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Magasin de Jebeddo , Suite d'une longue traverssée..
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ßѓịśę
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lloa allait répondre au barde nain que son peuple chantait tout le jour et dansait sous la lune, et comme les siens, elle avait appris à faire usage de sa voix et de son corps, lorsque le pirate au bandeau rouge fit irruption dans la conversation. Son visage mutin se détourna alors de la mine broussailleuse de Gonlam pour poser son regard sur la silhouette émaciée qui s’adressait à elle d’un ton détendu. Elle n’était pas certaine d’avoir vraiment compris le sens exact de ses phrases, mais elle y décela quelque paroles aimables qui lui plu. Et même si elle le trouva de premier abord assez commun pour un humain, il lui apparu gentil et sympathique. La bonne humeur des deux personnes aux côtés desquelles elle avançait dans les ruelles de Padivers était communicative, et elle se senti soudainement pleine d’entrain. Son appréhension des pierres et de la foule fit place peu à peu à une espèce d’excitation face à la nouveauté. Elle se retourna vers Jahelo, lui adressa un petit clin d’œil, comme pour lui dire « t’inquiète pas, tout va bien » et poursuivit la conversation avec entrain. - Je plutôt ai le habitude de dormir dans les hauts arbres. Les branches sont confortables et le chanson du vent qui siffle les feuilles fait aider pour dormir. Mais ce jour, je contente suis de aller dans un lit en plume comme vous usez, humains. Je pas aime le froid du Nord. Je aime le soleil et la pluie est pire que les faces vertes. Alors ce jour est un beau jour, car la pluie est finie. Elle éclata de rire à ces mots. Elle éprouvait toujours de grandes difficultés à manier le langage commun, si éloigné de son propre dialecte elfique et de longues conversations l’épuisaient mentalement. Pourtant elle éprouvait un vif plaisir de se voir capable de communiquer avec des êtres de tous horizons, et cela attisa sa volonté de poursuivre. - Vous êtes du Cercle, vous ? Vous allez faire l’épreuve ? demanda elle se rappelant soudainement qu’elle n’était peut être pas sensée parler d’une chose secrète avec des inconnus, même si ceux-ci semblaient liés aux autres. Elle posa sa main devant sa bouche, comme pour empêcher d’autres imprudences de surgir et esquissa un petit sourire désolé. La seule façon de s’en sortir était de détourner la conversation. Elle poursuivit donc, hésitante « Euh… Maitre nain pour répondre vous à la question, je peux chanter comme tout ceux de chez moi, mais je pas peux jouer de un instrument comme Phéles. Je suis pas destinée à chanter la Terre, mais à danser le Vent. » Elle se retourna pour désigner Phéles, et se rendit compte pour la première fois qu’il n’était plus avec eux. Elle ne s’en soucia guère pourtant, ne s’inquiétant pas de savoir s’il reviendrait ou non, se perdant davantage dans le souvenir des cérémonies tribales ou chaque membre s’unissait avec l’élément que les Esprits leur avait désigné. Ceux qui avaient été béni par la Terre frappaient les percussions, les élémentalistes de l’Eau jouaient d’instruments à cordes complexes, tandis que ceux, comme Elloa, qui portaient l’Air en eux, le célébraient en dansant. Seuls les chamans les plus anciens et les plus vénérables avaient le pouvoir d’honorer les flammes dans des rites plus complexes et plus extraordinaires. Les yeux brillants au rappel de ces moments hauts en couleurs, la jeune elfe revint à l’instant présent. La forêt était décidément plus belle que la ville, mais celle-ci se révélait suffisamment intrigante que pour attiser la soif de découverte de la grugash.
Réputation: 3.5
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Ļėvỉạ
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Tout en marchand vers la taverne, Arek écouta les paroles des différents membres du groupe. Lorsqu’Elloa parla au Nain, Arek ne pu s’empêcher de voir son malaise. Mais pourquoi donc Golnam réagit il de cette façon, lui qui apparemment ne pouvait être troublé par quoi que se soit. Puis vint le tour de Xan, lui aussi se mit à parler d’une drôle de façon. Arek ne comprenait pas trop se qui était entrain de se produire.
