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Voyage au Centre de la Terre , Fragment de Nuit et Traité de l'Eau - I
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Ţọựŕmęŋţ
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dysseus finissait d’achever l’ouverture de quelques caisses pour son propre compte. En tant que personnage de bon gout, le belliciste savait reconnaître de bons cru par leur estampillage, et se choisit une bouteille parmi d’autres. Il savait bien que le reste de la cargaison, si l’équipage était disposé, allait être récupérer et possiblement partagé. Mais seul au fond de sa cale, sentant les flammes grondantes s’estomper comme le feu mourant d’un âtre, Ulysse déboucha le grand cru et en but une bonne rasade avant de rejeter le contenant à terre.- Haaa ! J’aime les choses brillantes ! fit Oni en observant les dernières trouvailles de son hôte. Le tricorne, c’est vraiment nécessaire ? ça t’aplatit un peu la gueule, elle est déjà pas belle, et..Mais Ulysse serra le poing pour faire taire cet esprit trop perturbateur. Les armes semblaient en effet briller de tout leur éclat, et le capitaine déchu semblait posséder un certain sens de l’esthétique, même si sa rapière ne demeurait aux yeux d’Ulysse, qu’un simple jouet piquant. Il commençait en revanche à posséder une véritable collection de couteaux de bonne facture, passés à sa ceinture. Lorsqu’il ressortit, son regard dur et calculateur se posa sur l’ensemble des deux navires moridiens. Doc était toujours à l’eau et les autres ne semblaient pas vouloir se presser pour l’en sortir. Près des caisses contenant des armes, le gnome du feu arborait une mine fatiguée et détachée du monde, comme las de ces combats incessants.¤ Las. J’éprouve toujours cette sensation de manque après la poussée d’adrénaline lors d’un affrontement.. Ca m’empêche de fermer les yeux et de me reposer comme il faut, je vais vraiment finir par croire que je suis le fils d’un quelconque dieu de la guerre. ¤ Tout à sa réflexion, Odysseus vit s’affairer quelques hommes de Tarentule sur le mont supérieur, près de la barre. Aujourd’hui, un homme était mort, mort lors d’un stupide affrontement qui opposait deux navires pirates, censés respecter un code qui aurait pu laisser la vie à cette dizaine d’hommes morts pour rien. La tête haute et le pas résolu, le Soldat de Pierre traversa le navire ennemi, marcha droit sur le mât qui reliait le bâtiment du capitaine arachnoïde et emprunta une passerelle qui mena sur le Fantôme des Mers. Si des appels lui étaient destinés, il ne sourcilla alors pas une seule fois, se dirigeant avec majesté vers le haut Capitaine Parangon. Devant lui, il baissa alors sensiblement la tête et lança ces paroles.- J’ai failli dans mon devoir de secourir nos frères, Capitaine. J’espère néanmoins que mon honneur n’en sera pas entaché.
Comme un rien sans possibilités, Comme un rien mort après la mort du soleil, Comme un silence éternel, Sans avenir, Sans l'espérance même d'un avenir, Résonne intérieurement mon Tourment.
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Ẹưřēķą
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e Gnome était surpris et dépité, personne ne s’occupaient du prêtre tombé à l’eau. Il ne comprenais pas un tel mépris. Certes l’aide qu’ils avaient apporté étaient bien maigres, l’homme en question était tombé à l’eau, tandis que lui même s’était dissimuler, mais déjà, pour quelqu’un comme lui se mêler à un combat était quelque chose d’exceptionnel, il n’allaient tout de même pas espérer qu’avec sa carrure ou même que celle de puce auraient été d’une aide quelconque au corps à corps tout de même? Tout au plus auraient-ils réussis à se faire tuer. Un regard de reproche pesait toutefois dans les regards, et une ignorance pleine de mépris demeurais chez ces marins.
