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L'étudiante, Rochedor
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Soeur des Marches
Chambre 14
Aucune gemme
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près avoir décollé son oreille du bois, Hermine fit une pompe devant la porte d'Indraël Aran'Dil, dans l'espoir d'aperçevoir quelque chose à travers le jour qui passait sous la porte. Ne discernant rien d'aussi important qu'une paire de sabots fourchus ou un bas de robe blanche, elle repassa en position accroupie, puis à la station debout, tout en passant en revue les différentes solutions pour sortir le pauvre Zlik de sa situation. La porte était munie d'une serrure et non à clanche, ce qui lui interdisait de lever le loquet en introduisant quelque chose entre la porte et le chambranle. Bien que le magicien elfe ne semble pas dans sa chambre, défonçer cette serrure, puis le coffre qui retenait Zlik prisonnier à coups d'épée ne manquerait pas 1) de risquer d'alerter les gens présents en bas et 2) de laisser des traces ; Hermine n'avait pas envie de commencer une vie de fugitive, ni surtout d'en imposer une à Elinor Dentrefond, surtout que rien à part quelques courbatures ne semblait immédiatement menacer le halfelin. Enfin, atteindre la fenêtre d'Aran'Dil en passant par sa fenêtre à elle puis par le toit lui apporterait peut-être la confirmation que la chambre était vide, mais il y avait peu de chance que la fenêtre soit ouverte, elle ne voulait pas défoncer un carreau et cela attirerait sûrement l'attention des gardes dans leur tour de guet : le jeu n'en vallait pas la chandelle. Non vraiment, mieux vallait rapidement se donner un alibi, ou une justification avant toute action tandancieuse.¤ Bon. alors .. ¤ , Hermine approcha sa bouche de la porte numéro 5 et chuchota assez fort pour que le halfelin l'entende :- Zlik, écoute-moi. La joue et le poing contre la porte, l'Illuskane parlait de façon conçise et rassurante, car elle ne voulait pas donner l'impression au halfelin qu'elle l'abandonnait. « Dans deux minutes, je suis de яetouя avec des gens style la seяveuse pouя qu'on constate que l'elfe, c'est le méchant, et toi le gentil, et te soяtiя de là. En attendant, tu tâches de dégoteя une histoiяe convaincante qui confiяme ça, d'acc' ? 'Me déçois pas, copain. Tiens bon ! » Après la confirmation du halfelin, Hermine se rua dans l'escalier, et traversa la salle commune aussi vite qu'elle le pouvait pour se rendre sur la terrasse :- Balta !! Zlik est pяisonnieя dans la chambяe d'Indяaël ! Un peu essoufflée, la jeune femme plaqua ses mains sur la table ou se trouvaient la jolie noble et le chondathien. « S'te plait, file cheяcheя ton matos pouя ouvяiя cette putain de poяte numéяo cinq, on ne sait pas ce que fait cet elfe ! » Puis, à Elinor, avec une moue gênée mais pas effrayée : « S'cuse, cas de foяce majeuяe ... tu me suis, si tu veux bien ? » Puis, parce que Baltazard était capable d'agir seul et pour une fois sans attendre patiemment Elinor Dentrefond, Hermine marcha à grandes enjambées vers Ania Fierforge, et la prit à parti de façon assez peu discrète :- 'Moiselle ! Y a un pauvяe halfelin qui est яetenu pяisonnieя dans la chambяe de Aяan'Dil ! Avec mon copain Baltazaяd dont le papa est seяяuяieя, on va essayeя d'ouvяiя la poяte numéяo 5, mais le temps pяesse caя le яouquin a l'aiя de souffяiя le maяtyя, et il va peut-êtяe êtяe sacяifié ! Vous pouяяiez nous aideя à le sauveя, s'il vous plaît ? Tablant sur la curiosité manifeste de la naine et sur la légitimité qu'on avait en investissant la chambre d'un elfe mystérieux soupçonné d'activités bizarres et qui retenait un innocent prisonnier, Hermine espérait qu'elle pourrait dégoter un quelconque passe pour ouvrir la porte d'Indraël Aran'Dil, et peut-être même mettre de son coté la populace outrée ... A vrai dire, elle commençait même à croire à son histoire.
