Localisation exacte inconnue, Une seconde chance

Quand il avait aperçu Exorn qui s'avançait vers lui, Karou n'en avait d'abord pas cru ses yeux, sans doute à cause du nombre d'erreurs qu'ils avaient fait. Croyant s'enfoncer un peu plus dans la folie, croyant voir un cadavre marcher, il s'approcha plus près et commença à reprendre espoir. Les traits que l'on voyait se détacher était bien les siens, et la voix qu'il avait entendu venait probablement de lui, pas d'un mort. Quand il fut tout à fait sûr de ne pas se tromper, il s'élança vars le guerrier et le prit dans ses bras. Celui-ci ne pouvait pas voir la pauvre larme couler sur la joue de l'aasimar. Mais, se rappelant comment le guerrier avait repoussé l'elfe qui avait voulu bander ses blessures auparavant, il relâcha le guerrier et recula d'un bon pas...

-Si tu savais comme je suis content de te voir sauf Exorn, j'ai eu peur pour toi, s'il t'était arrivé quelque chose, je serais mort de remords. Pardonne moi de t'avoir mis en danger, je n'ai pas l'âme d'un chef, je n'aurais pas du accepter, j'ai mis trop de personnes en danger avec mes décisions tordues, pardonne moi. Karou tourna quelques instants ses yeux vers le plafond et remercia rapidement le ciel en céleste. Un bruit de pierre effondrée, sans doute plus fort qu'un autre, le ramena rapidement dans la prison. Il y avait là deux personnes qui ne devaient pas souffrir de ses bêtises, il devait les sauver, car si l'un d'eux se prenaient une pierre dans la tête, Karou s'en voudrait éternellement. Il décida donc pour que les choses avancent de faire part de sa découverte au guerrier...

- Oh, tu sais, j'ai découvert quelque chose, tu sais la déchirure dans la paroi, là où je t'ai rencontré. Et bien en regardant la vallée en contrebas, j'ai remarqué un detail que nous n'avions pas vu tout à l'heure. Je ne suis pas sûr de ce que j'avance, mais il m'a semblé voir un grand rassemblement d'hommes en armes, une grande armée je pense. D'ailleurs, en y repensant à l'instant, je me dis que peut être les secousses qui font trembler le plafond proviennent de ce combat, si combat il y a. Peut être que l'endroit où nous sommes est cible d'un siège. Mais bon, cela n'a pour l'instant pas la plus grande importance, il nous faut nous éloigner d'ici avant de mourrir sous un morceau de plafond. As-tu une idée pour sortir? Et où sont donc passés les autres?

La jeune ensorceleuse avait gravi les marches pour accéder à la grande passerelle avec grande hâte et maintenant elle en payais le prix. Elle était totalement essoufflée sa faible constitution en avais prix un coup pendant cette longue monter d’escalier et maintenant elle suais a grosses gouttes. Elle s’arrêta donc pour reprendre son souffle qu’elle avait court présentement. Mais son esprit également était en ébullition, elle s’interrogeait toujours sur les capacités de ces compagnons. À son avis Alesray en plus de représenter un allier éventuel Zémobiel envisageais aussi à sa manière de bouger qu’il pourrait faire un excellent éclaireur et qu’il pourrait les prévenir en cas de danger en en allant à l’avant du groupe et il y’avais la jeune prêtresse, Ielenia, elle pouvais sois représenter une épingles dans leur pieds à long terme ou une allier précieuse, mais pour le moment elle ne pouvait pas s’en passer, ils auraient sûrement besoin de guérisseur tôt ou tard dans leur évasion de se maudit donjon. Mais la question dérangeais trop l’esprit de la jeune femme d’Eaupronfonde elle devait savoir et comme elle venait de rattraper la jeune femme elle se décida à lui poser la question sans plus tarder, ensuite elle pourrais réfléchir les idée clair sur la marche à suivre pour cette jeune prêtresse. Elle se tourna donc vers elle, là regarda dans les yeux et lui dit d’une voix douce, mais saccader à cause de son manque de souffle :

-(Illuskan) Ielenia j’ai une question que je me pause depuis un moment et j’espérais une réponses pour pouvoir éclaircir mes esprit… Alors la question est simple : à quel dieu tu dévoue?

