Dans Cormanthor, à la recherche des enfants, et à la poursuite de Rylack. Chapitre 3

Ses yeux d'un gris pair acier se plissèrent, laissant son regard fondre dans celui de Mirtzar tandis que ses traits faciaux sculptait son visage qui prenait une allures sévère. Il écoutait le nain puis l'être-mètre sans broncher.

Une rage monta en lui aussi rapidement que la vapeur dans une bouilloire assit sur un feu de braise. Sa sagesse légendaire se brouilla un court instant; il avait déjà frappé pour moins que cela. Sa main gauche se serrait sur la poigne de son arc, laissant apparaître sur les pourtours des doigts, une blancheur distinctive qui ne pouvait cacher bien longtemps, l'agressivité montante.

C'était sa première mission avec des êtres-mètre et un nain, avant, l'elfe sauvage avait oeuvré qu'avec des elfes et quelques rarissimes humains rôdeur, sinon, pour la plupart de ses missions d'éclaireur, ils les faisaient seul avec Floyr. Pour le sauvageons, leur groupe présent étaient d'une lenteur exaspérante, et sur le moment, sa rage aveugle lui embrouillait l'esprit, ne lui laissant voir que les mauvais cotés. Il était évident que si ils se séparaient, ils grandiraient leurs chance de trouver des traces de ce Rylack, et une battu ne s'arrête jamais, ni pour dormir, ni même pour manger, il fallait en tout temps traquer sa proie, ne jamais lui laisser le temps de se reposer.

Son asociale comportement ne lui permettait pas, sur le moment, d'autre façon de faire, mais...

Une main invisible se fit ressentir sur son épaule droite, Yvhann y reconnu Maël, son tatouage le démangeait subitement puis intérieurement il senti une présence. Une présence non pas nouvelle mais ancienne. Il avait l'étrange sensation que la subite présence, était là, bien avant lui. Soudain, il comprit son malaise, son passé, son devenir, sa futur vie, ses futurs combats...
Le dragon jaune était en lui, pour lui, il fallait qu'il le maîtrise, pour ce vaincre. Il était loin de ce qu'il croyait être; oui, il avait du sang ancien et rare qui coulait dans ses veines, mais il ne deviendrait pas ce qu'il croyait devenir. Il serait ce qu'il deviendrait de part lui même.

* Les peurs des êtres-mètre gouverne leurs pensée, ils ne veulent pas d'autre accidents mortelles... La peur leurs donne raison; pourquoi risquer nos effectifs? *

Se dit-il, surprit de lui même.

Sa rage disparut, son faciès se détendit devenant plus doux, plus censé moins équarrit, une étincelle venait d'allumer un feu, un feu nouveau qui brûlait les amertumes.

Il se leva rapidement sans lâcher du regard Mirtzar puis dit en espuar et suivit du commun...

- Alors allons chercher Khell pour que l'on puissent repartir au plus vite sur les traces de Rylack.-

Le siffle qui ce fit entendre était pour Floyr et fut suivit du mots ''Khell''. Le volatile devait chercher Khell et il prit son envol montant toujours dans les cieux à la recherche du canidé de son compatriote.

*... pour que l'on puissent repartir au plus vite sur les traces de Rylack...
Il à tellement bien fait son boulot qu'il n'y à aucune trace de visible, si nous pouvions communiquer avec les plantes au moins, nous aurions une petite chance... Les animaux par contre! Faudrait qu'il en ait tout du moins, la région me semble déserte de vie et pourtant elle nous observe... Observe? *

Pensait-il soudainement en regardant le vol de Floyr.

* Ce maudit Rylack a une chouette avec lui? *

Dès que Mitzar remit en doute les paroles d’Yvhann. Aël’Telàwërith se douta de ce qui allait suivre. Aussi, ne fut-il surprit par le changement des traits du visage du druide. Par contre, le serviteur fut agréablement surprit par la maîtrise de l’elfe sauvage. La nature sauvage et chaotique d’un Sy’Tel’Quess peut donc être contrôlé. ¤ Ils n’ont donc pas perdu tout sens communs pour laisser place uniquement au primitif. Comme on me l’avait dépeint jusqu’à présent. ¤

Une révélation appréciée par le prêtre-mage. Il avait toujours été intrigué par ces Sy’Tel’Quess qui selon lui avait su garder le contact originel des elfes avec la nature. Le serviteur du Premier de la Seldarine restait persuadé, que les siens avait perdu en partie ce lien qui les unissait à la terre nourricière. Le Sang de la Couronne d’Arvandor mélangé aux larmes de Sehanine Archelune dans les calices divins pour insuffler la bénédiction du divin à ses enfants. Le tout mélangé à la terre mère les elfes étaient tout cela. Et les Sy’Tel’Quess malgré leur manières brutales étaient en quelque sorte les garants de ce lien mystique qui liait les Te’Quessir à la nature. Et Aël’Telàwërith pensait que les Ar’Tel’Quess auraient tout gagné de renouer un plus avec cette nature sauvage.
Mais, jusqu’à présent on lui avait dit qu’ils en étaient devenus des êtres primitifs et avaient abandonné une part de leur elfitude. Visiblement, ce n’était pas entièrement vrai. Et si l’expérience qu’il avait vécue dans les escaliers de la tour entre les deux Gardiens Sylvestres l’avait conforté dans ce qu’on lui apprit. La réaction d’Yvhann était une preuve que ce n’était probablement pas entièrement vrai.