En tout cas, il n'était pas question de traîner. On ne savait effectivement pas à quoi était occupé Indraël Aran'Dil ...
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Oreille des Marches
Aucune chambre
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Zlik ecouta attentivement Hermine le coeur battant. Son coeur manqua quelques bond quand elle lui annonça qu'elle partait chercher du secours.A ce stade, le halfelin temeraire avait une peur bleue des coffre et des endroit confiné et obscur.Il se calma rapidement et c'est essouflé qu'il entreprit de se repeter une histoire dans sa tete sur les recommandation de Hermine. Etant devenu maitre pour inventer des histoires credible en trés peu de temps, cela fut vite fait.
¤Alors, j'etais seul dans le couloirs a attendre Hermine... Il m'est tombé dessus en disant qu'il voulait me sacrifié... Je me suis debattue t il m'a mis dans ce coffre en partant chercher je en sait quoi...¤
Il tourna et retourna son histoire dans la tete pour l'arranger, et attendit impatient comme jamais, que des bruits de pas dans le couloir et qu'on le sorte d'ici.Il etait aussi partager par un dilemme, est ce qu'il va pourrir l'elfe en sortant de ce coffre moisi, ou est ce qu'il va se faire petit de peur de retourner dans cet boite de merde...
-"Il va me le payer en tout cas, et son coffre, je me torche avec..."
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Oreille des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
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Andris commençait à perdre patience, cette histoire commencer à l'agacer. Il n'avait que faire des regrets de cette vieille naine cupide, la seul chose qui pourrai l'interesser en plus de sa prime serait un crédit à la taverne. Malheureusement, la mairesse ne semblait pas disposer à faire ce genre de cadeau...
-Il n'y a plus une goule dans cette mine et je gage que vous ne taяdeяez pas à la яemettre en service. Mais il y a un point qui risque de poser quelque peu problème. Voyez vous, moi et mais compagnons sommes au nombяe de tяois, je penses, qu'il seяait plus convenable de nous donner une somme que nous pouяяions paяtager en tяois. Il serait dommage que la faleuя de chaccun d'entre nous ne soit pas reconnu de façon égal, n'est pas ?
Le barbare n'avait pas tord, on ne comptait plus les récits de compagnies entière c'étant entretuer pour quelques piécettes. Après tous ceux qu'ils avaient fait pour elle, la naine avait tout intérêt à arondir la somme au chiffre au dessus. Autant pour le bien être du groupe, que pour le sien.
Que nos épées tombent avant de se croiser à nouveau. Mais seulement après que nous nous soyons rompu l'échine à soulever des trésors.
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Oreille des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
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Baltazard, crochetage : 20 (dé) + 7 ><DD 25 = réussite automatique Baltazard, crochetage : 5 (dé) + 7 ><DD 20 = échec
Narration
Hermine
La naine, qui était occupée a astiquer de belles choppes étincelantes posa immédiatement un doigt sur les lèvres de la jeune Illuskane afin de la faire taire. Ses sourcils se froncèrent laissant apparaître un visage soucieux. Elle s’éloigna un instant, attirant Hermine à sa suite, dans un coin plus bruyant de l’auberge que le comptoir, elle lui tint ce discourt en jetant derrière elle de nombreux regards furtifs et inquiets.
- Monsieur Aran’Dil s’est plaint auprès de mon père qu’un voleur avait pénétré dans sa chambre et qu’il lui avait dérobé une somme d’argent conséquente. Par contre, j’ignorais qu’il l’avait lui-même enfermé dans le coffre. C’est ennuyant, car mon père, désormais a redoublé de vigilance, et il fait surveiller chaque étranger. Je n’aime pas cet Aran’Dil, je l’ai toujours trouvé louche et mauvais, mais il paye bien mon père. Je veux dire, il lui donne un petit supplément. Il vaudrait mieux, je pense...agir dans son dos. Chuuuttttt ! Fit elle encore alors qu’un employé de l’auberge, à la panse importante s’approchait en râlant du bar. « Voilà celui qui est chargé de vous surveiller. »
- [nain] Le dénommé Balta est entré dans sa chambre, rien à signaler. Déclara l’employé à la panse bien rebondie aussi discrètement que se peux l’être un Rothé au milieu d’un troupeau de moutons.
