Localisation exacte inconnue, Une seconde chance

Karou sentit à ce moment là que le rôle de chef ne lui convenait pas forcément au mieux. Ses ordres n'avaient pas été resperctés à la lettre, et ils se trouvaient maintenant dans une position pas facile. Il ne voyait à ses côtés que l'elfe qui ne parlait pas le commun et avec qui il ne pouvait pas communiquer. Les autres semblaient être partis, peut être déjà dehors, évadés, et son ordre semblait avoir été renvoyer par la pierre comme seule réponse. Dans ce cas là, Karou avait pour mission de faire sortir l'elfe qui l'accompagnait. Malheureusement, Karou semblait être le seul, avec le pauvre elfe, à ne pas connaitre l'ouverture sur la plateforme, et il était dans l'incapacité d'aider qui que ce soit, ne pouvant même pas s'aider lui même.

Ne voyant pas ce qu'il pouvait faire d'autre,il fit signe à l'elfe de le rejoindre, et il se mit à longer les murs à la recherche d'un indice. Il devait trouver quelque chose rapidement, car le plafond allait prochainement s'effondrer, et le pauvre elfe qui était venu le secourir tout à l'heure serait pris dans l'éboulement et mourrait. Non, il ne méritait pas ça le pauvre, personne ne méritait ça. Un moine digne de ce nom ne pouvait laisser faire une injustice pareil, cet elfe généreux et courageux devait vivre, mais il se sentait impuissant, incapable de faire quelque chose, et rien ne pouvait mettre plus Karou en colère. Toujours fouillant les murs et ne découvrant rien, un cri monta de ses tripes qu'il ne put retenir, bizarrement, cette langue était le céleste, et le cri reflètait la profonde pensée du jeune aasimar:
(Céleste)"Mon dieu! Aidez moi!"

Il s'arrêta quelques instants, fatigué sous le poids de sa conscience et de ses responsabilités, puis remis au travail par une nouvelle claque administrée par son esprit, Karou se remit à regarder rapidement les murs en faisant le tour de la pièce.

Zémobiel étaient haletante, la progression était difficile dans la salle pour éviter tout les débris, humains et autres, qui jonchaient le sol de la caverne. Quand Exorn s’adressa à elle, la jeune femme eut du mal à se retenir de ne pas le frapper en pleine figure, d’abord il se permettait de l’insulter et après il lui faisait des propositions indécentes. Elle s’adressa au jeune guerrier, le regard dur:

-(Commun) Ne t'en fais pas tu n'auras pas trop de problèmes avec moi, la seule chose c’est que je veux survivre a cet endroit et j’ai pas l’intention d’attendre que le plafond me tombe sur la tête pour me décider à bouger. Alors j’ai décidé de vous accompagner car je croyais que j’avais plus de chance ainsi… Ensuite je crois vraiment pas que se sois le temps de draguer, alors je vous conseille vivement de conserver vos ardeurs dans votre pantalon et de penser à autre choses… Sinon… Bon ensuite pour cette passerelle j’aurai peut être besoin de votre aide pour grimper, je ne suis pas une bonne grimpeuse, mais je ferai mon possible pour que se sois pas trop pénible pour vous.

Cela dit la jeune ensorceleuse se remit en chemin entre les gravats vers cette plateforme vers laquelle ils se dirigeaient déjà, bien décidée à quitter cette endroit au plus vite.



Ce message a été modifié par Morkab Caliban le Jeudi 13 Avril 2006 à 08h06

Le plus discrètement possible Kresselack détailla l'embouchure des deux tunnels. Celui de droite largement eclairé contrairement à celui de gauche sembla plus l'intéressé. Le feu de la torchère illumina son visage pâle et froid, et le peu de chaleur dégagée suffit à lui arracher un léger sourire. La flamme brillait telle une lueur d'Espoir, jaillissante et rassurante.
Soudain le sang du Rashémi ne fit qu'un tour, tous ses sens se mirent en alerte. Des voix ou des cris provenaient de l'autre tunnel, au côté opposé de la plateforme de bois. Ses yeux sondèrent les ténèbres et ses oreilles furent aux aguets. Le ton semblait dur et la voix tonnait.

¤La détonation...suremment les geoliers mis en alerte...on nous recherche...on me recherche¤

- (commun)Rhaaaa, et toujours pas de quoi leur faire rendre gorge, si seulement j'avais une arme, foutre di....