¤ Mais qu’est ce qu’ils ont tous aujourd’hui ? Entre le sorcier qui embrasse la main de Jalyne, le Nain qui rougit à l’approche de l’elfe et Xan qui parle comme une femme lorsqu’il s’adresse à Elloa. ¤
Décidemment il y avait quelque chose dans l’air qu’Arek ne comprenait pas. Néanmoins lorsqu’Elloa parla à Xan, elle laissa échapper un mot qui capta l’attention d’Arek.
¤ Le Cercle. Qu’est ce que cela peut bien vouloir dire, il y a peut être un rapport avec l’épreuve qui a été évoqué lorsque la caravane est arrivée. ¤
Arek verrait cela plus tard. En effet à l’auberge, l’alcool aidant, certaines langues se déliraient sans doute. Et quand bien même lorsque l’ambiance ce sera détendu entre les deux groupes, il pourrait poser la question et avoir peut être des réponses. En se qui le concernait, Arek avait été engagé pour escorter la caravane et il comptait bien mener sa mission jusqu’au bout et cette épreuve ne l’écarterait pas de sa route.
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Ạbỷsŝë
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ahëlo accompagnait le groupe tout en gardant le silence, mais une part de son esprit n’en était pas moins ouvert à tout ce qui l’entourait. Observant Elloa avec attention, il fut réjoui par sa bonne humeur retrouvée, bien que seul un léger changement sur son visage placide dénotait ce fait. Il fut rassuré de savoir qu’elle se sentait finalement à l’aise au milieu des pierres de cette cité, même il ne parvenait pas à partager pleinement cet état. Le sentiment d’oppression était atténué mais toujours présent dans le coeur du génasi habitué à l'immensité et à la liberté de l'Océan.
Mais au moins l’elfe semblait bien s’entendre avec les nouveaux compagnons de voyage, si il se fiait aux paroles de Lascar concernant la suite. Et cela était de bon augure.
Lorsque Abysse entendit la mention du Cercle, il regarda discrètement autour de lui, pour voir si quelqu’un extérieur au groupe avait porté une oreille un peu trop intéressée aux discussions internes. Jebbedo connaissait cette cité, mais c’était particulièrement dans ce genre d’endroit que les ennemis de la Guilde pouvaient être dissimulés et les plus forts.
Cette inspection rapide effectuée, il se concentra à nouveau sur la jeune elfe à la chevelure fauve. Le génasi soupira légèrement, cherchant à attirer le regard d’Elloa pour lui dire quelque chose comme « Fais attention s’il te plait » par une petite moue bienveillante. ¤Bon elle s’en est rendue compte… Mais il faudra qu’on commence par travailler la discrétion avant d’aller plus loin dans la connaissance de l’Ouroboros...¤ Puis il reporta son attention au groupe en lui même, cherchant à distinguer l’intérêt certain que pourrait provoquer cette mention mystérieuse du Cercle. Lesquels de ces nouveaux compagnons, en avait déjà entendu parler, lesquels semblaient y apporter un intérêt certain, et lesquels pourraient éventuellement être même dangereux pour l’organisation. Il aurait alors une bonne idée de ce que présagerait la suite. Car instantanément les paroles de Lascar lui revinrent en tête, il aurait son rôle à jouer et devrait participer activement à tout ceci...
D’ailleurs le premier à réagir avait été le solide gaillard, dont le simple mot Cercle avait attiré l'attention. Quelles étaient les intentions et motivations du barbare, cela resterait encore à déterminer. Mais dans tous les cas il fallait procéder avec calme, précision et réflexion.
Au moins ces quelques pensées tournées vers ses obligations envers sa famille l’avaient tiré momentanément de cette sorte d’isolement permanent, que seul un autre génasi pouvait envisager ou comprendre. Interrompant par la même occasion le flot de questions qui se succédaient dans son esprit. Et encore une fois c’était Elloa qui lui faisait oublier, pendant quelques instants, sa quête personnelle, accaparant son esprit à autre chose. Ce qui ne lui était pas désagéable.
