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Localisation exacte inconnue, Une seconde chance
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Maître de l'Art
Chambre 31
1 gemme
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15 Eleinte de l'Année de la Magie Sauvage Phsant, Thesk Température: 30°C Ciel sans nuage
Fehanaro avait été surpris de la vitesse avec laquelle les dirigeants de la Compagnie des Marches lui avaient trouvé une mission. A dire vrai, celle-ci n'avait que peu de rapports avec la protection des cités des Marches d'Argent dont la phalange du molosse était généralement chargée. D'ailleurs, la majorité de ceux qui avaient été choisis pour s'occuper de cette mission n'étaient pas des membres de la phalange du molosse mais plutôt des membres de celle du rat. Celui qui devait diriger cette expédition en était lui-même un par ailleurs.
La mission en elle-même semblait être des plus simples: deux membres de la Compagnie avaient subitement disparus sans donner de nouvelles et cela commençait à inquiéter leurs supérieurs hiérarchiques. Principal hic: la dernière fois que quelqu'un avait entendu parler d'eux, ils se trouvaient dans un état semi-comateux à l'arrière d'une carriole roulant dans l'une des rues principales de Phsant dans le Thesk.
Il avait donc traversé en compagnie d'un gnome peu bavard qu'il avait à peine vu nommé Beran, d'une gnome qui ne parvenait à prononcer en langue commune aucun autre mot que "Erana", son nom et du sergent Maera, un homme qui semblait intelligent mais qui passait la plus grande partie de son temps à regarder par dessus son épaule et qui chuchotait tout le temps ce qui rendait toute communication difficile, l'Anauroch et ses longues pistes sans eau puis la Mer des Etoiles déchues et ses longues journées sans terre avant d'arriver après quelques journées de marche au bout de leur long périple.
A peine la porte passée, Maera prononça son premier son parfaitement audible, un ordre de dispersion et de regroupement à la nuit tombée dans l'auberge de "l'Oeil Gauche". En moins de temps qu'il en fallait pour le dire, Féhanaro se retrouva seul au milieu de la rue. Trois bâtiments se faisaient remarqués par la présence sur leur fronton d'un écriteau. Le premier, et le plus gros, s'avéra être "l'Oeil Gauche". Situé presque en face et non moins visible se trouvait une double porte largement entrebâillée d'où sortaient toutes sortes de cris, des acclamation aux huées. L'écriteau était écrit principalement dans la langue des orcs, qui semblaient être très présents dans cette ville, mais une inscription en commun informait le promeneur illettré que c'était à la fois la salle de musculation des soldats locaux, la salle des paris sportifs et e temple local de Baghtru. Enfin, le dernier bâtiment remarquable se trouvait plusieurs dizaines de mètres plus loin. Ce qui faisait qu'on le voyait de loin était qu'une sorte de tente était dressée devant sa porte. Sous l'auvent, une orque vendait toutes sortes d'objets d'utilité quotidienne: de la fourchette en fer blanc à la hache de guerre aiguisée par un maître forgeron.
Dans le château:
Adakith n'eut pas véritablement le loisir de dormir sur l'épaule de l'orc. Outre le fait qu'il avait souvent dormi sur des matelas plus confortables, le fait que le voyage dura à peine plus de cinq minutes mit un terme à sa somnolence. Il fut jeté sans aucune précaution au milieu d'un tas dont le magicien mit quelques minutes avant de comprendre que c'étaient d'autres "prisonniers" qui avaient pour la plupart basculés dans l'autre monde.
Ses yeux et ses oreilles continuaient de refuser de fonctionner de manière normale et cela s'avérait assez gênant. Son seul sens encore utile, l'odorat, étant fort peu développé il n'eut pas même le temps de se sentir nauséeux avant que deux bras le serrent suffisamment fort pour qu'il se demande si on essayait pas de lui briser les bras. Il fut ainsi soulevé et déposé avec violence sur une sorte de chaise. Une explosion de mauvaise haleine lui révéla qu'un orc devait être en train d'essayer de communiquer avec lui
Plusieurs étages en-dessous, Zémobiel récupérait de ses blessures grâce aux bons soins prodigués par Ielenia pendant que Fillow cherchait une explication, en vain, à la disparition soudaine des traces de sang. Ne ni pouvant expliquer à ses compagnons où avaient disparus le magicien et l'elfe sauvage, ni trouver une voie de sortie autre que de monter vers les orcs, il fit signe à Ssendur qu'il était aussi d'avis de tenter de monter. Il leur fallait par contre décider quels escaliers ils allaient emprunter et ce, si possible, avant que les camarades de quelques orcs qu'ils venaient de faire passer de vie à trépas ne décide de venir voir ce qui se passait dans leur coin.