Le guerrier éleva son regard tout en inspirant profondément. Le moment serait crucial, deux Options s'offrait à lui. La première consiste à fuire à l'opposé, mais comment pourrait il tenir ses adversaires à distance brisé après cette lourde chute. Il n'avait même pas encore repris son souffle. La seconde serait de rester et se battre pour mourrir avec une once d'honneur. Se cacher est digne d'un roublard ou d'un petit gens mais pas d'un rashémi, qui plus est un rashémi adorateur de Tempus.
Le temps n'était pas en sa faveur, le plafond a cédé une fois et la voute n'est plus sûre, rester ici annonce une mort certaine. La seule chance de salut réside en ce tunnel illuminé.

¤Bon et bien à nous deux maudite caverne...tu ne seras certainement pas le tombeau de Kresselack, fils de Gunnulf Elan Noir¤

Kresselack entama une course mesurée vers le tunnel, scrutant les moindres détails devant lui. Son coeur palpitait quelque peu à faire et à mesure qu'il s'avancait vers le boyau qui le conduirait on ne sait où.



Ce message a été modifié par Morkab Caliban le Jeudi 13 Avril 2006 à 08h12

La jeune femme ne comprenait pas grand chose des intentions de ceux qui l'accompagnaient, seulement que tout le monde avait décidé de fuir. Elle avait suivi les autres membres du groupe sans réfléchir, car la situation pressait. Encore combien de temps pourraient-ils survivre dans cette grotte ?

¤On est dans une caverne qui s'écroule, on ne sait même pas où est la sortie, on n'a pas d'équipement et pas un seul ne parle la même langue. On est dans de beaux draps ! Comme on dit la situation est grave, mais pas desespérée.¤

Malgrès tout ces désagrements, Ielenia continuait de croire en ses chances de survie.
Ne sachant toujours pas vers quel endroit elle se dirigeait, elle demanda à Zémobiel :

[Illuskan] "Qu'est ce que tout les autres comptent faire et sait-tu où mène l'endroit vers lequel nous courrons ?"

En même temps qu'elle courrait elle entendit quelquechose qu'elle ne comprenait pas. Y avait-il quelqu'un qui était encore prisonnier ? Etait-ce leurs ravisseurs qui revenaient et qui voulait les empêcher de s'échapper ? Beaucoup de questions trottaient dans sa tête et deumeraient malheureusement sans réponses. Ils leur fallait à tout prix éviter un nouveau combat, car les blessés étaient nombreux et ils n'avaient rien pour se défendre.

¤Puisse Lathandre nous accorder sa faveur et que l'on sorte indemne de cet enfer.¤

Et la prêtresse continuait de suivre le groupe tout en prenant garde de ne pas se faire aplatir par un bloc de pierre.

¤Comment faire pour me sortir de là… Je n’aurais jamais dû partir pour cette contrée lointaine… Bon je n’ai pas trop le choix...¤
Agrilath regarda au dessus de lui et plus précisément ses fers… Il essaya de bouger ses mains, espérant pouvoir peut être incanter un sort, mais en vain.

¤Si je pouvais faire appelle à la nature peut être que je pourrai m’en sortir avec l’aide d’un esprit des bois...¤
Agrilath expira de l’air dans un souffle puis regarda son torse avec les deux tatouages, espérant peut être se rappeler d’une chose qui pourrais lui indiquer où il était et qui lui avait fait cela.

¤Bon, comme je suis dans de beaux draps et que je ne pourrai pas m’en sortir moi-même, espérons qu’il y ait quelqu’un qui m’entendent. De toutes façon, ou point où j’en suis... De plus, c’était quoi ce bruit ? J’espère rien de grave enfin pour moi...¤

Agrilath prit une profonde inspiration avant de crier à plein poumon.
-[Commun] A l'aide ! Aidez moi, je suis prisonnier… Au secours !
¤Je n’ai pas l’habitude de demander de l’aide mais là, je n’y arriverai jamais seul...¤

Agrilath bougea ses bras pour faire du bruit avec ses chaînes en plus de ses cris, espérant alerter quelqu’un, peut être d’autres prisonniers…
¤C’est vraiment parce que je n’ai pas le choix...¤
Agrilath fut vite à bout de souffle mais reprit sa respiration et reprit ses cris...



