Quel est votre nom, voyageur ?
L'aventure n'attendait que vous !
   

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> Le Mystère du Gobelin Mystérieux..., Dans les Arpents Verts
écrit le : Mercredi 04 Octobre 2006 à 08h59 par Amaranthe
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La jeune moine avait reçu l'affront de face.
Elle? Pas digne de confiance? Ses yeux étaient à présent des brasiers ardents et ses poings se serraient comme les sphères métalliques d'un fléau à plusieurs têtes, elle se retenait de ne pas sauter à la gorge du monstre immédiatement pour lui arracher la tête. L'elfe noire lui avait coupée l'herbe sous le pied, lui permettant ainsi de se recentrer sur ce qu'elle avait à dire.

Seule sa formation de moine lui permettait de conserver l'apparence du calme, même si ses articulations commençaient à blanchir sous l'effort.


- Ca suffit à présent! rugit la jeune moine Je n'ai jamais trahi personne et ce n'est pas maintenant que ça va commencer! Si vous osez encore suggérer que j'ai l'intention de vous trahir ou faire autre chose que libérer cette enfant Mazigliet, je me sers de votre tête pour repeindre l'intérieur des chariots avec votre cervelle c'est clair? Je vous ai proposé un marché, vous avez commencé à le remplir, donc si vous continuez jusqu'au bout il n'y aura pas de problèmes ...

Elle fit un pas en direction du monstre, comme pour appuyer ses dire.

- On vous laisse sortir du chariot vivant, on arrête un combat qui pourrait tourner en votre défaveur, on fait comme si une gamine qu'on ne connait même pas pouvait constituer un otage de valeur, on est on-ne-peut-plus civilisés et accomodants, et vous en réclamez encore? N'avez vous ni courage ni honneur?

Les bras d'Amaranthe balayèrent l'air pour appuyer ses propos.

- On vous construit une route pavée d'or et en plus vous avez l'audace de réclamer un chariot et des chevaux?! le corps de la jeune moine semblait danser sous l'effet de la passion qui animait ses mots, sa voix était ferme et ne doutait pas, et il était clair que si le gobelours considérait le fait de recevoir des ordres comme un crime de lèse-majesté, Amaranthe considérait le refus du monstre d'obtempérer comme une anomalie, un affront personnel qui lui était fait. «Alors vous allez faire comme nous en avions convenu, vous la laissez ici, et personne ne sera tué. Je l'ai demandé gentillement, on peut vous le demander beaucoup moins aimablement.» Elle ricana. «Et arrêtez de vous égosiller pour appeler vos comparses, ils sont partis en emportant deux grosses cassette d'or... il y en a même un particulièrement poilu qui cachait une grosse gemme dans ses affaires, l'elfe me l'a dit en me réveillant... je suppose qu'ils ne vont pas venir vous rechercher pour partager.»

¤Un beau mensonge habillé de vérité, comme une gousse d'ail dans un pain aux raisins, ... mange moi ça mon gros velu.¤

- Alors à présent, vous la laissez partir, ou bien nous ne la considérerons plus comme un otage et nous vous tuerons sur place. De toute façon si vous partez vous allez la tuer, alors elle n'a plus rien à perdre ... si vous dites encore un mot, si vous faites un seul geste qui ne soit pas ce que je vous ai demandé, je considèrerais que vous ne respectez plus notre marché, que Mazigliet nous a trahi et que nous avons eu tort de lui faire confiance.

Amaranthe serra les dents et plissa les paupières, fixant, les yeux tels des poignards le gobelours. La tension nerveuse qu'elle laissait paraître intentionnellement avait, bien entendu, pour but de faire prendre la totalité de ses paroles au sérieux, toutefois elle en profitait aussi pour évacuer ce qu'elle n'avait eu le temps d'expugner depuis son réveil. Les mâchoires serrées, elle ajouta enfin :

- Alors Mazigliet se carrer ses ordres où je pense et faire ce qui était convenu immédiatement, sinon Mazigliet mort, là ... le contenu du crâne répandu par terre et ses p'tits copains partis dépenser leur or ... c'est le sort de ceux qui ne respectent pas leur part du marché.