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Aventurier
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¤Si loin d'Eauprofonde¤,se dit Féhanaro une fois seul à l'entrée de Phsant.Le suivant d'Ilmater était visiblement encore surpris de la vitesse à laquelle la Compagnie l'envoya vers l'Inaccessible Orient,celui-ci n'étant que très peu habitué aux longs voyages vers les lointaines contrées de Faerun,en dépit qu'Arithnos son mentor lui ait enseigné que les dieux,même Ilmater, étaient parfois imprévisibles et qu'il nous incombait de toujours nous tenir prêt à les servir dans toutes les situations,même les plus déstabilisantes.
(Chondathan)-Ilmater,puisse tu me guider dans la tâche qui m'incombe, afin que je puisse retrouver ces deux personnes disparues;guides chacun de mes faits et gestes afin que je puisse récolter des informations concernant ces deux individus auprès de cette population.Je n'oublierai pas également la mission que tu m'as confié et viendrai en aide aux plus défavorisés de cette contrée.
Suite à cette prière,le paladin ouvrit les yeux et regarda autour de lui comme pour vérifier si personne l'avait entendu.Il se mit alors à observer les environs et remarqua les trois bâtiments et leur écriteau respectif.Après quelques secondes de réflexion il décida de se diriger vers le bâtiment au pied duquel une tente abritait un orque qui semblait vendre diverses objets.Passant devant l'entrée de l'édifice qui remplissait les fonctions de temple,caserne et salle d'entraînement à la fois, Féhanaro se dit alors que si la garde orque était semblable à leur équivalente humaine,il était alors plus sage qu'un humain(tout comme un orque dans le cas contraire) évite de se retrouver à poser des questions au milieu d'une foule de soldats bien trop souvent hargneux du fait de leur maigre salaire et de la nourriture infecte qu'ils reçoivent en échange du travail qu'ils fournissent.Approchant du marchand,le suivant d'Ilmater se dit également qu'il se peut qu'il ait eu tord en jugeant ainsi le temple de Baghtru par les cris qui en ressortaient.Une fois devant l'étalage de l'orque,Féhanaro dirigea son regard vers lui pour engager la conversation,espérant que son interlocuteur ne lui répondrait pas dans sa langue natale par une phrase qui voudrait sans doute dire qu'il n'aurait rien compris.
(Langage commun)-Bien le bonjour à vous,orque.Je suis à la recherche de deux de mes semblable;je m'adresse donc à vous afin de savoir si par hasard vous n'auriez pas aperçu récemment deux humains dans les rues de Phsant.
Le paladin se tût en l'attente d'une réponse favorable et compréhensible.Mais avant tout compréhensible.
La vie m'est nécessaire car la votre m'est précieuse.
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Gantelet de l'Amasstarte
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Bien que douloureux,le réveil d'Adakith fut porteur d'espoir pour le jeune mage dont la possibilité de faire a nouveau usage de sa vue et de son ouïe,sans quoi il ne pensait pas pouvoir faire grand chose comme la poursuite de sa pratique des arcanes,fut sa seule préoccupation durant son demi-sommeil perturbé par la crainte. Ce sentiment déjà fort en lui fut intensifié,lorsqu'il découvrit qu'il demeurait aveugle et sourd. Son esprit tourmenté par le conflit entre l'espoir de recouvrir l'intégralité de ses sens et le sentiment de fatalité l'épuisa,n'ayant pas l'énergie d'exprimer son désespoir ou d'ailleurs de faire quoique ce soit,il se laissa balancer comme une poupée de chiffon dans le tas de prisonniers.
La vague de fatalité avait achevé de le mettre dans un état de sombre torpeur,peu a peu l'effroi se dissipa,le laissant dans une certaine quiétude. Il contemplait les ténèbres de sa cécité,un tableau devant lequel il passa un temps court,mais délicieux pour son esprit...Le moment devenait agréable,l'air,comme s'il était capable d'exaucer ses souhaits, apportait a ses narines l'odeur de la mort,a son gout un parfum des plus exquis. L'atmosphère commençait a embaumer son âme,et il s'abandonna a une douce rêverie. Les ténèbres absorbantes devenues fluides n'étaient plus que des nuages sombres soufflés par le vent,et recouvrant de part et d'autre un ciel figé et gris. Les larmes célestes s'écoulaient abondamment sur un sol boueux,jonché par des cadavres nus et pourrissants,des cris et des plaintes immortalisés sur leurs visages.