Ce message a été modifié par Morkab Caliban le Jeudi 13 Avril 2006 à 08h03

Narration

Kresselack:
Kresselack test de Perception auditive 13(Dé)+2(compétence)= 15 >< DD ? = Réussite
Le guerrier rashémi s’avança à petite foulée vers le tunnel, bien conscient qu’à cette vitesse il serait moins vigilant aux détails qui l’entouraient. Ses pas rapides résonnèrent dans un bruit creux au fur et à mesure de sa course sur la plateforme, puis cédèrent la place à un écho lorsqu’il prit pied dans l’étroit tunnel. Devant lui, la galerie creusée grossièrement dans la roche se scindait en deux au niveau de la torchère en métal, un coude sur la gauche menait à une porte massive en fer rouillé au bout de deux mètres. Le passage à son ‘nord’ était aussi bas de plafond que le reste du tunnel ; en tendant le bras au-dessus de sa tête Kresselack aurait pu le toucher. A la limite de sa vision, quelque chose d’indéfini occupait le sol en une sorte d’amas informe.

Soudain un appel à l’aide déchira le relatif silence qui régnait en ces lieux. La petite voix éraillée semblait émaner de derrière la porte métallique.

Alesray, Kenadon, Zémobiel, Ielenia & Exorn:
Exorn test de Fouille 19(Dé)+1(compétence)= 20>< DD ? = Réussite
Exorn ayant indiqué au groupe comment retrouver le chemin de la plateforme, il s’était promptement esquivé en direction de la dernière position connue de Karou. Prenant garde aux talus traîtres et aux pierres roulant sous les pieds, le jeune guerrier espérait ne pas arriver trop tard pour aider le moine avec qui il tissait peu à peu une relation de confiance.

Alors qu’il progressait aussi prudemment que la raison l’imposait, un éclat métallique vint frapper son œil. Intrigué il s’arrêta, hésita un instant à reprendre sa route, puis finalement se décida à s’approcher pour voir ce qu’il en était. Bien dissimulé entre une cage broyée et un gros bloc de roches tombées du plafond se trouvait le corps d’un homme. De part la cagoule en cuir qu’il portait sur la tête, Exorn pensa qu’il ne s’agissait pas là du cadavre d’un prisonnier mais celui d’un geôlier. Ecrasé jusqu’à la poitrine, le moribond avait le bras jeté par-dessus le pommeau d’une épée gisant au sol. Pratiquement entièrement recouverte de poussière, seule une petite partie de la lame demeurait propre et avait accroché le rayon de lumière que le guerrier avait perçu. Il aurait été facile de passer maintes fois à côté de cette découverte tant le chaos autour était complet.

Le quatuor mit peu de temps avant de rejoindre le mur comme le leur avait indiqué Exorn. Suivant ses indications, ils remontèrent la paroi sur toute la longueur de la caverne jusqu’à ce que soit clairement visible la grande plateforme de bois haute d’environ six mètres. Arrivés au pied de l’estrade monumentale, le petit groupe se donnait soudain l’impression d’être des enfants au pied de la table d’un géant. Si arrivé jusqu’ici n’avait pas été très compliqué, monter serait assurément plus dangereux et ardu.

Karou d’Héle, Nénharma:
Le moine ouvrant la marche, les deux hommes avait finalement rejoins le mur de la caverne ou se tenait béante la déchirure donnant sur l’extérieur. Leurs yeux parcouraient chaque chose qu’ils rencontraient durant leur progression avec l’espoir de pouvoir dénicher un indice, quelque chose d’utile ou tout autre élément qui pourrait leur donner le sentiment de faire pencher la balance du destin qui ne leur avait été que trop défavorable jusqu’alors. Karou ne s’attendait pas réellement à une réponse d’une quelconque entité supérieure mais pourtant une idée commença à germer dans son esprit, et il se demanda s’il n’avait pas été ‘guidé’ jusque dans ce lieu maudit pour une raison qui dépassait encore sa compréhension mortelle.

Ils arrivèrent finalement jusqu’à la fameuse entaille dans la paroi de la caverne, et là, l’aasimar vit de nouveau l’extérieur. Cette soudaine immensité à perte de vue, la hauteur impressionnante, le contraste avec cet endroit confiné, les couleurs chatoyantes… Tout concordait à leur couper le souffle devant ce spectacle aux dimensions épiques. Pourtant, malgré ses yeux embués par l’émotion et le ravissement, il remarqua un détail sur lequel il ne s’était pas attardé la première fois par peur de tomber du haut de la falaise. Dans l’extrême gauche de leur vision, il pouvait distinguer la forme de ce qui lui paraissait être une armée déployée dans une plaine sur les contreforts de la montagne. N’ayant aucune connaissance en la matière, il ne pouvait dire quoi que ce fut à son sujet mais il était sur qu’il s’agissait là d’un rassemblement d’hommes en armes.

