L'auberge du vieux crane

Lasnilus voyant la petite fille deant lui si attaché à sa mère se decida a s'approcher discretement de jereica et a parler assez bas pour que le groupe puisse entendre sans pour autant que la jeune fille elle l'entende:

-Bon, comme convenu nous lui parlerons moi et jereica... Mais pour la mettre en confiance peut être devrait elle y aller en premier... Dés que tu pense qu'elle sera prêtre, fait moi signe, d'accord? Nous allons nous retirer un peu plus loin en atendant, bonne chance, fait jouer l'instinct maternelle héhé.

Il s'ecarta donc, emmenant avec lui les autres membres du groupe, pendant ce temps, il leur proposa:

-En atendant qu'elle l'ai mise en confiance, je vous propose de contôler votre equipement, voici le mienIl sortit de son sac tout ce qu'il avait sur lui, quelques parchemins, une plume, un peu d'encre, et une etrange potions au reflet bleuté... Rapidement, il remit tout celà dans son sac declarant sobrement

-Tout est en ordre, et vous? Dés que celà sera verifié, tenez vous prêt à partir, je pense que nous n'avons de temps à perdre, chaque minute est peut être une chance de les revoir vivant qui s'envole...
Lasnilus devait avoué qu'il était quelques peu ému par la vue de cette petite fille, mais il se ressaisit bien vite...

Kanabhendril s'était reposé au mieux et s'était bien remplie la panse la veille. Ils étaient maintenant tous en dehors de la caserne, le groupe, et face à eux Rylack avec la petite fille retrouvée et sa mère supposa-t'il. Et ce fut là qu'il remarqua quelque chose de vraiment particulier et étrange. En effet, la petite semblait ne pas craindre du tout ce Rylack, ce même étrange personnage qu'avaient tous craint et détesté à différents niveaux les membres du groupe.

°Mais qui était si charismatique et tant aimé des gens?? Mais Yakasi bien sûr. Et la femme qui le remercie d'avoir agit de la sorte. Mais de quelle sorte? Voyons... pourtant il me semblait que Yakasi était le seul investigateur de cette quête. Mon petit doigt me dis que Rylack et Yakasi ne font vraiment qu'un. Ou du moins qu'ils sont de mèches et qu'ils se connaissent parfaitement bien. Trop peut-être!°

Telle fut la réflexion personnelle du rôdeur qui en déduit qu'il fallait ce méfier de tout ce qu'il allait bien être entreprit par ce Rylack. Tout devra être sagement et savamment étudié avant d'être appliqué.

Il fut tiré de sa méditation par Lasnilus, qui pria Jereicia d'aller de l'avant pour questionner la petite fille. Il prévoyait de la rejoindre ensuite mais le rôdeur en aurait mis sa main au feu que la petite ne dirai rien, et que tout ce qu'il pouvait être dis par la rescapée était déjà avoué et ce uniquement à Rylack, qui par ne sais quel stratège, est fort bien apprécié par cette dame.

-Je pense que nous perdons notre temps à questionner cette fille, lâcha Kanabhendril alors que les 4 hommes s'étaient mis à l'écart pour étudier le matériel en possession, "Je crois qu'il serait plus judicieux et plus bénéfique de questionner Rylack. Il en sait pertinemment plus que quiconque en ces lieux. Que ça nous plaise ou non, il sera à mon avis déterminant dans la réussite de cette quête."

Il avait dis cela machinalement et pensivement, en se rendant maintenant compte que cette histoire de disparus n'était en rien le but réel de cette quête et qu'il faudra être bien sur ses gardes!

-Bon, pour ma part j'ai ma bonne épée bâtarde comme arme. J'ai également cinq flèches d'arc mais point l'outil utilisé avec. En cas de besoin! Sinon un allume-feu, une bougie, un onguent de soin de base, ma bouteille de vin personnelle, cinq rations de survies et une craie. N'oublions pas mon attirail d'outils de cambrioleur, cette pioche et ma pipe et mon tabac. Sans qui je n'irai pas loin! Voilà j'ai tout me semble-t'il! Sinon il serait bon de savoir que je connais les Gobelins comme ma poche. Je hais ces bêtes et étudiés leur moindre faits, gestes et mode de vie, de combats... Je les hais!