La jeune moine tremblait en son fort intérieur, et elle espérait réellement que le monstre cède à ses menaces. L'enfant capturée par le monstre était en grand danger mais s'il parvenait à s'enfuir avec elle ou appeler ses congénères, elle risquait de toute façon de ne jamais se remettre d'une telle chose. Il fallait que les autres tiennent bon, et la jeune moine aiguisait à présent ses réflexes pour pouvoir partir comme un carreau d'arbalète au moindre signe, ils n'auraient pas le temps d'hésiter si jamais les autres monstres montraient le bout de leur nerf ou si la créature commençait à se mettre hors de portée.



[PJ : Naïlin Satikri][PJ : Rhoetos(Projet)]
 
 
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écrit le : Jeudi 05 Octobre 2006 à 18h41 par Eymeria
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Ses espoirs d’alpaguer le capitaine des cavaliers fondirent comme neige au soleil. L’homme avait l’air occupé, et franchement elle doutait qu’il accorde un entretient à une parfaite inconnue en cet instant précis.

La guerrière envisagea un instant de suivre les deux hommes dans le cloître puis haussa les épaules.


¤ A quoi bon, cela servira juste à m’attirer les mauvaises grâces des moines et de cet homme qu’ils ont en haute estime.. Un noble peut être? ¤

Elle rageait de n’avoir pu entendre la conversation des deux hommes.

¤ A défaut de prendre les informations à la source, voyons si je peux en glaner alentours … et m’attirer la sympathie de ces hommes tant que j’y suis. ¤

La charité n’était pas dans les habitudes d’Eymeria, mais ces hommes blessés étaient des soldats, une sorte d’hommes pour lesquels elle avait un certain respect. C’est donc sans trop forcer sa nature qu’elle s’approcha des blessés, proposant son aide pour les transporter vers ce qui devait être une infirmerie.

Ce faisant elle gardait les yeux et les oreilles grand ouverts à l’affût de tout renseignement.



 
 
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écrit le : Vendredi 06 Octobre 2006 à 18h20 par Mahalalehel
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Eymeria

Eymeria suivi le cortège jusqu’à l’infirmerie. Là un des cavaliers à l’allure peu commode refoula les personnes indésirables, ne laissant entrer que quelques moines, les blessés portés par des gardes du monastère et un jeune halfelin poussiéreux. Devant la porte, restèrent deux autres cavaliers en armure et armes, surveillants la porte, quelques moines qui posaient des questions, et une dizaine de badauds qui piaillaient. Le tout formait un brouhaha des plus respectables.

Eymeria examina les personnes présentes. Tout d’abord les soldats de Tyr : deux gaillards solides, chondathiens, portant une armure de plaques, le heaume sous le bras. Un marteau de guerre et un écu accroché dans le dos complétaient leur équipement. Apparemment ils étaient éprouvés mais essayaient de remplir leur mission de surveillance.
Autour d’eux on pouvait voir trois jeunes moines, maigres et affables, essayant de savoir ce qui pourrait faire plaisir aux deux nouveaux arrivants ; plusieurs des gardes du monastère parlant des blessures qu’avaient reçus les blessés qu’ils avaient portés ; deux nomades s’inquiétaient des possibles adversaires qu’ils avaient pu rencontrés, et plusieurs marchands et voyageurs flippaient pour leur camelote.

Un de ceux la, un gros marchand arrivés le soir même avec une caravane de mules portant des ballots de tissus et de laines, vint interpeller la guerrière, visiblement effrayé :


- Qu’a-t-il pu leur arriver ? De tels guerriers ! Ca doit être des brigands sans pitiés ! OOOoooh, et moi qui n’ai que deux mercenaires sur leur retour pour me défendre….Vous pensez qu’on va se faire attaquer ?



Amaranthe, Ascha Cheynn, Talvrae

Lorsque trois gobelins armés de pieux avaient surgis de derrière le chariot en feu, comme par magie, Mazigliet avait poussé un cri de victoire. Il avait brandi son cimeterre en l’air en criant :

- za mtohi, cltoptortvet'wa, vvet'nvet'z hichi vet't défvet'ndvet'z vtotrvet' chvet'f ! towui vtowa phivet'dwa rôthirtont lvet'ntvet'mvet'nt à lza chzandvet'llvet' !

