Extérieur de Port-Ponant, Suite

'etais oui dans le chateau... mais je vous ai suivis de loin... et j'arrive en retard...

enfin bon... allons rejoindre les autres... appuyer vous donc a moi...

elle lui tendit le bras pour qu'il s'y accroche

Alors qu'Orlpar rentrait son épée dans son fourreau et s'accrochait au bras d'Ohossa; l'opposant de Ciarodiah lança prestemment sa lame en direction de celle-ci. Bien plus dans le but de déstabiliser Ciarodiah et d'empêcher Sarek, qui était juste derrière elle de tirer, plutôt que dans celui de blesser.
Sans prêter attention aux conséquences de son acte, il plongea dans les fourrés situés en face de ceux où était cachée La louve, de façon à s'occulter au maximum pour enfin disparaître dans l'ombre des arbres.

supportant Orlpar sur son bras, il s'approcherent des autres

- Et bien... bien le rebonjour a tous... je vois que j'arrive en retard pour le spectacle...

enfin bon... vous suivant de loin, je ne suis pas vraiment a jour au niveau des informations... quelqu'un pourrait-il me tenir au courant de ce qu'il se passe et de qui étaient ces gens ???

Sarek se retourna vivement vers Ohossa, en un claquement de cape.

"Ne croyez- vous pas qu'aidez les blessés seraient plus urgent que de satisfaire à vos demandes?, il y a une femme inconsciente dans les buissons et il faudrait d'abord vous exliquer en détail tout ce que nous savons ? Vos avez peut- être perdu votre temps à rêvasser avant de nous rattraper si tardivement mais il serait bien temps pour vous de renouez avez la réalité très noble flâneuse."

Le regard de Sarek devint encore plus perçant et dure si cela fut possible lorsqu'il tourna la tête vers Orlpar.

"Et vous à vous voire ainsi gambader sans aucune mesure de discrétion, on aurait dit une grosse fillette de 7 ans dans un champs de fraise. Vos bras et votre tête ne sont pas proportionnels et vous avez réussit à m'en convaincre, aussi, je vous indiquerai de rester en arrière et de troquer vos bonnes manière de balerines contre un peu de jugeotte. Et tâcher de vous montrer plus discret qu'un porc sur un jeu d'échec, sa vous changera."

Sarek se dirigea à grands pas vers la barde.

Orlpar fit une moue désabusée.

- Et bien soit, je suis vraiment navré de ne pas vous convenir messire. Après tout, les elfes sont connus pour être imbus de leur personne, en voilà la preuve...
Vous parliez certes, de mes capacités cérébrales qui, selon vous, seraient inexistantes ou du moins fortement réduites... Je vous le concède avec autant de grâce que l'animal qui suscite un intérêt certain chez vous... je parle bien évidemment de votre fameux porc, votre attitude le met très bien en valeur. Celà dit en passant, la prochaine fois, en lieu et place de laisser un compagnon voué à une mort quasi certaine, de décocher une flêche dans des fourrés où la visibilité y est fortement réduite et de manquer de tuer la femme qui, apparement, prend le plus de place dans votre coeur et qui justement, était engagée dans un corps à corps furibond; réfléchissez, je suis sûr que vous en êtes capable. Et n'usez pas votre salive pour rien en me rapportant que vous saviez ce que vous faisiez et que vos flêches pourraient percer une mouche à cinquante pas... J'aurai grand peine à le croire.
Malheureusement, je n'ai guère le temps, ni l'envie de remplacer vos parents pour vous tenir pareil discours.
Pour ma part, l'affaire est close.

Le soldat s'arreta, puis pensa à quelque chose pour continuer:

- Si toutefois, l'idée saugrenue de vouloir attenter à ma vie avec, pour simple allibi, votre mauvaise foi. Rappelez-vous de ceci: il y a ici deux personnes qui pourraient témoigner contre vous au tribunal aquafondien et puis... tuer un porc... tout de même... ce n'est pas très glorieux, surtout pour votre égo. Qui plus est, un porc blessé, dame La Louve ne serait guère impressionnée... enfin bon, venant de vous... plus rien ne m'étonne, n'est-ce pas ?

Sur ces mots, le guerrier se tourna vers Ohossa:

- Madame, j'ai peur de n'être que trop handicapé pour poursuivre... J'aurai grand besoin d'un clerc ou d'un medecin pour me remettre d'applomb.
Je m'excuse également de mon tempérament, mais cet homme m'inculque d'avoir commis une faute que je ne voulais pas commettre et je ne pouvais accepter celà.
Par contre j'aurai bien besoin de votre bras pour retourner à la ville. Dit-il d'une voix faussement guillerette.