Elinor semblait attendre dans un coin, inquiète et réservée, qu’Hermine lui en dise davantage sur la situation.
Baltazard, Zlik
A peine le roublard eut il atteint la porte de la chambre n°5 qu’il entendit des pas dans l’escalier ainsi qu’une voix grave grommeler. Aussitôt, il se recula vivement, et se dirigea vers la porte de sa propre chambre. Le nain déboucha dans l’escalier, répondit au petit signe de la main que lui adressa Baltazard, et fit le chemin inverse râlant davantage encore. L’agent de la Compagnie des Marches, méfiant et rapide déverrouilla la porte en un tour de main. Il avait oublié de prononcer le mot de passe, mais rien de fâcheux ne se produisit.
- Je suis là Zlik ! Dans quelle poisse t’es tu fourré !
Il étala devant lui divers crochets, et entreprit de faire céder la serrure de l’imposant coffret de bois, sans y parvenir toutefois. Le mécanisme, s’il ne semblait pas davantage résistant que celui de la porte résistait aux assauts de ses divers instruments.
- Zlik ! As-tu ta trousse avec toi ? Il faudrait que tu m’aides. Il y a un petit loquet dans la serrure que tu pourrais maintenir coincé tandis que j’essaye de remonter l’autre.
Malahalehel, Andris, Vieltal
- Je vous que vous êtes un habile négociateur déclara la naine avec un petit sourire amusé, en faisant glisser une pièce d’or supplémentaire vers le nain qu’elle considérais sans aucun doute comme le chef de l’expédition.
A cet instant, la femme de chambre de Galia Barbefer pénétra dans la pièce, esquissant une petite courbette ridicule.
- [nain] Madame, je pense que nous avons un ennuis avec le corps de l’halfeline. D’après le prêtre, il faudrait brûler sa dépouille, car elle semblerait maudite.
Mala recoit une pièce d'or
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Soeur des Marches
Chambre 14
Aucune gemme
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ermine interrompit ses messes basses avec Ania à l'arrivée du "détective privé amateur". Au moins, elle connaissait maintenant l'apparence de celui qui le suivait ; de plus, sa silhouette bedonnante caractéristique lui permettrait d'en donner la description à ses compagnons des Marches, ça pourrait être utile. Cependant, même s'il semblait peu dangerueux, il limitait la marge de manœuvre des Compagnons des Marches et le mieux serait bien sûr de ne pas avoir à s'en soucier ... L'Illuskane fit un grand sourire au serveur :- A-ha, voici donc un des employés de ce magnifique établissement ! Ces paroles manquaient de faire grincer les dents d'Hermine et le nain ne devait sûrement avoir qu'une compréhension approximative du commun, mais Hermine poursuivit en lui serrant la main, comptant sur Ania Barbefer pour lui traduire ses dires le cas échéant. « Mon ami, un employé de qualité tel que vous doit sûяement avoiя foяt à faiяe ! Tenez cheя monsieuя, voici de quoi vous détendяe quand vous en auяez le temps ... Quelqu'un d'aussi indispensable que vous doit se ménageя le яepos dont il a besoin, n'est-ce pas ? » Avec un clin d'œil mutin, la guerrière glissa discrètement cinq pièces d'argent dans la main du nain. A part si celui-ci mangeait du foin, il devait avoir saisi l'allusion et relâcher sa surveillance, au moins pour un temps. Il devait bien être sensible à ce petit pot de vin suffisant pour se payer un bon repas ! Au pire, on pouvait espérer qu'il trouverait Hermine trop dépensière, donc trop naïve, donc peu dangereuse et donc, peu utile à surveiller ... L'espoir fait vivre.