Le Faernsuor n’avait pas vraiment comprit la remarque du nain. Pour lui, et c’était vrai pour la grande majorité des elfes, la valeur d’un individu pouvait faire la différence. La notion d’unité pour être plus fort, ne lui semblait pas être une notion exacte. Aussi, Aël’Telàwërith s’apprêtait-il à prendre partis pour son cousin. Mais bizarrement, ce dernier se rallia aux propos de Mitzar et du Hin. Alors, il resta en-dehors de cette conversation.

Toujours perturbé par sa dernière rêverie, l’elfe du soleil n’était plus vraiment certain de rien. Il lui fallait du temps pour analyser tout ceci-ci. Et au fond de lui, un nœud lui serrait le ventre. Un nœud que l’on appelait culpabilité. La culpabilité de ne pas être entrain de lutter avec son peuple pour la sauvegarde d’Evereska. Car, même s’il tentait de se persuader que les événements de sa rêverie représentaient un futur. Il ne pouvait occulter le fait, qu’il se pourrait bien qu’il ressente la souffrance et le désespoir présent des siens. Mais dans ce cas, qui avait pu avoir l'outrecuidance de s'attaquer à la Maison Fortifiée. Et pour que cela soit si vif dans ses rêveries, il était fort possible que…
Secouant la tête pour refuser de se laisser tomber dans un abîme sans fond. Il ferma son sac, le mit sur son épaule, accompagné par son arc et son carquois.

Il lui fallait de l’activité pour éviter de trop penser. Aussi posa-t-il ses poings sur ses hanches pour signifier qu’il était prêt.

Enoriel fut grandement déçu par le commentaire du nain. Jamais il n'aurait cru cela de lui. Lui qui lui avait demandé de lui enseigner le dialecte des elfes, qui avait fait preuve de tant de compassion et de sympathie à son égard venait de rompre avec violence les liens qui avaient pu se tisser entre eux... Il lança un regard vers Yvhann, instinctivement, sachant très bien que la remarque du nain, ne ferait pas bondir que lui. D'autant que son comparse était d'un naturel plus "agressif" que lui. Et Enoriel qui commençait à connaître l'elfe sauvage, comprit qu'ils n'étaient pas passés loin d'un accès de rage de la part du rôdeur. Mais Enoriel savait qu'Yvhann pouvait se maîtriser, sinon il ne respecterait pas tant et, surtout, ne serait pas arrivé à se faire une place au sein des Gardiens Errants.

Il n'en était pas moins que Mirtzar avait manqué de respect à Enoriel et plus encore à Khell. Il aurait voulu lui expliquer sa position mais le temps pressait. Chaque seconde pouvait faire que le jeune druide ne revoit plus jamais son compagnon. Quand Yvhann parla et siffla, il lui emboita le pas en direction d'où irait le compagnon à plumes du rôdeur, passant simplement devant le nain et l'halfelin en lançant :

"Restez ici si vous le voulez. Mon objectif du moment n'est pas de retrouver des enfants ou de me venger d'un drow. Il est de retrouver ce que j'ai de plus cher au monde. Navré que vous ne compreniez rien à cela."

Même ces mots n'avaient pas réussi à endiguer la tristesse sourde et maligne qui montait alors en lui. Cette déception que les deux êtres ayant montré qu'ils s'intéressaient à la nature et à ses principes ne comprennent pas que le plus important pour lui était de retrouver son compagnon de toujours, son plus fidèle ami et, pour ce qu'il en savait maintenant, sa seule famille.

MJ
Narration: Tous

out autour d’eux, la mince couche de brume avait laissé place à un brouillard dense, recouvrant le sol à une hauteur d’environ un pied. Mais l’humeur des aventuriers n’étaient pas au beau fixe, Mirtzar et Narvarth avaient quitté le groupe. Chacun avait prit une embarcation, et chacun avait décidé de laisser le destin décider de leur avenir.

Quand le druide avait parlé,le visage de Mirtzar s’était empourprer, ses poingts s’étaient serrés de colère et il avait fallut quelques secondes pour qu’il puisse répondre sur un ton qui ne laissait pas de place au doute. La décision du nain était prise et elle était elle aussi irrévocable.

- Qu’il en soit ainsi ! Je me dois de me concentrer sur ma mission et je ne peux renier mon code de conduite et risquer la vie d’innocents à mon seul profit.. S’il plait au Morndinsamman, nous nous retrouverons vite….

