۝ Le Livre dérobé ۝, Quête pour le Cercle de l'Ourobouros

Le barde était déçu. Il avait toujours considéré les drows comme des créatures aptes à causer l’effroi à quiconque croiserait leur regard rougeâtre, arrogant, certes, mais en aucun cas stupide au point de souhaiter se mettre à dos une telle assemblée sans être sur de sa supériorité, et encore moins d’insulter le colosse qui en faisait partie.
Apprendre que ce dernier entendait la voix de Tempus aurait du l’informer du risque d’un certain déficit mental du demi-orque qui le rendait plus effrayant encore.

Tout en mangeant, il lui fit part de ses réflexions sans risquer de tomber dans son piège et de devoir en découdre avec quelqu’un dont la supériorité martiale à son égard du moins ne faisait pas grand doute.
- ’ … ’ ’
Lui rendant son sourire mauvais, il poursuivit en commun :
- Je suis persuadé que vous changerez vite d’avis sur notre intérêt.

¤ Un barbare qui entend des voix, un gnome qui pense n’avoir de compte à rendre à personne et un drow qui se prend pour une matrone de son Ombre-Terre natale ... Voilà qui ne sera pas facile à gérer ... ¤

-...d’avis sur notre intérêt."
Ceux sont les mots que Rondell perçut en sortant de son bain. Il était propre comme un sou neuf. Il ne revetît sa vieille tunique, salit plutôt par sa gourmandise. Il arborait maintenant une modeste robe de voyageur, banale mais bien entretenue. Une simple dague au ceinturon, il mit ses souliers, prit ses affaires et outils de voyage et se dirigea vers la porte. Il coiffa, de ses mains, ses cheveux en arrière, puis rentra de nouveau dans le salon.
Que ne fut pas son horreur de voir un orque, enfin ce qu'il prenait pour un orque, au devant de la table, en train de s'empiffrer. En plus d'une créature à l'air plus que ténébreuse, reclus dans un coin, regardant la compagnie d'un air hautain et orgueilleux.
Il faillit pousser un cri mais se retint. La sueur dégoulinait sur son petit visage propre, son coeur battait la chamade et sa respiration se fit haletante.
¤Qu'est-ce donc ce cauchemar ? Comment ces monstres sont-ils entrés ?....¤

"...vous trouverez trois compagnons dans le salon... Ne les jugez pas à leur apparence..."
Les mots de Rabat-joie lui revint en mémoire, le calmant un peu mais le rendant plus que peplexe... ¤Ceux-là sont donc nos compagnons ?!? Quel fou pourrait engager de tels êtres ? J'aurais dû réfléchir à deux fois avant de m'engager. Quel idiot tu fait Rondell Pierrefendu, dès que la faim te ronge, tu es aussi sot qu'un gobelin. Mais j'ai donné ma parole et de toute façon... De toute façon, si cela peut me rapporter de l'argent... le passé est derrière moi, je ne peut qu'avancer.¤ Se dit-il tristement, essayant de se convaincre à moitié de rester

Dépité par les évenements et méfiant envers ses nouveaux "compagnons", Rondell prit soin d'aller tranquillement vers celui qui lui a été le plus sympatique : Sam Heurtevent. Le prêtre pourrait sûrement le protéger de cette racaille. Du moins, Rondell savait qu'il essayerait. Il posa donc son sac à coté de l'humain et s'assit par terre dos au mur, surveillant les réactions et gestes des deux nouvelles têtes. Instinctivement il était plus méfiant envers l'espèce de pachyderme verdâtre que contre l'elfe venu des profondeurs de la terre.

Le mercenaire avait vu défiler dans la salle tout ses futurs compagnons, et déja les esprits commençaient à s'échauffer. L'arrivée du drow avait jeté un froid sur l'assemblée, froid que tentait de réchauffer le gnome au caractère amical. Lorsque l'humain parla en une langue qui lui était inconnue, le guerrier pensa qu'il faudrait se méfier non seulement du drow, mais aussi de ce "Heurtevent". Il s'adressa ensuite au drow:

- Tu sembles avoir un ego démesuré, trop à mon goût, je ne te fais pas confiance mais je ne viendrai pas non plus te provoquer si tu t'abstiens de le faire avec moi. Mais c'est peut être trop te demander, les elfes noirs sont réputés pour leur capacités martiales, pas pour leur intelligence.