Inlassablement, l'océan donne et reprend...
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Capitaine
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Vingt-huitième jours du temps des fleurs année de la magie sauvage (28 Kyrthorn 1372) Lieu : Padhiver (auberge du griffon d'or) Temps : nuageux avec un petit vent frais Moment : Milieu d'après-midiJalyne resta de marbre tout le long du chemin, elle n’avait pas dit un mot ni même réagi au baise-main de Malig, elle était plongée dans ses pensées, personne ne l’embêta et la laissèrent vaqué dans ses rêves. Sur ce même chemin Hérudae en avait profité pour aller vendre ce qu’il avait pris à l’un des orcs qui les avait attaqués, il y a quelques jours, il avait pu en tirer un bon prix malgré le doute qu’il avait eu sur le prix de l’armure. Tous avaient un peu commencé à raconter leur petites aventures, mais ce fut Elloa qui lança la phrase qui fit relever au moins deux tête, le mot « cercle »n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
Apres plusieurs minutes de marches et d’arrêt devant quelques étalages, ils arrivèrent à l’auberge « du griffon d’or », à l’intérieur les gens discutaient, buvaient, chantaient, l’ambiance était joyeuse et conviviale, la troupe de musicien et la danseuse était toujours là à faire leur numéro pour essayer de récolter un peu d’argent. Le tavernier reconnu le petit groupe de la veille, il leur fit signe et leur désigna une table toute prête, en fait deux table était l’une à côté de l’autre ainsi que deux grand bancs et quelques tabouret, sur la table était posé un petite pancarte sur laquelle était écrit « réservé Jeb ».-Installez-vous ! Une de mes serveuses va venir prendre commande ! Je tiens aussi à préciser que chacun aura sa chambre, il lui suffira de passé me voir et je lui donnerai sa clé, pour ceux qui ont déjà dormi ici hier soir vous aurez exactement les mêmes chambres !! Il avait un énorme sourire, il savait que les affaires seraient bonne, puis il ajouta. Le repas de ce soir est déjà payé mes les boissons sont à votre bourse. Il repartit derrière son comptoir et repris ses activités. Autour du groupe tout le monde s’amusait, la fumée des pipes à herbe planait au-dessus de leur tête. Arek, Xan, Mussel, Necromus ainsi que Jalyne firent une petite moue quand ils reconnurent l’un des homme avec qui ils avaient eu une altercation la veille. Il était accompagné d’un autre homme inconnu, ces deux hommes étaient entrain de parler avec une jeune fille, celle ci- n’avait pas l’air d’apprécier leur compagnie.-Allez !!! Vient avec nous, ont va te faire connaître de belle chose. Il lui mit la main aux fesses et reprit de plus belle. Allez !!! Vient avec nous je suis sur que tu va adorer ça !! La jeune femme était nouvelle en ville, elle venait d’arriver et commençait déjà à regretter de s’être arrêté dans ce lieu. Alors j'aimerais que ce soit Nilawia qui poste la premiére et ensuite vous réagirez tous comme vous voulez
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Aventurière
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Les sourcils légèrement froncés dans une expression qui traduisait d'avantage l'ennui que la colère, Nilawia fixa tour à tour les deux hommes, cherchant à attirer leurs regards qui s'étaient égarés là où les yeux d'un homme bienséant ne se seraient jamais risqués.
Ce n'était pas la première fois qu'elle avait à subir cela. Bon nombre des femmes de la troupe de saltimbanques qu'elle avait quitté il y à quelques mois ne voyaient pas trop d'inconvénient à faire usage de leur corps pour gagner quelques pièces de plus. Aussi n'avait-il pas été rare que la jeune fille subisse les avances d'hommes durant sa tournée de la Mer Intérieure, mais Theran avait toujours été là pour les remettre à leur place.
Or aujourd'hui et depuis quelques temps, elle était seule, et devrait bien se débrouiller. Elle soupira.