En soulignant ce dernier point, une légère couleur rouge vive empourpra le visage du rôdeur, gonflant les veines de son cou et de ses tempes. En pouvait aisément imaginer qu'il ne serait pas bon d'être une de ces créatures en sa présence. Il reprit son souffle et s'excusa brièvement en concluant par la présentation d'une corde chanvre certes fine mais indéniablement solide.

ereicia avait observé la scène et avait déduit que si ils désiraient faire parler, l'enfant, il fallait que ce soit Rylack qui pose les questions et non eux.
Lasnilus, avait emmené le groupe un peu plus loin.
Une fois à bonne distance la jeune demie elfe observa Rylack et la jeune fille.

La jeune femme éleva ses gants qu'elle rangea dans son havresac, puis se passa sa main gauche dans ses cheveux pour les recoiffer.


Elle fit quelques pas en direction de la jeune fille mais s'arrêta pour ne pas l'effrayer. Elle se mit accroupie pour être à sa hauteur.

- Bonjour, je m'appelle Jereicia. Tu t'appelles comment ? Je viens de très très loin pour venir vous aider...
La prêtresse leva son regard pour le poser sur la jeune mère.
- Dites moi madame, savez vous pourquoi votre frère est partit dans la foret avec ses amis ?

Yvhann c'était levé et avait été s'appuyer sur l'un des montant de la pièce général pour manger puis se faisant reconduire à l'extérieur il vit Rylack, la mère et la jeune fille.

Lasnilus se mit à déballer son matériels; Yvhann soupira. Lui, qui habitué de se lever seul avec Floyr et d'humer l'air frais empli de rosé de la forêt, était là enfermé dans une ville aux odeurs écoeurantes. Il était en rogne et cela se voyait très bien.

Il prit une grande gorgé de sa gourde pour ensuite jeter un oeil à Rylack et au spectacle pathétique et attendrissant qui se produisait devant lui. ° Mais qu'est-ce que ce cirque!? ° Se dit il pour lui.

Il se tourna vers ceux à la même place que lui et divulgua le contenu de son havresac et en commun...

- Voilà ce que j'ai; un onguent de soins, 12 flèches, plus 5 barbelés ainsi que le carquois, une arc longue composite, un katar, une dague, deux fléaux d'arme heuu, non j'en ai perdu un, une corde de chanvre, un briquet, des bracelets d'archer, des gants de cuir, un ceinturon à multiples pochettes, une outre d'eau, une bourse, une armure de cuir, des bottes hautes de cuirs souples cachant une dague, une cape de laine bouillit et mon symbole religieux de Sylvanus.
Quelques bricoles comme mes scalps et mes ossements qui pendent sur mes cordes de cuirs de mon armure et mes dreds, mais ça, vous ne voulez pas vous en servir.-
Il jeta un oeil aux outils de cambrioleur de Kanabhendril et en commun...
- Tu les as trouvé ou bien tu les as acheté !?-

Visiblement Yvhann ne semblait pas apprécier ces outil là, et il regardait d'un tout autre oeil son possesseur.
Il siffla Floyr, qui lui vint se poser sur son épaule et Yvhann lui donna un morceau de lardon de sa propre assiette qu'il n'avait pas terminé. Floyr lui fit savoir qu'il méprisait cette endroit, Yvhann lui envoya un message clair ... °***-Nous ne resterons pas ici bien longtemps Floyr, la forêt nous attend, se soir nous dormirons en celle-ci, avec eux ou sans eux.-***°

Yvhann avait que trop longtemps resté dans cette ville, il commençait à ressentir de l'adversité pour tout ceux qui l'entourait. L'appel de la nature ce faisait pressente, il comprenait et ressentait de nouveaux, le pourquoi que son peuple, avait depuis fort longtemps, quitté c'est lieux de perversité qu'était les citées.