Zémobiel la regarda un attendant la réponse avec impatience et guettant la moindre de ses réactions pour savoir si elle essaierais de lui mentire pour quelque raison que se sois.

e jeune elfe suivait l'humain d'un pas lourd. Le regard fatigué, le corps chancelant, il n'émettait pas le moindre son. Grâce à sa volonté, il combattait le mal-être qui le harcelait. S'il baissait les bras ou perdrait espoir, Nenharma pourrait devenir complètement fou et se mettre en danger, lui et ses compagnons. Il respirait profondément pour évacuer le stress et l'aversion de ce lieu. Projeté dans ce lieu de métal et de haine, le druide s'était forgé en lui un bastion de résistance, où il rassemblait tout ce dont il aimait pour soutenir sa volonté. Ce monde intérieur était une grande clairière au pied d'une petite colline verdoyante. Cette petite clairière ensoleillé est traversé d'une douce et calme rivière qui produisait un son Délicat et apaisant. Autour de cette clairière parsemée d'animaux en tout genre, des bois brûlé résident. Cette forêt pauvre et meurtrie démontre le contraste entre le monde réelle et la dur réalité. L'elfe s'accrochait désespérément à ce monde encore et encore pour garder fois en la vie et continuer à avancer. Alors qu'il marchait paisiblement en direction des deux humains, la bouche de sa ceinture se bloqua sur un petit rocher au sol et stoppa donc sa faible progression. Lentement, il se retourna pour donner un petit coup de poignet à la ceinture afin de la débloquer du rocher. Il reprit sa marche d'un air abattue et espérait réellement sortir d'ici.

(Elfique) "Hillani dame d'amour, aidez-nous!" Susurra t-il désespérément. Rejoignant Exorn et Karou d'Hèle, il les entendait bafouiller des paroles incompréhensibles à ses fines et longues oreilles. Il resta donc aux cotés des deux compères et scruta, de ses fins yeux doux et éreintés, l'obscurité qui se présentait à eux. Il humait l'air pour essayer de saisir une odeur qui pourrait les menés à un endroits où ils pourraient peut-être se nourrir, chose indispensable. Il essayait de se concentrer, pour écouter attentivement ce qui se passait autour de lui. Alors que les deux hommes se trouvèrent face à face, Nenharma fit quelques pas pour se distinguer d'eux et pouvoir scruter les environs. Il tendit le coup pour lever son doux visage, balafré par la fatigue, pour scruter les environs. Au fond de lui, il pria sa dame, Hillani, de lui montrer la vois à suivre et de les guidés dans le bon chemin, la bonne direction.

Agrilath se releva un peu, difficilement... Il se soutint avec la paroi, la tête baissée, soufflant puis il esquissa un mince sourire a l'homme qui venait de le sauver tout en relevant la tête, un des bras pendant dans le vide, toujours ensanglanté.

-(Commun) Merci... Je vous... dois la vie, Monsieur ? Puis-je savoir votre nom ? Agrilath regarda ses poignets avec dépit, puis le reste de son corps... Puis il retourna son regard vers l'homme qui était plus grand que lui...

-(Commun) Ce n'est pas... très beau à voir... Mais ça va... se refermer, par la grâce de Sylvanus... Il va falloir que je... réussisse à me soigner... Agrilath tata un peu son corps pour examiner les blessures qu'il avait et il regarda bien le tatouage qu'il avait sur la poitrine...

¤Sûrement un rite pour un dieu ou une croyance quelconque... De toutes façons, j'ai eu de la chance que cet homme soit passé par là...¤

Agrilath essaya de se tenir sur ses deux jambes seules, mais ses jambes chancelèrent avant qu'il se rattrape une nouvelle fois sur la paroi... Il tourna la tête pour regarder d'un autre angle la pièce où il avait été torturé pendant des heures et des heures, ne sachant même plus depuis combien de temps il était là... Puis, il releva la tête, ses idées étant de nouveau plus claires... Il reprit sa manière habituelle de parler lentement, pesant ses mots, cette même manière de parler qui dérangeait les autres... des fois...

