Quel est votre nom, voyageur ?
L'aventure n'attendait que vous !
   

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> ۝ Le Coup Du Siècle ۝, Quête de l'Ouroboros
écrit le : Jeudi 09 Février 2006 à 00h23 par William Lamebleu
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William avait écouter avec patience la réplique de Rosimar à propos des gens qui s'assoyaient où pas. À vrai dire, cela l'indifférait grandement et ne fit que semblant d'écouter en hochant régulièrement la tête en signe de compréhension. Après cela le vieux loup de mer sembla s'arrêter de bavarder pour réfléchir à quelque chose.

Alexan, lui, semblait bien impatient. Il tournait en rond comme un tigre en cage. Puis comme s'il s'était résigné à devoir attendre avant que l'on puisse lui expliquer l'origine de sa mission, il se replia dans un coin sombre de la grange. Là, il entreprit de réviser ses sorts en bon magicien. William commençait à être fatigué d'attendre surtout parce que les autres étaient occupés et pas lui. Alors qu'il se résignait à être plus patient, Sans-Nom fit son entrée dans la pièce. Il s'approcha du pauvre mercenaire qui toussait comme un bon et lui fit cadeau d'un onguent qui semblait-il, l'empêcherait d'être prit de cette toux au moment critique.

Finalement, le moine se décida à s'adresser au groupe, sans toutefois dire quelque chose de très intéressant. Il leur demandait s'ils avaient besoin de quelque chose pour partir à l'aventure. William n'ayant besoin de rien, lui en fit part.


-Je n'ai besoin de rien, maître Sans-Nom. J'ai amplement de matériel pour cette quête et de toute façon, étant vous même moine, vous devez savoir que pour fonctionner, nous n'avons besoin de presque rien. Toutefois, je vous remercie de votre attention.

Puis voyant que les autres avaient tous besoin de quelque chose et qu'ils n'avaient vraisemblablement pas d'argent, Will sortit de son sac sa bourse bien ventrue. Voler les riches rapportait décidément bien.

-Prenez donc cette argent pour payer les dépense de nos amis, de toute façon je n'en ai pas besoin. Il vous sera plus utile à vous qu'à moi je crois. Utilisez là avec intelligence.

Se faisant, William tendit à Sans-Nom 4 pièces d'or scintillante plus 7 pièces d'argent et puis encore 7 pièces de cuivre. Il n'avait pas vraiment besoin de cette argent puisqu'il avait encore 9 pièces de platine et 5 d'or dans sa bourse. De plus, il ne dépensait son argent que pour se nourrir où pour aider les autres.

hrp.gif L'Exilé, tu peu retirer cette argent de mon compte, je la donne à Sans-Nom. smile.gif hrp.gif



« Si les bœufs étaient des bardes, les bouchers seraient des scélérats. » -Proverbe Jordaini-
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écrit le : Jeudi 09 Février 2006 à 16h17 par Atlas
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hrp.gif Pour le matos, TJ vous avait fait une liste wink.gif hrp.gif
MD


William donne 4 PO, 7 PA et 7 PC à Sans-Nom
Sans-Nom prête Outils de Cambrioleur à Rosimar


- Vous n’aurez pas l’occasion de dormir avant votre quête terminée, pour votre sécurité autant que pour la rapidité d’action dont vous devrez faire preuve. Vous charger plus que nécessaire n’est pas utile non plus.

Malgré le peu d’intérêt que Rosimar portait à l’onguent qu’il lui avait gracieusement offert et sa carence en outillage, le roublard semblait à Sans-Nom de loin le plus expérimenté.
- Chose étrange que tu ne disposes pas d’instrument. En voici un jeu que tu me remettras une fois la mission accomplie, je prends comme gage le don de notre généreux moine qui semble se suffire à lui-même.
Sans-Nom saisit une trousse de cuir déjà préparée pour l’occasion de la planche supérieure de l’étagère et la lui lança rapidement.

Le soleil montait à travers le ciel azur, les rayons de lumière filtrant à travers les murs s’intensifiant, réduisant considérablement la zone d’ombre dans laquelle s’était réfugié Alexan et donnant une impression de plus grande taille à la pièce. Les particules de poussières semblaient tournoyer autour des faisceaux lumineux dont un pointait directement le Masque de Sans-Nom, l’auréolant d’une lueur dorée du plus bel effet.