Oui, l’honneur et la raison de Mirtzar lui interdisait de perdre un temps précieux à la recherche d’un animal alors que la vie d’enfants était en jeu. Il avait juré de retrouver Clothilde coûte que coûte, s’il renonçait à poursuivre ce Rylak, il perdrait la face, il ne le pouvait pas se résoudre à se parjurer, ni d’avoir sur sa conscience la mort de jeunes enfants sans avoir eu la certitude d’avoir tout tenter pour les sauver…..

Narvarth secoua la tête face à ce schisme qui intervenait au sein d’un groupe groupe car le moment était pourtant mal choisit pour laisser le groupe éclater, mais fidèle lui aussi à sa ligne de conduite, le hin ne pouvait se ranger qu’aux côtés de Mirtzar bien qu’il pouvait comprendre les préoccupations de l’elfe vert.

MJ
Narration: Mirtzar et Narvarth

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Narvarth tente de trouver une piste quelconque
Test de survie Narvarth DD 15: 8 (dé) +8= 16 : Réussite
Test de détection Narvarth DD 15 : 20 (dé) + 1= 21>< Test de discrétion DD 15 : 6 (dé) + 2 : Réussite.
Test de connaissance de la nature DD15 : 16 (dé) + 9 : 25 : Réussite
Narvarth identifie l’humanoïde.
Test de connaissance de la nature Mirtzar DD 15 : 9 (dé) + 2= 11 : Echec
Mirtzar ne connaît pas ce genre de créature.

ien n’aurait pu faire changer d’avis le nain d’or, absolument rien. Il décida même de la route à suivre, et contrairement à ses compagnons elfes, il choisit juste de traverser le cours d’eau pour rejoindre la berge qui leur faisait face. Le brouillard restait omniprésent près de l’eau, ce qui n’arrangeait rien mais au fur et à mesure qu’ils s’approchaient des vois, les bandes de brumes étaient plus espacées, offrant à Narvarth de meilleures possibilités pour exercer ses talents.

A deux, ils n’avaient désormais pas le choix, ils devaient redoubler de vigilance et le hin ne souhaitait pas s’attarder plus que nécessaire. Il se trouvait dans son élément et il allait le démontrer rapidement. Ils n’entrèrent pas dans les bois, se contentant de longer les arbres vers l’Ouest, à travers de hautes-fougères qui les bordaient. Le rôdeur tomba sur quelques passages de bêtes sauvages qui s’enfonçaient dans la forêt mais les emprunter pouvait se révéler dangereux, non Narvarth comme Mirtzar attendaient le signe qui leur permettrait d’aller de l’avant. Ils allaient être exaucés. Le long du bois, ils trouvèrent les herbes pliées de telle façon qu'il y avait eu là un passage d'un animal de la taille d'un chevail ou d'un gros poney.

Le vent, léger en cette saison, tourna et apporta aux narines sensibles du sagespectre une odeur différente de celle de la végétation. Mêlée à la flagrance de l’humus, de l’herbe et des animaux de la forêt qui évoluaient dans les parages, l’halfelin perçut une odeur de transpiration, il se crispa et leva la main pour signifier à son compagnon de faire halte avant de jeter un regard inquisiteur à la ronde. Ils n’étaient pas seul, on les observait….

¤ Nous avons de la visite….Laisse moi faire Mirtzar !¤ ordonna mentalement Narvath au nain, le Molosse se contenta de hocher la tête, nullement surpris du lien télépathique que le sagespectre venait de tisser avec lui. La main du Fils de la Pierre se referma sur la garde de son arme tandis que Narvarth écarta les mains et déclama quelques paroles apaisantes dans une langue aux intonnations sylvestres.



A une cinquantaine de pas, faisant irruption d’un bosquet de jeune charmes, un humanoïde de grande taille, vêtu d’une armure de peau, à la peau aux reflets bronzés se présenta devant les deux frères des marches. Mais si au-dessus de la taille, il pouvait s’apparenter aux humains, en dessous de la taille, c’était tout autre chose. Il avait un corps de cheval, puissant, protégé par une barde parfaitement ajustée. Dans ses mains, il tenait fermement une lance d’arçon. Il fit face aux deux aventuriers, dardant sur eux un regard scrutateur.

¤ Un centaure… ¤ murmura pour lui et par la même occasion pour Mirtzar le fils Languelion.

MJ
Narration: Enoriel, Aël’Telàwërith et Yvhann

insi les dés étaient joués, chacun avait agit selon sa conscience et l’heure n’était plus aux regrets, si la Seldarine le voulait, ils mettraient de nouveaux le hin et le vigoureux sur le chemin des elfes. Ils avaient eux aussi choisi une des barques pour se déplacer plus vite au grès des flots, d’autant que le courant n’avait rien à voir avec celui de la rivière souterraine et était propice à une promenade attentive. Assis au centre de l’esquif, Yvhann à l’arrière, l’elfe doré à l’avant, ils cherchaient du regard le moindre signe qui leur permettrait de retrouver le compagnon du druide. Le cours d’eau au lit irrégulier était entouré de berges boisées entrecoupées de bandes enherbées d’un vert vif, riches en espèces animales et végétales.

