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Voyage au Centre de la Terre , Fragment de Nuit et Traité de l'Eau - I
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lysse aurait pu être ému de la scène, si toutefois il eut encore possédé un cœur à la place du trou béant qui avait laissé sa trace au sein de sa poitrine. Il souri d’un air hypocrite, d’un air faussement heureux de revoir une camarade, même si toutefois il était assez plaisant d’être accueilli de la sorte. Mais en son for intérieur, sa passion dévorante aurait voulu que d’autres bras viennent l’enlacer, des bras qui à cette époque, n’existaient plus dans le sens commun des mortels.. L’air déjà sombre de l’être sembla se charger d’obscurité lancinante, tandis que sa main puissante vint se poser sur le crâne de la petite afin de lui faire faire un demi-tour. Sur le ton des reproches qu’un parent aurait pu avoir sur son enfant, il lança :- Et je serais heureux que tu arrêtes de crier ton nom véritable partout où tu passes, à moins de vouloir mourir avant l’heure qui t’a été prévue. Veux-tu faire partie de ces monceaux de cadavres qui gisent sur le bord de notre Chemin ? Ces cadavres moqueurs et fallacieux, qui osaient se croire à l’abri d’une sorcellerie plus antique que ces tours de passe que l’on voit actuellement, sous la toile de cette divinité de la magie si faible ? Crois-moi lorsque qu’il t’ait dit d’oublier ton nom, car l’organisation dans laquelle nous évoluons l’a bien comprise, il est des puissances insoupçonnées qui utilisent des procédés bien plus dangereux que ces pantins qui agitent leurs bras. Malgré lui, malgré les charmes ancrés dans ses os, le Chasseur Sombre vint à donner une aide précieuse à la Puce, afin de protéger sa vie un peu plus longtemps. D’autres sur ce navire commettaient la même erreur qu’elle, mais vouloir protéger trop de vie revenait à mettre la sienne en péril. Sa main se relâcha tandis qu’il saluait d’un air neutre chaque nouvel arrivant, et plus particulièrement la dénommée Vipère, dont il déclina l’invitation.- Et ranges moi ce couteau au lieu de le montrer comme un jouet.. Te raconter ce que j’ai fait ne te serait d’aucune grande utilité. J’ai simplement gardé la forme et médité sur notre devoir à accomplir pendant les prochains mois. Quant à l’Aède.. Aucune idée, il est resté avec l’elfe de la lune et les autres. J’ai ouïe dire qu’ils allaient peut être repartir pour le nord afin de régler quelques vieilles histoires. Il faut parfois être en paix avec son passé pour pouvoir aller de l’avant, et c’est pour ça qu’ici, il n’y a pas de passé, qu’on soit criminel, charlatan, grand champion ou simple marin, chacun est accepté comme il est et est jugé sur ses actes présents. Mais il est des fois où le passé demeure et en devient invivable, alors il faut en finir une fois pour toute. Cela est toujours plus facile à dire qu’à faire, et même la mort vous rejette, tant que vous n’avez pas fait ce qu’Il a écrit pour vous. Tourment se lissa la barbe et médita sur ses propres propos. Il estima qu’il en avait trop dit, ou pas assez, mais il était certain que trop de mots étaient sortis de sa bouche ou peu de temps, lui qui aimait la tranquillité. Ses pensées vagabondèrent entre son Présent et son Passé durant quelques instants. Instants qui duraient depuis des années, et des années..
Comme un rien sans possibilités, Comme un rien mort après la mort du soleil, Comme un silence éternel, Sans avenir, Sans l'espérance même d'un avenir, Résonne intérieurement mon Tourment.