Et bien soit, au risque d’aggraver la tension, le petit gnome sentant la colère monter en lui décida tout de même d’agir avec un minimum de politesse. Il adressa quelques mot à Doc, ne pouvant plus le tirer d’un seul pouce avec sa maigre force.-Accroche toi encore un peu, si je n’arrive pas à obtenir de l’aide je vais être contraint d’utiliser les grand moyens, je te préviendrais. Il commença alors son petit manège, reliant, chaîne, cordes poulies de manière ingénieuse au morceau de corde que tenais le prêtre à l’eau. Il pris son temps pour y mettre toute sa science et son art des noeuds, de l’équilibre des forces. L’assemblage devait supporter le poids d’un homme en armure et trempé tracté par la force d’une ancre bien plus lourde. C’était d’ailleurs surtout la poulie qui prenait des risques, aussi décida-t-il de consolider ce point en particulier, notamment en en augmentant le nombre et la répartition, un peu selon le principe du poids réparti sur la glace. Puis, si personne ne réagissait jusque là, il se dirigea droit vers le capitaine du navire. De sa petite taille, de son angoisse, et de toute la politesse dont il était capable il s’exprima, poussé par une sourde colère dissimulé dans le ton et les propos, mais pas tout à fait dans la forme.- Capitaine, j’ignore votre nom, mais nous somme de la même organisation, tout comme cet homme tombé à la mer. Je suis bien trop faible pour pouvoir le remonter seul, aussi je vous demande soit d’envoyer quelqu’un aider à le remonter, soit l’autorisation de jeter l’ancre en pleine mer pour pouvoir le sortir de là. Comme vous vous en doutez certainement, cela peu avoir quelques risques du à la proximité de l’autre navire. C’est pourquoi je m’adresse à vous. Sachez toutefois que je ne laisserais pas cet homme couler quelque soit votre choix, quitte à être contraint de vous désobéir bien que je sois sur votre navire, et qu’en se cas il me semble, je sois sous vos ordres. Il s’était exprimé en toute honnêteté, bien qu’à vrai dire, il ne savait pas trop ce qu’il ferais en cas de refus du capitaine. Jeter l’ancre en pleine mer poserais certainement problème. Il préférerait largement avoir a éviter de le faire. Mais il pouvait encore moins se résigner à laisser quelqu’un mourir par le mépris de tous.
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Ŀą Mạġọủị&#
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ern s'en était bien tiré. Cependant, le prochain combat se ferait au corps à corps. Il savait qu'il était bien plus efficace comme tireur que comme bretteur, mais puisqu'apparemment c'était le cas de suffisamment de ses compagnons et qu'il n'était pas trop mauvais pour esquiver les coups c'était à lui de se dévouer. Certes ils étaient venus à bout de l'assaillant en ne perdant qu'un seul homme - d'ailleurs Kern se demandait bien ce qu'il avait de si formidable ce barreur, ils connaissent les risques du métier de pirates non ? - il y avait eu pas mal de dégâts. Si on devait sacrifier un mât à chaque fois que le colosse se prenait une flèche ça risquerait de devenir gênant ! ¤ Bon, il va falloir que je trouve un moyen d'apprendre à manier l'épée ! Je sais esquiver ce qui est bien utile pour détourner l'attention, mais si je suis capable de blesser l'adversaire c'est tout de même beaucoup mieux ! ¤ La Magouille rangea son arbalète et observa ce qui se passait autour de lui. Un type était à l'eau, surement un frère sinon il serait déjà mort, et un gnôme se démenait à l'aider. Tandis qu'Eurêka bricolait son dispositif pour remonter le pauvre homme, Kern s'approcha discrètement de Sam et se pencha par dessus le bastingage pour lui parler : -T'en fais pas vieux ! Tu vas pas mourir noyé, on te remonte dans pas longtemps ! Puis il regarda le gnôme finir son bricolage et parler au capitaine. Une fois qu'il eût finit, La Magouille les héla sur le ton de la plaisanterie : -Alors camarades, on le remonte maintenant ou on attend le prochain abordage ? ¤ Pas sûr que ça les fasse rire, mais au moins j'aurais essayé de détendre l'atmosphère ! Parce qu'avec le boulot qu'on a à faire, si on ne rigole pas ça risque d'être vraiment très pénible...¤
«Moi, tricher aux cartes ? Comment le pourrais-je, c'est la première fois que je joue !»Réputation 4,5Pour le meujeus : Ma fiche est ici, la dernière mise à jour date du 08/05/2008.
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Ġáĺọpịŋ
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La stratégie. Pleins de belles idées qui ne donnent jamais rien. Finalement, le tout s'était achevé dans un bain de sang. ¤ Comme d'habitude... ¤ Cet assaut semblait se rapprocher d'un fiasco. La supériorité du Cercle sur ces marins n'avait pas envoyé grand monde de ses compagnons de l'autre côté, mais on se retrouvait avec un bateau enflammé sur les bras, et un autre démâté.
Et puis Galopin ne savait que faire. Il n'était pas du tout enclin à jouer au pillage de bateau enflammé. Manquait plus qu'il reste coincé dedans. Et ses capacités physiques ne lui permettraient probablement pas d'aider beaucoup. C'était dans ces moments là que la halfelin remarquait qu'il n'avait pas vraiment l'âme d'un chef. Dans une communauté trop grande, il se laissait emporter par le mouvement.