S'adressant à suite au reste du groupe, il ajouta:

- Je crois aussi en Tempus, pourtant, je ne partage pas la ferveur démesurée que vous semblez lui porter, j'admire seulement l'honneur qu'il atribue aux guerriers dans une bataille. Pourtant...
Le mercenaire essaya de sourire amicalement, bien que cela forçait son visage à un rictus dont il n'avait pas souvent l'habitude.

- Je pense que nous nous entendrons bien, du moins, dans la mesure ou nos compétences respectives pour cette mission nous soit utiles à tous.
Mais dis moi... Il tourna sa tête vers le gnome. Tu n'as pas l'air coutumier de quêtes et d'aventures, qu'est ce qui t'a attiré ici?

Toute la 'Compagnie' s'en prit au Drow, quand il eu fini de faire son faible discours. Il s'était attendu à tant de représailles et d'insultes sur sa race, mais c'était ce qu'il attendait. Il n'aurait espéré en aucun cas, d'un groupe qui aurait eu aussi peur d'un seul elfe, mais ce petit manège l'amusé et il répondit à la dernière personne aillant pris la parole :

- Tu parles de mon ego qui est démesuré à ton goût ? Comment peux tu parler d'ego, toi, l'humain de basse classe. Je ne savais pas que les humains était aussi stupide que toi. Certes, ils ne sont pas très intelligent, mais à ton niveau, cela me faire froid dans le dos. Mais je ne fais pas de généralité, je verrai bien comment son les autres, mais un conseil, ne me tourne jamais le dos, sinon tu ne pourras plus jamais mettre ton arrogance à l'épreuve. Arach'lynz échauffer les esprits, ils n'attendait qu'une chose, c'est que l'humain l'attaque, la provocation était marrante aux yeux de l'elfe noir, et si le pauvre humain se proposais au combat, Arach'lynz se serait fais un plaisir de lui opté la vie. Regardant dans les yeux l'humain, le Drow essaya de ressentir la peur qu'éprouver cette homme. Mmh, quel joie pour moi de t'opté la vie, ton corps encore tiède tombant à mes genoux, tes yeux vitreux, ton regard suppliant, te voir souffrir serait un délice, ton corps inerte me ferait jubiler de joie, et savoir que tu me haïssait ne ferait qu'augmenter ce plaisirs...Le Drow tentait d'intimider l'humain pour que la peur l'envahissent, qu'Arach'lynz puisse le dominer, et le manipuler...


Tente Intimidation sur Seph.

Le regard du gnome s’était chargé de crainte à la vue du demi-orc et de celle du drow posté dans un coin sombre de la pièce.
Malgré la peur visible qui le tenaillait il avait réussi à garder sa contenance et s’était approché du prêtre semblant le trouver plus amical que le reste de la compagnie.
Le mercenaire venait de répondre vertement aux attaques de l’elfe noir et la situation n’allait pas s’arranger.
Lorsqu'il entendit l'elfe noir s'exprimer il sut que ce dernier était allé trop loin.
¤Si je n’interviens notre équipe ne sera plus qu’un souvenir et il faut calmer les ardeurs de chacun en particulier pour ce jeune gnome qui est déjà mal à l’aise !¤
- IL SUFFIT ! déclara-t-il en se mettant entre les deux protagonistes avant qu’ils n’en viennent aux mains, sans toutefois tourner le dos à l’un ni à l’autre, sa cape repoussée sur le côté prêt à s’emparer de son marteau.
- Je ne pense pas que notre employeur nous prenne au sérieux si nous nous étripons avant d’avoir accompli notre mission.
- Arach’lynz tu ne verras personne mourir pour l’instant et surtout pas un adorateur de Tempus, en tout cas pas en ma présence ni celle de l’ami à la peau verte.
- Je ne doute pas que ce brave mercenaire soit de taille à t’affronter seul et je ne juge personne, mais ta témérité risque de nous coûter à tous bien cher.
- Attends donc la fin de notre aventure pour régler tes comptes car tes instincts suicidaires ne nous servent à rien.