Une fois que l'aspirant enquêteur se fut éloigné, Hermine se retourna vers Ania, non sans avoir auparavant jeté un coup d'œil autour d'elles et invité Elinor à s'approcher : il était en effet dommage de l'exclure ainsi. Après avoir brièvement rappelé la situation, la Nordique poursuivit :- C'est donc ainsi que sont les choses ... Un gяand meяci du nous pяéveniя, mademoiselle Ania. Mais je me demande une chose : ou est donc passé monsieuя Aяan'Dil ? Je ne l'ai pas vu dans le village mais il ne semble pas non plus êtяe dans sa chambяe ? De plus, vous avez paяlé d'un ceяtain Fibяedacieя qui semble êtяe aяяivé ici en compagnie de meяcenaiяes ; votre pèяe le fait-il suяeilleя lui aussi ? Ils semblent bien s'entendяe ... Bien que cela soit loin d'être sa priorité, Hermine trouva à cet instant l'occasion d'en apprendre un peu plus sur Rogemund Fibredacier. Toute information pouvait être utile ... En tout cas, le plongeur ayant fini sa "ronde", Baltazard était seul en haut ; puisqu'elle ne pouvait vraiment aider les roublards pendant leurs œuvres, autant rester ici faire le guet et essayer d'en apprendre un peu plus. Et puis, si tout se passait bien, il y avait aussi un bon repas à prendre, qui était en train de refroidir sur la terrasse. L'estomac d'Hermine gargouilla à cette pensée ...
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Oreille des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
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Le nain regarda Andris comme si il allait lui enfoncer le crâne dans les épaules. Il grommela entre ses dents :
- bougre d'andouille tu veux me faire mourir de honte ou quoi? Je prend ce qui m'a été promis, rien de plus ni de moins.
il relança sa pièce à la naine.
- Un contrat est un contrat. Point. Et vous feriez bien d'écouter votre prêtre, si vous ne voulez pas nous engager de nouveau.... Aller, imbécile, suit moi! Et toi aussi, vieltal!
Si l'avarice est le péché le plus commun du peuple nain, l'aumône est sa plus grande insulte. Mendiant une petite piécette, Andris avait attiré le mépris de Barbefer sur leur groupe. Maha ne pouvait pas réagir differemment s'il voulait garder la face.
Sans attendre ses compagnons, il redescendit l'étroit escalier et sortit de la maison du chef du village. Son humeur était morose.
¤ Qu'est-ce qu'on peut attendre d'un village dirigé par une femme, non mais dites moi?¤
Sa mauvaise humeur disparu lorqu'il aperçu l'infirmerie de la seule femme digne d'intérêt de tout ce bourbier. Il se remit à chantonner en sifflotant.
¤Aller hop! une douche, un bouquet de fleur et en avant!¤
Il parti vers l'auberge, hache à l'épaule, comme son lointain ancêtre, Grincheux froidmarteau, membre illustre et mythique de la fameuse Compagnie Mercenaire des Sept Nains de NeigeBlanche, dans la Haute forêt.
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Oreille des Marches
Aucune chambre
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Zlik, etait heureux de voir que Baltazard aller le sortir de là, mais son moral retomba tres tres rapidement quant il vit que son ami n'arrivait pas a crocheter la serrure
-"mais c'est pas possible ça... Avec les doigt des pieds j'arrive à le faire...Bon attend j'essaye de l'ouvrir, mais je suis coincer à l'interieur j'en peux plus..."
Zlik attrapa ses crochets de sa main droite, en se faisant au passage un torticolli et une coupure à l'epaule a cause de ses crochets. Le halfelin commençait à sentir la colère montait en lui, il en avait marre de rester au fond de cette boite dans une position grotesque sans pouvoir bouger.
-"Bon voila je vais essayer, mais dans le noir et tout recroquevillé je pense pas que je pourrais t'aider beaucoup... Si on y arive pas tu prend le coffre a coup de hache et on en parle plus ok?"
Sur ce, le roublard attaqua la serrure de l'interieur, en tatonnant pendant quelques secondes rien que pour trouver la serrure puis en entrant enfin le crochets il ecouta attentivement les declis que provoquer le passage de l'instrument dans le mecanisme. Mais Zlik ne pouvait qu'a peine bouger et il n'avait pas la tete a faire l'accrobate en s'amusant à bouger delicatement un bout en fer."