¤Décidemment, y'a des crétins partout...¤
Son regard s'arrêta sur celui qui avait posé une main sur son arrière train et elle lui adressa un sourire radieux qui attira son attention, saisissant la main importune. Un claquement sec à peine audible se fit entendre alors que la jeune fille tirait en arrière l'index de son... "prétendant", prête à le briser.
Rapprochant son visage de celui de l'homme, elle plongea un regard lourd de menaces dans le sien, donnant un tout autre sens au sourire quel arborait toujours. Elle parla alors d'une voix froide, teintée d'amusement, répétant mot pour mot une phrase qu'elle avait entendu une bonne dizaine de fois.
- Recommence ça, pauvre pomme, et je te fais bouffer tes doigts... - Elle se tut un instant, semblant chercher quelque chose à rajouter, puis son sourire s'élargit en une véritable expression de satisfaction hilare, comme si elle venait de trouver quelque chose de terriblement drôle à dire. - "Je suis sûre que tu adorerais ça!"
Hein? Pourquoi je fais ça? Euh...
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Aventurière
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Un discret et aigu éternuement précéda la lente ouverture de la porte. Refermant en hâte le massif pan de bois derrière elle, la jeune femme embrassa d’un regard curieux l’hétéroclite assemblée s’activant joyeusement. Le nez rosi par un rhume léger, les vêtements humidifiés par une bruine impromptue, Njuna s’avança lentement, pressant ses mains l’une contre l’autre, encore glacées. Honteuse de son état, elle eut le réflexe de prestement aplanir son habit monacal, se jaugeant d’un regard contrit. Dans quel piteux état s’était-elle mise ! Tête courbée, et peu désireuse d’afficher plus longuement le spectacle de la pieuse jeune femme en pleine toilette à peine entrée, s’avança, cherchant du coin de l’œil une table libre.
Dénichant sans peine, un tabouret non occupé, Njuna s’y installa. Les yeux rivés sur la table, laissant perler de mines larmes, la gorge irritée par l’âcre fumée se dégageant des diverses pipes, son crane cogna contre le bois avec un petit bruit sourd. Elle était… fatiguée, maudissant l’hideux concours de circonstance ayant menée ses pas jusqu’à Padhiver. Trop usée pour y repenser, du moins dans les présents instants, la pauvre moine tourna doucement la tête, écoutant… rêveuse, l’enjôleuse mélodie des musiciens. Les paupières closes, elle se laissa aller ainsi quelques instants, écartant les nombreuses préoccupations taraudant douloureusement son esprit. Au loin cette bourse presque vide, et dont l’embonpoint se trouvait malheureusement nécessaire pour la suite de son voyage, comme des évènements. Ses cheveux en bataille et si peu soignés depuis maintenant plusieurs semaines, ses traits tirés et épuisés… Cette absence d’étape dans son parcours, de finalité, cette impression d’errance sans autre inutilité que de toujours plus l’éloigner du monastère de son enfance. Les paumes de ses mains claquèrent avec force sur la table, poussant un soupir accablé, et espérant n’étant guère pour autant devenue centre d’intérêt général, Njuna redressa la tête. Se frottant le visage et couvrant son nez et ses lèvres du tissu ample de ses vêtements, elle prit parti d’observer avec attention les lieux où elle venait de s’aventurer.
Beuveries, chansons, spectacle attrayant d’une fine danseuse ravissant maints et maints regards égrillards, ainsi que cette maudite fumée, origine douloureuse de cette affreuse toux qui la prenait parfois. Une simple auberge, établissement sûrement non moins honorable qu’un autre… elle n’avait d’ailleurs retenue son nom, seul importait de pouvoir un tant soit peu se sustenter, ainsi que de s’assoupir.
