۝ Dernière épreuve avant Da'aï Chikiza ۝, Dobun, Hérudae, Télim et Silifrey

Vingt-neuvième jour du Temps des Fleurs, Anno : 1372
Lieu : Padhiver - Sous sol
Temps : Inconnu
Moment : Inconnu


Tous
La planaire bailla silencieusement. Comme de coutume, elle s’était perdue dans de sombres pensées, mais qui allait en réalité dans le sens de la stratégie du groupe. Ultérieurement, elle se présenta très rapidement à Luxure comme étant Agonie, et faisant partie du département d’Inquisition. Parler n’était pas le fort de la tieffeline, aussi s’abstint-elle de relever le moindre propos pour le moment. Elle qui faisait partie d’une section spéciale, devait avouer que sa place n’était pas très utile dans ce test. Mais elle oublia bien rapidement ces désagréments et observa le gnome qui se goinfrait de petits gâteaux. Cette pièce était donc bien un lieu de repos sûr, enfin jusqu’à un certain point.

- Ca me rappelle les cachettes à l’orée des bois de Padhivers, le Cercle squatte des cabanes de bûcheron sans que ceux-ci s’aperçoivent de rien.. je trouve ça plutôt drôle fit-elle en rompant son silence.

Elle n’avait aussi pas manqué de remarquer l’amabilité d’Hérudae, pour avoir proposé une arme adéquate a son compagnon. Mais ce qui la fit sourire de plus belle, c’était le fait que l’humain s’était servit de la plus belle part du gâteau, puis avait donné les restes a son soit disant ami.

- Pour moi ça me convient, cette histoire. Sauf le fait qu’il faut rester absolument groupé, qui sait ce qui peut arriver entre chaque petit groupe, là on serait dans de beaux draps. Nocturne et Luxure feront de bons éclaireurs, je l’espère.. mais maintenant que nous nous sommes reposés un peu, je crois qu’il ne faudrait pas traîner dans les environs. Suivons les instructions de la lettre de mission de Lascar et partons vite d’ici, en se faufilant le mieux possible. Il faut éviter de se faire voir, et encore moins de tuer, c’est comme une mission d’infiltration, enfin, ça ressemble plutôt à la phase où on s’échappe..

Agonie rassembla ses affaires et se dirigea vers la porte au judas. Elle l’ouvrit et observa précautionneusement derrière. Rien ne semblait anormal, alors elle ouvrit lentement la porte. Celle-ci donnait sur un couloir large d’environ trois mètres, et long de huit. Au bout de celui-ci se trouvait un coude qui partait vers la gauche. Le sol était pierreux, et un dallage grossier avait été disposé afin que l’on puisse s’y repérer. Des poutres de soutènement entouraient le couloir pour le maintenir. Celui-ci était sombre, mis à part à l’entrée où deux torches en bois brûlaient, pour indiquer la salle de repos. Les mineurs devaient sans doute avoir leurs propres torches.

L'elfe ne s'en était pas rendu compte de suite, mais il était excité à l'idée de se retrouver face au danger, l'inconnu... l'aventure en bref! Cela lui fera du bien. Cette épreuve prouvera sa valeur et lui donnera de l'expérience. Le travail d'équipe n'était pas ce qu'il connaissait le mieux. Il retint son souffle, baisa son seau du Cercle du bout des lèvres et s'engagea en premier dans le couloir, suivit de Nocturne qui lui emboîta le pas comme prévu.

Luxure murmura quelque chose à Télim :

- A présent il nous faudra faire silence. Faisons passer nos informations avec des gestes ! Il fit un pas de plus puis se retourna à nouveau pour ajouter bonne chance frère!

¤ N'empêche qu'on ressemble à des fourmis dans ce foutu tunnel!¤ Il gloussa ¤ Premier tournant, première croix! ¤ Il marqua comme prévu une petite croix au pied du mur. Cette croix n'était pas forcement nécessaire aussi tôt mais c'était une manière de faire intégrer l'idée au reste du groupe afin que se repérage devienne un automatisme.