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Le regard posé sur Imzel et prêt à la suivre pour la visite, Tass sentit une pression sur son crâne qui la fit penser aux étaux qui l’avaient étreinte dans certaines geôles qu’elle avait visité. Ne pouvant résister, elle fit demi tour et se trouva face à son ami Tourment qui se lança dans un sermon qu’elle avait déjà entendu et sorti de la même bouche. Elle savait pertinemment qu’elle ne devait plus donner son véritable nom depuis qu’elle était rentrée dans le cercle, mais comme à son habitude, elle avait encore oublié de le taire laissant le flot de paroles sortir de sa bouche sans vraiment pouvoir le contrôler. Elle regardait Ulysse comme elle regardait son oncle qui l’avait élevé et qui la disputait quand elle faisait des bêtises. La petite halfeline savait que cette dispute était pour son bien et pouvait lui sauver la vie mais malgré tous ses efforts certaines phrases lui échappaient. Levant un sourcil à l’évocation des pantins agitant leurs bras, la roublarde ne comprenait pas vraiment où Ulysse voulait en venir mais imaginait que c’était important. A coté de ça, elle essayait de dégager sa tête de la poigne du marin, sans succès, pour vérifier qu’Imzel ne partait pas sans elle. Le sermon se prolongea faisant allusion à la dague qu’elle avait reçu en cadeau. Elle était fière de la montrer et surtout de dire que c’était un présent fait par cet homme. Même si ce n’était pas le cas, elle avait l’impression qu’Ulysse était son ami et qu’il l’aimait assez pour lui offrir cet objet. Même si sa naïveté lui laissait penser le contraire, Tass n’avait jamais eut véritablement d’amis à part quelques compagnons de route, alors le geste de Tourment la confortait dans ce sentiment.
D’un coup, la poigne se desserra et la petite roublarde en profita instinctivement pour se dégager rapidement. Le marin en avait fini avec elle et lui redonnait sa liberté en espérant certainement que l’insouciante Puce se souviendrait de ses paroles. Elle se frotta la tête, ébouriffant ses cheveux et fonça vers Imzel et Kern. Elle se retourna néanmoins vers Ulysse et avec un sourire radieux, lui lança.
- Promis papa, j’ai compris!
Rejoignant le groupe, elle saisie la manche de l’Illuskien tout en réajustant les bretelles de son sac.
¤ Tiens! C’est quoi cette chaussure accrochée à mon sac? ¤
- Eh! Attendez moi, j’veux visiter l’navire moi aussi et poser mon fatras dans ma piaule! C’est pas à l’un de vous cette chaussure? Non? Bin j’la garde pour l’instant, si j’vois quelqu’un avec un pied nu, c’est qu’ce s’ra à lui! Alors comme ça tu t’appelles Ke.., heu, la Magouille? Moi c’est la Puce, seulement la Puce! Vipère! Toi qui a l’air de connaître, tu sais pas combien on attend encore de personne avant de partir? C’est génial, c’est la première fois que j’pars en mission avec des compagnons de l’ouroboros, vous aussi? J’parie qu’on va bien s’entendre!
Comme à l’accoutumer, elle termina ses phrases, rouge pivoine et inspirant bruyamment à la recherche d’air.
Comment ça, c'est à vous! Vous êtes sûr? d'accord, d'accord, pas la peine d'appeler la garde!Réputation:0.5
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Maître des Exilés
Chambre 29
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- C’est loin d’être la première et je parierais bien quelques piécettes sur le contraire. Il va falloir que tu apprennes à te retenir durant notre voyage ou … nous serions forcés de t’y aider. La vision de l’humanoïde au teint de nuit et aux cheveux de neige suivit le son de sa voix tandis qu’il sortait de l’ombre du grand mat en plissant ses yeux rouge sang. La phrase pourtant simple et anodine était chargée de mépris, chaque syllabe se moquant de la précédente dans une articulation exagérée. Telle était la nature de Pénombre et son sombre héritage. Bien sur il était capable de retenir ses vieilles habitudes, comme il l’avait fait au retour de l’île aux Crabes en compagnie de Plume et de Vipère, mais la bavarde attisait un feu aux nombreuses braises et sans la démonstration de soutient de Tourment, d’autres auraient pu parier –et gagner sans aucun doute- qu’il aurait mené la vie rude à La Puce.