Agrilath :
Non seulement il ne pouvait pas agiter ses mains afin de lancer un quelconque sort à cause de l’engourdissement dans lequel ses bras se trouvaient mais également par le fait que tout son corps demeurait suspendu par les fers qui lui ravageaient les poignets. C’est ainsi qu’il s’aperçut que le sang avait coulé jusqu’à ses épaules tandis que les menottes des chaînes lui étaient rentrées dans les chairs. C’est alors qu’il commença à s’inquiéter réellement que ses membres ne lui fissent pas plus mal que cela, une certaine insensibilité n’était pas bon signe, cela il le savait. Il espérait seulement que cela n’était que la conséquence du manque d’afflux de sang vers la partie haute de son corps.

Cela lui redonna suffisamment de nerfs pour vaincre le désespoir qui l’avait envahit et il cria de plus belle, plus par rage que par réelle illusion que quelqu’un viendrait le délivrer en ce cachot sordide où il n’avait d’autre personne que son tortionnaire.

Arrivé face au scindement du tunnel, kresselack s'arrêta un instant. Profitant de cette courte pause pour remettre en place sa cotte de mailles et vérifier si toutes les attaches étaient encore bien fixées. Il détailla à nouveau les lieux du mieux qu'il le pouvait, la lumière de la torchière aidait grandement et le rashémi ne tarda pas à dicerner une porte à l'allure lourde et quelque peu rouillée. Face à lui, continuait le tunnel dans lequel il s'était engouffré, toujours aussi bas de plafond.
Kresselack entreprit de continuer son chemin, il n'avait certainement pas le temps d'explorer les lieux, il savait que tant qu'il resterait en ce lieu, sa vie serait en sursis. Alors que ses quelques pas au nord raisonnaient dans le boyau, le jeune homme eut un soubressautlorsqu'il entendu un cri plaintif qui émanait de derrière la porte de fer. Il su de suite qu'il ne s'agissait pas là d'une créature néfaste ou d'un geolier.
Il s'immobilisa sur le coup, retenant presque son souffle puis doucement le serviteur de Tempus arriva à pas de loup à queqlues mètres de la source du bruit.

¤Encore un prisonnier surement, mais c'est une véritable prison ici, jespère vraiment découvrir un jour quel était ce lieu...si j'en réchappe...¤

Il se mit alors à crier pour être sûr d'être entendu :
-(Commun) HOOOOO!!! Hé vous derrière la porte, vous m'entendez ?!

En attendant que le malheureux réponde, Kresselack examina minutieusement la porte qui le séparait de son compagnon d'infortune. Il avait entendu moult récit de pillards en taverne qui comtait leur exploit dans diverses donjons et cavernes remplis de pièges et créatures féroces. Le Rashémi se souvint alors d'Osy Osburn, dit la balafre. La moitié du visage lui fut arraché par une masse qui déscendu du plafond alors qu'il essayait de crocheter une chambre funéraire d'un mage d'Eauprofonde.

¤ J'ai pas envie d'avoir la têye arrachée par une lame ou le visage soufflée par une pulvérisation d'acide. Je l'aurais bien défoncé à distance mais je n'ai nul arme et outil. Y'en a marre de jouer les sauveurs je le sens pas non plus ce coup là.¤

Suite à cette découverte à la fois magnifique, l'étendue du paysage et la clarté de l'herbe dans la vallée, et sinistre, la vue de cette armée qui était sans aucun doute là dans un objectif guerrier, Karou voulut partager ses impressions avec quelqu'un, il voulait pouvoir discuter, mais il avait quelqu'un à ses côtés qui ne le comprenait pas. Comme toujours dans ces cas là, le jeune moine décidait de s'adresser à quelques puissances divines qui seraient peut être capables de le comprendre et de l'aider. Il leva les yeux vers le ciel de l'extérieur, et cria, sentant la liberté revenir comme il sentait l'air libre...