- Je vous ai fait bien assez patienter. Les autres, si d‘autres il devait y avoir, vous rejoindront en cours de route.

Déroulant un parchemin sur la table, il pointa du doigt une large bâtisse représentée sur ce qui devait être le plan du quartier portuaire de la ville. La carte était criblée d’annotations diverses, symboles brunâtres, noirs et bleu nuit, indéchiffrables par les 3 hommes.

- Au centre de cette bâtisse se trouve un coffret appartenant au Cercle. Le Maître des lieux est un marchand influent du quartier portuaire qui entretient de plus de très bonnes relations avec les différentes Guildes de la région. Il a pour lui plus de prudence que nombre de bien plus riches que lui, si bien qu’il est hors de question de tenter d’y pénétrer directement.

Il redressa la tête, sondant ses "invités" pour s’assurer qu’ils intègrent correctement les informations qu’il leur adressait, déplaça ses mains pour indiquer un nouvel endroit. – « Il vous faudra emprunter les égouts dont une entrée est accessible via la cave de l’Auberge du Sabre. »
Il déroula un second parchemin, se saisit d’une plume et griffonna rapidement un plan du chemin qu’ils auraient à emprunter ensuite : - « Vous n’avez pas intérêt à vous tromper, c’est un véritable labyrinthe là-dessous. Demain à l’aube il aura quitté Luskan avec le coffret et nous n’aurons aucune chance de récupérer le coffret. Ca vous laisse peu de temps, croyez-moi. »

Il finit par sortir un paquet d’un sac de jute à côté de la porte : - « Des rations de voyage puisque vous n’avez besoin de rien d’autre. Partez sans tarder. Bonne chance. »


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Immobile comme la pierre, et sage comme le Temps. On l'appelle Sans-Nom et personne n'a jamais vu son vrai visage.



" Par delà les brumes "
 
 
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écrit le : Jeudi 09 Février 2006 à 17h43 par Rosimar le Gris
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Saiyaddar
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Tandis que William se vidaient les poches et faisait gage d’un peu d’or, l’homme de la Saiyaddar était las, ce grattant l’avant bras et tapant du pied, toujours bien assit sur la chaise longue. Au moment ou il perçu Sans-Nom débuter à leur expliquer la sale besogne, il prit conscience que le moment était arrivé, et il reçu par la suite une trousse d’outil avec les remarques de son employeur, il examina le tout question de voir s’il y avait les bons passe-partout, vilebrequins, perceuses, pics et tout le tralala… Bondissant sur ses deux vielles jambes il s’approcha le regard franc, alors que le mystérieux homme masqué déployait une carte tout en leurs expliquant la tâche. Les bras bien musclés et bronzés qui caractérisaient Rosimar étaient alors ‘soudés’ à la table, tandis qu’il regardait attentivement le plan.

Alors que l’homme leurs indiquait le chemin, et le but de cette rencontre, le roublard analysait tout ça. ¤L’auberge du Sabre, humm, il me semble que cela me dit que’que chose… Enfin c’marchand lui, on lui fait la peau ou on l’évite ?¤ Lorsque que tout le parcours fut tracé et que le temps était venu, Rosimar tendis la mains ouverte vers Sans-Nom, croyant son geste assez explicite il précisa tout de même : ‘’J’m’occupe de la carte’’. Aussi il ne tenait pas à être pris au dépourvu au mauvais moment et posa les quelques questions qui lui chicotaient.

- Très bien, ce sera fait. Sinon, de quoi il à l’air c’coffret ? Et pour les gêneurs ont s’en débarrasses ? J’peu p’tête m’occuper d’ce type, l’maître des lieux, s’il le faut… Il attendait les réponses qui lui feraient disparaître ce regard inquisiteur qu’il déposait sur ce masque de bronze reluisant. Après cela, il partirait vers le centre-ville et les docks ! Il avait presque les pieds dans la porte, tellement impatient de partir…


 
 