Yvhann se plongea les deux poings dans la terre humide du matin nouveau de cette journée. La brise matinal lui caressa les épaules nues et l'air frais mais entaché de différentes odeurs citadines lui fit naître en lui un une pensée; il entendait Jereicia parler derrière lui, et en elfe, il dit à haute voix et non juste pour lui...
-Voici venue la saison de chercher en dehors de moi
Pour découvrir les maîtres qui savent.
Mais profondément en moi je dois
me rappeler:
"Lorsque l'élève est prêt
Le maître paraît."
Lorsque je pose les bonnes questions,
Les réponses me sont toujours données,
Car mes maîtres sont partout.-

Il soupira doucement et inspira de façon à se que tout son corps se détende puis il leva les yeux vers le soleil et ...
- Les fleurs annoncent la promesse du fruit.-

Euh c'est moi qui ai mal compris ? Il me semblait qu'on était tous sorti et pas à l'interieur...

Une fois ses collations prises et son equipement vérifié, Enoriel sortit à la suite de ses compagnons. Rylack se tenait là, avec une femme et sans doute sa fille. Sûrement la petite à qui tout le monde semblait vouloir parler. Cette dernière semblait d'ailleurs particulièrement attachée à son bienfaiteur encapuchonné. Ce qui renforca Enoriel dans l'idée que Yakasi et Rylack ne faisaient qu'un. Comme d'habitude, Rylack les laissait faire, sans explications, enigmatique et agaçant. Mais Enoriel s'en fichait. Il en avait plus qu'assez d'être ici et souhaitait plus encore qu'hier retrouver son bon vieux compagnon Khell. Quand Lasnilus emmena les membres à l'ecart pour discuter ou vérifier leur equipement, Enoriel se tint à l'ecart, examinant la femme et sa fille. Il en avait assez de rester sans cesse à coté d'eux et la présence de l'adorateur des flammes n'arrangeait rien. Il avait envie de parler à ces femmes pour en finir au plus vite. Il fit un pas en avant, mais se ravisa quand il vit la demi-elfe s'approcher d'elles et commencer à leur parler. Il tendit l'oreille.

¤Bonjour le tact... Elle n'y va pas par quatre chemins. Tant mieux. Plus vite ils auront leurs renseignements, plus vite nous partirons d'ici¤ maugréa-t-il interieurement.

Enoriel hésita à partir sur le champ chercher Khell aux abords de la ville mais il devait rester avec ses compagnons pour le moment. Il choisit donc de prendre son mal en patience et d'attendre la fin de l'entretien avec la jeune fille.

¤Par Rilifane, qu'ils se dépechent¤ une moue d'agacement sur le visage.

MJ

La petite fille se blotit un peut plus dans les bras de sa mère lorsqu'elle fut interpelée par la gracieuse prêtresse. Quoi qu'elle put dire ou faire, rien ne réussit apparamant à faire sortir l'enfant de son mutisme. Cependant, la mère a l'expression desespérée consentit sans hésitation à lui livrer les informations déisirées. D'une voix triste, elle lui confia que son frère et ses camarades en pleine crise d'adolescence c'étaient lancés le défit d'affronter la dangereuse forêt: une jeune fille qui avait refusé de les accompagner le lui avait dit après leur disparition. Mais apparamant elle ne savait rien de plus...
Quand au personnage encapuchoné, il n'avait pas bouger d'un millimètre. Chacun se sentait observé, et parfois les hommes crurent entrevoir un éclat sanguin dans l'ombre de sa capuche. Etai-ce une illusion? Le fruit de leur immagination? ils ne pouvaient pas le savoir, car l'instant avait été trop bref pour qu'ils puissent y fonder de quelconques certitudes. La chouette neigeuse posée sur l'épaule de son maitre contrastait étrangement avec le mystérieux aventurier. D'ailleurs, il y avait quelque chose en elle d'étrange....
En la regardant de plus près, chacun put remarquer qu'elle avait un regard étrangemant serein et surtout: extrêmemant intelligent. Quelque chose dans l'animal sortait de l'ordinaire. La puretée exeptionelle de son plumage était éblouissante sous les rayons du grand soleil matinal que la brume avait laissé apparaitre. Ses grandes ailes blanches déployées pour en capturer la chaleur lui donnaient quelque chose d'angélique...