- Laissons filer le marchand, j'ai ma petite idée sur l'endroit où il aurait bien pu aller...

se retournant, lancant un regard noir -tres tres tres- noir a Sarek

Et bien et bien... je vois que les bonnnes maniere ne sont pas parmis les points fort des elfes... et.. excusez moi.. mais l'ubiquite ne fait malheureusement pas partie de mes capacités... si c'est votre cas, tant mieux pour vous... mais je ne vois pas trop comment j'aurais pu aller soigner cette dame dans le buisson, en meme temps que je soutenais votre cher ami le porc...

se tournant vers se dernier

excusez moi, mais je en suis pas sur qu'il m'aurait compris si je vous avait appeller autrement...

bon et bien... allons en ville mon cher et laissons les entre eux, vu qu'ils ne veulent pas de compagnons en plus.

n toussotement léger se fait entendre...
Excusez moi...Je passais par hasard dans ce bois, et j'ai entendu des bruits de combats, j'ai donc accouru...mais je suis tombé devant un dueul plus verbal qu'armé, semblerait-il...
*Bref sourire*
*S'adresse à Ohossa*
Je gagnais justement la ville...auriez vous une objection à ce que nous marchions de concert ?
Je pourrais vous soulager du poids de votre compagnon, si vous le désirez...non que je veuille traiter monsieur de fardeau *gracieux sourire, accompagné d'une très légère courbette à Orlpar*

regardant le nouvel arrive

Tiens... un nouvel arriver... je ne vois aucune objection a ce que vous nous accompagnez.. j'attend juste l'accord de mon compagnon et je vois si les autres ne se decident pas a nous laisser les aider...

Tout en écoutant la discussion animée, Ciarodiah avait rabattu son voile et récupéré son poignard sur le cadavre de l'homme mort à ses pieds. Tout en essuyant la lame elle esquissa un très léger sourire. Elle le réprima aussitôt. Elle soupira doucement et lança un regard légèrement désaprobateur autour d'elle.


Sarek... tu exagère comme toujours... à quoi bon reporter la faute sur quelqu'un d'innocent quand nous savons très bien qui est le coupable? C'est ce marchand -elle cracha ce mot comme s'il avait un goût infect- qui nous a tendu un piège. Nous serions tomber dedans peu importe l'attitude de Sire Orlpar.

Elle se tourna vers ce dernier et dit:

Excusez le, c'est l'elfe le plus irritable que je connaisse. Quand il se met en colère ses paroles dépassent parfois sa pensé. Mais avouez que vous avez manqué de prudence en avancant ainsi sans précautions. Malgré tout je ne crois pas que nous aurions évité cette embuscade. Vous en accusé serait injuste.

Elle se tourna vers Ohoosa.

Je n'ai pas l'habitude de repousser des alliés dans une même cause. Cependant, pour l'instant, je m'inquiète d'avantage pour la barde toujours inconciente. Quand à l'endroit ou se rend le marchand, tous nous avons notre idée la dessus mais j'ai bien peur qu'il soit hors d'atteinte une fois qu'il y sera...

Sarek, à genou près de la scalde, ouvrait constamment la bouche, mais la refermait presque aussitôt, refoulant les paroles qu'il s'apprêtait à dire. Finalement, il se décida.

"Maître Orlpar je... j'avou m'être emporté et les ennuis dans lesquels nous sommes ne sont certes pas de votre faute, aussi, je vous serait très reconnaissant d'oublier ce qui vient de se passer. Le marchand, cette embusquade à laquelle aucun de nous n'était prêt et cette poursuite... Il est indubitable que vous n'étiez pas sous vos gardes, mais je ne l'était guère plus. Votre présence est très appréciez, si cependant vous désirez partir, vous et vos amis, je ne vous en tiendrez pas rancune."

Sarek fit une pause, réfléchit quelques secondes avant d'ajouter:" Je vous demande toutefois de ne pas généraliser et ainsi donc, de ne pas attribué de qualificatifs à mes frères efles. Ils ne mérite pas de payer pour mes fautes, et comme les hommes, nous sommes tous bien différents sur de nombreux points."

Sarek reporta sont attention sur la Scalde.