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Une longue traversée , Quête du Cercle...
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Maître des Exilés
Chambre 29
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MDElloaElloa n’eut pas longtemps à attendre. A peine eut-elle repris son souffle que, plissant les yeux, elle reconnut dans la poussière de la route un seul et unique cheval, galopant dans leur direction, arrachant des volutes ocre sous ses sabots. Quelque chose dans son approche ne lui semblait pas normale, comme si l’équidé ne pouvait prendre sa pleine vitesse. La distance était trop grande que pour qu’elle puisse identifier le cavalier ou même être sure qu’il y en ait vraiment un mais si elle voulait revenir à la caravane avant la monture, elle devait quitter sa cachette au plus vite ! Tous sauf ElloaSe remplissant un gobelet de terre cuite d’un liquide blanchâtre lacté, Abdhen Amad leva la tête vers Hérudae, désignant du menton les différentes personnes dont ils parlaient. A part l’homme à cheval, tous étaient réunis pour la pause et il était donc aisé de se faire une idée de la totalité de la caravane. Il s’assura d’être à proximité des autres aventuriers et de parler à voix suffisamment haute que pour que tous puissent saisir l’essentiel des informations qu’il leur donnait là. L’absence de Malig et Elloa ne le pertubait visiblement pas plus que ça. | | - Comme tu peux le voir, chacun des quatre chariots est mené par un des nôtres. Les cochers devisaient à voix basses, entre les tables et leur chariot. Un d’eux tenait un parchemin déroulé captivant toute l’attention des trois autres. - Deux autres s’y ajoutent. Ce sont d’habiles cavaliers, des habitués. D’un nouveau geste de la tête il désigna un des deux cavaliers qui était descendu de sa monture et passait aux côtés de chacune, ajustant mors et sangles et les flattant de tapes sur l’encolure. - Il reste votre dévoué Abdhen et Cornebois bien sur. Si une attaque devait subvenir, ou plutôt quand elle arrivera, ne soyons pas naïfs, vous pourrez compter sur les cavaliers, ils sauront quoi faire, mais soyez surs que si quoi que ce soit le nécessitait vraiment, même notre Nain se trouverait de la fête. Il but une large lampée de son gobelet avant de poursuivre, appréciant la fraîcheur du breuvage.
- Pour les gardes de nuit, quand nous ne pourrons faire autrement que de faire halte en milieu sauvage, nos hommes se sentant suffisamment d’attaque vous aideront à veiller si vous le leur demandez, pas plus d’une nuit sur deux. Si un de vous se montre apte à conduire un chariot et qu’il le fait une journée durant, il en gagnera sa nuit de repos.
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Voici un des membres du Réseau des Éxilés du Cercle de l'Ouroboros. Ils arborent souvent de longs manteaux de couleur sombre, soit noirs, soit bleus, pour cacher leurs traits. Leur capuche est toujours rabbatue sur leur visage, de façon à cacher leurs yeux, et ils portent parfois même des bandeaux qu'ils nouent au bas de leur visage. Ce sont des gens discrets, professionnels, et leur langage est parfois incompréhensible, ce qui déroute quelque peu les novices... |
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Un sifflement discret de l’homme resté à cheval attira soudain l’attention de l’Exilé dont les traits reprirent aussitôt le masque de son rôle de composition. Chacun des autres semblait soudain plus alertes même s’ils poursuivaient leur occupation. Au loin, sur la route, Hérudae de son perchoir et Malig de l’avant de la caravane, virent un petit nuage de poussière accroché à la route se détacher dans l’aube naissante.