Il n’avait nullement hésité à attaquer, sur le pont de ce même navire, Onyx qui n’y était jamais revenu, au prix des chaînes des jours durant. La mort de celle-ci dans une mission qu'il n'avait pas eut la force d'affronter ne l'avait pas changé, loin de là.Dans un sourire carnassier, le rire aux lèvres, il lança encore en fixant la Puce : - "Pour moi il ne manque qu’Abysse et notre jeune Coq mais il semble que d’autres Porteurs à la recherche du Fragment de Nuit ne soient encore dans leur dernière à terre... Dès qu’il seront arrivés, avec votre permission Capitaine, que les chercheurs du Traité de l’Eau me rejoignent dans la cale que nous levions tout risque de malentendu." Le drow avait embarqué avant l’aube, peut-être plus d’un jour au par avant car nul ne l’avait vu depuis qu’ils avaient quitté la réunion -seul Parangon le savait- poussé par la nécessité de sa tâche et la mission qui lui avait été personnellement donnée par le Maître des Exilés. Le Génasi leur avait-il expliqué le ‘jeu’ auxquels ils auraient à se plier en s’enfonçant dans les profondeurs de Toryl ? Pénombre n’en avait cure, tout comme il se moquait de ses nouveaux compagnons retardataires. Seule le Cercle profitait d’un semblant tout personnel de loyauté de sa part.
" Par delà les brumes "
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Bŗăįlļāřđ
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es trois jours furent enrichissants pour le barde. Braillard profita de ce temps pour acheter deux fioles qui seraient certainement utiles dans les profondeurs de Toril. Il en avait également profité pour se plonger dans des ouvrages passionnants, accumulant d’intéressantes histoires qui vinrent renforcer son savoir. Il avait également réussi à se vider l’esprit, ou plutôt à remettre à plat cette histoire, un héritage, un fardeau, une hache, « Snaga l’Expéditrice, les lames sans retour »… telles étaient les runes qui n’auguraient rien de bon sur la magie qu’elle contenait. Pour le moment, le vigoureux n’avait pas eu la force de chercher à déterrer ce passé encombrant, mais il serait préférable d’être averti si cette magie devait s’éveiller.
Le nain arriva sur le quai, son sac rempli, il n’en semblait pas ressentir le poids plus que cela. Il arborait un sourire gai et même étincelant. Montant à bord du Fantôme des Mers, d’un air théâtral qui lui ressemblait tout à fait, le barde inspira l’air avant de lancer de sa voix grave et chaude :- Ah qu’il fait bon humer le parfum de l’aventure ! Compagnon, la légende nous attend ! Puis se tournant vers le capitaine, il ajouta, agrémentant d’une courbette :- Mes hommages, mon Capitaine. Contrairement à ses camarades, Braillard s’approcha du bord pour observer la sortie du port de Daï’Chikiza et au delà, la mer. Il prit appui sur le bastingage, son sac posé sur le pont à côté de lui, sa hache accrochée dans son dos, les lames étincelantes, le tranchant parfait. Alors qu’il restait là, un son s’éleva doucement, une mélodie prit forme, le barde fredonnait un air.¤ Ainsi donc, nous voilà repartis vers d’autres horizons. Et pour s’enterrer dans l’Outreterre… c’est pas que j’aime pas les tunnels mais remplis de… eux… ¤ Le nain tourna son regard vers le drow. Il avait beau être jovial et particulièrement sympathique, aussi bien pour un nain que pour tout à chacun d’ailleurs, mais il restait des choses qu’on ne pouvait que difficilement repousser, comme la réputation plus que vérifiée de tromperie et de fourberie d’un peuple tout entier. Braillard eut un frisson et se retourna vers la mer. Il y a des endroits peu recommandée sous la terre, mais pas beaucoup moins que l’Outreterre.