Une bonne heure passa, au fur et à mesure que le soleil prenait son essor et que l’heure avançait, la nature s’éveillait, il aperçurent un couple de loutre batifoler dans l’eau, un héron prendre son envole, une poule d’eau zigzaguer avec ses petits au grès de l’eau, tout un cadre buccolique reposant pour les enfants de Corellon. Dans les cieux, Floyr assurait une veille aérienne consciencieuse sous les recommandations du gardien errant. Et quand il émit trois cris stridents d’alerte, ils levèrent les yeux vers le ciel pour découvrir un Floyr qui amorçait une descente en piquées dès plus impressionnante et instinctivement, leur regard glissèrent sur leur gauche.

C’est là qu’ils le virent et le reconnurent, Khell !
Malgré sa robe souillé de terre, et de sang, il s’agissait bien du compagnon d’Enoriel, bien vivant. Jusqu’à maintenant !. Car le pauvre animal était aux prises avec deux créatures avec lesquelles batifolait le loup…batifoler était un grand mot. Harceler était plus exact car ces créatures étaient des harpies…..

On n’entendait que le calme, le léger clapotis de l’eau avec entré des rames dans l’eau et les bruit de la natures qui résonnaient doucement aux longues oreilles effilées du Ar’Tel’Quess. Aël’Telàwërith avait naturellement prit la place qui lui revenait de droit, celle de tête. L’Ana-Sic-Silistri s’était bien gardé de tendre la main vers l’une pagaie. Il s’en garda bien malgré lui, et avec un franc naturel. Ce n’était pas de la fainéantise, mais son rang dans la société d’Evereska ne lui permettait pas de s’abaisser à celui de rameur. Droit et fier tel une figure de proue, les yeux lavande du Faernsuor scrutaient la berge environnante. A la recherche du moindre indice permettant de trouver une piste laissée par le compagnon d’Enoriel.

L’elfe doré ne s’était pas ému de la séparation du groupe. Ils ne les connaissaient que depuis peu. Et le fait de se retrouver entre Tel’Quessir n’était pas pour lui déplaire. Il y avait là, comme un repaire qui lui était familier : l’inconstance des N’Tel’Quess.
Ces derniers avaient su faire illusion. Mais, au final les enseignements qu’il avait reçu se trouvaient justement démontrés.
Pour autant, l’elfe du soleil savait également que la force de frappe du groupe venait de diminuer de façon importante. Toute fois, il avait vu de quoi était capable les Gardiens Sylvestres et il n’était pas inquiet.
Par contre, il se sentait soulager de ne pas être responsable du fait d’emmener avec lui des N’Tel’Quess sur les antiques territoires elfiques. Sachant toute fois pertinemment bien que ces derniers avaient été, en leur temps, les bienvenus sur les terres du royaume de Myth-Drannor.

Le prêtre-mage tenta de ne pas y penser, car cela le ramenait inévitablement à sa rêverie de la veille. Ouvrant encore un peu plus largement le déchirement qui s’opérait dans son cœur entre ses devoirs envers sa famille et la promesse faite à la Baelnorn et ceux qu’il avait envers son peuple.

Lorsque des bruits, dénotant avec le calme et la sérénité ambiante, se firent entendre. D’instinct, le mage-prêtre se saisi de son arc, posé à coté de lui. Lorsque la scène se dévoila à son regard. Il se ravisa. Des sentiments mêlés l’envahirent.
D’une part, le soulagement d’avoir retrouvé le compagnon d’Enoriel qui serait, à n’en pas douter, une résurrection pour le Sy’Tel’Quess. Mais aussi l’angoisse de perdre ce dernier au moment même, où le petit groupe elfique avait réussit sa traque.
Stratégiquement, les elfes n’étaient pas en position de force sur l’eau. Il fallait absolument regagner la terre ferme, et si possible, de la manière la plus discrète possible. Par chance, les oiseaux de mauvais augure étaient tout à leur harcèlement, et semblaient se jouer du pauvre Khell en le faisant tourner en rond. Mais, le Faersuor y voyait là une chance pour les sauveteurs.

Silencieusement, Aël’Telàwërith se retourna en regardant Enoriel un sourire aux lèvres, accompagné d’un hochement de tête sec.

¤ Ca y est Enoriel, nous l’avons retrouvé. Il est là ! ¤

Puis il tendit son bras vers la berge toute proche. Sans attendre de savoir si ses compagnons allaient obtempérer à cet ordre silencieux, et pour la bonne raison que dans son esprit cela ne faisait aucun doute. Le serviteur de la Couronne d’Arvandor commença à préparer l’affrontement qui se dessinait. Il remit son arc sur son dos, tout en commençant murmurer une prière au premier de la Seldarine.



Aël’Telàwërith remet son arc en place et lance bénédiction.