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Frère Tigre
Aucune chambre
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Oreille des Marches
Aucune chambre
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Zlik, crochetage : 13(dé) + 1 – 2 (coincé) ><DD 20 = échec Baltazard, crochetage : 13 (dé) + 7 ><DD 20 = réussiteNarrationHermine Alors que le soleil déclinait derrière les hautes falaises, et que la chape de chaleur faisait place à la fraîcheur de l’ombre, l’auberge du Sanglier d’oR s’emplissait peu à peu des quelques mineurs qui avaient terminé leur journée. Le nain au bedon dodu gratifia Hermine d’un large sourire qui signifiait qu’elle n’aurait pas affaire à un ingrat. Aussitôt il s’éloigna dans ce qui semblaient être les cuisines. Quelques rires s’en échappaient qui firent rosir les joues brunes de la jolie serveuse Celle-ci était bien heureuse d’avoir trouvé une interlocutrice autre que l’un de ces nombreux ouvriers qui ne voyaient en elle qu’une paire de seins rebondis et des jambes grassouillettes à souhait et s’empressa de répondre aux questions que lui posait la jeune guerrière sur un ton badin. Elle raconta ainsi qu’elle avait vu Aran’Dil remonter dans sa chambre et qu’elle ne l’avait pas vu redescendre depuis. Ensuite elle s’attarda plus longuement sur Rodegmund Fibredacier, à qui appartenait apparemment les éclats de voix qui provenaient de la cuisine. A la façon dont en parlait Ania, il était certain que le bougre avait le don de tisser rapidement des liens amicaux avec son entourage et de plaire à la gente féminine. Il était évident également, et bien que la naine ne semblait pas l’avoir remarqué elle-même, qu’un si grande sociabilité cachait quelque chose de plus louche comme s’il cherchait à obtenir des renseignements. Elinor s’approcha doucement d’Hermine, et écouta poliment la conversation sans l’interrompre. Dès que la serveuse s’en retourna à ses occupations, l’étudiante murmura à l’oreille de son amie : | | - J’ai un mauvais pressentiment. Je ne saurais l’expliquer, mais plus la journée avance, plus un malaise inexplicable s’empare de moi comme si nous courions au devant de graves ennuis. Quelque chose ne tourne pas rond, mais je ne saurais définir exactement quel est le facteur discordant. A moins que rien n’ait plus de sens désormais…Examinons déjà le contenu du «Carnet de Fouille »
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Elinor Dentrefond est une jeune fille au teint de porcelaine et aux longs cheveux foncés retenus en des coiffures plus ou moins élaborées. Sa stature élancée est gracieuse, et ses goûts en matière d’habillement sont raffinés. Son tempérament doux, presque timide l’ont toujours poussée a préférer davantage la compagnie des livres que celle d’enfants de son âge, attisant ainsi une curiosité sans borne et un amour particulier de l’étude et du savoir. Elle est devenu avec le temps l’étoile montante de l’université de Lunargent, et est investie des plus grands espoirs de ses professeurs et de sa famille faisant partie de la haute noblesse. |
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Elle poussa un long soupir tandis que les deux demoiselles se dirigeaient vers la table qu’elles avaient délaissée quelques instants plus tôt. Baltazard, ZlikCoincé dans cet espace exigu qui lui laisserait en horreur désormais l’odeur de pin que dégageait sa prison, Zlik ne parvint pas à exécuter les indications de son collègue. Malgré l’échec cuisant du petit voleur, le roublard chondathien parvint à faire céder la serrure, et l’halfelin revit enfin la lumière du jour. Couvert de sueur et de poussière, il frotta rapidement ses habits, et se dégourdit les muscles par quelques gestes destinés à les assouplir. Les premiers pas furent difficiles. Il n’aurait jamais pensé que de rester plié dans cette position fœtale l’handicaperait autant. Amusé, Baltazard lui offrit son bras, et le taquina quelque peu, avant de déguerpir de la chambre avant qu’un drame supplémentaire ne se produise. Les deux agents de la Compagnie des Marches descendirent dans la salle bondée de l’auberge. Ils ne croisèrent personne dans les couloirs. TousLorsqu’ils traversèrent ce qui porterait plus tard probablement le nom de « Grand rue », Malahalehel suivit de ses deux compères aperçurent immédiatement Hermine attablée sur la terrasse de l’Auberge avec la dénommée Elinor, tandis qu’un halfelin boitillant supporté par Baltazard s’avançaient vers elles. La foule commençait à être dense, il restait fort peu de place à l’ombre, et un chahut bien agréable agrémenté par la bière et l’odeur de ragoût animait la place. Enfin, et pour la première fois depuis le début de la journée, les espions du Nord avaient enfin la possibilité de se réunir s’ils le désiraient et de discuter de ce qu’ils avaient vécus chacun de leur côté.