Frangin... tu resteras toujours auprès de moi je te le promet !
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Retraité
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Son sac pesant sur ses épaules, peinant à mettre le pied devant l’autre sous la charge, Rondell arriva au navire. Ce vaisseau qu’il habitat durant sa première mission au sein du cercle, le Fantôme des mers, réputé pour être le navire le plus rapide de la flotte pirate. Posé devant l’accès menant au pont, le gnome admira le la silhouette du bâtiment. Glissant son regard de la poupe à la proue, l’être-mètre ne put s’empêcher de lacher un soupir.
*Allez… Une lourde tâche nous attend…*
Le premier pas sur le pont du navire rendit Rondell un peu plus tendu, de nombreux marins et membres du cercle, en pleine activité pour beaucoup, étaient déjà présent et préparait le départ en mer qui s’annonçait éminent. Plusieurs visages étaient plus que familiers, Pénombre et Vipère étant déjà présent. D’autres beaucoup moins mais certains avaient plus marqué le mage durant la réunion… Surtout l’homme au visage dur et à la peau cendreuse, en partie caché par de longues mèches noires portées par le vent. Plus que son visage, toute son attitude respirait le mystère et son équipement mettait l’illusionniste mal à l’aise…
La douleur du cuir sur ses frêles épaules enleva le gnome à ses songeries. Il partit sans trop faire attention vers ses anciens quartiers où il était sur de trouver un coin pour poser ses affaire. Peut être valait mieux t il que le mage reste plus vigilant car en approchant de la porte menant aux soutes, le maladroit se prit le pied dans un cordage. Titubant un instant à cloche pied en voulant reprendre son équilibre, Rondell ne se rendit pas compte de l’effet comique de sa maladresse. Le poids présent sur son dos eut raison de sa tentative pour recouvrer sa stabilité et tomba sur le flanc, évitant de peu de se faire écraser par son bagage…
Lâchant un soupir de soulagement, il se défit de sa charge et regarda si rien n’était cassé. Sa vérification faite, l’être sylvestre tira son sac à terre, ne voulant pas prendre le risque qu’il ne le fasse chuter lors de sa descente…
Réputation 6 La maitrîse de l'illusion est plus subtile que les autres formes de combat. Gagner la bataille sans combattre est la vrai force du combattant. Fiche dernière mise à jour le 27/04/08 ici !
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Đọċ
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Ẹưřēķą
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urêka allait suivre le groupe, plus par automatisme qu'autre chose: un groupe auquel il est assimilé se déplace dans une direction, lui aussi. Mais un imprévu réactiva temporairement ses capacité cognitive. Un autre gnome venait de monter à bord, et s'il semblait plus éveillé que lui, la chute qui avait suivit son arrivé n'en donnait pas moins l'impression que l'heure matinale jouait aussi sur la vigilance de ce deuxième gnome.
Après avoir un peu rit, chose courante et non considérée comme vexante chez la plupart des gnomes, Dobun se dirigea vers Rondell. Et le salua comme tout bon gnome le devait envers un autre membre du peuple oublié.- Salut l'ami lointain! Comment va l'oncle d'or? » Cette phrase était sans aucun doute des plus obscure pour un non gnome, mais l'ami lointain signifiait chez eux l'inconnu avec qui l'on décide d'entrer en contacte, et l'oncle d'or désigne évidement Garl Brilledor. Cette formule se faisait le plus souvent en privé, ou tout du moins rarement devant des non gnomes. Mais la fatigue et le sentiment de confiance qu'avait Eurêka à ce moment là ne le limitèrent pas. Et puis ce serait amusant de voir la tête de cet autre gnome se voyant pris de court de la sorte.ø ça n'est qu'un juste retour des choses lui il me voit l'air fatigué...ø Eurêka s'était approché et tendais maintenant la main à Rondell. Il pensa que certains pourrait prendre ombrage qu'il ne les ai pas salué ainsi, mais bon il ne connaissait pas les formules de politesses des autres races, quoiqu'il s'était toujours demandé si seul les gnomes avaient une politesse aussi développée dans les formules orales. Quoique la politesse de la haute société humaine lui ai semblé bien plus complexe, mais elle était tellement froide et distante qu'il ne rangeais pas vraiment ça sous le terme de politesse qui chez les gnomes comprend aussi le fait de se mettre en relation directe et cordiale avec l'autre, et non simplement de ritualiser une interaction.