Le hin avait murmuré un remerciement à Yvhann lorsque ce dernier l’avait aidé à ramasser ses trouvailles tombées à terre, mais après cela il ne prononça pas d’autre mot jusqu’au retour du trio au campement, laissant ainsi Enoriel raconter ce qu’il venait d’endurer.
Arrivé auprès du feu et de leurs autres compagnons, Narvarth déposa les victuailles à proximité du foyer, laissant le soin à chacun de se servir pour prendre des forces pour cette nouvelle journée de poursuite.
Lorsque l’absence de Khell fut évoquée par le sauvageon, le barbare rôdeur laissa son esprit juger la situation, bien sur il comprenait le besoin de voir le loup les rejoindre, mais les berges étaient vastes, et au vu du temps qu’il leur faudrait pour toutes les explorer, ils risquaient de perdre le terrain qu’ils avaient repris au drow.
¤Un loup est un animal très débrouillard, il saura surement s’en sortir, alors que les enfants…¤

L’urgence de les retrouver restait bien présente dans la tête du sagespectre, aussi lorsque Mirtzar prit la parole pour défendre son point de vue, Narvarth se rallia à son bord, en accord avec le besoin de retrouver au plus vite les enfants, et dans l’idée de devoir rester grouper, il fit part de son avis.
-Je suis d’accord avec Mirtzar, il ne serait guère prudent de nous déplacer dans ces conditions, nous sommes en terre inconnue et nous devons rester grouper.
Les réactions qui suivirent firent frissonner le petit-être, il aurait voulu que la tension ne monte pas à ce point, mais leur pénible situation pesait sur le moral de chaque aventurier, lourdement, et lorsque Mirtzar prit la décision de continuer directement à la poursuite de Rylack, le Compagnon des Marches le suivi, autant pour répondre à son propre besoin de retrouver les enfants avant que du mal ne leur soit fait que pour s’assurer qu’aucun d’eux ne e retrouverait seul dans les brumes de cette forêt.
Avant de s’éloigner définitivement du campement et de monter dans l’embarcation, il s’adressa une dernière fois aux trois elfes.
-Je vous souhaite de retrouver au plus tôt Khell, dans le meilleur état possible. Je marquerai notre passage si nous trouvons quelque chose.
Puis il leur lança un « bonne chance », espérant que les futures retrouvailles se fassent dans de meilleures circonstances que leur présente séparation.

Il resta silencieux pendant quelques instants, concentré sur d’éventuelles pistes environnantes, ne sachant trop comment reprendre une conversation avec le nain qui paraissait très perturbé de l’altercation. Aussi dans le raisonnement du sagespectre, se concentrer sur ce qui les entourait était la meilleure chose à faire.
Lorsqu’ils descendirent de l’embarcation, le hin la retira plus avant sur la berge, pour être sur qu’elle ne soit pas emportée par un quelconque courant, ce serait un premier signe pour permettre aux autres de les retrouver au besoin. Coupant volontairement quelques tiges de fougères à leur passage, le hin les replaçait au sol dans le sens de leur avancée, des forestiers aussi douées qu’Yvhann et Enoriel ne pourraient pas passer à côté d’indices aussi visibles.
Lorsque devant lui se présentèrent les herbes pliées, le hin sut qu’ils avaient peut être trouvé quelque chose susceptible de les aider, et comme ils avaient jusqu’alors évolué en silence, il se contenta de désigner les traces à l’encontre du nain.

Laissant la possibilité à son Frère Molosse d’examiner les traces s’il le souhaitait, le barbare rôdeur se concentra sur cet air chargé d’information qui venait de s’engouffrer dans ses narines, ce qui avait fait ces traces était dans les environs, et tant qu’il n’en saurait pas d’avantage, le hin serait aux aguets de tout danger, il empoigna donc le manche de son kama, sorti l’arme de sa ceinture et tout en assurant sa prise dessus en cas de rencontre hostile, il fit signe à Mirtzar de se tenir prêt.
Ce qu’il y avait de bon de côtoyer un autre membre de la Compagnie, c’était de savoir qu’un signe stratégique de ce genre serait correctement interprété sans avoir besoin d’échanger la moindre parole, ils n’étaient pas seuls, au moins une créature les observait, et pour éviter d’en attirer d’autre, il fallait rester le plus silencieux possible.
Ce qui les observait s’approchait, pour éviter toute surprise au nain, il le prévint par le moyen le plus discret qu’il connaissait, son esprit.
¤ Nous avons de la visite….Laisse moi faire Mirtzar !¤ Pour s’être déjà adressé au nain de cette manière ces derniers jours, le sagespectre savait qu’il ne serait pas trop déstabilisé par cette intrusion mentale.
Voyant du coin de l’œil le nain assurer une prise sur sa propre arme, Narvarth se concentra sur ce qu’il avait à faire, s’assurer que la rencontre se passe le mieux possible, pour cela il remit son kama à sa place d’origine et tout doucement ramena ses deux mains, paume en avant devant lui, signe de paix universel, et laissa la Voix de la Nature sortir de sa bouche pour indiquer leurs intentions.