Les gobelins entourèrent leur chef. Profitant de la diversion, la fillette échappa au gros gobelours et couru se réfugier derrière le barde, le seul qui ne soit pas taché de sang.

Le laisser pas me reprrrrrendrrrrre !!! hurla la petite fille en se blotissant dans la cape de son protecteur désigné.

Le gobelours ricana grassement :


- Mazigliet plus besoin notage, soldats mazigliet arrivés!! Maintenant humains supplier ou mourir !!!!

Talvrae et Ascha Cheynn purent reconnaître sans doutes possibles, à la ceinture d’un des gobelins, l’étrange arme appelée « Chakram » que Rogan possédait. Mais du rôdeur, nulle trace.
Les lances gobelines formaient une haie mortelle devant les monstres.





initiative:
Talvrae: 15
Amaranthe : 14
Ascha Cheynn: 10
monstres : ???


 
 
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écrit le : Vendredi 06 Octobre 2006 à 21h56 par Aristeo
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Aristéo était finalement réussi à entrer dans l'infirmerie. Mais il n'avait pas vraiment apprecié le regard froid et hautain du Tyrien qui lui avait bloqué le passage. A dire la vérité depuis qu'il était arrivé il n'avait pas trouvé grand monde de sympathique, d'abord le gnome qui l'avait presque insulté, ensuite le chef des cavaliers qui avait rejeté presque toute ces questions et maintenant ce gaillard qui s'était à peine daigné de l'écouter. Le halfelin se demandait ce qui pouvait rendre les gens de cette région tellement froids et inamicaux mais une fois arrivè à l'intérieur, ses yeux se posèrent sur les bléssés qui gisaient dans les lits.

La situation était grave et il ne faisait aucun doute que leur vies étaient en danger. Il s'apperçu qu'au fond de la salle un des lits était occupé, malheureusement l'occupant en question était recouvert entièrement d'un drap blanc.
¤Pauvre homme¤ pensa le prêtre. Mais il savait qu'il ne pouvait rien faire pour l'aider, prier pour les morts n'était pas le bon moment, mieux valait penser aux hommes qui encore avaient une chance de ne pas passer dans l'au-delà.

D'un coup d'oeil il observa les soldats inconscients. Bien que tous étaient recouverts de blessures qui semblaient extrêmement importantes. Aristéo s'approcha de cui qui lui semblait le plus mal en point, celui donc le visage devenait dangereusement pâle certainement à cause d'une perte de sang trop consistante.

Le hin tira sur la robe d'un des moines pour attirer son attention.

- Je m'occupe de celui-ci, je suis un disciple du Chevaucheurs des vents et il me reste encore quelques sorts de soins, vous occupez-vous de l'autre, et essayez de le maintenir en vie.
Le prêtre se rapprocha du blessé et posa ses mains sur la plaie plus consistante qui se trouvait sur l'abdomen et commença à prier

¤Shaundakul, écoute moi, ne laisse pas que la mort prenne cet homme maintenant, laisse lui continuer ce merveilleux voyages qu'est la vie, guérit ses blessures et donne lui la force de se relever pour pouvoir parcourir ce monde¤

Aristéo lance Soins légers


 
 
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écrit le : Dimanche 08 Octobre 2006 à 16h11 par Lucius
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ucius tourna la tète rapidement vers l’entrée de l’infirmerie, un bruit suspect de métal avait fais réagir le prêtre au quart de tour, il épiait chacun présent sous ses yeux. Apres un instant, figé, le regard lourdement posé sur l’entrée, il ne put rien voir d’alarmant. Le chondathien cherchait à croiser les yeux d’un des serviteur du dieu brisé, d’un signe de tète il l’invita le premier qui avait croiser son regard à le rejoindre.