-(Commun) Comment se fait-il... que vous soyez libres? Que se passe-t-il... ici? Vous... n'êtes pas un de mes tortionnaires... je suppose, sinon vous ne m'auriez pas délivrer... Agrilath se tus, le souffle difficile et les poignets toujours en sang, attendant que son sauveur explique une ou deux choses, mais on pouvait voir qu'Agrilath réfléchissait aussi, reprenant sa contenance et sa sagesse...

¤Il n'y a pas beaucoup de solutions, ou alors ils sont en train de se sauver et ils ont tués les gardes, ou alors quelqu'un d'autre est venu pour nous sauver... ce qui me parait... difficile à croire... Mais bon, je suis libre, c'est déjà ça...¤

Ielenia vit Zémobiel complétement essouflée. Elle attendit que celle-ci eut repris son souffle pour lui répondre.

(Illuskan)"Je suis une disciple du seigneur de l'aube, Lathandre. Voila pour ta question, mais pressons il faut trouver un moyen de sortir d'ici, on aura l'occasion d'en reparler plus tranquillement une fois dehors."

Ielenia inspecta les deux passages rapidement. Le couloir éclairé pourrait être emprunté sans problèmes. Mais dans l'autre on n'y voyait rien. Peut-être que plus loin, il n'y aurait plus de lumière du tout. La jeune femme se dirigea vers le passage éclairé, et tenta de se saisir de la torche qui l'illuminait.

¤Avec ça on devrait pouvoir s'éclairer dans ces cavernes et au besoin elle pourra me servir d'arme improvisée.¤

(Illuskan)"Je vais prendre la torche pour que l'on puisse s'éclairer, attends les deux autres et on prendra une décision sur le tunnel à emprunter. Si tu vois les autres essaye de les ramener ici, on aura plus de chance de s'en sortir si on est nombreux. On s'est tous dispersé tout à l'heure, ce n'était surement pas une bonne idée."

Narration

Kresselack & Agrilath:
L’homme qui venait de le délivrer c’était rapidement présenté comme se nommant Kresselack et avait confirmé l’idée d’Agrilath selon laquelle il était lui aussi un prisonnier depuis peu délivré. Mais l’homme à la carrure imposante avait coupé court à la conversation et une fois qu’il s’était assuré que l’halfelin tenait mieux sur ses jambes, il avait rapidement inspecté la petite pièce en désignant le temps qui pressait et le danger à rester immobile en ce lieu. S’il étaient pour l’heure libre d’entraves, rien ne permettait de dire que cela durerait. Il était manifestement clair qu’il leur fallait saisir rapidement cette opportunité et qu’après seulement ils pourraient en savoir plus l’un sur l’autre.

Dans le lointain le bruit sourd de détonations persistait, résonnant au travers de la roche jusque dans cet endroit exigu et malsain qui hanterait sûrement l’esprit du Sagespectre jusqu’à la fin de ses jours.
Alors que la fouille superficielle s’avérait négative, un bruit leur parvint depuis le couloir qu’avait emprunté le Rashémi. Des bruits de pas se firent clairement entendre et bientôt une ombre se dessina en contre-jour de la lumière passant par le seuil de la porte béante.

Alesray, Kenadon, Zémobiel, Ielenia :
Après avoir succinctement répondu à l’ensorceleuse, Ielenia se détacha du quatuor pour aller jusque dans le petit couloir éclairé qui s’ouvrait à quelques mètres devant. Sûrement estimait-elle que se séparer quelques instants du petit groupe était un risque à courir pour obtenir une source lumineuse permanente. Le petit corridor n’était guère large et la hauteur de plafond en était également assez faible. Après une volée de pas dans cet espace restreint, la prêtresse de Lathandre arriva à un coude se formant vers sa gauche, c’était à cette bifurcation que se tenait la torchère. Mais comme elle aurait dû s’en douter de loin déjà, il ne s’agissait pas d’une torche de bois qui se serait certainement consumée depuis longtemps déjà mais d’une torchère en métal fixé au mur et probablement rempli d’huile. La lumière dispensée éclairait les environs immédiat de la jeune femme : sur la gauche une porte de bois grande ouverte la narguait, effrayante de promesses. A son ‘Nord’, le couloir continuait mais à quelques mètres une masse sombre sur le sol était perceptible sans être toutefois identifiable.