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écrit le : Jeudi 09 Février 2006 à 18h45 par Alexan
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Âme Creuse
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Alexan, les yeux encore embrumés observa la carte étendue devant le groupe et sans que personne ne s'en aperçoit il sortit à son tour une petite plume, et se mit en quête de grifonner l'intégralité du plan des égouts et la partie la plus utile de l'auberge, sur la dernière page de son livre puis l'annota de petites remarques ou il indiquait les recoins probable ou se cacher ou au contraire déjouer une embusquade éventuel avant de déchirer soigneusement la page et de la laisser sécher.
Comparant son oeuvre au plan original il se mit à parler d'une voie parfaitement réveillé:

-Plusieurs question me viennent en tête messire sans-nom, mais les plus importantes selon moi sont celles si:
Petit un, le coffre risque-t-il de nous exploser à la figure ?
Petit deux son contenu craint-il l'eau ?
Petit trois y-aura-t-il du monde pour nous en empêcher et si oui as-ton le droit de faire un peu de grabuge ?
Tout en disant cela il plaçât son morceau de carte dans ses vêtements près du morceau de pain qui attendait son heure.



Affronter un rival épée en main et mettre un terme sanglant à une querelle est une chose. Mener une guerre dans l'ombre à coups de dés et échanger des menaces feutrées dans des antichambres en est une autre. Cette solution est aussi meurtrière que la première. Mais en ce cas nul ne vous traitera en héros, ou en brave - surtout pas vos ennemis. Quelque chose en nous admire ceux qui se battent en plein soleil, même s'ils le paient de leur vie.
 
 
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écrit le : Jeudi 09 Février 2006 à 22h05 par William Lamebleu
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William se redressa pour écouter Sans-Nom, après avoir soigneusement resserrer sa bourse dans son sac. L'écoutant attentivement, il gravait toute les informations utiles dans sa tête pour pouvoir les utiliser plus tard. L'auberge du Sabre... ah mais bien sûr, il y avait dormit justement la nuit avant d'arriver ici. Pas nécessairement la meilleure en ville, mais le moine ne se plaignait jamais. Alors leur mission consistait à récupéré un coffre que l'ordre avait perdu au mains de se riche marchand. William évalua rapidement si la quête lui convenait et en fit part à Sans-Nom.

-Je serai bien évidemment de la partie. De toute façon, maintenant que je suis dans le secret je ne puis reculer. Je suis prêt à partir dès que vous l'aurez décider. Ce que je propose, c'est que vous deux, les gars, vous vous occuper des pièges, portes et tout ce genre de truc. Moi je m'occuperai de mettre hors d'état de nuire ceux qui se mettrons en travers de notre route ou qui nous poserons problème. Toutefois, je refuse catégoriquement de tuer. Je crois qu'assommer fera parfaitement l'affaire. Et s'ils nous poursuivent, et bien je leur casserai les jambes. Pas de boucherie pour rien. Je serai dehors si vous avez besoin de moi.

Pendant que les autres s'éternisaient en questions et en détails, le moine sortit de la grange et alla s'appuyer contre l'arbre le plus près. Puis il entreprit sa méditation quotidienne pour faire le vide dans son esprit encombrée de détails inutiles. Telle une grande vague salvatrice, sa méditation enleva de sa tête tout le superficiel et ne garda que l'essentiel. Il se sentit beaucoup mieux après cela et pu enfin analyser les détails de l'aventure. Il était fin près. Le moine se releva donc et appuyer contre l'arbre attendit les retardataires.



« Si les bœufs étaient des bardes, les bouchers seraient des scélérats. » -Proverbe Jordaini-
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écrit le : Vendredi 10 Février 2006 à 14h06 par Atlas
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Maître des Exilés
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MD


Sans-Nom donne croquis des égouts à Rosimar
Sans-Nom enroula son croquis déjà sec et le tendit à Rosimar, rangeant la carte de la ville dans un étui à parchemin. D’un coup d’oeil rapide, il apprécia la reproduction faite par le Mage et le gratifia d’un hochement de tête.

- C’est un petit coffret en ébène rehaussé d’argent fin. – leur précisa-t-il en écartant les bras comme s’il le tenait pour leur indiquer sa taille ; il est fortement piégé et protégé contre les sorts simples. Je vous déconseille vivement de tenter de l’ouvrir. Il ne craint ni l’eau ni le feu.