Sam fait usage de psychologie pour tenter d'appréhender la situation et réagir en fonction

Garook continuait de manger, il fixait d'un oeil intrigué les deux fanfarons qui était en duel verbal pour s'avoir qui serait le plus apte à diriger l'assemblé d'aventurier. Garook ne connaissait rien des drows, mais pour lui, il semblait le plus apte a dirigé. ¤Cette peau noir semble très rapide d'esprit, sa doit faire un bon chef sa!¤ Il continait de manger... il tourna le regard vers le petit gnome. Puis lui faisant signe de la main, il l'interpella, une moitié de dinde ce balotant dans les airs.

- Hey petite tête! Vien me parler! Vien manger! Il lui offrait amicalement un morceau de jambe de porc, qu'il n'avait pas toucher encore."Je pas aller te manger voyons! Tu être un gnome pas vrai? Je déjà avoir eu un ami gnome, elle s'appeler Lili! Mais la elle pus être avec Garook.. Elle devoir retourner chez sa maison dans très loin d'ici."Il faisait mine basse, son visage affichait la tristesse qu'il éprouvait au souvenir de sa veille amie. Puis comme si de rien n'était, une bouché de son roastbeef lui faisait tout oublié. Le sourir au lèvre il était à nouveaux heureux.

- Tu pas a avoir peur de Garook gnome!Il parlait un peu fort pour la distance qu'il devrait couvrir, mais il ne semblait pas s'en rendre compte. Il se tourna ensuite vers la querelle entre le drow et l'homme à l'épée.

- Ah ah peau noir, je bien aimé toi! Tu toute petit mais tu avoir courage de 2 mains d'hommes! Tu faire bon chef je pensé! Garook toujours besoin d'un gros cerveau pour lui dire quoi faire, alors je te choisir voila!

C'en était trop pour le mercenaire, lorsque le drow lui répondit sur ce ton en vrillant ses yeux dans les siens, il saisit son épée et se leva. Malgré l'intervention de Heurtevent, il continua à fixer le drow d'un air dur.

-Recule Prêtre, peut être est-ce justement le but de notre cher compagnon que de voir le sang couler, peut être le sien le satisfairait assez pour qu'il apprenne à fermer sa pauvre petite bouche.

Tout son être était devenu colère et rage envers le drow, il ne pensait plus aux conséquences que pourrait engendrer une rixe entre lui et l'elfe.

-Alors, mon très cher elfe... Souhaites tu qu'on en finisse tout de suite ou bien préfères tu te cacher derrière ce demi-orc qui semble t'apprécier.

Le guerrier pointa sa lame en direction de la gorge de Arach'lynz.

-Même si tu es choisi comme leader de ce groupe, je ne t'obéirai pas, pour ta réflexion sur le fait de te tourner le dos, sache que j'en ai autant à ton sujet. Ne fais pas l'erreur de me sous-estimer... De nous sous-estimer devrait-je dire, lança t'il en jetant un regard en direction des autres membres du groupe qui avait été la cible de ses injures. Cela pourrait être la dernière chose que tu ferais dans ta misérable vie.

Le mercenaire resta ensuite sur ses positions, attendant le moindre mouvement hostile de l'elfe tout en étant aux aguets du marteau de l'homme qui s'était mis entre eux.