-Nous ne sommes pas des ennemis, nous sommes ici en paix. Montrez-vous sans crainte.
Lorsque la créature s’offrit à la vue du duo des Marches, Narvarth ne pût s’empêcher de murmurer qu’il s’agissait d’un centaure.
Qu’il ait accepté de se montrer à la vue des deux aventuriers était déjà un bon signe, il aurait tout aussi bien pût s’enfuir ou leur tomber dessus avant qu’un d’eux ne puisse réagir.
Poussant plus loin son lien particulier avec la Nature, le Fils du Clan Languelion, il reprit pour le quadrupède humain.
Sylvestre :-La paix soit sur toi noble centaure, je suis navré d’avoir troublé ton repos. Je me nomme Narvarth, du clan des Languelion, à mon côté se trouve le nain Mirtzar du clan des Boucledacier
¤Mirtzar, désolé de te tenir à l’écart de la conversation, soit patient, je vais essayer de nous attirer son aide.¤
Sylvestre : Nous ne tenons pas à troubler le silence de cette forêt avec notre passage, nous pourchassons un être maléfique porteur de mort, toi qui connait chaque pousse grandissant à l’ombre de cette forêt, saurais tu me dire si cet elfe de sous la surface est passé par ici ?

Narvarth espérait que cet arpenteur des bois ne prenne pas mal leur intrusion sur ce qu’il supposait être son territoire. Il avait tenté une approche sincère, dénuée de tromperie, pour ne pas provoquer la fureur du centaure, il ne leur restait maintenant plus qu’à attendre sa réaction.

Alors que d'habitude, la nature qui s'eveillait emerveillait à chaque fois le jeune elfe sauvage, il ne fut cette fois ci ému en aucune façon. Il avait beau avoir sous les yeux un spectacle doux et frais, d'une sérénité impressionnante, toutes ses pensées étaient dirigées vers son fidèle ami. Pourtant tout au fond de lui, il sentait que ses craintes de ne plus jamais revoir son compagnon étaient infondées. il se rappellait que durant son enfance, la force du lien tissé entre un druide et son compagnon animal lui avait été clairement évoquée. Il était donc presque sûr que si Khell était mort, il l'aurait ressenti. Mais il n'avait jamais connu cette perte, il ne pouvait donc savoir ce que cela provoquait réellement. Sa sagesse et sa tristesse se mêlaient donc dans une cacophonie sentimentale qui embrouillait l'esprit de l'elfe. A tel point qu'il faillit de pas entendre les cris du compagnon d'Yvhann qui le ramenèrent d'un coup à la réalité. Le temps d'émerger, Enoriel fixa la direction vers laquelle le faucon venait de plonger. Un sourire sans pareil se dessina sur le visage de l'elfe quand il vit Khell. Pas même les harpies qui l'attaquaient sans relâche auraient pu assombrir son visage qui rayonnait. L'elfe doré lui adressa un signe qui mit du baume au coeur à Enoriel qui y repondit d'un signe de tête. Il avait beau être en contradiction avec certaines visions de l'elfe, le voir se préparer pour sauver son compagnon insufflait au jeune expatrié de la Haute Forêt une chaleur qui l'avait quitté définitivement après le départ traître du nain et de l'halfelin. Mais lui même n'avait plus d'armes et guère de sorts qui permettraient d'être efficace au combat. D'autant qu'avec l'agitation de la veille et du jour présent, il avait complètement oublié ses blessures, son esprit trop occupé ailleurs. Il commença donc à ramer en direction de la berge qu'avait montré Aël’Telàwërith tout en débutant une prière. Avant de la finir, il lâcha la rame d'une main, gardant le cap avec l'autre et posa la main ainsi libérée sur la poitrine afin de libérer l'energie de l'Equilibre qui lui permettrait de soigner ses plus importants maux.

Enoriel lance soins legers sur lui même

es choses étaient allées bien vite. Bien plus vite ce que Mirtzar pouvait comprendre. Soudainement, comme par surprise, Aël'Telwërith, qui impressionnait toujours autant le nain qu'aux premiers instants de leur collaboration, très proche dans le temps et pourtant si lointain cause de la multiplicité des évènements, avait rejoint Yvhann dans ses efforts pour rendre Mirtzar plus civilisé. Cela était sidérant. Pris par surprise et incapable de percevoir et de retenir correctement les diverses sonorités des mots elfiques, Mirtzar n'avait pas vraiment profité de la leçon. Pire que cela, il était encore en train de puiser dans sa mémoire pour retrouver les sons quand des décisions plus que importantes furent prises.