La jeune femme se retira une fois qu'elle n'eu plus rien à dire aux aventuriers qui n'avaient pas eu l'impression de beaucoup avancé. Mais alors qu'ils s'apprétaient à descendre les marches, un hurlemant les obligea à poser leurs regards sur la jeune mère et la petite fille tremblotante et serrée contre elle. L'enfant hurla de toutes ses forces, comme prise d'une terreur insoutenable. Quand la mère indiqua le chien d'un des gardes, celui ci sembla comprendre d'un seul coup la raison de la panique de la petite fille et éloigna l'animal. Se calmant, l'enfant reprit son souffle, secouée de sanglots..

omme l'avait justement prédit Kanabhendril, la jeune enfant ne dit rien. Seule la mère se contenta de confirmer une pensée qui avait bien dûe effleurer les esprits les plus vifs, à savoir que les jeunes adolescents étaient partis dans la forêt sans doute dans un excès de zèle et de bravoure. Le regard du rôdeur se posa alors sur Rylack, qui n'avait pas bougé et qui semblait les fixer, comme s'il posait un regard accusateur sur la nonchalance du groupe à bien vouloir se bouger un peu. Kanabhendril se sentait jugé et avait l'impression d'être devenu élève face au maître. Il avait cette impression pour chacun et croyait de plus en plus fermement que cet être encapuchonné les testait à tour de rôle afin de les juger de leur capacités. Comme si, et il l'avait déjà pensé, cette quête allait les mener bien plus loin qu'à la simple recherche de jeunes adolescents.

Il détourna les yeux, regarda la chouette et ressentit une drôle d'impression.

°Tiens elle ressemble à Yakasi! Mais...à quoi je pense moi?? Voilà que j'ai de nouveau trop abusé sur mon mélange tabac spécial! Quoique...je ne connais pas grand chose sur l'histoire de ces terres et de bien des choses qui pourraient se passer, sur les différentes espèces et autres tours de magies dont je ne suis qu'un simple ignorant. Je devrais me renseigner, bon sang!°

Il s'approcha de Yvahnn qui lui semblait être le plus aguerri du groupe et parlant pas trop fort il lui demanda:

-Dis moi, il est possible pour une quelconque espèce de se changer d'être à animal?

Il n'eut pas le temps d'attendre la réponse, qu'un cri strident et emplit de terreur s'entendit. Le rôdeur posa vivement sa main sur le pommeau de son épée dans un geste instinctif, mais se ravisa tout aussi promptement en voyant l'origine de ce bruit. C'était la petite fille, les yeux effrayés qui semblaient revivre en direct un quelconque moment d'horreur subit récemment. Il fut peu de temps pour comprendre que cette frayeur venait du chien du garde qui, une fois éloigné, rendit à la petite son calme.

°Tiens, intéressant! Apparemment elle a dûe avoir à faire avec des chiens ou loups, ou du moins un animal ressemblant. Une meute sauvage les auraient attaqués dans la forêt? Ou alors existe-t'il une quelque religion fanatique ou espèce du genre dans ces bois?°

- Yvhann qui revenait tranquillement de sa petite méditation matinal suite à sa prière de gratitude, entendit les mots dits à voix basse de Kanabhendril et allait répondre quand soudain, la fillette se mit à crier...
° Elle à donc rencontré des loups en forêt, voir pire, des garous...°

Yvhann qui avait perdu ses parents et la totalité de son clan par des garous, devint aussi ténébreux que déterminé.
Puis à la suite de cet intermède sonore et révélateur d'une indice, il répondit à Kanabhendril en commun...
- Pour sur, Kanabhendril, pour les gens ayant poursuivit leur enseignements dans l'art druidique, peuvent à un certain moment de leur évolution, prendre pour un certain degré, l'apparence d'une bête quelconque, ou à leur choix.-

Yvhann regarda le belle oiseau de Rylack, il le trouva d'une splendeur immaculé. Il n'avait pas plus confiance en lui pour cela, mais l'oiseau respirait la sagesse. Il ne fit aucun cas de Rylack, le mettant dans le même panier que les autres. ° Nous verrons la valeur de chacun, sur le terrain.° Se dit il dans son fort intérieur.