Un rire se fit entendre dans toute la salle lorsque l'humain s'était levé et avait menacé le Drow. Le rire était froid et cruel, le son venait du dessous de la capuche de l'elfe noir qui ne bougea pas un doigt lorsqu'il se fit harceler par l'homme. Au bout de quelques temps le Drow tourna son regard vers l'humain, ses yeux rougeoyants brillaient à travers l'obscurité de sa capuche :

- Tu aimerais bien que mon sang soit sur ta lame, tu t’énerves bien vite, et surtout pour si peu. Arach'lynz se décolla du mur et se tourna vers l'assaillant, je n'ai nul besoin de protection de la part de cette orque, il m'apprécie, tant mieux, je n'ai nul envie d'être 'chef de groupe' comme tu dis, ni de te voir m'obéir, ça me donnerai des vertiges. La haine que tu ressens envers moi est énorme, ça me fais plutôt rire, mais allons y, je n'avais nul l'intention de combattre contre toi, mais si tu m'y force, je suis prêt. L'elfe noir gardait une main sur le pommeau de son épée, et dans son autre main, il y avait son arbalète de poing, arme que personne n'avait remarqué, et que l'elfe s'était tenu de la laisser cacher sous la cape. Mais je crois que cet humain est venu t'aider, pourquoi le repousse tu ? Il n'essaye que de te sauver la vie. Arach'lynz rabaissa sa garde, et se remis contre le mur. Non ! Un combat en ce lieu ne me plait guère, je te réserve une place, tellement de monde aimerait bien me tuer, alors une attente se doit d'être, et tu n'es pas premier, l'elfe noir tourna sa tête vers l'humain et un sourire naissant apparu sur son visage, allons, bois et mange, je ne pense pas que sur la Mer, tu puisse avoir autant à manger...L'elfe détourna son regard, et chose réussite, l'humain s'était bien vite énervé, ¤ voila son point faible à celui là ¤ cette pensée traversa l'esprit du Drow, mais il savait que maintenant il se devait d'être sur ses gardes, cette homme n'en resterait pas là...

- Moi..Je...." Commençait à begayer Rondell, en voulant répondre à la question que le combattant humain lui avait posé, mais le drow, en prenant la parole, l'en empecha.

¤Ouh là, ça sent pas bon !...¤
Rondell, qui était toujours assis dos au mur, regarda la joute verbale entre l'homme à la grande épée et l'elfe noir. Il craint pour sa sécurité et celle du groupe, mais surtout plus pour la sienne. Il avait depuis longtemps remarqué qu'il était... Comment dire, le seul membre du groupe qui était sous évaluer par les autres. Sauf peut ête par Sam et cela l'énervait un temps soit peu.

Puis le demi-orque lui adressa la parole. Il comprit que c'était un sang mélé puisqu'il était capable d'aligner plusieurs mots de la langue commune sans trop de difficultés.
¤Il m'a l'air un poil plus malin que ces parents "purs".¤
Lorsque ce dernier tandis sa cuisse de poulet vers le gnome, celui-ci renfreigna un sentiment de dégoût.
¤Déja ami avec un gnome ? Bah, il m'a l'air plus stupide que dangereux. Enfin, pour l'instant...¤
Il se leva donc avec courage, appuyant sa main sur son genou pour l'aider. Il avança vers la table en prenant soin de faire un détour pour ne pas gêner le mercenaire. Qui, soit dit en passant, c'était levé sous la provocation de l'elfe. S'approchant du demi-orque, il pris entre ses mains son "cadeau" avec un sourire gêné et quelque peu dégouté. Puis faisant un énorme effort, il s'assit à coté de lui, pour entamer la volaille, bien qu'ayant aucune faim. Il espérait ainsi ne pas froisser son "nouvel ami". Puis après deux bouchées viande, il reporta son attention sur les deux individus en conflit.