Le retour d'Enoriel était une heureuse surprise, plus que cela même, mais il ne se passa pas comme l'avait prévu le nain. Avant d'avoir pu comprendre quoi que ce soit, il avait donné un avis, qui lui semblait assez raisonnable, et qui, somme toute, n'avait pas été aussi bien pris qu'il s'y attendait. Et surtout qui avait mal été compris, peut être par lui-même en premier. Certes, il voulait qu'ils ne se séparent pas pour minimiser les risques, d'autant plus qu'il était certain d'être incapable de se repérer dans les bois s'il se retrouvait séparé de ses compagnons, mais il ne voulait pas dire qu'il fallait abandonner Khell, loin de là. Il avait perdu dans leur descente catastrophique de la rivière une part de son équipement, qui était déjà fort peu pourvu, mais Khell n'avait rien à voir avec son armure même s'il la considérait comme un objet plus important que beaucoup de choses.

Pour résumer ses pensées fort biscornues, il aurait pu dire qu'il partageait l'avis d'Enoriel. Il ne comprenait pas le moins du monde le lien qui unissait l'elfe et son animal mais il avait une idée imprécise et sans doute assez loin de la vérité de ce qu'était pour Enoriel Khell. Il le considérait comme une partie de l'elfe qui semblait indépendante de son corps mais ne l'était pas tant que cela. Il avait entendu parler de personnes qui devenaient si familières avec leur arme ou leur armure qu'ils avaient forgé eux-même qu'il la considéraient comme un enfant. Et il lui semblait que ce lien n'était pas encore aussi étroit que celui qui unissait ses compagnons sans pouvoir dire ce qu'il comprenait par cela. En tout cas, s'il avait perdu son bras non loin de là, que ce bras était encore vivant et qu'il avait besoin de lui, lui aussi aurait refusé de partir et de l'abandonner. L'image était étrange et pas vraiment limpide mais c'était ainsi qu'il comprenait ce qui arrivait à Enoriel.

De plus, quand bien même c'eût été pour retrouver quelque chose de moins indispensable, Mirtzar était d'avis, comme un certain nombre de ses compatriotes du reste, qu'une équipe ne peur réussir si elle n'est pas unie et qu'il vaut mieux perdre un peu de temps de temps en temps pour être prêt dès que cela sera nécessaire. Même avec Narvarth en qui il avait toute confiance, comme un n'importe quel membre de l'expédition à cet instant, il ne pensait pas parvenir à retrouver les enfants et il avait l'impression que par un problème de communication il venait de réduire à néant leurs chances de succès et donc, d'une certaine manière, de condamner les enfants. Il ne pouvait que se sentir coupable.

L'arrivée de la créature partiellement équine était une nouvelle surprise au moment où le nain allait demander son compagnon s'ils ne pouvaient pas faire demi-tour pour retrouver leurs compagnons. Mais, ne connaissant pas ce genre de créature et étant donc incapable de dire s'ils allaient trouver en lui un allié qui les conduirait aux enfants, ce qu'il souhaitait mais n'osait pas espérer, ou un ennemi qu'il faudrait affronter dans cette situation peu confortable. Avant de faire quoique ce soit d'autre, il devait donc attendre de savoir qui était cet étrange étranger. Afin de se montrer poli, il décida de se contenter de baisser les yeux et la tête en signe de soumission et de respect comme il avait appris à le faire quand il rencontrait un inconnu qu'il estimait être au-dessus de lui.

Le grugach marchait vers l'embarcation quand il entendit les paroles destiné à Mirtzar, celles-ci lancer par Enoriel, avec une certaines fougue empreintes d'un égotisme toute druide, parurent soudaines et claires. Son regard, toutefois, parcourut rapidement les traits du nain pour y voir une réaction; ce fut les paroles que ce dernier employa sur le moment, qui donna une information au gardien errant, puis il pensa ...
* Mirtzar qui ne voulait pas que le groupe se sépare, réagit inversement. Tu est vaillant et réfléchi Mirtzar, prend garde, le chaos est maître ici. *

Le druide-rôdeur ajouta, toujours en espuar suivit du commun ...

-S’il plait au Morndinsamman et aux autres, nous nous retrouverons vite! -

Le dirigeant des gardiens errants avait confiance, les deux êtres-mètre étaient membres d'une compagnie, la compagnie des marches d'argent et leurs membres n'avait rien de débutant. Ils se débrouilleraient sans peine avec les atouts de Narvarth et ceux de Mirtzar. Il avait confiance en eux, mais il ne se fit pas confiance à lui même et il prit bien soin de regarder dans quel direction allaient les deux êtres-mètre avant de prendre leurs propre route pour retrouver Khell.

À l'arrière de l'esquif, Yvhann avait tout loisir de diriger en propulsant d'un coup en J, celle-ci en plus d'explorer la faune et la flore de tous ses sens. Le silence animé était d'or, se qui fut l'un des beaux moment du sauvageons depuis leurs départ pour cette aventure.