Mais l'un des morts était couché paisiblement, tel un serpent, au dessus de la pile,esquissant un petit rictus qui ne tarda cependant pas a disparaitre... Arraché a sa sinistre vision,arraché a la chair froide et moite du cadavre en dessous de lui par des bras rustres et indélicats, il fut posé sans ménagement sur ce qu'il devina être un siège, et il sentit une haleine fétide qui n'avait rien a voir avec l'encens sépulcral dont il se délectait quelques instants plus tôt. Adakith ne souriait plus, son agacement lui avait redonné une étincelle de vie et son visage était presque crispé par le mécontentement,ressentant une haine sous-jacente pour la créature,probablement un orque,qui essayait de communiquer avec lui. Son esprit mit du temps a parcourir les kilomètres qui le séparaient du monde matériel,il supposa qu'il était en train de se faire interroger et il dit d'une voix soumise en parlant en commun: -Je suis aveugle et sourd a cause d'un sort,je n'entends pas ce que vous me dites,mais je possède des informations précieuses...un chaman peut me guérir,si vous en appelez un je pourrais donner des informations et vous serez grandement récompensés.
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Aventurière
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eureuse de voir que tout le monde allait bien. Un mot n'échappa pas aux oreilles de la prêtresse : Shar. Comme l'avait bien fait remarquer SSendur, il valait que Zémobiel l'oublie pour le moment, enfin surtout en présence de la représentante de Lathandre.¤Ainsi donc cette petite traînée s'en remet à la déesse sombre. Je savais bien que quelque chose ne me plaisait pas en elle. Il serait peut-être temps de la remettre sur le droit chemin.¤ -(chondathan) Zémobiel, votre juron en dit long sur vos croyances. Shar la déesse sombre n'est que pure folie de votre part. Elle profite des âmes en peine pour s'amuser avec elles et les torturer. Les blessures physiques n'étant rien à côté de ce qui vous attend le jour de votre trépas. Elle ne porte pas le titre de déesse de l'égarement pour rien. Songer qu'elle vous perdra un jour ou l'autre, quoiqu'il advienne et quoique vous fassiez. Ielenia se mit à réfléchir sur la conduite à tenir. Devait elle à tout prix la convertir de quitter une telle foi pour ce côté si sombre qui l'attendait ? Ou bien se devait-elle au contraire de garder un oeil sur elle et ses agissements ? De garder un oeil et de se préparer à une terrible extrémité. La première réponse qui lui advint fut que le seigneur de l'aube se devait tout d'abord de convaincre avant de combattre. Mais que chacun de ses représentants avait pour devoir d'empêcher toutes altérations maléfiques de Shar et de ses adeptes quels qu'ils soient.¤Commençons donc par l'empêcher de dispenser le mal autour d'elle, nous verrons plus tard si elle peut être sauvée.¤ Elle s'approcha de Fillow pour lui parler le plus discrètement possible et le plus loin possible des oreilles de Zémobiel.-(chondathan) Nous risquons d'avoir un soucis avec elle un jour ou l'autre. Puis prenant un ton plus audible pour tous.-(chondathan) On remonte l'escalier ? Je crois que nous n'avons pas trop le choix. Il me semble logique de dire que si les orques sont arrivés par là, que c'est par là qu'ils faut repartir. S'il n'y avait pas d'objections à sa remarque, Ielenia se dirigerait vers l'escalier qu'elle avait déjà emprunté tout à l'heure, l'arme à la main. Elle resta tout de même à portée de main de Zémobiel.-(chondathan) Je resterais près de la blessée, histoire de la surveiller pour éviter une éventuelle rechute. ¤Une éventuelle rechute ou bien un éventuel acte maléfique de ta part. Puisse Lathandre me guider dans mes actes.¤
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Aventurière
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es paroles de la prêtresse était emplie de sagesse et de bon sens, ce qui plaisait à Ssendur. Souvent les Ecaillés montraient de l'impatience et de l'irréflexion qui les menaient à l'erreur. Même si ses congénères refusaient souvent de le croire, Ssendur savait que certains humains étaient capables de faire preuve de discernement et de conscience dans leur acte. De rares individus montraient même une constance et un raffinement de raisonnement qui siéraient parfaitement à un ancien Yuan-Ti. Et Ielenia venait de donner raison au paladin sur ses congénères.