De son autre main, il saisit son arme, prêt à frapper si jamais un adversaire le surprenait déjà. Il marchait d'un pas sûr. Il donnait le rythme au reste du groupe donc il ne fallait pas aller ni trop vite ni trop lent. Le principal était tout de même d'être discret. Ainsi, pour ces premiers mètres, Luxure prit soin d'écouter ses compagnons. Il y avait deux raisons à cela : d'abord vérifier si l'indiscrétion d'un membre du groupe ne trahirait pas leur présence, puis, en écoutant chaque démarche de ses compagnons il espérait à l'avenir pouvoir les reconnaître au son de leurs pas. Bien sûr cette analyse se fera pas en quelques mètres il en était conscient, mais à partir de maintenant, il y ferait attention.

Après avoir marqué de sa craie, il se releva dos au mur, écouta, puis passa une tête de l'autre côté. Peut être qu'il sur-jouait son rôle de roublard mais l'important était de sortir d'ici, peu importe ce que penserons ses compagnons de sa vigilance exacerbée !

¤ Au Diable le ridicule ! ¤

Avec l’arrivée de Luxure et les nouvelles instructions qu’il rapportait avec lui, tout avait radicalement changé pour Télim. Il se sentait prêt à affronter l’inconnu.

Dès lors, une ultime vérification de son équipement s’imposait, c’est donc avec méthode que Télim vérifia et revérifia son sac avant de le passer à l’épaule. Sur le sol, un de ses bâtons éclairants, son arbalète, sa boussole et son Jambiya qu’il avait préalablement dégainé. Pour ce genre d’opération, il préférait la larme courte, plus simple d’utilisation surtout qu’il s’agissait d’une simple mission d'infiltration qui devait être la plus discrète possible. Il ne comptait engager le combat qu'en cas d'extrême nécessité, comme on le lui avait apprit.

Les gestes qu'il effectuait étaient devenus au fils du temps des automatismes, il vérifia les sangles de son armure de cuir cloutée une par une avant d’attacher son Samshir dans le dos et d’attraper son arbalète qu’il mit en bandoulière. Elle était chargée, rien de surprenant, il fallait être prêt à toute éventualité. Il attrapa sa boussole et la glissa dans sa poche et s'assura que son équipement était disposé de telle façon à ne pas faire de bruit. En faisant cela, il songea aux paroles d'Agonie, la planaire avait raison, cela était ni plus ni moins qu’un à une mission d’infiltration, le même genre pour lesquels le Cercle le formait. Il devait donc se montrer plus qu'à la hauteur car il l’imaginait sans mal, s’ils réussissaient, de grandes choses les attendaient.

Il écouta avec attention les propos Luxure décrivant la méthode qu'il comptait employer et trouva rien à redire. Iandis que l’elfe s’engouffrait déjà dans le tunnel, il inspira un grand coup avant de s’emparer d’un de ses bâtons éclairants qu’il passa dans son ceinturon. Son jambiya dans une main, il attrapa une des deux torches de disponibles car si l’elfe était doté d’infravision, ce n’était pas son cas.

- Agonie, prends cela et suis nous à une distance raisonnable pour assurer nos arrières.

Il avait dit cela en souriant, espérant qu'elle ne prendrait pas mal ses paroles. De toute manière, il fallait bien prendre parfois les devants et Agonie le savait mieux que quiconque. Avant de se détourner, Nocturne adressa un bref hochement de tête et un sourire à Dobun et Hérudae, une façon amicale de leur souhaiter bonne chance, puis il rejoignit avec précaution l'elfe en espérant que derrière eux, le groupe s’ébranlerait rapidement.

C'était maintenant que les compétences des deux roublards allaient être mises à contribution.

e gnome s'était suffisamment reposé, aussi lorsque tous entamèrent le départ, il attendit que leurs prédécesseurs parcourent une petite dizaine de mètres, avant d'emboîter le pas, arbalète à la main, l'oreille attentive, et le pas léger.
Il avait bien rangé tout son matériel dans les diverses poches de son sac et de ses vêtements. Cela lui permettait de transporter beaucoup de choses tout en évitant les cliquetis et les frottements. Mais cela empêche aussi les livres de finir froissés froissés, et aux objets fragiles d'être abîmés.