Comme la paix dure rarement longtemps et que la vigilance étais quand même de mise, il fut éveillé de plus belle au moment que Floyr, fidèle à lui même, les avertissait de son travail accompli. La surprise tétanisa sur le coup le forestier. Il s'attendait à des choses étrange en ce territoire, mais d'y voir des harpies était stupéfiant, surtout que Mirtzar et Narvarth en avaient combattu pour sauver la petite Clothilde, du moins c'est ce qu'il se souvenait des dires du nain. Avait-il un lien? Une question qui ne vit pas de réponse sur l'instant.

Voyant le noble réciter des verbes divins et Enoriel se soigner, Yvhann décida de continuer à faire avancer leur embarcation jusqu'à la rive pour y débarquer au plus vite; ils y seraient sans doute en meilleur position pour maîtriser les harpies. Son arc déposé auprès de lui n'attendait qu'a être empoignée.

Second jour de La Marée Estivale, Année de la magie sauvage
2 flammerige 1372 (CV)

Lieu : Cormanthor
Temps : Beau temps
Moment :Matin

MJ
Narration: Mirtzar et Narvarth

e longues minutes d’incertitude s’écoulèrent pour l’être mètre et le fils de la pierre. Le centaure les fixait avec insistance, sans que la moindre réaction n’altère le visage de l’homme-cheval. Narvarth ne bougea pas d’un iota, laissant le maître de ces lieux décider de la marche à suivre, si bon il lui semblait. Il ne regarda pas non plus Mirtzar, ce dernier, les yeux ronds, détaillaient l’être qui leur faisait face, misant sur son compagnon pour mener à bien une approche qu’il souhaitait cordiale.

Le centaure baissa à demi les paupières et consentit cette fois à répondre à Narvath dans la langue sylvestre que les créatures des bois affectionnaient tant.

’ … … ’

MJ
Narration: Aël’Telàwërith, Enoriel, Yvhann

Lieu : Cormanthor
Temps : Beau temps
Moment :Matin

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Aël’Telàwërith lance bénédiction
Le groupe sous effet de bénédiction durant 2 minutes

Enoriel lance soin léger sur lui-même
Enoriel récupère 10 PV

Test de perception auditive Harpie 1 DD 19 : 16 (Dé) + 7 (comp)= 23 : Réussite
Test de perception auditive Harpie 2 DD 19 : 12 (Dé) + 7 (comp)= 19 : Réussite

Les harpies repèrent les Tel’Quessir

noriel n’était pas serein, s’il était heureux de retrouver Khell en vie, la menace qui se profilait à l’horizon n’était pas pour le rassurer surtout depuis qu’il s’était vu privé de certains de ses moyens offensifs. Pourtant, ils allaient devoir combattre de nouveau pour assurer leur survie, il ne fallait pas sombrer dans le pessimisme et faire face à ces engeances qui s’en prenaient à son compagnon…

Appréciant pleinement la magie régénératrice de Rillifane Rallathil, son cœur se gonfla d’ d’ardeur quand la bénédiction du Premier de la Seldarine investit le groupe et ensemble, ils se préparaient au pire…

Et au moment ou l’esquif toucha la berge, un effroyable bruit vint vriller les oreilles des compagnons, strident et terrible….

Initiatives Round 1
Jet d'initiative de la 1ère et 2e Harpie : 20(Dé)+2=22.
Jet d'initiative de Enoriel : 16(Dé)+4=20.
Jet d'Initiative de Yvhann : 12(Dé)+3=15.
Jet d’Initiative de Aël’Telàwërith : 9(Dé)+1=10.
Jet d'initiative de la 2nde Harpie : 7(Dé)+2=9
Jet d'initiative Khell: 3(Dé)+2=5.
Jet d’initiative Fyor : 7 (Dé) +2= 9

MJ
Narration: Aël’Telàwërith, Enoriel, Yvhann

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Début du combat : Round 1
Le groupe sous effet de bénédiction

1er Harpie utilise Chant captivant.
JS de Volonté de Enoriel DD16 : 14(Dé)+6=20 : Réussite.
JS de Volonté de Yvhann DD16 : 7(Dé)+5=12 : Echec.
JS de Volonté Aël’Telàwërith DD 16 : 10 (dé) +7 = 17 : Réussite

Etat préjudiciable : Yvhann est captivé.
Yvhann avance vers les harpies de 9 mètres

écidemment ces hideuses petites bêtes pullulaient dans le secteur, à moins qu’il n’y fallait y voir un signe. Mais pour l’heure les compagnons accusaient le coup d’une terrible attaque sonore dont elles avaient le secret. L’elfe doré et Enoriel réussirent in-extrémis à se boucher les oreilles devant cet assaut nocif. Ce ne fut pas le cas de Yvhann de Yössmar. L’elfe sauvage prit de plein fouet l’attaque nocive et sucomba au pouvoir surnaturel mental de la créature ailée sans pouvoir y faire face.. Se levant tel une marionnette, son arc en équilibre sur ses genoux tombèrent sur le sol de l’esquif tandis qu’il enjambait le bord de l’embarcation et marcha vers les deux créatures ailées sans pouvoir