" Par delà les brumes "
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e cavalier approchait, Elloa cru presque entendre le chant des sabots martelant la route. Elle se redressa vivement, ses muscles tendus, près à réagir au quart de tour lorsque son esprit lui commanderait de courir. Elle voulait attendre la dernière seconde avant de rejoindre la caravane, afin d’apporter avec elle le maximum d’information. Le cavalier approchait encore. En regardant attentivement l’image qui se mouvait devant elle à toute allure, le petit nez d’Elloa se fronça. Il lui semblait que…se pourrait il que ?...Trop tard ! Si elle voulait arriver avant l’animal au galop, elle devait partir. Maintenant ! Aussitôt les muscles de ses jambes donnèrent une impulsion violente, ses pieds frappèrent le sol, la projetant dans une course effrénée. Cette fois, la grugash ne recherchait plus la discrétion, mais a vitesse à l’état brut. Et d’une traite, elle parcourut la distance qui la séparait du bivouac. Les herbes hautes lui fouettaient les mollets, le vent sifflait à ses oreilles et s'engouffrait dans ses cheveux fauve. Hors d’haleine, elle atteint les tables et sans prendre le temps de reprendre son souffle, déclara dans un commun désastreux : - Un cheval. Pas vu homme dessus. Mais je crois que le maître de cheval est tombé et accroché derrière. Elle s’empara d’une timbale et la vida d’une traite grimaçant en se rendant compte que ce n’était pas l’onde claire d’une source rafraîchissante, mais une bière mousseuse qu’elle jugea infâme. « C’est juste une suppositoire ! » A ces mots, elle fit volte face, afin de vérifier sa ‘supposition’. Le cavalier désarçonné ou non, et sa monture arriveraient dans quelques instants.
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La tête rejetée en arrière, Malig avait écouté d’une oreille distraite les paroles de son nouveau cousin Abdhen Hamad pendant qu‘il se reposait. Les choses n’étaient pas ce qu’elles paraissaient mais ce n’était pas plus mal ainsi.
¤ Il est toujours bon de savoir qu’il existe une force d’appoint pour les combats à venir. ¤ Il savait que des hommes habitués à se battre de façon coordonnée étaient un atout majeur. Mais il ne douta pas qu’ils resteraient prudents, ceux que l’on avait engagé pour être en première ligne - et accessoirement mourir - c’était lui et ses nouveaux compagnons de route. Cette réflexion faite, il jeta un œil à la route, aperçu le nuage de poussière qui était probablement la cause de cette agitation et commença à fredonner.
- Un cavalier, qui surgit hors de la nuit Court vers l'aventure au galop… Bien qu’il ne soit pas sûr que ce soit le signe de l’arrivée d’un cavalier, ces paroles s’étaient imposées d’elles-même sur ses lèvres sans qu’il n’y refléchisse vraiment. Battant la mesure du pied, il observa attentivement le nuage de poussière au loin, tentant cette fois de distinguer la ou les formes qui pouvaient en être à l’origine.
L’arrivée en trombe d’une Elloa luisante de sueur mit fin à sa tentative d’identification, et lui apporta la petite satisfaction que sa chanson était juste. Même si sa présence ne semblait pas requise, il décida de rejoindre l’attroupement.
Pour l'infâme, un brasier Pour la femme, un baiser Réputation 9
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Aventurier
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ttablé, Phélès rêvassait en souriant. Le barde se rappelait l'expression qu'avait pris l'Exilé lorsqu'il lui avait posé sa fameuse question sur le rôle qu'il devait prendre. Occupé à sustenter son estomac qui n'etait pas friand de nourriture Phélès ignorait Herudae qui s'exprimait d'une façon qui lui écorchait les oreilles. Ou peut être était-ce la voix du roublard, que Phélès jugeait trop aiguë pour son gabarit, qui le gênait ? Une femme interpellait encore le barde, une mousse d'après ce qu'il avait pu en juger, les habitudes acquise sur un bateau ne s’oublient pas, tout comme l'odeur de la mer qui s'incruste sur les vêtements et sur la peau.
Le nuage de poussière et tout le tintamarre qui s'en suivit n'avait pas perturbé le barde outre mesure, surtout grâce au propos de l'Exilé qui disait que les combats seraient assurés par ses semblables, le nain et les autres. Phélès etait heureux d'avoir intégrer cette compagnie, plus habile qu'il n'y paraissait, le petit opportuniste qu'il etait pourrait éviter au maximum les combats et ne dépenser que très peu de force dans ceux qui seraient inévitables. ¤Décidément les Exilés sont plus sympas qu'il n'y parait, ils n'ont pas l'air de vouloir se débarrasser de nous. Ils sont même près à nous aider de toutes les façons possibles.¤ Elloa qui etait partie revint au Galop, sa brève intervention orale lui fit avaler de travers le vin qu'il etait en train de boire et fut pris d'une quinte de tout. Après avoir repris ses esprits il glissa à Elloa quelques mots:- Une supposition, C'est une supposition. Un suppositoire c'est... ¤Tout de même, cette elfe cours vite, n'a t'elle jamais pensé à s'inscrire à des Olympiades?¤ pensa Phélès se préparant à la profanation d'un cadavre de cavalier.- Je ne pense pas qu'il ait pu signer son nom à la pointe de son épée sur qui que ce soit... murmura t'il.
