.

Elode regarda de chaque côté.

¤ C’est bon, il n’y a rien, je fonce. ¤

Elle traversa la cour d’un pas rapide et rejoignit la guerrière.

Elle se rangea dans son dos et se mit sur ses gardes, sa baguette tenue fermement, prête à tirer sur le premier ennemi qui serait en vue.

- Mais ou est l’orque ? demanda t’elle.

¤ Sa présence me rassurerait, il a les muscles et la hache qu’il faut pour une telle situation. ¤

Elle regarda de tout les côtés, les couleurs de la nuit, mélangées aux flammes de l’incendie fascinaient la magicienne, mais la fumée et les Cries des villageois mêlés à ceux des assaillants gâchait le spectacle. Des amoureux, des enfants allaient mourir cette nuit et elle n’était pas décidée à faire parti de ceux-là.

Seizième jour d'Eleinte
2h00

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

Brahm frappe la bestiole: 11(Dé) + 1(BBA) + 6(For) -4(Défensive) contre CA: 14(Dé) + 5 = Echec
La créature riposte: 20(Dé) = Réussite automatique
11(Dé) + 5 contre 10(Dé) + 3(Armure) + 2(Défensive) + 2(Dextérité) - 2(Rage) = Réussite critique
6(Dé) +5 contre 20(Dé) + 5= Echec
Dégâts: 3
Volan attaque le monstre: 14(Dé) + 1(BBA) +2(For) +2 (tenaille) contre CA: 13(Dé) + 5 = Réussite
Dégâts: 3(Dé) +2(For)
Brahm a encore 13 points de vie et est en rage pour encore 7 rounds

Initiative:

Volan: 22
Brahm: 10
Créature: 3

Brahm n'avait pas beaucoup aimé se faire lacérer les jambes et cela l'avait même profondément irrité. N'écoutant que sa colère, il abattit de toute sa grande force sa hache sur la créature tout en prenant garde de ne pas trop s'exposer. Hélas, la bestiole esquiva le coups sans problème faisant un léger bond sur le côté comme si de rien était.

Pire que cela, elle le va ses griffes vers le barbare et les lui planta violemment dans le poitrail. Lorsqu'il les retira, trois trous béaient dans le puissant torse du demi-orque qui était encore vaillant malgré les blessures.

Volan fut bien plus efficace que son coéquipier. La bestiole ne vit son trident que peu avant que celui-ci ne s'abatte sur son dos plein d'épines et de pics. Il tenta d'éviter le coup mais il fut touché au flanc et le tieffelin avait frappé fort. Mais le monstre ne s'avouerait pas vaincu aussi facilement.

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

Vëla observe la situation: 4(Dé) + 2(Sag) contre DD 25 = Echec
Zelkior essaye aussi: 8(Dé) + 4 = Echec

Zelkior avait fait vite. Elode se savait être faite pour tout autre chose que le combat et, visiblement, au moins deux de ses compagnons l'avaient compris et s'étaient dévoués pour la protéger. Zelkior et Vëla veillaient sur la porte de l'écurie avec attention. Toutefois, tous les ennemis ne sont pas aussi simples à voir qu'on peut le croire surtout à la lumière évanescente des flammes qui embrasaient certains bâtiments de la ville.

Aussi, ne virent-ils passer aucun ennemi devant eux, pas même les hobgobelins que le moine avait aperçu quelques instants plus tôt. Apprendre qu'elle n'allait pas voir ces infâmes créatures s'approcher d'elle était peut-être une bonne nouvelle pour Elode mais cela signifiait aussi que les monstres devaient être en vadrouille ailleurs dans la ville causant encore pus de dégâts et faisant de nombreuses victimes.

Brahm assena un coup de hache visant la tête de la créature mais plutôt que de lui arracher la tête, elle s'écrasa contre le pavé dur et froid.

Il sortit sa hache enfoncée dans la pierre lorsque la bête lui arracha la peau verte de son torse laissant trois trous béant dans sa poitrine, il poussa un cri e douleur et porta sa main a la blessure pour retenir le sang de la plaie et éviter ainsi une hémorragie.

Il aperçu Volan par dessus son épaule et celui-ci enfonça son trident dans la peau épineuse de la chose la tuant presque.

Brahm sourit mais la blessure lui faisait tellement mal que sa vue se brouillait et ses jambes étaient maintenait aussi solides que des brindilles, il savait que si il ne s'effondrait pas, il allait laisser la créature la chance de déchirer sa chair ne laissant que les os sur les pavés de la rue.

Il ne pus donc s'empêcher de s'effondrer conte le pavé froid et celui ci apaisa le mal qui lui brulait la poitrine.

Il ne tard pas a se relever, n'ayant "dormit" qu'une seconde mais cette seconde lui avait redonner des forces et avait laisser le temps a sa rage de s'amplifier, il brandit Blood Axe et tenta d'ouvrir le corps du monstre dans la longueur.

2ème round en Rage + attaque au ventre de la bête.