- Bon, c'est pas tout, mais faut bosser, se reprit Rorimac. Il se releva d'un coup de hanche. Il était resté avachi sur la rambarde du sloop pendant une bonne poignée de secondes après le massacre. A défaut de savoir quoi faire, le halfelin se dirigea vers le seul endroit où il semblait y avoir pas mal d'agitation, c'est-à-dire à proximité d'où Sam avait chuté. Il s'adressa au gnome qui semblait avoir pris en charge le halage du prêtre:
- Si vous avez b'soin d'aide, je suis à votre disposition. Par contre, je suis pas capable de soulever trop lourd, hein...
Rorimac se rappelait des armure que les sahuaguins leur avaient offertes, il y a déjà un certain temps. Ca n'allait pas être une mince affaire à remonter.
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Fạŋţỗmę
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Le combat avait été rapide, les actions soudaine et violente. L’assassin du timonier était mort, les deux épées courtes du voleur l’ayant frappé avec précision et rapidité. Celui que ses nouveaux compagnons nommaient Fantôme, avait réagit à la mort du marin mais trop tard pour le sauver. Puis les flammes avaient subjugué le jeune voleur, lui amenant en tête d’étrange déduction. Le feu était beau, rien ne semblait pourvoir le retenir, lui interdire de tout dévaster mais pourtant il allait s’éteindre de lui-même non sans faire beaucoup de dégâts dans la voilure et les cordages du navire ennemi. L’étrange pensée et la vie qui semblait habiter les flammes l’avaient hypnotisées mais le charme fut rompu quand une voix s’éleva non loin. Il l’a connaissait car cela faisait déjà un bout de temps qu’il connaissait celui qui parlait. Dobun avait semble t-il des ennuis. Alors Hérudae s’élança pour se diriger parmi les marins pour rejoindre son vieil ami. Il découvrit que ce dernier tentait de porter secours à un autre membre de l’équipage. D’autres membres des groupes d’exploration se rapprochaient pour eux aussi proposer leurs aide mais l’humain se dirigea jusqu’à être à coté du gnome et lui glissa :
"Alors mon ami encore à vouloir réaliser des merveilles. Dis-moi ou il faut tirer et je m’y emploierais." Le jeune homme fit un sourire de connivence à son compagnon et jeta un coup d'œil vers le prêtre qui barbotait dans la mer tout en attendant les directives de celui qu’on appelait maintenant Eureka.
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Maître des Exilés
Chambre 29
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Sur le sloopLe marin qui s’était tenu coi pendant l’assaut fatal au timonier avait le regard éteint. Il se savait en partie responsable, au moins autant que tous ceux qui avaient préféré se protéger de tout risque que de voler au secours du navire de Tarentule. Mais nul besoin de plus de remontrance pour lui, il venait de perdre un frère …
L’arachnoïde s’exprimait d’une voix moins grinçante et désagréable, maitrisée, de Capitaine à Capitaine : - "Il n’est pas utile que vous restiez ici. Nous organiserons le départ du notre après avoir rendu ce lieu plus convenable après quoi nous irons faire les réparations d’usage à Murann. Votre part de la prise de ce navire vous attendra à Da’aï Chikiza." Comme s’il venait de recevoir un ordre, Granit hocha la tête et d’un bon rejoint le navire pirate, noirci mais aux mats intactes. D’un demi-sourire, il salua Tasshill -et ce qu’il avait pris pour du courage à défaut de connaitre sa délicieuse folie- qui revenait de la cabine du capitaine puis plongea dans les cales pour en ressortir les bras chargés de toile et de cordages. Sur le Fantôme des Mers- Tu as fait plus que ta part Tourment, comme notre ami au feu sombre. Tu n’es pas de ceux qui doivent craindre la honte … Parangon n’avait pas même sourcillé depuis sa manœuvre audacieuse qui avait permis l’abordage et le sauvetage de Tarentule. Ce fut la demande de Dobun qui le sortit de son état qui avait tout de la Rêverie ou d’une transe similaire : - "Il est hors de question de lâcher l’ancre ici. Le sloop est déjà déstabilisé avec son mat abattu et ton ami risquerait d’être proprement écrasé entre les deux coques." Il ouvrit alors les bras, dans une posture théâtrale, et reprit comme s’il concluait une leçon : - "Vous voilà assez nombreux pour le sortir de là sans avoir à prendre de risques, voilà qui devrait vous convenir." Sous ses doigts, Parangon laissait courir un fil de cuivre en fixant cette fois le capitaine du sloop puis, après quelques secondes, revint à une attitude moins sévère envers les Moridiens : - "Que tous ceux qui souhaitent poursuivre l’épopée reste sur le Fantôme des mers, que les autres prêtent assistance à Tarentule. De Murann vous serez libres d’agir comme bon vous semble. Choisissez maintenant, après vous ne pourrez plus compter que sur vous mêmes..."