Sa voix métallique trahissait, pour la première fois depuis leur rencontre, un sentiment, quelque chose comme de la fierté, comme s’il avait eu quelque chose à voir avec la conception de cet objet. Il dut s’en rendre compte car il toussota légèrement et se reprit avant de poursuivre.

- Pour ce qui est du Maître des lieux ... si vous le croisez vous ne devrez votre salut qu’à la fuite. Il n’a pas atteint sa position pour rien. Les éventuels hommes de main et autres gardes sont à votre portée si vous parvenez à jouer sur l’effet de surprise. Nul ne sert de chercher à faire un carnage dans ses rangs, évitons les représailles autant que faire se peut.
Dans un soupir, il conclut en fixant le roublard au sujet du plus empressé des 3 : - « Evitez que notre moine ne laisse quiconque sonner l’alerte à cause de ses beaux principes. »


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Immobile comme la pierre, et sage comme le Temps. On l'appelle Sans-Nom et personne n'a jamais vu son vrai visage.


Leur départ s’annonçait précipité, en réponse à leur impatience. Ce serait une bonne leçon vers plus de sagesse pour les prochaines missions qu'ils auraient à accomplir ... ou pas.



" Par delà les brumes "
 
 
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écrit le : Vendredi 10 Février 2006 à 14h26 par Alexan
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alexan se sentant de second plan se glissa à l'extérieur et évitant soigneusement de s'approcher du moine pour ne pas le déranger dans sa méditation, il entreprit de ramasser des caillou, prenant de préférence des pierres lestes et au arrêtes tranchantes il les glissât dans une des poches de son sac.
Puis s'assurât que son équipement bien que modeste ne faisait pas de bruit.
Il vidât le contenu de son outre et la rangeât au fond de son sac, pas la peine de s'encombrer inutilement.
Et ne sachant que faire il se mit assit sur dans l'herbe fraîche à l'ombre d'un arbre.
Sortit sa carte improvisé et suçotant le bout de sa petite plume réfléchit aux divers itinéraires dans les égouts au cas ou quelque chose tournerait mal.
Ce qui lui semblait fort probable sentant que Sans-nom ne leurs disait pas exactement de ce qui l'en retournait.



hrp.gif Attention je ne serais pas là ce week-ends aussi je vous laisse faire mon personnage. smile.gif
théoriquement je n'aurais pas accès à internet cry.gif
Je rentrerais que dimanche soir. dead.gif upset.gif hrp.gif



Affronter un rival épée en main et mettre un terme sanglant à une querelle est une chose. Mener une guerre dans l'ombre à coups de dés et échanger des menaces feutrées dans des antichambres en est une autre. Cette solution est aussi meurtrière que la première. Mais en ce cas nul ne vous traitera en héros, ou en brave - surtout pas vos ennemis. Quelque chose en nous admire ceux qui se battent en plein soleil, même s'ils le paient de leur vie.
 
 
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écrit le : Vendredi 10 Février 2006 à 19h22 par Rosimar le Gris
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Saiyaddar
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Le temps était venu, et quand Sans-Nom conclue d’une remarque à son endroit, Rosimar ne fit que lui répondre avec assurance et la gueule toute souriante : ''comptez sur moi''… Il enfouit alors le plan sous son armure d’un cuir bien rigide et rougeâtre, tout en marchant de reculons vers l’extérieur, finissant par saluer son hôte et lui tourner le dos, pour ensuite presser le pas vers la ville, et l’auberge du sabre.

-Will ! Alexan ! Allez, on y va maintenant ! Dit-il d’une voix aussi forte qu’impérative. Il tira sur son plastron de cuir vers le bas, question de vérifier si tout était bien solide et en place, puis se cogna les talons un contre l’autre pour ensuite ajouté : '' Alors on s’dirige vers le port de Luskan, là-bas on déniche c’t’auberge et on en finit avec cette quête le plus tôt possible''. Rosimar emboîta donc le pas entre les champs de blés et d’houblons pour une seconde fois, en secouant la tête tellement il était las et exaspéré du petit qui perdait son temps à jouer avec des cailloux ! Il ne regarda pas derrière de suite, s’attendant à ce qu’ont le suivent, de toute façon avaient-ils d’autre choix ? ¤Décidément, ce gamin d’Alexan ! M’enfin, c’est surtout ce moine, j’espères qu’il ne fera pas la grosse tête, car ça ne fonctionnera pas avec moi. Ils ont qu’à ce tenir à carreaux et tout ira bien…¤