¤On dirait que le drow a le dernier mot. Bien que je ne le trouve pas sympathique, si la situation reste tel quel, notre quête se finira ici. Trouve quelque chose, même une bêtise à dire pour calmer l'atmosphère.¤
Rondell prit donc sa décision, posa sa cuisse sur la table, se metta debout sur cette dernière et dit :

-Excu.. Excusez-moi messires, je suis honteusement navré d'interrompre votre dialogue... Mais, il me vint l'idée, peut être la bêtise, de me présenter à mes autres compagnons. Comme vous pouvez le constater, je suis un gnome. Un magicien de par ses compétences et je me nomme Rondell, Rondell Pierrefendu, pour vous servir... Il s'arreta un instant, observant que tous les regards se portaient maintenant sur lui. Il rougit mais reprit.
Et j'aimerai continué en répondant à cet homme... dit-il s'inclinant devant le mercenaire à l'épée ...car l'étiquette le souhaite. Pour ce qui est de mes compétences martiales, disont que je peux rendre les choses pour autres, divertir vos ennemis ou dissimuler votre présence à leur yeux. Pour les plus perpicaces d'entres vous, vous l'avez compris, je suis illusionniste. Voilà, messires, merci de m'avoir écouter."
Rondell descendit de la table, reprenant sa place à coté du sang melé et continua sa cuisse, rouge de honte...

Arach'lynz intimadation 16+1=17 reussi
Seph jet oposé à intimaidation 17-2(charisme)+1=16 echec
Sam psychologie 14+4=18 reussi

MD

La tension monta très vite dans le salon, une joute verbale éclata entre Arach'lynz et Seph. Quand l’elfe noir commença à parler de sang, de règlement de compte, l’humain fut intimidé mais ne le montra pas en acceptant son défi. Le prêtre se mêla de la conversation intelligemment pour calmer le jeu sanglant qui risquait d’éclater.

De leur coté le demi-orque et le gnome essayaient de communiquer malgré les peurs du petit homme, qui lui essayait de changer la conversation en répondent à une question que lui avait posée Seph.
Quant au barde, il restait mystérieux et n’avait pas trop voulu participer à cette joute, il avait essayé de calmer l’elfe en lui parlant dans sa langue mais rien ne fit.

Rabat-joie qui était resté derrière la porte du salon pour mesurer un peu le tempérament de cette future équipe, se dit qu’il valait mieux pour lui intervenir maintenant, avant que la situation ne dégénère et que Arumn n’est à passer la serpillière pour essuyer le sang qu’ils auraient mis partout.

La réaction rapide du prêtre qui voulait les retenir, le fit sourire intérieurement. Il y aurait au moins l’un d’entre eux qui pourrait calmer les esprits et les remettre sur le chemin de la mission qu’ils allaient accomplir pour lui et l’organisation à laquelle il était affilié.
Il entra rapidement dans la pièce et commença aussitôt à parler avec une voix forte pour que tout le monde l’écoute et se taise.

Rabat-joie

- Vous n’allez pas commencer à vous étriper ici. Attendez au moins d’savoir pourquoi vous êtes là. L’on ne pouvait voir les traits de son visage mais sa voix suffit à comprendre que leurs « gamineries » lui déplaisait. - Si vous continuez ainsi vous ne goûterez même pas au plaisir d’être riche. Ajouta-t-il toujours avec une voix sans émotions. Si certain d’entre vous n’aiment pas la présence d’un autre et qu’il ne se sent pas capable de travailler avec lui, qu’il parte maintenant car je n’admettrais pas que le boulot que je vais vous demander soit un fiasco à cause de querelles. Dans ma société, il n'y a ni discrimination, ni laissers pour compte, on laisse jamais personne en arrière, et on se sert les coudes. Vous aurez tout interet à avoir la même vision des choses que moi, car je suis avec vous dans cette mission, et si je vois l'un d'entre vous se défiler ou abandonner un camarade en difficulté, je le descend, c'est clair ? - Alors si l’un d’vous veut partir c’est maintenant ou jamais et si vous êtes prêt je vais vous dire ce que j’attends d’vous. -------------------- Toujours vêtu de noir et encapuchonné pour ne pas dévoiler son visage à n'importe qui. Rabat-joie est un râleur né mais qui fait son boulot à la perfection. Il reste un mystère pour beaucoup, mais une fois qu'on connait qui il est, il se montre sous son vrai jour...

Le roublard craqua ses doigts et son cou, il semblait ennervé, mais il affichait un petit sourire de ses lèvres finement ciselées...