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Maître des Exilés
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MDLe nuage de poussière grandissant, il était maintenant possible pour tout un chacun d’avoir une vision de l’animal qui fondait, au hasard, dans leur direction. L’Exilé cavalier partit à sa rencontre, se plaçant à côté de lui pour tenter de le calmer et de lui faire baisser la cadence. La supposition d’Elloa était fausse, il n’y avait pas de cavalier accroché derrière la monture, juste la selle qui avait du glisser sur le côté sous la chute de celui-ci et l’avait gêné dans sa course.
A quelques mètres du convoi, à grand renfort de ‘Ooh’ appuyés et d’autres interjections de son invention, il y parvint enfin, descendit de selle, et détacha l’autre pour soulager la pauvre bête qui le suivit docilement. - Elle n’est pas blessée ! Elle a dû fuir dès le début de l’attaque. A quelques minutes à peine ou elle aurait été marquée par la selle. – lança-t-il à Cornebois qui s’était levé, attendant le rapport de son homme. | | - Une embuscade … sur la route de commerce. Les brigands se font téméraires ou complètement stupides ! On ne va pas laisser faire ça sans réagir. Allez les jeunes, on remballe, on s’équipe et on va leur prêter main forte avant qu’il ne soit trop tard ! Visiblement, les considérations de Malig et de son système digestif n’affectaient pas le Nain qui déjà joignait le geste à la parole et remballait leur repas à peine commencé. - Elloa, tu montes avec nous !
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Cornebois, comme il est appelé à Noirécume par les représentants du Cercle, s'occupe de l'Atelier de la Chimère Glacée. |
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En moins de temps qu’il ne le fallut pour le dire, les Exilés avaient repris leur place et rangé le matériel, attendant les aventuriers. A peine eurent-ils embarqué que le convoi partit à toute vitesse, offrant à tous la vision de ce dont les chariots améliorés étaient capables. Une poignée de minutes plus tard, le cocher de tête fit un signe à Malig et lui dit d’une voix forte pour passer au dessus du brouhaha de la route : - "Là-bas, le convoi attaqué!" Au loin, un regard exercé pouvait en effet reconnaître dans les minuscules points blancs, des chariots au bord de la route…
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Ẹưřēķą
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obun cherchais encore une solution a la question de Cornebois, quand les caravanes se mirent en route, un rapide coup d'œil sur les autres passager et il compris qu'on allait passer a l'action. Ni une ni deux, il pris sont arbalète tendit la corde, grimpa sur une des roulottes, se plaça à gauche du conducteur, se plaquant contre la roulotte, tachant d'être le moin visible possible depuis l'extérieur de la roulotte.¤ Bon alors il va s'agir d'être prudent. Les bandits ne s'attendent certainement pas à ce que l'on arrive on va donc les surprendre, s'ils n'ont pas prévu ce genre de surprise ils vont fuir ou se tourner vers nous, hum…¤ Alors qu'il chargeait son arbalète et alignais des carreaux près à tirer, il s'adressa au conducteur. -Hep tu les contourneras par la droite, à environ six ou huit mètres des bandits. Essaye de passer devant ou derrière tes amis! Glorieuse Idée. Les bandits ne s'attendront pas à ce qu'une des roulottes passe sur le coté, tout du moins Dobun l'espérait, il aurait comme ça tout loisir de les viser sans qu'ils n'aient le temps de se protéger efficacement. ¤ Bon alors à six mètres, qu'est-ce que je peut viser, carotide, non, hum… bon on va faire simple, cou, tête ou épaules. Le reste doit sûrement être protéger par des morceaux d'armure. ¤ Dobun se plaça de manière a ne pas trop subir les cahots de la route, il lui faudrait être précis, il plaça sont arbalète inteligemement, de manière à ce qu'elle ne soit ni sensible aux remous de la roulotte, ni trop sensible à sa respiration. La crosse calée contre son épaule, et le lanceur appuyé sur le bras avant. Il avait modifié le mécanisme d'engrenage de sa Swanpnug IV afin de pouvoir recharger quelque soit l'espace dont il disposait, et aujourd'hui il allait s'en servir pour autre chose que des tests. Il vérifia que la mire luisait suffisamment bien pour être vue à dix mètres. Puis installa son petit miroir, pour voir si personne ne surgirait par le flanc de la roulotte. Le bruit des roulottes imitait un roulement de tonnerre, et la fumée qui s'envolait derrière donnait des allures de tempête à cette caravane qui filait droit sur l'ennemis. -Que Le Brillant nous aide. Une sacré farce si on réussis, des Bandits mit en déroute par un convois de marchandise qui lui serait tombé dessus!