Sur la plateforme, Zémobiel, en compagnie des deux hommes restés avec elle, avait regardé s’éloigner sa compagne. Maintenant, elle écoutait et regardait tout autour afin de percevoir un indice, un détail qui pourrait leur donner une ligne de conduite à suivre à présent. La luminosité continuait de décroître et bientôt il ferait aussi sombre en cet endroit que dans le passage qui se faisait de plus en plus dur à distinguer sur leur gauche.

Karou d’Héle, Nénharma & Exorn:
Le guerrier avait rassuré Karou sur le reste du groupe. Il les avait laissé rejoindre la plateforme en leur indiquant le chemin à suivre avant de tenter de retrouver le moine après avoir entendu ses appels qui l’avaient inquiété. Maintenant qu’il était face à lui, il était quelque peu rassuré. Il avait écouté attentivement le récit qui lui avait été fait sur l’armée vraisemblable qui siégeait à l’extérieur mais il ne fit aucun commentaire à ce sujet, son esprit étant pour l’heure certainement focalisé sur les ténèbres qui de nouveau s’élevaient autour d’eux.

C’est en regardant la faible lueur reflétée par la lame trouvée par Exorn que Karou prit alors véritablement conscience que le jour déclinait dangereusement. Il s’était tellement angoissé quant au devenir de ses compagnons qu’il en avait presque oublié la réalité qui les menaçait à long terme en ce lieu de chaos et d’atrocité. Seuls les dieux auraient pu dire quelles mauvaises surprises ils rencontreraient peut-être s’ils traînaient plus longtemps ici.

Nénharma, qui était visiblement sorti de ses songes, s’était fait sensiblement la même remarque, car même s’il ne percevait pas la teneur des propos échangés, sa sensibilité coutumière l’informait de l’imminence d’une situation difficilement contrôlable part la suite. Après tout, même les elfes ne pouvaient voir dans l’obscurité totale, et le fait qu’ils soient sous terre ne lui fournirait aucune lumière naturelle lorsque la noirceur les absorberait intégralement d’ici peu.

Karou bouillait intérieurement de joie, mais il du se restreindre d'exulter, car depuis quelques instants déjà, l'obscurité était en train de revenir. La nuit devait être proche, et le jeune moine savait que si l'obscurité revenait come elle l'avait été à leur réveil, ils n'avaient presque aucune chance de s'en sortir. Il prit Exorn par le bras, le tira sèchement de quelques centimètres vers lui et le regarda dans les yeux...

-Je suis heureux de t'avoir retrouvé sauf, mais il nous faut nous en aller le plus vite possible, rejoindre les autres et sortir avant qu'il ne soit trop tard. Tu m'as dit que tu les avais laissé à une plateforme, saurais tu la retrouver? Nous devons nous y rendre immédiatement, conduis y nous, moi et l'elfe. Quand nous serons sortis d'ici, tu pourras me parler de toi, je pourrais te parler de moi. Mais pour l'instant il nous faut sortir et vite.

L'aasimar se tourna vers l'elfe, le regarda rapidement dans les yeux, essayant de le rassurer, puis lui prit le bras, faisant un signe qui lui indiquait de le suivre, puis il se retourna vers Exorn et attendit ses indications. Il espérait fortement que celui-ci était capable de les emmener à la plate-forme, sinon ils étaient tous foutus, et Karou en était responsable.