Son attention se perdant sur la foule, patientant avec nervosité qu’une serveuse vint s’occuper de sa personne, Njuna ouvra mollement la bouche. Etait-ce bien ce qu’elle croyait ? Des bribes de paroles parvinrent à ses oreilles, bien peu respectables d’ailleurs ! Le rouge eut vite fait de monter aux joues de la demoiselle. Elle était… pensive, pourquoi personne ne réagissait ? Hésitante, songeant à se mêler de ce qui ne la regardait aucunement, soit apprendre à ces rustres personnages que c’était avec un peu plus d’égard que l’on devait traiter la gent féminine, Njuna esquissa le mouvement destiné à la relever, avant de retomber l’arrière-train sur son tabouret, éberluée. Etait aisé à comprendre… que de son aide l’agressée n’avait aucunement besoin, malmenant la main coupable, et inversant sans doute aucun les rôles…
Une ébauche de sourire au visage, coudes contre table, mains pareillement posées contre ses joues, toute moine qu’elle était, Njuna se contentait d’observer, guettant le moment où les choses risquaient de se gâter, comme celui où une serveuse viendrait enfin prendre sa commande… Soit manger, boire, et dormir…
« Eyh… mais 'faut pas faire ça ! »
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Ļėvỉạ
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Lorsque le groupe rentra dans l’auberge, Arek repéra l’un des individus qui leur avait causé problème la veille. Mais il n’en fit rien paraitre pour le moment. Arek accueillit l’aubergiste avec un grand sourire et il le remercia après qu’il se soit installé à la table. Arek se plaça de tel sorte qu’il puisse voir la table ou se trouvait l’homme de la veille. Ce soir il n’était pas accompagné du reste du groupe qui avait agressé Nécromus. Mais il n’était pas tout seul, un autre homme était avec lui et ensemble ils avaient l’air d’ennuyer une femme. Arek s’adressa aux autres membres du groupe :
- Cette homme la bas, il nous a causé quelques problèmes hier soir et on dirait qu’il veut remettre ça ce soir avec cette femme.
Arek en profita pour détacher le lien qui entravait son arme afin de pouvoir la dégainer le plus vite possible, la leçon de la veille avait portée ses fruits. Puis il observa la scène afin de porté assistance à la jeune femme si cela s’avérait nécessaire. Lorsqu’il vit la réaction de cette femme, Arek comprit qu’elle était familiarisée avec les techniques de combat.
- Hum cette femme sait se battre la suite promet d’être intéressante. Attendons de voir mais je pense qu’elle n’aura pas besoin de notre aide, dommage. Mais on ne sait jamais.
Arek saisit la poignée de son arme tout en observant la suite des événements. Puis d’un air sérieux il rajouta :
- Si les choses s’aggravent, laissez-moi l’inconnu.
Arek prononça cette phrase sur un ton qui ne suscita aucune discussion. Puis il continua à les observer.
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Pøŭċęŧ
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ussel, le hin au regard perçant, avait remarqué dès qu’il était entré dans l’auberge le malandrin de la nuit dernière. Assis sur sa chaise rehaussée pour qu’il puisse au moins avoir les coudes sur la table – chose difficile quant on ne fait que 82 cm – il avait passé son temps à regarder ce qui commençait à ce tramer.¤ Encore ses mêmes saoulards, les humains sont si souvent enclins à la débauche... Maïliki, Ô ma déesse laisserais-tu de pareilles exactions se passer sous ton nez ? ¤ Lorsque l’homme osa tripoter les hanches de la jeune femme, le guerrier miniature bondit de sa chaise et commençais déjà à défaire sa fronde, près à renouveler la « boucherie » d’hier. Certes, le terme boucherie ne collait guère à la situation de la veille. Mais, quand violence gratuite il y a, la boucherie n’est pas loin. Il agissait contrairement à Arek qui n'était pas décidé à se battre tout de suite.