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Pasha
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Les Porteurs de l’Ouroboros ayant embarque a bord du Fantome des Mers furent guides par Vipere dans le couloir regroupant leurs quartiers. Chaque porte etait ornee d’un ecriteau en chene sur lequel etait grave le surnom de l’un d’entre eux. Ceux qui avaient fait charger leurs affaires la veille retrouverent tout leur equipement dans leur chambre. Celle-ci n’etait pas des plus spacieuse, mais elle restait agreable. Le bois habillant tous les murs avaient ete blanchies par le temps et par les divers nettoyages qui accompagnent les voyages d’un tel batiment. Un hamac brun, tresse de blanc aux extremites, etait suspendu a des poutres solides. L’œil aguerri pouvait estimer que ces couchages etaient recents, mais ceux de Vipere, Rondell et Doc pouvaient l’affirmer. Une lourde caisse en metal, harnachee au sol par des sangles, reposait dans un coin de la piece tandis que le long du mur oppose au hamac avait ete dispose un petit bureau en bois massif. Fixe au sol et au mur par des clous, celui-ci semblait egalement prêt a ne pas bouger du voyage. Braillard trouva pose sur son bureau le fameux livre temoin Rubis qu’il avait accepte de tenir a jour. De son cote, Eureka decouvrit sur son bureau une petite bourse de cuir dans laquelle avait ete fourre l’anneau du gouvernail dont on lui avait vante les merites. A cote reposait une baguette d’argent ondulante finissant en spirale : la baguette de lumiere qu’on lui avait promise. L’artificieuse Vipere trouva le meme objet dans ses quartiers, mais il serait un moment au bout duquel meme cet objet ne saurait vaincre les tenebres.
Lorsque les premiers ressortirent de leurs quartiers, ils purent decouvrirent que Jahelo et Arek avaient fini par arriver. Apres s’etre presentes au Capitaine, a Aeryl et a Tourment qui etaient restes sur le pont, le genasi et l’humain, sur l’invitation de Parangon, allerent a leur tour se delester de leur paquetage. A ce moment, le feu pirate tourna ses orbites vides vers le port qui commencait a s’animer. La raideur et la lenteur de ce geste auraient pu le faire passer pour approximatif si la creature avait encore ete vivante. Meme si ce n’etait pas le cas, Aeryl regardait Da’ai Chikiza comme si c’etait la derniere fois qu’il avait le loisir de la contempler. | | - Nous n’attendons plus personne Capitaine, Jalyne ne viendra pas. J’en ai ete averti hier soir. Peu importe ses raisons, la conclusion est la meme. Dommage… j’ai toujours pense qu’une touche feminine eveillait la survie d’un groupe, et Valkur sait qu’ils en auront besoin la ou ils vont s’aventurer ! Puis se tournant vers Tourment il ajouta : Certains croient que la survie est un art… foutaises ! C’est un froid calcul. Des halfelines itinerants y verront l’intervention de la Dame Chance, mais pas un sage ayant survecu a travers les ages ne viendra corroborer ces contes pour enfants. Si je pouvais, je leur collerais des jupons dans les pattes. Cet orgueil primaire masculin qui vise a proteger les femmes leur aurait au moins ote la temerite qui va de paire. Enfin bon… pour changer de sujet, je vous recommande la Vipere : sang froid, panache et rebellion, un coktail detonnant !