Zémobiel retins un soupire décourager en entendant la réponse de la jeune prêtresse, sa pouvais difficilement être pire comme réponse, exceptée si elle avait dit être une adepte de Sélunée. Il fallait que cette petite idiote se dévoue au seigneur de l’aube un des pire ennemis de la Maîtresse de la nuit qui était sa déesse à elle. La jeune ensorceleuse reste là planter un instant à regarder la jeune prêtresse s’éloigner dans un corridor, elle se demandais se qu’elle allait faire maintenant avant de se décider à suivre Ielenia dans se couloir éclairer par quelque torchères. Habituellement Zémobiel se sens plus à l’aise dans les ténèbres, mais dans un endroit inconnu mieux valait emprunter des chemins éclairer pour éviter entre autre choses les mauvaises chutes et en plus il avait fort approprier de penser que vue que se chemin si était éclairer il était probablement plus utiliser et avait donc plus de chance de conduire vers une sortie. Elle fît signe aux hommes qui l’accompagnait de la suivre avant de s’engager finalement à la suite de la prêtresse d’un pas rapide ne souhaitant pas s’éterniser plus longtemps dans cette damnée pièce et même e cette forteresse elle tourna a tête vers l’arrière pour s’assurer que les deux autres la suivaient et espéra que ceux qui s’en étaient aller explorer le reste de la pièce les rejoindrais très bientôt au cas ou la situation tournerais au vinaigre.

Exorn regarda un instant Karou et son attitude paternaliste envers eux.
¤ Décidemment, celui-là semble se préoccupper plus des autres que de lui même, c'est surprenant de rencontrer ce genre d'individu. ¤

Puis il se décida à bouger et répondit à l'incitation du moine en bondissant de l'avant avec velocité.
- Ouais, bien sûr que je sais où elle est cette plateforme ! Depuis le temps je connais presque que ça dans le coin. Mais je n'ai ps laissé les autres là-bas, je leur ai seulement indiqué la route à suivre. Allez, venez !

D'une foulée rapide, il sauta les premiers gravats qui les conduiraient jusque devant l'estrade de bois monumentale qui recelait, du moins il l'espérait, leur porte de salut.
¤ Espérons que les boiteux que j'ai lâché en route aurons trouvé le chemin, car avec la poisse dans laquelle la nuit va nous plonger on serait pas dans la merde pour les retrouver... ¤

Il toucha du pouce le tranchant du fil de la lame qui était pour l'heure leur seule protection face à l'inconnu. Ce petit geste, il le faisait souvent pour se rassurer surtout lorsque la tension montait d'un cran.

Agrilath comprit assez vite qu'il fallait partir... Mais, il devait s'arranger un peu avant de partir, il ne fallait pas qu'il laisse de traces de sang pendant tout le temps de leur fuite...

-(Commun)Il faut d'abord que je... me soigne, cela ira vite... Ne vous inquiétez pas...Agrilath ferma les yeux puis commença a faire des gestes devant lui tout en disant des choses dans une langue inconnue a part quelques mots.

-(Commun)Sylvanus, aide moi...... Soins..... Sylvanus......Les mains d'Agrilath se couvrir d'une faible lumière d'or. Agrilath ouvrit les yeux puis souria... Il releva les yeux sur l'homme toujours en souriant. Puis il posa ses mains sur ses poignets, la main gauche sur le poignet droit et le contraire. La lumière s'intensifia quelque peu pour devenir blanche finalement. Agrilath retira ses mains de ses poignets, ceux-ci ne saignait plus et Agrilath ressenti de nouveau ses poignets et ses mains. Il fit quelques mouvements avec ses mains pour tester, puis, il revint sur Kresselack, l’œil pétillant de vie de nouveau.

-(Commun)Bien... Très bien... Nous pouvons... y aller.Agrilath regarda Kresselack, attendant qu'il passe devant car, Agrilath lui-même ne savait pas trop quoi faire, vu que tout ce qu’il avait vu du complexe était cette même pièce qu’il venait de regarder, dans laquelle il avait vécu il ne sait combien de temps et qui hanterait ses cauchemars toute sa vie...

Agrilath lance un sort de Soins mineur