Lorsque Télim pris l'une des torches Dobun ne put s'empêcher de faire une petite moue de désapprobation. Il s'y connaissait en tunnel, comme n'importe quel gnome, il savait donc que la moindre source de lumière pouvait indiquer la venue de quelqu'un bien avant son arrivée. C'est pour cela qu'ils avaient besoin d'éclaireur… Mais l'humain n'avait pas l'air tout à fait idiot, et Dobun ne préféra pas intervenir. Après tout il avait déjà commis suffisamment d'erreurs, et en conséquence ne se sentait pas de faire la morale aux autres.

Lorsqu'il prit la marche ses pas se firent lent et posé, il restait un peut en retrait vis-à-vis d'agonie. Profitant de sa petite taille pour se dissimuler au mieux. Il se savait capable de discrétion, mais il ne savait pas vraiment à quel point. Cela pouvait se révéler insuffisant, et il le savait bien.
Alors qu'il écoutait l'obscurité à la recherche d'une information quelconque sur la présence des mineurs, son esprit curieux se braqua subitement sur une question. Comment les hommes font-ils pour creuser? Certes, il connaissait les méthodes gnomes, et encore cela restait vague. Mais les humains étaient bien plus grands.
Ses yeux se mirent rapidement à scruter les parois, à la recherche d'indices sur leur nature, les fragilités de la voûte, les outils qui furent utiliser pour creuser,… bref sur les techniques et méthodes que les humains avaient développer pour creuser leurs souterrains.

Le petit groupe commença à se redresser et la formation se mit en place. Hérudae regarda Dobun faire une petite moue et ne compris la raison que lorsqu'il vit ce que tenait Nocturne dans sa main. Une torche effectivement cela était étrange mais le jeune homme tout comme son ami ne fit aucune remarque cherchant à peut-être apprendre une technique de cette organisation qu'il allait peut-être rejoindre dans les heures à venir. Pour le moment le jeune voleur en resterait a se bonne vieille lanterne à capuchon, qu'il régla au minimum afin d'avoir juste assez de lumière pour ne pas se cogner dans les plafonds et ne pas percuter Dobun s'il stoppait. Une fois dans le tunnel il referma la porte pour bloquer la lumière venant de la pièce et attendit quelques minutes pour que ses yeux s'habituent aux ténèbres des galeries qu'ils allaient emprunter.

Puisqu'il n'était plus devant, Hérudae réfléchit au meilleur choix possible en armement. Il hésita un instant pour concerver son arbalète mais décida vite que sans lumière vive un tir serait des plus incertains. Il sortit donc sa toute nouvelle épée courte tout en plaçant son arbalète dans son dos lié de façon à ne pas glisser tout en pouvant rapidement la faire passer en position de tir. Puis il suivit son ami gnome l'épée à la main et la lanterne dans la main gauche la main placer assez loin de lui. Ainsi si un ardversaire visait la lanterne en pensant trouver une cible derrière il ne toucherait probablement pas la main mais surtout pas le voleur. Et il progressa silencieusement dans les tunnels tout en se retournant souvent pour surveiller les arrières du groupe, variant les instants ou il le faisait. Puis lorsqu'il était sur de ne rien percevoir, bloquant un instant sa respiration pour ne pas géner son ouie, il reprenait la lente progression dans les entrailles de la terre.

Vingt-neuvième jour du Temps des Fleurs, Anno : 1372
Lieu : Padhiver - Sous sol
Temps : Inconnu
Moment : Inconnu

Tous
Le groupe s’enfonçait dans les ténèbres, Agonie n’était nullement gênée par cette obscurité mais bien plus par la lueur derrière elle que les torches répandaient telles des langues de lumière léchant les murs sombres du couloir. Ce dernier serpentait à en perdre tout sens de l’orientation, l’odeur du bois mêlée à celle de l’humidité agressait le nez, arrachant des grimaces sur les visages. Les aventuriers avaient dû réduire leur allure pour s’assurer de ne pas faire trop de bruit, car le moindre craquement résonnait sur les parois rocheuses, il fut d’ailleurs très difficile de percevoir autre chose que les bruits de leurs pas et de leurs respirations. Néanmoins, cette allure réduite rendait l’exploration particulièrement longue et l’ennui mêlé à une inquiétude croissante faisaient naître un malaise dans leurs esprits.