" Par delà les brumes "
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Đọċ
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La clameur du combat semblait éteinte et le pretre fut rassuré de constater que les secours semblaient s'organiser plus facilement. En tout cas c'est un gnome qui venait à son secours en premier et cela lui rappela combien il était attaché aux membres de cette communauté tout comme celles des halfelins et des nains. Ses rapports avec ces races avaient toujours été très fort et il avait beaucoup appris à leur contact.
- Maitre Dobun je ne doute pas qu'une de tes nobles inventions ne me tire de ce bouillon et ma confiance t'es toute acquise.
Répondant à Kern :
- Je ne suis pas inquiet, je suis intimement convaincu que mes camarades vont me tirer de ce mauvais pas. Je suis juste désolé de na pas avoir apporté mon concours à ce combat mais ce n'est que partie remise, que Tempus m'en soit témoin.
Suivant des yeux, ce qu'il pouvait depuis son inconfortable position, les rouages et autres jeux de poulies que le gnome mettait en place Sam se teint fermement à la corde qui le reliait au navire.
Quand un doigt désigne la lune, seul le sot regarde le doigt!
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Ġáĺọpịŋ
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l fallait de nouveau choisir ! Logique, il y avait de nouveaux aventuriers bord, et un départ imminent direction Daï Chikiza ! Le choix était difficile à faire. Soit on décidait de continuer, ce qui impliquait risquer sa vie en chaque instant, voir mourir des compagnons auxquels on s'était attachés, des amis, des frères ! Mais cela signifiait aussi œuvrer pour une grande cause, pour aider à la compréhension de l'univers. Rentrer à Daï Chikiza, c'était la sécurité, se concentrer sur ce qui était utile à l'île dans l'immédiat, c'était aussi en quelque sorte avoir le sentiment amer d'avoir raté sa vie, de ne pas avoir accompli ce qu'on devait faire. Ce n'était en aucun cas une vie heureuse...¤ Bon sang, maintenant que j'y suis j'y reste ! J'ai pas envie de réfléchir à la question maintenant. Et puis j'ai déjà pris ma décision au moment d'embarquer, alors tant que le Drow n'en décide pas autrement je poursuis l'aventure ! ¤ Alors qu'il suivait les instructions du gnôme pour aider à remonter le prêtre de Tempus, Kern leva la main et tourna sa tête vers le capitaine pour lancer négligeament : -J'continue la route cap'taine ! Puis retourna à ses affaires. Il fallait d'abord remonter Sam, il ne pouvait se tenir éternellement à la corde juste à la force de ses bras, surtout avec cette grosse armure. Ce message a été modifié par Kern le Mardi 30 Décembre 2008 à 08h36
«Moi, tricher aux cartes ? Comment le pourrais-je, c'est la première fois que je joue !»Réputation 4,5Pour le meujeus : Ma fiche est ici, la dernière mise à jour date du 08/05/2008.
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Tout à aider Euréka pour remonter Doc, le voleur ne fit pas attention à ce qui se passait autour de lui. Puis il se rendit compte que le capitaine avait proposé aux membres des expéditions une voie pour repartir d’où il venait, mettre fin à leur participation à cette aventure dans les profondeurs de Toril. Quand le sauvetage fut finit et Doc sur le navire, Fantôme se permit une petite pointe d’humour. On est tout de même mieux sur le pont du navire même si on a un peu mal au cœur. Fit-il avec le sourire. Il alla ensuite s’installer dans un coin pour réfléchir. Il sortit ses deux épées courtes et vérifia que le combat récent n’avait pas abimé les deux lames et il essuya aussi ces dernières du sang de son adversaire. ¤Ai-je envie de continuer ? Ai-je envi de poursuivre cette quête ?¤ Pensait-il troublé tout en passant un chiffon puis la pierre à affuter sur les lames. ¤Où vas me conduire cette quête ? Vais pouvoir trouver ce que je cherche dans ce voyage ? Ou dois-je faire demi-tour et chercher une mission qui me fera progresser à la surface. ?¤ Le jeune homme réfléchissait et les lames étaient parfaitement affutées et polis quand il se releva, décision prise. Il se dirigea vers Parangon.
"Je suis monté sur votre navire afin d’y mener une quête. J’ai quelques doutes quand au bon chemin mais je dois accomplir cette mission. Je reste donc avec vous sur le fantôme des mers." Hérudae salua e capitaine du navire et se dirigea ensuite vers un endroit où il pourrait aider les membres de l’équipage.
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