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Aeryl fut le Second à bord du "Navire au Corbeau". Aujourd'hui, il n'est plus qu'un esprit enfermé dans son ancien corps devenus os. Personne ne sait comment il a put garder son esprit à travers la Mort et même, comment il peut se tenir à côté de vous, et engager une conversation. Quoi qu'il en soit, il semble avoir oublié beaucoup de choses, n'a pas mauvais fond, et a toujours conservé ses étranges loques bleues sur lui. Un allié de choix ! |
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Laissant Aeryl et Tourment, le Capitaine alla donner ses ordres : la Fantome des Mers allait lever l’ancre. Helant un matelot, Parangon lui ordonna d’aller prevenir toutes les personnes a bord que le depart du vaisseau etait imminent puis il ajouta : | | - Que tous se presentent sur le pont egalement… sauf Penombre, il est bien la ou il est.
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Tous les Porteurs de l’Ouroboros eurent dont la visite du matelot qui les avisa tour a tour de la nouvelle ainsi que de l’injonction du Capitaine.
Eh oui, ce n'était que moi...
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e Guerrier de l’Obscur porta un regard pensif sur le pont du Fantôme des Mers. Rien ne semblait jamais l’émouvoir ; cela pouvait en être que plus lassant dans les relations que l’on entretenait avec lui. Son bras armé était le défenseur de sa propre pensée complexe et indéchiffrable, pensée qui vagabondait entre chacun des moridiens qui fourmillait sur le bâtiment. L’homme ne s’était pas donné la peine de savoir qui serait de la partie dans l’aventure qui allait être la sienne. Les réponses venaient avec le temps. Il n’attendait qu’une seule chose, que le départ retentisse, et que l’on quitte une fois pour toute cette cité qui devenait étouffante. Quand l’instant arriva, il fut étrangement gâché par les propos de l’homme qu’il appréciait le plus, rien que par sa nature impie. Ses paroles étaient blessantes, envers le Kalos Kai Agathos qu’il était, mais c’est sans aucune émotion qu’Ulysse se contenta d’hausser les épaules, presque mollement.- Ce qui est indubitable, c’est que plus la course immuable du Temps se prolonge, plus l’esprit en devient acariâtre. Tout n’était que refoulement perceptible chez Aeryl, cet être qui n’aspirait plus qu’à terminer ce à quoi il était destiné, en s’appuyant sur des choses passées qu’il croyait encore en activité dans son corps damné. Ce flou idiomatique, propre reflet décharné de ce qu’a éprouvé Tourment, ne faisait que susciter chez lui que dégout et raillerie. Ainsi enchaîna-t-il sur ces propos fort peu courtois.- Mais, une question me taraude, commença Tourment en employant des gestes dramatiques. Je n’arrive pas à saisir le fait que dans la religion de.. l’Ouroboros, qui prône la réincarnation après la mort, le renouvellement de toutes choses, le cycle sans fin vois-tu enchaîna-t-il avec poésie. Je n’arrive pas à saisir le fait que l’on puisse rappeler l’âme de ses serviteurs une fois que la vie les ait quittés, et que même ! Le Mori-Loregiver, ce texte sacré de lois antiques, punisse cela en tant que premier Acte Interdit. Je voudrai donc connaître ton sentiment, le prends-tu comme un châtiment ? Une condamnation peut-être ? Quel effet cela fait-il donc ? Tourment n’employa que des termes péjoratifs, car ça ne pouvait être que cela. Sa voix était graveleuse, aussi énigmatique que son propre être, aussi dure que les vieilles pierres qui bordent le Cromlech d’Huzün. Cette situation de contradiction, de paradoxe, il la vivait lui-même mais autrement, et connaissait déjà les véritables réponses à ces questions. Si le non mort ressentait encore beaucoup de sentiments, alors le pirate venait de contribuer à le rendre plus aigre qu’il ne l’était déjà. Il aurait pu même lui répondre que cela était un honneur que de servir le Cercle ou cet Ouroboros, mais même la meilleure des illusions n’auraient pas trompé l’immortel, ni même Oni qui lui rirait au nez le premier. Et qu’allait-il faire, s’en prendre à lui, l’ignorer ? Le Soldat de Pierre n’en avait cure. Tandis que sa concentration se reporta sur les éventuels propos du Capitaine, une étrange chose vint se déplacer sur le visage du pirate pour se former sous sa peau, au milieu de son front. La peau sembla se muer et former des plis, jusqu’à dessiner les contours d’un troisième œil étrange. A l’évidence, l’esprit sommeillant en lui trouvait cela très amusant.