Au loin, toujours l’obscurité…

Soudain, un bruit résonna dans tout le souterrain. Tous prirent une position défensive, ne sachant pas d’abord d’où venait le son. De l’avant ? De l’arrière ? Ce qui fut impossible à reconnaître a priori finit par être reconnu : du bois heurtant quelque chose de dur. Puis le silence… bien plus lourd et malsain qu’auparavant. Les regards se croisaient, ne sachant que faire. Derrière eux, les ténèbres. Devant eux… les ténèbres. A tourner sur soit on pouvait même en oublier d’où on venait et où on se dirigeait.

Alors que Silifrey cherchait à sonder l’ombre au loin, elle plissa les yeux pour essayer de repousser la lumière parasite de la torche. Noyés par leur propre lumière, les aventuriers ne pouvaient pratiquement rien voir en dehors du cercle éclairé.

Et Silifrey pointa du doigt les ténèbres devant eux.

Au loin… une lumière.

Télim ignorait comment cela s’était passé mais le plan définit par le groupe quelques tenmps plus tôt ne se passa pas comme prévu et le rôle d’éclaireur qui lui incombait au moment du départ, à lui et à Luxure, fut finalement dévolu un peu à tout le monde. Et c’est Agonie, la première, qui repéra des mouvements et une lumière suspecte. La planaire semblait prendre les choses en mains. Puis tout alla très vite, tout cela allait crescendo surtout qu’ils venaient d’entendre peu avant ce bruit qui n’annonçait rien de bon.

¤ Ma carrière comme infiltrateur du Cercle est mal engagée d’un seul coup là.¤ maugréa le roublard.

Il n’aimait pas quand on ne se conformait pas à ce qui était décidé, il fallait un minimum d’organisation tout de même, on ne faisait pas n’importe quoi, n’importe comment, surtout en territoire hostile. Bref, il était inutile de polémiquer. Il inspira un grand coup tout en ressentant l’adrénaline qui montait en lui, une excitation qu’il aimait par-dessus tout et comme il ignorait ce qui se profilait à l’horizon, il rangea sa lame et se saisit de son arbalète mettant tous ses sens en alerte.

Lorsque le groupe fit une pause, Luxure se retourna pour faire une analyse rapide de la situation. Une lumière droit devant ! Instinctivement, l’elfe se plaça devant leur propre lumière.

¤ Si nous pouvons les voir, alors ils le peuvent aussi ! Ouroboros soit loué, ils doivent être occupés. ¤

Le rôle de Nocturne et de Luxure était de partir en éclaireur. Aussi, valait-il mieux s’approcher discrètement eux seuls. Nocturne disposait d’une arbalète, l’elfe aussi. Seulement, ils n’avaient pas le droit à l’erreur. S’ils ne tuaient pas leur adversaire d’un coup, celui-ci pourrait donner l’alerte. C’était risqué ! Trop risqué ! De plus, ils n’avaient aucune idée du nombre d’adversaires qu’ils auraient à affronter. Le rôle des éclaireurs est avant tout de voir se qu’il se tramait devant eux, et non d’affronter leurs adversaires…
Nocturne avaient donc raison sur un point : les arbalètes seront utiles si jamais nous nous faisons repérer avant d’avoir pu espionner. Les armes de distance seront notre seul recours.
Maintenant, il fallait se la jouer fine ! Ni bruit, ni lumière, aucun geste brusque, aucune parole. Luxure chargea son arbalète et rangea sa craie dans une de ses multiples poches. Malheureusement, il n’avait pas de poison sous la main. Tempi, il ferait sans…
Ils n’avaient pas de temps à perdre, il n’était plus l’heure des discutions, et son rôle avait déjà était distribué. Il jeta un regard à Nocturne qui en disait long.