Il ajusta ses effets personnel pour avoir un déplacement non encombré puis s'approcha de Rylack, regarda là ou il devait avoir de yeux, et... en elfe...

- Vous nous amener vers quel direction!?-

Yvhann aimait être clair, direct et précis. Sont impatience entouré de sa ténébreuse idée de ce qu'il c'était passé, habillé de sa suspicion envers Rylack et ceinturé d'une troupe de gens inconnu, Yvhann c'était fermé, à se que l'on pourrais appeler, la joie de vivre. Impassible, il soupira son mécontentement, que seul Floyr comprit le vrai sens de se soupire Yvhannesque.

pparement il n'etait pas le seul que Rylack et sa chouette si etrange interpellait. Le rodeur à la pipe semblait lui aussi très suscpicieux. A tel pour qu'après avoir observé quelques instants les deux amis, il alla parler à Yvhann. Peut-être à propos de cette chouette qui paraissait presque surnaturelle...

Enoriel chassa vite ses idées pour revenir au moment présent et au même instant un hurlement strident lui vrilla les oreilles. Il remarqua que la petite fille était fourée dans les jupes de sa mère en proie, semblait-il, à une peur panique. Enoriel chercha du regard, les sourcils arqués signe chez lui d'un grand etonnement, la cause de cette peur aussi violente que soudaine.

Il remarqua alors la mère faire un signe au garde et en particulier à son chien... Le garde recula l'animal ce qui eut pour effet de calmer quelque peu l'enfant traumatisée.

Ainsi donc les jeunes avaient pu être attaqué par des chiens sauvages, des loups... ou bien pire. Enoriel se souvint que le Bois Lune de la région des Marches d'Argent, regorgeait de garous, ces êtres mi-animal, mi-humanoide. Le Cormanthor en recellait-il aussi ? En y reflechissant, une autre pensée vint au druide. Certains de ses congénères pouvaient très bien s'être transformé en animal. Ils savaient que malgré que la plupart des druides étaient bienveillant, certains viraient dans l'obscurité et se servaient de la nature pour detruire et faire le mal. C'était donc une autre hypothèse à ne pas ecarter. Peut-être demandrait-il à ses compagnons sur le chemin ce qu'ils en pensaient.

Enoriel se rapprocha quelque peu de ses compagnons et attendit la suite.

a forêt pouvait cacher bien des choses. Surtout quand il s'agissait de bois près de Myth Drannors. Des créatures démoniaques et infernals s'y balladaient. La jeune femme se demanda ce qui leur avaient prit, une soudaine envie de vivre des aventures exaltantes. Mais Jereicia savait pertinement que ces aventures n'étaient qu'idylliques que dans les légendes et autres mythes. Les jeunes gens n'étaient pas préparé pour agir et s'adapter aux risques. Elle se disait que cela leur avait au moins apprit l'humilité.

- Bien, nous n'avons pas apprit grand chose dommage.

La prêtresse jeta un regard au groupe.

- Trêves de plaisanteries, Yvahnn à raison, nous devons partir le plus vite possible, enfin si tout le monde est prêt cela va sans dire. Peut être qu'une fois arriver sur les lieux nous pourrons y découvrir quelques indices nous permettant de résoudres les questions que nous nous posons !

La jeune femme réajusta la cape de réunificateur sur ses épaules. Elle éfleura sa masse d'arme, pour s'assurer qu'elle était toujours là.