-Reste ici, et reste vigilant, j’ai à faire; Personne ne doit entrer sauf pour aider, pas de fouineur Lucius accompagna ses mots d’un mouvement de tète en direction de l’infirmerie. Cédant le poste vacant au moine, il entreprit d’observer de plus prêt l’état des blessés, il pourrait aussi profiter de se rapprocher du gnome pour garder un œil sur lui.

Le prêtre semi-homme était pencher dans un mouvement de prière sur le premier blessé, Lucius s’attardait sur son cas, se demandant se qu’un gnome faisait dans ses contrées, de toute évidence, le petit personnage était étranger de la région, le Tyrien n’avait pas aperçu d’autres petites gens.


¤Comment est tu arrivé ici ? … Pourquoi ?¤

La plainte du second blessé tira Lucius de ses pensées, en qualité d’aumônier, il se devait de s’occuper de son compagnon d’arme, métal et chaire ne fessaient pas bon ménage, et le corps du guerrier était ensanglanté. Un moine s’affairait a son chevet, nettoyant les plaies du mieux qu’il pouvait, le prêtre pris un linge et le trempât dans un sceau d’eau rougie, il s’accroupit au dessus du visage du blessé tout en appliquant le linge humide sur son front brulant il lui parlait d’une voie sourde :


-Allons mon ami, cesse de geindre, la douleur est une épreuve que Tyr t’envoi, fais honneur au Dieu juste, n’a t-il pas perdu sa main pour la cause, n’a-t-il point souffert le martyre pour nous sauver tous ? Ouvre les yeux compagnon, crois tu que Tyr ait la moindre estime pour les faibles ? Ton heure n’est pas encore venue, prie mon frère, prie et implore avec moi le Juste !

Lucius plongeât son regard dans celui du soldat, doucement, sur un ton monotone, il entonna une prière :


Gloire a Tyr notre seigneur,
Qui dans l’adversité n’as pas faiblit.
Force et honneur sont maitres mots.

Depuis la maison de la Triade,
Jusque dans les ombres-terres,
Rayonne la lumière du Juste.

Gloire a Tyr notre seigneur,
Car il reconnait les siens.
Force et honneur sont maitres mots.

La prière dite, Lucius posa ses mains de part et d’autre du visage du soldat, ferma les yeux et utilisa les pouvoirs de son dieu.

Lucius transforme imprécation en soin léger.



 
 
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écrit le : Mercredi 11 Octobre 2006 à 20h56 par Mahalalehel
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Aristéo, Lucius

Presque simultanement, les deux prêtres avaient fait appel au pouvoir de leur dieu.
Le sort d'Aristéo, avec la discrétion et la modestie de Celui Qui Est partout Le Bienvenu, avait fait un peu de lumière bleutée. Celui de Lucius avait provoqué une sorte de luminosité metallique très brillante. mais le résultat avait été identique, les deux tyriens avaient ouvert les yeux et regardé autour d'eux, comme surpris d'être vivant.

Un des moines d'Ilmater, debout derrière eux, leur mit chacun une main sur l'épaule.


- Bravo, mes frères! Vous pouvez être fiers de vous. voila deux souffrants que vous avez sauver de la douleur et de la mort, pour le bien de tous.

Chaque blessé était maintenant pris en charge par les moines, et celui qui s'était adressé à eux leur indiqua la porte.


- Des voyageurs comme vous doivent être harassés et affamés. Mes frères s'occupent de vos amis, vous pouvez aller vous restaurer! je vais vous montrer le chemin.


sans leur laisser les temps de répondre, il les préceda. En le suivant, Ils purent le voir revenir vers le cloître, puis s'engager dans un petit couloir qui menait apparemment à une salle à manger privée derrière la salle commune, où un moine était en train de dresser une dizaine de couverts pour les nouveaux venus.


 
 
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écrit le : Mercredi 11 Octobre 2006 à 23h02 par Lucius
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algré le trouble qui avait suivi l’arrivé des troupes tyriennes, la salle ou se préparait un repas semblait baigner d’une singulière quiétude aux yeux de Lucius. Il prit une profonde inspiration et détourna le regard vers Aristeo.

-Merci frère-moine, tu fais honneur à l’hospitalité légendaire des fideles d’Illmater.