¤ Quant-il faut y aller! ¤

Il s’engagea dans le tunnel, le plus discrètement possible. Suivit bientôt de Nocturne. Il ne faisait pas confiance à celui-ci. C’était bien trop tôt pour faire confiance à n’importe lequel d’entre eux. Et, avec l’altercation d’il y a quelques heures… non, Luxure n’oubliait pas se genre de chose. Seulement, pour le Cercle, il se devait de respecter ses frères, ce n’était pas à lui de les juger. Il ne le savait que trop bien ! L’elfe faisait donc confiance à ses réflexes, il espérait que les compétences de ses compagnons ne le trahiraient pas…

Il essaya donc de s’approcher tel un spectre à une distance suffisante pour voir et analyser ses adversaires sans toute fois être repéré. A hauteur suffisante, il prendrait une initiative avec Nocturne. S’il s’avérait que face à eux il y eu trop d’ennemis, alors il ferait demi-tour pour examiner la situation avec le reste de la troupe. Lascar a été clair : il s’agit d’une épreuve de groupe, Luxure ne se la jouerait pas en solo. Non seulement il prendrait moins de risque pour sa vie, mais aussi pour ses décisions.

rofitant de cette certitude de la présence d'un ennemi potentiel, le gnome souffla discrètement les lanternes à sa portée. Puis tout sens en alerte il se concentra sur la légère parcelle de lueur. Il avait un avantage sur les autres, la présence d'une quelconque lueur lui permettait de bien voir. Autre avantage il connaissait bien le fonctionnement des souterrains. Car même dans les grandes villes comme Athkatla, les gnomes continuent de vivre sous terre. Très utile car ça permet d'éviter les taxe foncière en tout genre, généralement le sol sous la ville n'appartient à personne, sauf quand il s'avère qu'il s'y trouve du minerais…

Et c'était très certainement le cas concernant le lieu où ils se trouvaient. Aussi, le gnome fut peut étonné de voir de la lumière ainsi à un embranchement. Par contre ce qui le surprenait plus c'est qu'il n'y ai eu personne dans cette partie du tunnel. Si la galerie eut été abandonnée, les poutres auraient pourrie, ou tout du moins commencé à se détériorer. A moins qu'ils n'aient eu de la chance et que cette partie de la mine ne soit récemment laissée de côté. Si ce n'était pas le cas, les mineurs auraient déjà du remarquer cette anormalité…

Le gnome se colla contre un mur, comptant sur sa petite taille et sur les aspérités du mur pour dissimuler sa présence. L'arbalète chargée, le regard braqué vers la lumière, le gnome réfléchissait. Comment allaient-ils passer? Dans une mine une source de lumière indique systématiquement la présence d'une personne. restait à espérer que la dîtes personne soit en trains de creuser ou tout autre tâche accaparant un temps soit peu l'attention…

Dobun souffle les lumières à portée de souffle, utilise discrétion et déplacement silencieux. Fouille pour voir s'il y a quelque chose d'intéressant ou de particulier dans le décor. Et jet de connaissance (?) pour savoir comment est faîtes la galerie (matériaux, outils qui ont du être utiliser, manière d'avancer, et d'entretenir les galeries, quel minerais y est cherché,…)

Hérudae avançait donc lentement en arrière du groupe et fixait avec beaucoup de sérieux ses sens sur ce qui se trouvait derrière eux. Il avait pour mission de défendre le dos de ses compagnons et il le ferait au mieux de ses capacités. Il était perdu dans une observation auditive des ténèbres qu'il venait de parcourir pour y déceler un poursuivant éventuel quand Agonie annonça une lumière au devant d'eux. Imédiatement, le jeune voleur s'agenouilla tout en fermant complètement le capuchon de sa lanterne. Il se retourna pour décourvrir ses compagnons éteindre leurs torches. Un petit sourire en coin que personne ne pouvait percevoir dans ses ténèbres apparu en se disant qu'ils leuurs faudraient du temps pour les ralummer. Alors qu'un petit mouvement sur le capuchon et la lumière reviendrait plus ou moins forte selon son désir. Appréciable en pleine nuit pour éblouir un adversaire et lui faire fixer son attention sur la lanterne plutot que sur l'homme qui fait un rapide mouvement de coté pour le surprendre.

C'est donc à genoux qu'il attendit que ls éclaireurs de son groupe prennent le devant et poursuivent la progression ou annonçent un demi-tour.

Détection pour entendre les differents mouvements du groupe mais ausi détection vers l'arrière pour éviter d'être surprit toujours.