Le vaillant s’apprêtait à héler l’homme quand la femme sembla retourner la situation à son avantage. Un sourire illumina la tête enfantine de Mussel et prit alors la parole.- Ha ! Ha ! Ha ! Vous voila bien mal tombé Monsieur, elle semble avoir plus de répondant que Nécromus hier. Bien qu’aujourd’hui, je suis sur qu’il ne se laisserait pas faire et que vous seriez surpris de voir quel homme il est vraiment.. Ou devrais je dire quel elfe il est vraiment ? L’halfelin désigna le demi elfe du doigt, il espérait que se compliment non déguisé sur l’éventuelle bravoure du roublard détendrait l’atmosphère lourde qui s’était installée entre les deux depuis sa réprimande mal placée.Ne sachant plus s’était ce même homme qu’il avait blessé au coude la veille, le hin continua. "Au fait, votre coude, comment va-t-il depuis hier ? Vous ne souffrez pas trop j’espère.." Mussel entreprit de toucher les coudes de l’homme à l’endroit ou sa bille de fronde avait frappée. "Je crois que cette jeune femme vous apprend enfin les bonnes manière chose à la quelle nous avons failli hier, à ce que je vois." Puis s’adressant à la femme, "Laissez le, il a eu son compte, hier nous avons eu les mêmes problèmes et ils s’en sont mordus les doigts." En se retournant il appela ses compagnons. "Hein Arek ? Hein Xan ? Qu’ils ont eut leurs comptes ces messieurs ?" - Si le monde ne vous fait pas peur et que vous êtes d’humeur sociale ce soir essayez de vous joindre à nous, Jeb’ ici présent nous offre le repas, peut être que vous aurez vous aussi cette chance.. L’halfelin une fois sa hardiesse passée, s’inclina légèrement, et glissa un petit mot d’excuse à l’intention de la femme pour lui avoir parler sans avoir demander la permission. Puis fis trois pas en arrière, en faisant face à l’homme mal élevé, la fronde cachée dans sa main, une bille dans l’autre.
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Fạŋţỗmę
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Marchant tranquillement dans la rue et suivant les indications qu'il avait obtenu, Hérudae allait vers l'auberge du Griffon d'or. Mais il ne perdait pas non plus une occasion d'observer les rues et ruelles qu'il croisaient et l'état des tavernes devant lesquels il passait, sans toutefois ralentir car il n'avait pas le temps de faire une inspection complète et passer une tête dans le bâtiment pour voir les clients et ressortir aussitôt n'était ce qu'on pouvait faire de mieux en discrétion. C'est chemin faisant qu'il se souvint de sa conversation avec Cornebois, il y a plusieurs nuit de cela au sujet du médaillon et de l'organisation dont le symbole était représenté. Sa main se posa sans y prêter attention sur l'emplacement ou l'objet était rangé. Une poche, dans un chiffon, dans un endroit pas vraiment accessible. Mais cela mit surtout en tête au jeune homme qu'il y aurait sûrement des ennemis de l'organisation dont faisait partit Cornebois dans cette ville. C'est ainsi sans y penser qu'il allait arriver à l'auberge quelques temps après les deux groupes et qui sait avec un peu de chance, si jamais quelqu'un les avait observer au magasin de Jebeddo et bien cette personne aurait oublié le jeune voleur si commun. Il avait donc décidé de faire un peu d'observation avant de rejoindre ses compagnons et ainsi peut-être découvrir une personne qui s'intéressait d'un peu trop près au convoi ou tout simplement aux groupes.
Hérudae aperçu l'enseigne de l'auberge d'assez loin et était ravi d'arriver enfin dans un endroit où il pourrait cette nuit se reposer un peu ou très peu s'il sortait. Il pensait à un lieu tranquille quand des éclats de voix lui parvinrent aux oreilles quand il ouvrit la porte.
*Bien, cela va me permettra d'entrer dans l'auberge sans trop attirer l'attention puisque je suis certain que tout le monde regarde les acteurs de ses cris.* se dit je jeune homme en entrant. Il fit donc une entrée rapide, referma la porte derrière lui tout en passant dans un coin pour observer la sale.