Comme un rien sans possibilités, Comme un rien mort après la mort du soleil, Comme un silence éternel, Sans avenir, Sans l'espérance même d'un avenir, Résonne intérieurement mon Tourment.
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Lors de son arrivée sur le navire, Rondell eu le plaisir de croiser son ancien camarade Sam dit Doc’. Comme à son habitude celui-ci se montra très prévenant et aimable envers son petit compagnon. L’humain reçu un grand sourire pour toute réponse ajouté d’un petit clin d’œil malicieux. Brusquement, une voix se fit entendre derrière eux, la tournure de la phrase était des plus originales et l’être-mètre ne fut qu’à moitié surpris de voir de quelle bouche elle provenait. Plissant les yeux l’illusionniste répondit sur un ton enjoué.
- Le brillant doit aller pour le mieux, la preuve en est que je suis encore en un seul morceau. Espérons qu’il garde un œil sur nous. L’aventure n’en serait que plus agréable. Finissant sa phrase, Rondell aidé de Doc’ alla poser et ranger son matériel…
- Le capitaine demande à tout le monde de se présenter sur le pont !
Entendant l’appel du marin, Rondell laissa ses affaires et monta sur le pont où l’équipage s’était rassemblé autour du capitaine. L’heure du départ semblait toute proche et l’excitation résultant était presque palpable.
Ce rassemblement avait même provoqué quelques échanges verbaux plutôt durs entre Aéryl et l’un des nouveaux compagnons du gnome. Bien qu’il n’ait pas bien comprit sur quoi portait la conversation, Rondell était intrigué par ce Tourment. De part ce surnom mystérieux et son attitude parfois détaché, ce guerrier, du moins il en avait l’air, reflétait une énigme que l’être-sylvestre aurait bien voulu résoudre.
- Ce n’est pas comme si le choix était donné au porteur défunt. Seul le dieu Serpent décide non ? Peut être choisi t-il ses « meilleurs » partisans, mort trop tôt alors qu’ils seraient encore utile. Donc on peut voir ça comme un honneur puisque cela reflète l’estime d’un dieu. Mais le sacrifice fait-en contre partie peut avoir un goût bien amer. De toute façon, le choix nous a été donné lorsqu’on décide de devenir porteur… Au moment précis où l’on accepte l’anneau et embrasse la cause de l’Ouroboros les risques sont connus, tous les risques…
Distraitement, durant sa réflexion, Rondell s’était approché d’Ulysse, manipulant machinalement le nouvel objet porté par son annulaire gauche.
- Je me nomme Mirage, enchanté. Si j’ai bien compris, Vipère et moi-même accomplirons la tâche de trouvé le traité de l’eau en votre compagnie. J’espère que notre quête portera ses fruits et que les obstacles que le destin mettra sur notre route n’emportera pas l’un de nous…
Réputation 6 La maitrîse de l'illusion est plus subtile que les autres formes de combat. Gagner la bataille sans combattre est la vrai force du combattant. Fiche dernière mise à jour le 27/04/08 ici !
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