-Pourquoi tant de haine dans un si beau décor. Puis revenant à lui, il se remit à la recherche d'autres indices, dans l'obscurité de la prison. Il fallait trouver quelque chose pour aider le pauvre elfe à sortir de là. Karou sentit encore une grande douleur en repensant à Exorn, comment avait-il pu être trompé comme ça? Il avait placé sa confiance dans le jeune guerrier, et celui-ci semblait s'être volatilisé sans chercher à sauver ses amis. Non, le jeune aasimar était sur que ça ne s'était pas passé comme ça, le guerrier ne les aurait pas abandonné, il était forcément en difficulté quelque part s'il n'était pas avec eux. Alors karou prit peur, lui qui se lamentait que personne ne vint l'aider, il n'avait pas penser que peut être il pourrait aider les autres.

Sans se soucier plus du jeune elfe, qui pourrait bien le suivre, même s'il ne comprenait pas son langage, Karou se mit à courir à travers la pièce, faisant à peine attention où il allait. Plus il se déplaçait plus la crainte l'envahissait, et si Exorn était mort, le jeune moine ne pourrait s'en remettre. Courant toujours au hasard, cherchant autour de lui, Karou criait, à la fois par désespoir et par espoir qu'on lui réponde:"Exorn, Exorn! Exorn..." Plus il criait son nom, plus sa voix montait dans l'aigu, elle était tenue par l'angoisse, et ne pouvait supporter l'idée de remords qui risquait d'arriver. Le jeune guerrier avait été son compagnon d'un jour, et il pouvait le regretter toujours.

Zémobiel une foi arriver au pied de la grande passerelle de bois, soupira un peu de dépit, l’ascension ne s’annonçait pas facile. Elle se tourna vers le jeune prêtresse qui lui avais demander où ils allaient ainsi pour lui répondre calmement en pointant la passerelle :

-(Illuskan) Cette passerelle est probablement notre meilleur chance de sortir d’ici, elle mène fort probablement vers une insu de cette prison infernal… va probablement falloir escalader, mais avant j voudrais faire le tour voir si je ne trouve pas un escalier ou une échelle, on devrais se séparée chercher chacun de son côté le premier qui trouve va chercher l’autre… d’accord?

Alors la jeune ensorceleuse entreprit d’examiner attentivement la structure de bois à la recherche d’un indice qui lui permettrait de trouver le moyen d’escalader cet assemblage de bois. Et elle profita de se moment de répit pour bien secouer sa robe de toute la poussière qui la maculait, la jeune femme avait jamais vraiment aimée la saleté et cette aventure ne faisait rien pour arranger ça. Elle jeta un regard à la jeune femme qui l’accompagnait guettant la réponse qu’elle lui donnerais avant qu’elle puisse se mettre à chercher plus en avant à la recherche d’un moyen de grimper l’imposante structure de bois. L’idée de grimper simplement à la force de ses bras ne l’enchantaient guère.

Agrilath était en train de s'énerver de plus en plus, l'adrénaline montant jusqu'à son cerveau, espérant peut être dans un effort exceptionnel briser ses chaînes, même si c'était peine perdue, de toutes façons, il n'avait plus les idée très claires. Mais il se calma lorsqu'il entendit quelque chose de l'autre coté de la porte. Il cria presque lorsqu'il entendit une voix dans une langue qu'il connaissait.

-(Commun) Oui! Il y a quelqu'un! Venez me délivrer! Que se passe-t-il ici? S'il vous plait! Venez m'aider, je commence à faiblir...Agrilath parlait très vite car il était très excité, voulant à tous prix partir de cet endroit. L'adrénaline retombant, il se laissa rependre calmement par les poignets.

-(Commun) Je suis un prisonnier! S'il vous plait... Ne me laissez pas ici!La voix d'Agrilath devint presque plaintive.

¤Je n'ai pas le choix de toutes façons, je pense que c'est ma seule possibilité de me sortir de ce... pétrin!¤

Agrilath pensa qu'il devait peut être donné quelques informations en plus et rapidement. Si, de l'autre coté de la porte, c'était un prisonnier, il se pourrait qu'il soit méfiant car c'est normal s'il a subit les même choses qu'Agrilath.

-(commun) Je... Je suis un halfelin. Je me nomme Agrilath! Si vous me laissez ici, je mourrai! Aidez moi...La voix d'Agrilath mourut, espérant que la personne derrière la porte vienne le sauver...