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Soeur des Marches
Chambre 14
Aucune gemme
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'air un peu surpris, mais calmement, Hermine se glissa entre les nombreux nains fatigués mais bruyants qui étaient arrivés depuis quelques minutes pour traverser en compagnie d'Elinor Dentrefond la « grande salle » du Sanglier Doré. Une fois sur la terrasse, elle prit place après avoir aidé l'étudiante à s'assoir à la table ou tiédissait leur repas. Invitant son amie à manger avant que tout ça ne soit complètement froid, elle remplit les verres et prit les premières bouchées de son assiette. Puis, l'aventurière s'adossa à sa chaise et considéra un moment son amie, deux doigts sur les lèvres, pensive.- Hmm.. [Illuskan] Je pense que je peux comprendre que tu aies pareil pressentiment, Elinor. A meme pas une lieue d'ici se trouve quelque chose de dangereux ; depuis ce temple court peut-etre une issue vers les profondeurs de Faerun, et vers les nombreux dangers qu'elles receleraient si on en croit les rumeurs. De plus, ce magicien pourrait très bien préparer quelque chose dans les ombres, de son coté. Et pourtant, la vie à Rochedor continue comme si de rien n'était ... Hermine regarda au tour d'elle pour confirmer ses dires, puis regarda son amie dans les yeux et soupira, pour continuer à murmurer au fil de ses pensées. « Mais tu sais, on ne sait pas pour l'instant ce qu'il se passe vraiment ; et c'est peut-etre le tempérament nain de ne pas céder à la panique devant l'inconnu. Je pense que nous, humaines, devrions en tirer une leçon. Il n'est pas question de relacher notre garde, mais attendons de voir venir. Attendons que notre bon halfelin soit tiré d'affaire, et Baltazard et lui examineront, euh.. ce dont tu as justement parlé. Et attendons de connaitre le témoignage des éclaireurs qui sont descendus dans la mine. » Doucement, Hermine posa sa main sur celle d'Elinor. « Rassure-toi. On en saura bientot plus. Si à ce moment là tu envisage quelque chose, je serai là pour t'écouter. Mais jusqu'ici, je suis fière de la façon dont tu réagis. Vraiment. » Pendant quelques instant, la sœur des Marches continua à manger tout en ajoutant que meme si la situation pouvait devenir dangereuse, Elinor pouvait compter sur des amis, ici. Baltazard, Zlik, et elle-meme en faisaient partie, ainsi qu'Ania.
A un moment, les jeunes femmes virent arriver d'un coté et de l'autre leurs « sauveurs ». Dans un premier temps, bien qu'elle ait fait glisser avec un sourire l'assiette encore pleine de Baltazard dans la direction où arrivait son propriétaire, Hermine voulut laisser l'initiative aux Compagnons des Marches de se joindre à elles ou pas (après tout, Andris et Mahalalehel n'étaient toujours pas sensés la connaitre), mais se pencha quand meme vers Elinor Dentrefond :- [Illuskan] Tiens regarde, voilà Zlik, Baltazard et les autres. Et regarde, ... Souriante, la guerrière fit un discret signe de tete vers la rue et un clin d'œil à son amie : « ... Voilà le barde à la chaude voix qu'on a pu croiser ce matin. On l'invite à notre table ? »
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