Dans tous les cas, il était temps de sortir. Rapidement, mais sans précipitation. Une question vint à l'esprit de Ssendur: les orques venaient-ils de l'extérieur, ou d'un cul de sac pour sortir de ce donjon? Prenant quelques instants pour réfléchir, le Yuan-Ti repassa dans son esprit les instants précédents. La conduite des orques n'était pas celle de fuyards. Ils tentaient de protéger, ou de sécuriser, une zone. Donc, ils ne cherchaient probablement pas à sortir. Ce qui signifiait qu'ils connaissaient la sortie.
Et donc qu'il fallait prendre l'escalier emprunté par les orques. Un raisonnement un peu lent, certainement, pour quelqu'un de plus vif que le Yuan-Ti, mais la culture des hommes-serpents privilégie la réflexion à long terme sur la vivacité d'esprit.-Ielenia a raison, prenons cet escalier. Je vais passer devant pour vous couvrir, et notre blessé aura certainement besoin de soins. ¤Et d'une bonne claque.¤ -Ielenia, Fillow, et vous Zémobiel, restez quelques mètres derrière moi. Si la situation devient critique, je retiendrai nos adversaires pour que vous ayez le temps de fuir. Et puissent les dieux vous venir en aide. Sur ce, le paladin s'élança vers l'escalier.Et c'est parti pour l'escalier, cimeterre au poing!
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Maître de l'Art
Chambre 31
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15 Eleinte de l'Année de la Magie Sauvage
Phsant, Thesk Température: 30°C Ciel sans nuage
Féhanaro aurait pu hurler à tue-tête la prière à Ilmater qu'il venait de prononcer à voix plus ou moins basse, la population n'y aurait pas fait plus attention. Déjà, rares étaient ceux qui maîtrisaient suffisamment la langue commune pour comprendre ce qu'il avait dit et personne ne parlait le chondathan. De plus, les orques faisaient largement plus de bruit que lui et ne semblait pas pouvoir attirer bien plus l'attention des passants qui n'avaient pas l'air de passer par Phsant pour faire du tourisme. Il fût même bousculé à plusieurs reprises par des passants aux mines fort peu aimables qui ne prirent pas la peine de s'excuser.
Malgré tout, il arriva indemne au "comptoir" du marchand orque qui, dès qu'il se rendit compte que le paladin était un futur client en puissance, se mit à lui sourire. Nul besoin de préciser que son hygiène n'était pas parfaite et que ce sourire était pour le moins repoussant. Par contre, sans un être un fin linguiste, il comprenait correctement la langue commune, à l'origine langue des marchands itinérants, pour pouvoir répondre aux questions de Féhanaro.
-Bien le bonjour à vous, humain. Le patron a dit que je ne pouvais parler qu'aux clients ... et vous n'êtes pas un client, il me semble.
L'orque accentua encore la taille de la balafre pleine de dents qui s'ouvrait au milieu de son visage, apparemment fier sa réponse. Cependant, presque instantanément, il jeta un regard à droite, un autre à gauche avant de chuchoter à l'oreille du paladin, lui envoyant une bouffée d'haleine fétide.
-Je peux peut être vous aider contre une modeste rétribution mais il me faudra un peu plus d'informations sur ces deux personnes que vous cherchez. Vous voyez des êtres humains, il en passe des centaines en ville.
Dans la forteresse:
Quartiers du chef des assaillants:
Difficile de savoir ce qui vous arrive quand votre vue et votre ouïe décident de ne plus fonctionner, Adakith en faisait la difficile expérience cependant, à l'odeur, le jeune magicien présuma que ce qui avait tenté de communiquer avec lui avait réussi à comprendre ce qu'il disait, ce qui était déjà en soit plutôt bon signe, et qu'il s'était éloigné. Pendant un temps désespérément long, il resta assis sur le tabouret sur lequel on l'avait assis de force.
Un nouvel assaut de mauvaise odeur le prit par surprise et le temps qu'il comprenne qu'il allait se passer quelque chose, une fiole fut enfoncée sans aucun ménagement entre ses dents encore trop serrées pour laissé passer le goulot. Puis un fluide limite gluant et au goût vomitif commença à s'écouler dans sa gorge. Adakith avait été obligé de fermer les yeux sous la douleur et ce fut un grognement indistinct qui lui permit de réaliser que ses sens étaient de retour. Adakith rouvrit les yeux pour constater qu'il se trouvait dans une pièce qui avait due être le bureau de quelqu'un à une époque lointaine. Trois orques se trouvaient dans la pièce: deux devant l'unique porte de la pièce et le dernier presque le visage collé au sien. Vu la façon dont les autres essayaient de ne pas croiser son regard, il devait être le chef. Ce fut lui qui commença à parler dès qu'il lui eu enlevé la fiole d'entre les gencives.
