Le petit bourg.

Ciarodiah se dirigeait vers les autres quand soudain, son cheval aperçut une plante particulièrement alléchante. Impossible de le faire avancer. Elle avait beau tirer et tirer... Elle dû attendre qu'il ait terminer sa collation avant de pouvoir poursuivre vers le petit groupe. Elle vit Ohoosa se dirigé ver elle et lui présenter un homme un peu étrange. Elle l'observa attentivement.


Un piège vous dites?


Elle se voila en un éclair, saisit sa courte lance et observa les bois alentour avec attention.


Désolée du retard... vous voyez... j'habite au Québec alors question de décalage...

- Oui, j'en est bien l'impression, preparez vous j'ai l'impression que ca va chauffer !

les jambes pliées, le regard vif, l'arme dans sa main, il se prepare a recevoir une ataque ou a en donné une

t'inquiete pas, y a pa de probeleme pour ton decalage, c'est comprehensible de vivre a l'ouest, tu l' pas choist huhu !

Alors qu'Armael guettait les formes une volée de flèches partit de derrière un petit monticule à sa gauche. Une des flèches lui perça le mollet gauche. Oubliant la douleur il lança une charge en direction du monticule, et tomba sur deux jeune garçon armé d'arc court. En voyant leur jeunesse il retint son épée. L'un des garçons s'enfuit mais l'autre, celui qui semblait le plus agée sortit une dague et frappa. Armael esquiva et rendit le coup...qui frappa le jeune entre l'épaule et le coup. Le gamin s'effondra.

une des fleches s'etait planté dans l'arbre a quelques centimetres de la tête, qui fit un saut armé de sa dague dans la meme direction que le paladin. Il vit la scene et se rua vers le gamin effondré, s abaissant pour se rendre compte de la blessure que lui avait infligé l'homme

- Je crois bien qu'il n'y survivra pas...

Ciarodiah qui l'avait suivit l'aperçut tuer l'enfant. Horrifiée elle s'immobilisa sa lance devant elle.

Vous... vous... vous l'avez tuer? Un gamin avec une dague contre un homme fait et son épée. Quel genre d'homme êtes vous?

Une colère féroce perçait derrière ses paroles.

Armael regarda le gamin s'affaler. Il compris ce qu'il venait de faire. Il lacha son épée, son regard se perdit.
Au moment ou Ciarodah lui fit la remarque quatres hommes armés sortir du bosquet.

Je...Il voulait me tuer.

Il essayait de se convaincre lui meme...

La guerrière observa les quatres hommes sortir des bois. Elle se place en position défensive.



Je l'ai pt pas choisit mais si j'avais à le faire cé ça je choisirais!!

regardant les quatre guerriers postés devant lui, il prit de l'elang et sauta sur la premiere branche venue, tel un singe, montant de branche en branche et sauta sur l'arbre le plus proche pour arriver enfin au dessus des quatre bandits

- libre a vous de nous attaquer ! libre a nous de riposter !

des que ma cop est la je fait tt de suite moin de fauteS

Armael reprit ces esprit. Il venait de tuer un gamin mais ce n'était pas le moment de se lamenter, lui et son groupe était en danger, il ramassa son épée et charga dans le tas.
Mais un des guerrier frappa son cheval aux pates. Armael chuta lourdement mais le temps de reprendre ces esprit un homme était déja sur lui la masse d'arme levé prète a frapper.

Le nain, aussitôt que le danger se mit à pleuvoir, fit faire une rude embardée à son cheval et en sauta. Enfin...quand on mesure un mètre dix, on n' a pas vraiment le choix dans ces cas-là...
S' étant abrité derrière l' infortunée bestiole, Glër attendit la fin de l' orage. Lorsque les autres eurent combattu, il jeta un regard prudent au-dessus du flanc du brave palefroi, et estima les dégâts.

Une flèche s' était plantée dans le cuir bouilli de la selle, sans plus. Rigolard et arrogant tel un monarque du sang en atours de roturier, il s' approcha et ayant entendu la dernière phrase de Ciarodiah il dit d' un ton sec :

- Ce "gamin avec une dague" aurait pu nous tuer. J' pense qu' on peut excuser la réaction du gars...ça s' appelle la légitime défense, 'voyez ? Faut s' méfier des innocents, la vie est un long fleuve tranquille, mais à cause de ce genre de gamin innofensif, ben on finit par s' y noyer.

Puis, regardant autour de lui, il ajouta d' un ton plus bas :

- J'suis vraiment un foutu poète, moi. Héros et poète ! Hah...si mon vieux papa me voyait...

"Pour finir" il s' adressa à l' auteur de cete frappe magistrale :

- Héhé, joli coup p'tit gars ! L' aventure, on y prend vite goût, pas vrai ? puis, perfidement, il ajouta : Enfin bon...faut pas faire la gueule, non plus. T' en auras d' autres des comme ça ! Pt'être même plus frêles, si c' est trop dur...