Effectivement dans un coin il découvrit une jeune femme qui tenait la main d'un homme d'une manière pas vraiment amoureuse. Et à coté d'elle, Hérudae aperçu la tête de ce qu'il prit tout d'abord pour un enfant avant de reconnaître l'halfeling de l'autre groupe. Le voleur ne comprit pas ce qu'il disait mais quand il se retourna pour interpeller deux de ses camarades, cela indiqua à Hérudae où se trouvait la table de ses compagnons. Elle se trouvait dans un coin et on ne pouvait manquer l'attroupement réunit et très diversifié. Il devait donc choisir une table de l'autre coté, pour avoir une vue d'ensemble et tranquille. De préférence pas tout seul pour ne pas attirer l'attention. Et il trouva son bonheur quand il aperçu à une table, une jeune femme seule qui semblait attendre qu'une serveuse lui apporte son repas ou prenne sa commande.
Donc passant le plus loin possible du groupe, le jeune homme se dirigea vers la table de la jeune femme nommé Njuna, ce qu'il ne savait bien sur pas encore et peut-être jamais. Il jeta un oeil vers le groupe et tenter d'apercevoir Dobun, il espérait que son ami le couvrirait si jamais un autre s'apercevait de la présence du voleur et l'empêcherait de crier sur tous les toits de les rejoindre. C'est en pensant à cela et en se faisant le plus discret qu'il arriva à la table de la jeune femme, tout en prenant soin de montrer son dos pour l'instant à la direction du groupe, surtout tant qu'il était debout. Il toussota pour attirer l'attention:
"Veuillez m'excuser, mais j'aimerais savoir si je peux me joindre à vous. Prendre un bon repas, boire quelque chose de frais. Et si possible, je préfère ne pas manger seul dans mon coin. Et sans être devin, je crois que votre compagnie sera beaucoup plus agréable que l'ivrogne dans le coin ou les deux crétins qui se prennent une leçon en se moment. Et pour vous convaincre je vous offre un verre. Alors ? "Demanda Hérudae tout en indiquant du doigt la place face à la jeune femme et affichant un sourire chaleureux. Il n'avait pas besoin de jouer la fatigue de plusieurs jour de voyage à cheval, il devait en avoir l'aspect et un petit parfum de cheval. La fatigue devait d'ailleurs aussi se voir sur ses traits.
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ßѓịśę
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a fumée et l’odeur de bière mêlée aux rires gras et aux chants grivois qui constituent le paysage habituel d’une auberge retira un long soupir à l’elfe sauvage. Malgré ses deux années de voyage, malgré la visite fréquente de ce genre d’établissements, parfois bien plus sombre et bien plus inconfortable que ce buibui là, Elloa ne supportait guère l’ambiance grisée si chère à tant d’humains...et de nains. Pourtant, elle ne pouvait que s’y résigner. La vue des flammes dansantes dans l’âtre lui réchauffa le cœur, et prenant place avec ses nouveaux compagnons, elle tacha de choisir sa chaise dans le coin le plus chaleureux de la pièce. Elle pourrait sans doute enfin sécher cet immonde chandail qui lui servait de robe courte et qui portait une odeur de champignon qui ne lui rappelait que de très loin le parfum de sa chère foret méridionale. Nefer s’installa sur les genoux de la belle, et tandis qu’elle observait avec étonnement l’altercation qui avait éclaté aussitôt après leur arrivée, elle laissa ses doigts glisser dans la fourrure de l’animal et le caressa avec douceur et volupté jusqu'à ce qu’un ronronnement bienheureux se fasse entendre. La chaleur du félin était agréable, se diffusant sur son bas ventre comme une petite bouillotte. - Dis moi, maître nain dit elle en se penchant vers le barde sans penser qu’il ne connaissait peut-être pas les autres personnes qu’on lui avait présentée « Tu crois que ils vont battre les gars la bas ? » Elle avait constaté qu’Arek s’était débarrassé de ses liens, et elle ressentait comme une aura de colère s’élevant doucement dans la salle, comme la tension atmosphérique qui précède l’orage. Pour elle, une auberge s’accompagnait invariablement d’une bonne bagarre provoquée par des gens à la panse emplie d’alcool. Elle avait toujours trouvé cela un peu ridicule, et ne savait que penser de ses futurs compagnons. Elle chercha du regard Abysse et Malig, tachant d’observer sur leur mine ce qu’ils pensaient d’un tel endroit et d’une telle ambiance.
Réputation: 3.5
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