-Qui vous êtes? Et que faites-vous ici?
Les autres:
Fouille: Ielenia: 4(Dé) Ssendur: 3(Dé) Zémobiel: 5(Dé)+3(Compétences)
Malgré une légère tension entre les deux femmes du groupe, celui-ci se remit en marche en priant pour que les escaliers les conduisent, enfin, vers la sortie de ce dédale hostile. Cependant, se précipiter était sans doute le meilleur moyen de ne pas trouver du tout de sortie. C'est pourquoi, méthodiquement, chacun se mit à tâter les murs, à frapper le sol, à observer le plafond dans l'espoir que la sortie vers le monde libre se trouvait à proximité.
Toutefois, que ce soit Ielenia, Ssendur ou Zémobiel, tous étaient trop préoccupés par le risque de voir surgir par surprise des dizaines d'orques venus chercher la raison de l'absence de leurs compagnons. Seul Fillow qui, semble-t-il, parvenait mieux à maîtriser ses nerfs parvint à faire des recherches assez approfondies pour finir par trouver quelque chose. En face de la sortie de l'escalier, approximativement, le mur n'était qu'une sorte de drap dont l'aspect avait été altéré par magie pour ressembler au reste du bâtiment. Derrière ce rideau se trouvait une porte de bois qui semblait être assez épaisse mais dont Fillow avait l'impression qu'elle n'était pas fermée à clé.
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Gantelet de l'Amasstarte
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Adakith préféra ne pas exprimer sa joie de retrouver ses sens et évita de remercier l'orque,il doutait qu'il apprécie la gratitude ou le bonheur et préférait éviter de prendre des risques. Raide sur sa chaise,il répondit a l'orque en ayant le regard fuyant non seulement par peur mais aussi car il lui semblait bon d'imiter l'attitude des orques avec le chef,c'est donc en faisant attention a ne pas croiser le regard du chef orque qu'il répondit très vite a sa question: -Je me nomme Adakith Elathyr,je suis un nécromancien et j'ai été accueilli par le mage rouge qui habite dans ce...château? Je ne suis pas sur de savoir ou nous sommes mais il habite dans la forteresse que vous avez attaqué,j'ai essayé de le voler mais il avait mis des pièges qui m'ont rendu aveugle et sourd...des pièges qui protégeaient des objets extrêmement intéressants,épée et armure magiques comprises,et a présent je sais comment il se déclenchent et donc comment les détourner.
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Aventurier
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Rien de surprenant.C'est ce que le suivant d'Ilmater devait se dire lorsqu'il constata que la première réponse de son interlocuteur,ainsi que son haleine,allaient de paire avec le comportement des rares habitants envers les étrangers.Tout le poussait à rebrousser chemin,de la réponse cinglante de l'orque(qui pouvait en effet être fier)au parfum fétide qui émanait de sa bouche.Seulement lorsque Féhanaro fit mine de s'en aller,suivi d'un léger rictus dû à l'odeur,la seconde réponse du marchand attira son attention,mais aussi ses espoirs.
¤Merci,Ilmater.¤
Suite à ces remerciement en l'honneur de son Dieu que Féhanaro prononça après avoir reçu en pleine figure une seconde bouffé d'air tout droit sortie de la cavité qui servait à l'orque d'esquisser de larges sourires envers ses clients,le paladin considéra l'offre en fixant l'étalage et en se grattant la barbe,amusé(sans doute de manière ironique)que les redoutables senteurs buccales de l'orque fassent également partie de sa marchandise. Féhanaro hésita longuement à dévoiler le peu d'information qu'il détenait,ne voulant surtout pas trop attirer le regard dans une ville si inquiétante.Cependant il n'avait reçu aucun ordre concernant sa discrétion lors de ses investigations.Il releva alors la tête vers l'orque.
(language commun)-Tout ce que je sais,mon brave,c'est que les deux personnes que je recherche ont été vues pour la dernière fois à bord d'une carriole qui les transportait dans les rues de cette ville.De plus ils avaient l'air dans un piteux état.Se sont également des membres de la Compagnie des Marches.
Suite à cette révélation,Féhanaro se préparait à recevoir un retour satisfaisant de la part du marchand;mais également fétide.
La vie m'est nécessaire car la votre m'est précieuse.
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