Apres un bref sourire de politesse au moine, il tendit une main rugueuse en direction du halfelin :


-Cobayaskyr Lucius, je voyage depuis peu avec ses hommes. Merci pour ton aide, heu … je n’ai pas retenu ton nom ? En tout cas, je suis ravi de rencontrer un serviteur divin, tout comme moi, peut être parlerons nous théologie lorsque le calme serra revenue.

Le prêtre fit un sourire engagent, du moins le plus qu’il le put, tout en parlant son esprit explorait plusieurs hypothèses. De toute évidence ce halfelin, mis a part son arrivé plus que soupçonneuse dans l’infirmerie, était plutôt du genre à passer inaperçu, de par sa taille, mais surtout a cause de son allure de gentil garçon.
¤ La face difforme et putréfié du mal se cache souvent derrière le visage innocent. ¤ Il se pouvait tout à fait que le semi-homme si empressé de prouver son amitié, en soignant le soldat tomber soit en fait un usurpateur…

¤A moins qu’il ne soit vraiment sincère, se qui en soit est déjà étrange. ¤

Le cormyrien fixa Aristeo de toute sa hauteur, cependant qu’il réfléchissait, ses paupières c’étaient abaissées, ne laissant plus que la noirceur vive de ses pupilles visible. Machinalement, il tira sur la boucle de ceinture qui retenait le fourreau et son épée, son bouclier était resté avec le gros des affaires de la troupe. Lucius fit glisser le fourreau et la lame jusque dans sa main, la rencontre du cuire du gant, et de celui du fourreau provoquât un léger grincement, juste en dessous de la garde de la lame, la balance était gravée.


-Bien ! Frère-moine, besoin d’un peu d’aide ?

Lucius n’attendit pas la réponse de l’homme, il ne fallait pas oublier de se nourrir, même le plus grand homme ne peut rien fasse a l’imprévu le ventre vide, voila se que disait son défunt père, et puis, la journée avait été longue et éprouvante, il restait encore au soin du prêtre de prier pour l’âme du soldat tombé, ainsi que la célébration de son office nocturne. Lucius priait Tyr, une première fois au lever, et une seconde au couché, il mettait un point d’honneur a ne jamais enfreindre cette règle qu’il s’était fixé lui-même.



 
 
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écrit le : Jeudi 12 Octobre 2006 à 01h49 par Talvrae
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alvrae se sentit sur le point de défaillire en voyant les trois gobelins qui venait de rejoindre Maziglie , elle ne se sentait absolument pas la force d’Affronter trois monstre de plus. Depuis un moment le groupe marchait sur des œufs avec Meziglie, mais ils ne pouvaient plus bluffer comme ils le faisaient avant, la choses était beaucoup trop sure d’elle.

Talvrae regarda autour d’elle nerveusement, elle n’avait vraiment pas envie de supplier qu’on lui laisse la vie sauve. Sa voudrait probablement dire une vie d’esclavage et la jeune barde ferait tout pour ne pas retourner dans se genre de vie, elle venait à peine de goûter à la liberté, il était beaucoup trop tôt pour l’abandonner.

La petite elfe noire évalua quelque peux la distance qui la séparait des gobelinoïdes et jugea que la distance était suffisante. Elle se retourna et partie à la course dans la direction inverse en se disant que si les autres était intelligent il l’imiterait aussi tôt et courrons pour leur vie, c’était la seule solution vivable. Avec Rogan embusquer dans les buissons ils auraient peut être une chance, mais apparemment le jeune homme n’était plus. L’esclave en fuite avait bien l’intention de ne pas le rejoindre.


 
 
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écrit le : Jeudi 12 Octobre 2006 à 08h21 par Narvarth
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La petite n'était plus dans les pattes des gobelins, c'était déjà une bonne chose, leur objectif maintenant était de ne pas s'y retrouver à leur tour, mais cela allait être assez difficile. Ses deux compagnes de fortune avaient tour à tour poussé à bout la colère du meneur gobelin qu'ils avaient face à eux, si ce dernier parvenait à utiliser au mieux sa fureur, ils allaient tous en pâtire.
La présence d'une partie des possessions de Rogan entre les mains gobelines diminuaient encore leurs chances, leur farouche compagnon humain était perdu, visiblement, ils étaient donc trois contre quatre, ses deux compagnes, blessées, n'avaient que peu de chances de survie à long terme sur du corps à corps, face au mur de lances gobelines le combat rapproché était impensable.