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lloa sauta dans le premier chariot, adressant un sourire en coin à Malig. Elle avait hâte de voir la façon dont il jouait avec le feu. Dans sa tribu, les shamans n’invoquaient les flammes que lors des cérémonies sacrées. Jamais le terrible élément n’était utilisé de façon offensive en plein cœur de la forêt. Le risque d’incendie y était trop grand et représentait le danger le plus craint des grugashs. Se tenant debout, en équilibre sur le siège calée entre le conducteur et le Calishite, elle observait au loin la route qui s’étalait en long ruban. Elle serait sans aucun doute la première à pouvoir tirer, aussi, elle sortit son arc et prépara une flèche en plaçant la corde dans l’encoche. Cys avait été un bon professeur, du moins, elle aimait croire en ses propres progrès. Les pensées qu’elle élevait vers l’ami qui la veille encore partageait sa destinée la fit sourire. Elle le reverrait un jour, peut être pas. Qu’importe, la vie suis son cours, et les amis ne manquent pas en ce monde. Aucune inquiétude n’embarrassait son cœur. Tandis que vent agitait sa chevelure fauve, une profonde joie emplissait son âme, pareille à la brise du matin qui fait danser le linge qui sèche au soleil et qui taquine les feuille des arbres. Puis…soudainement, le doute.- Dis Malig ? c’était la première fois qu’elle prononçait son nom, et les syllabes roulèrent sur sa langue lui donnant un timbre particulier. « Pourquoi prépare nous au combat ? Peut être que rien n’arrive là bas. Juste cheval avait marre de prisonnier être et voulait courir tout seul. Ca pas drôle être de devoir tirer charrette toute la journée, quand les plaines rient à coté. Tenant toujours son arc à la main – on se sait jamais- Elloa se laissa tomber sur le siège en bois de la charrette. Elle agitait ses pieds qui pendaient dans le vide innocemment. - Et puis pourquoi les bandits plus méchants que les autres doivent être. Les voleurs et les marchands se ressemblent, ils aiment tous l’or. Conclua t’elle hochant la tête d’un air sérieux presque cocasse.
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Fạŋţỗmę
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Tranquillement installé sur son chariot Hérudae vit revenir au pas de course la jeune elfe. Elloa avertit les personnes présentes de l’approche d’un cheval sans cavalier. Le jeune homme regarda vers le nuage de poussière pour en apprendre plus, puis son regard se porta vers l’éxilé à cheval qui se porta à la rencontre du cheval fou et le calma. Il avertit tout le monde de ce qu’il déduit de l’arrivée du cheval et Cornebois lança le départ pour rejoindre le lieu de l’embuscade.
¤Oui porter assistance à une autre caravane pour sembler le plus normale du monde et avoir un allié lors de notre arrivé dans la prochaine ville était une très bonne idée.¤ Pensa le jeune voleur.
¤ Par contre venir en aide à un autre convoi n’est pas dans le contrat, il faudra que la facture à Cornebois quand il me facturera les prix des carreaux.¤ Et c’est avec le sourire que le jeune homme prit place à coté du cocher de son véhicule qui repartait.
Le convoi était à vive allure mais ne semblait pas trop subir les chaos de la route, sans doute un confort du au mécanisme qu’avait remarqué Dobun. Hérudae chercha son ami du regard mais ne le vit pas mais était sur que sa superbe arbalète était maintenant prête à servir. Le jeune homme vérifia son arme et que le carreaux était bien placé dans sa rainure. Puis il observa le point au loin que désigna Cornebois dans un cri. Effectivement on pouvait voir les chariots de l’autre convoi.
Hérudae regarda donc l’endroit et chercha à découvrir les différents belligérants sur les lieux afin de définir qui était qui afin de ne pas trucider la mauvaise personne. Et surtout vérifier que les attaquants étaient bien des bandits et non la milice locale ou tout autre autorité locale qui tentait d’arrêter un convoi louche. Aider les mauvaises personnes n’aiderait en rien la progression de leur propre convoi.