-Alors, l’auberge du Sabre ça vous dis que’que choses les p’tits gars ? Questionna le roublard qui ouvrait le chemin vers la ville, la tête bien haute. Si quelqu’un connaissait cette auberge, ce ne ferait que facilité la tâche…


 
 
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écrit le : Samedi 11 Février 2006 à 03h56 par William Lamebleu
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William sortit de sa méditation juste au moment où Alexan sortait dehors. Il se releva et puis attendit que Rosimar le suive. Lorsque celui-ci sortit enfin de la grange, tous étaient fin près pour l'aventure. Le moine avait de l'équipement assez pour le groupe et se sentait bien. Se devait être l'excitation qui venait toujours avant l'action. Il adorait cette sensation et aimait les risques calculés. Rosimar donna le signal de départ et sans se presser, par de grandes enjambées, William rejoit le guerrier à l'avant. Il n'avait aucun mal à le suivre et c'était normal à cause de ses grandes «pattes». Le mercenaire lui demanda s'il avait déjà entendu parler de l'auberge du Sabre et Will décida de lui répondre.

-Oui, bien sûr, j'y ai justement dormit la nuit dernière. C'est une auberge de classe moyenne, et assez fréquentée. Toutefois je n'ai pas aperçut l'entrée des égouts. Mais avec la carte, il est certain que nous y arriverons sans problème. Alors, Rosimar, êtes vous anxieux? Un vieux loup de mer comme vous doit bien être habitué aux aventures de toute sortes. N'est-ce pas?

Poursuivant leur route tout en parlant, le groupe progressait à travers la campagne. Parfois, le moine s'arrêtait pour saluer quelqu'un de sa connaissance. Il connaissait bien la région pour y avoir aidé plusieurs personnes en difficulté.



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écrit le : Dimanche 12 Février 2006 à 15h29 par Néféris
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Ņạŕvąŀ
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Néféris arriva à la vieille chaumière très peu de temps après que les autres soient partis. Il avait entendu parler de cette affaire et s'était présenté. Apparemment il avait fait plutôt bonne impresison puisqu'il avait été pris et qu'on lui avait indiqué cette vieille chaumière où vivait un moine. Il ne savait pas grand chose de l'affaire qu'il aurait à traiter et même pour ainsi dire rien. Il s'était fourni tout le matériel qu'il pensait nécessaire en espérant ne rien avoir oublié. Apparemment, il ferait route avec d'autres compagnons et devrait travailler de concert avec eux. Là était le problème du génasi. Foncièrement individualiste, composer avec d'autres personnes lui était difficile. Il avait toujours voyagé qu'avec des génasis et seulement pendant une courte période de temps. Le reste de sa vie adolescente puis adulte, il l'avait passé en compagnie d'un seul être de sa race, son maître, presqu'un père.

Il se demandait encore pourquoi il s'était présenté pour cette mission. Pour l'argent? Non, pas vraiment, même si cela n'était jamais un luxe. Non, s'il avait fait cela, c'était pour tromper son ennui et cesser de penser à ce qu'il laissait derrière lui. Et quel meilleur moyen de cesser de penser que l'action? L'oisiveté ne lui convenait pas. Aussi, s'était-il empresser de sauter sur l'occasion. Il espérait juste que ses compagnons seraient des personnes compétentes. Il ne se faisait pas d'illusions... Ce seraient sûrement des humains, ils ne pouvaient donc pas être exceptionnels. Avec un peu de chance, peut-être y aurait-il un elfe pour remonter le niveau? Toujours était-il qu'il allait devoir composer avec et tenter de se montrer aimable... Un véritable défi.

Enfin, il arriva à la chaumière ce qui coupa court à ses réflexions. Il sonda les alentours. Tout semblait désert. Etait-il le premier? Ou avait-il loupé le coche? Il ne connaissait pas bien cette partie de la région et avait perdu du temps à se renseigner auprès de villageois souvent réticents. Il soupira et décida de jeter un coup d'oeil à l'intérieur. Ses traits étaient dissimulés par son capuchon, de même que ses mains par des gants, comme toujours.



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