Ascha avait conservé son arc durant le déplacement de Mazigliet, il pourrait s'en servir pour tenter de tenir les gobelins à distance, mais pour cela, il fallait que les aventuriers optent tous trois pour une stratégie de distance, au moins le temps d'infliger des pertes dans le rang adverse.

Il n'essaya même pas de calmer la fureur gobeline par ses paroles, il était trop tard pour ça, passé un certain stade, la diplomatie n'avait plus sa place, il aurait été stupide de le tenter tout de même.

L'aasimar devait faire part de ses idées pour le combat à ses compagnes blessées, sans que les gobelins ne tournent ces informations à leur désavantage, il espéra donc que l'humaine arrive à saisir ses paroles elfiques.


Sans se retourner vers la fillette dont il avait maintenant la charge, le barde lui expliqua également comment elle allait devoir réagir.

(Commun): Tu vas rester calme le plus possible et tu vas reculer en même temps que moi, ne t'éloigne pas trop quand même.

Il avait rarement eu des paroles aussi peu rassurantes face à une situation comme celle çi, mais au moins il n'avait pas mis plus de pression à l'enfant.

Ascha attendait les réactions de ses compagnes pour engager le combat, il avait tout de même une flèche de prête avec son arc, il visualisait la gorge de Mazigliet, dès lors que lui ou ses compagnons gobelins se mettraient à esquisser un geste défavorable au petit groupe, la flèche n'auraient plus qu'a partir en direction de ce semblant de chef.


¤Celle là sera pour Rogan.¤
Bien que n'ayant connu le rôdeur que peut de temps, il se devait de le venger et n'aurait peut de pitié pour ses bourreaux.

L'observateur allait prendre entièrement part à la situation.


Seulement la réaction qu’eut Talvrae modifia considérablement ses plans, il commença dons a déplacer la fillette afin que cette dernière imite la drow.
Il commença à partir en marche arrière, dans le même sens que la barde.




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Unifier c'est nouer mieux les diversités particulières et non les effacer pour un ordre vain.


Fiche d'Ascha lvl3
Ascha Cheynn, Narvarth
 
 
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écrit le : Vendredi 13 Octobre 2006 à 16h23 par Aristeo
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Aristéo ne dédaignait pas faire quelques gestes de charité de temps en temps, il se sentait même assez fière d'avoir pu sauver un des bléssés, mais ils ne pouvaient nier espérer quelque choses en retour. Le moins que les moines pouvaient faire était leur préparer un bon repas et leur offrire le gîte pour la nuit. ¤Je sais pas ce qui se passe dans ce coin, mais dormir à la belle étoile ne serait surement pas une bonne idée¤ se dit-il.

Par nature les halfelins étaient curieux, mais Aristéo l'était encore plus. Le fait d'avoir été tenu à l'obscure des derniers évênements le rongeait autant sur le plan psicologique que sur le plan fisique.
L'unique personne qui pour le moment pouvait lui apporter quelques informations étaient le prêtre de Tyr qui avait soigné le second bléssé.

Bien que le cormyrien ne semblait au début guère simpatique, celui-ci se présenta au jeune petit-homme comme Lucius Cobayaskyr.


¤C'est peut-être pas quelqu'un de très amusant, mais au moins il a une certaine éducation¤ pensa le hin.

- Il est normal que tu n'es pas retenu mon nom, tout simplement parce que je ne te l'ai pas dit. Je suis Aristéo Viaordin, je sers Shaundakul, le chevaucheur des vents et je suis venu dans cette auberge pour une sorte de pélégrinage. A présent dis-moi,les hommes que nous avons soignés sont tes compagnons non? Qu'est-ce qui s'est passé?

Inconsciamment Aristéo battait un des pieds sur le paviment de la salle à manger dans laquelle ils se trouvaient. Il attendait avec impatience la réponse.


 
 
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