Dès qu’Hérudae serait sur et aurait une cible toute désignée comme un homme essayant de tuer une femme désarmée ou un enfant, qu’il soit bandit ou soldat son arme entrerait en action pour le cueillir à la gorge.
Voyant le chariot de Dobun s’écarter vers la droite non loin de l’action, le jeune homme s’adressa à son conducteur.
-Va à gauche afin de saisir en tenaille tout ce petit monde. On fera le tri après. Et l’arme fut épaulée pour trouver une cible qui ne lui revenait pas.
En vacances du 30 juillet au 14 / 15 Aout. Je laisserais des indications en HRP quand à mes futures actions. Attention à vous tous.
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e barde grogna quelque peut à la suite des directives de Cornebois, tout le monde avait déjà fait son bonhomme de chemin. Le gnome avait disparu du champ de vision du barde, Malig et Elloa avait déjà pris place dans le chariot de tête.
Phélès lui se tenais assit derrière une roulotte, arc et flèche en main mais il était loin d'être près pour tirer sur quelqu'un.
- Si sa se trouve je tuerais peut être enfin quelqu'un.. Même si j'aurais préféré un combat singulier, haha ! Le barde conversait seul, sa lui était égal de savoir si ses paroles était entendues ou non, même s'il espérait que ce qu'il disait ne serait pas rapporter a Cornebois par un Exilé à l'oreille indiscrète. Le nain est un sacré demi homme, près à aider n'importe qui n'importe quand, quand bien même dans la bataille nous ne saurions comment différentier les caravaniers des bandits ? Et Pourquoi donc doit t'on aider des inconnus ? Pour le prestige ? La gloire ? Mais à quoi sert la gloire si je meurs ? Haha ! - Merde ! Je parie une pièce d'or à Beshaba, Ô ma déesse, que c'est ce Calishite qui fera le plus de dégâts parmi les ennemis. Ces dernières paroles avait donner un courage bien singulier au barde qui, des que la caravane serrait arrêtée, mettrait pied à terre et se tiendrait près à tirer une flèche à l'aide de son arc court soit sur une quelconque personne en voulant à sa vie soit sur Herudae.
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Malig acquiesça au signe du cocher, depuis qu’il avait réarrangé son couvre-chef seul ses yeux étaient visibles. Mais ce n’étaient pas les chariots qui l’intéressaient, lui cherchait les points noirs, les hommes qui selon toute vraisemblance devaient encore se battre vu la célérité avec laquelle la caravane se déplaçait. Durant cette inspection Elloa lui tint des propos qui n’avaient rien d’anodin.
¤Tout de même, le cavalier qui avait ramené cette bête semblait bien sûr de lui en parlant d’attaque. ¤
Les pensées de Malig faisaient échos à celles d’Elloa mais si le cavalier ne se trompait pas cela signifiait qu’il s’agissait d’un homme doté d’un solide esprit de déduction ou alors d’un paranoïaque et dans un cas comme dans l’autre cela ne semblait pas déplacé. Qu’il fût pratiquant de l’Art avait aussi expliqué son assurance mais cela il pourrait le vérifier plus tard au calme. Il répondit alors à l’archère à l’esprit vif sur un ton posé, à l’oreille, quelque soit le bruit environnant il aurait détesté lui hurlé dessus.
-Eh bien, si on se prépare c’est parce que nos employeurs sont probablement – il cherchait un synonyme pour paranoïaque – inquiets et que celui qui a déclenché tout ça, dit-il en désignant le cavalier, a sans doute plus d’expérience que nous. Après tout ce n’est pas une mauvaise chose. Si nous arrivons et qu’il ne se passe rien on aura quelque chose à se raconter ce soir. Et s’il se passe effectivement quelque chose…
La phrase resta en suspens, il prit dans sa poche les magnifiques gants de soie qu’il passa tranquillement sans avoir l’air de se soucier des cahots. Il restait donc à se préparer en conséquence, mais Malig s’avait mieux que quiconque qu’il ne possédait pas de défense magique à opposer aux futurs agresseurs. Contrairement à Elloa, il avait peur de ne pouvoir identifier les agresseurs des agressés. Il garda ses doutes pour lui-même. Sa préparation prit fin lorsqu’il agrippa un carreau accroché à son flanc.
Pour l'infâme, un brasier Pour la femme, un baiser Réputation 9
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