Un artefact au pic de la Dame, Artor postule pour l'Assemblée.

MJ

L'armure dégagée par le petit roublard provoqua des réactions diverses parmi le petit groupe. Le regard admiratif, Darkurt s'était redressé pour mieux en admirer les détails. Finement ciselée, cette cuirasse était magnifique et semblait avoir appartenu à un valeureux guerrier. Une pièce de tissu, intacte, en ceignait la taille. De couleur bleue, elle présentait à son extrémité un étrange motif : une balance reposant en équilibre sur un marteau de guerre.
Tout à l'examen de cette merveille, l'attitude de la prêtresse loviate passa pratiquement inaperçue. Lèvres pincées, cette dernière essayait de masquer le dégout qui s'était emparé d'elle. Discrètement, elle fit quelques pas en arrière et porta la main au fouet qui ornait sa taille.

A ce moment, une silhouette imprécise se forma devant eux. De grande taille, sans réelle consistance, un homme apparut là. Malgré sa nature intangible, toute sa puissance était nettement perceptible. A la grande surprise des compagnons, elle semblait revêtue de la même cuirasse qu'ils avaient devant eux. Se tenant tête nue, ses long cheveux volant au vent, la créature s'avança, les mains nues, une grande épée longue battant contre son flanc. Alors qu'elle pointait un doigt accusateur vers les compagnons, une voix forte se fit entendre, s'exprimant dans un commun parfait :

- Arrière suppôts du démon. Qui êtes-vous pour profaner ce lieu ? Fuyez loin d'ici, sbires de Dillarel ou craignez mon courroux !

Un peu à l'écart du groupe, Lähmee sursauta à cette injonction et se retourna vivement. Hésitant encore entre rejoindre ses compagnons ou se fondre dans la verdure, il restait sur place lorsque l'apparition d'une deuxième silhouette fantomatique le surprit. De même nature que la précédente, son aspect était nettement féminin. De long cheveux tombaient en cascade de part et d'autre d'un visage qui, s'y n'avait été torturé par un rictus de souffrance, eut pu passer pour parfait. Sans prononcer une seule parole, cette seconde apparition avança vers la première, ignorant totalement l'elfe sauvage. Avec douceur, elle mit la main sur le bras de son compagnon comme pour l'inciter à plus de douceur dans ses propos.

Alors que deux silhouettes apparurent pour surprendre au dépourvu le groupe, le magicien continuait de ruminer dans sa barbe. Complètement détaché de la réalité et perdu dans ses pensées, Artor réfléchissait. Comme à son habitude, avec un certain retard, il saisit en un éclair la situation. Il fallait s’attendre a tout sur ces terres désolés, deux êtres aussi bizarre l’un que l’autre menaçait les aventuriers épuisés. Artor commençait a ce demander, quand il s’éveillerait de ce cauchemar abominable.
¤C ‘est une habitude ici ou quoi, d’apparaître comme ça sans ce présenter !¤

Le mage fronça les sourcils, et transperça les deux amoureux de la légende de son regard inquisiteur. Il s’avança vers l’homme et la femme, d’un pas prudent tout de même et s’inclina poliment. Et d’un geste élégant il pris la parole, sourire aux lèvres :
"Voyons, voyons calmez vous ! Enfin vous voyez bien que nous ne sommes pas des ennemis ! Heureux de vous rencontrer Maître Léandre..."
Il laissa planer un vide, comme si il jouissait de surprendre les deux spectres...

"Je vois que la beauté de dame Hannika, n’est pas qu’une légende" En s’inclinant à nouveau.
"Hum...hum je me présente je suis Artor, et suivis de mes courageux compagnons nous avons décidé de parcourir les montagnes Nethères, pour braver la malédiction de Dillarel et nous emparer de son trésor. Sachez que nous compatissons a votre drame et serions près a vous aider en quoi que ce soit, mais..."

Le brave Artor semblait hésiter, et si c’était une ruse du cruel Dillarel ? Non, il ne l’avait sûrement pas vaincu, mais au moins il avait disparu, mais pour combien de temps ? Artor ce demandait si ces deux là n’était pas apparut quand Bekaf avait touché l’armure...
Il serait alors peut-être plus prudent de la laisser là ou elle gisait. Le magicien reprit la ou il s’était arrêté pour ne pas énerver ces deux malheureux maudits...

"...Mais il s’avère que nous avons eu affaire a votre ami Dillarel, et celui-ci ne nous a pas fait bon accueil. Et comme vous vous en doutez, nous ne sommes pas la pour son bien. Et vous pouvez remarquer que notre brave paladin Darkurt n’a pas eu la chance comme ma part d’échapper à la cruauté sanguinaire du défunt magicien. C’est pour cela que nous vous affirmons que nous ne sommes sûrement pas ses amis et encore moins ses suppôts..."

Le magicien fit signe discrètement à Bekaf de reposer l’armure au sol, mieux valait ne pas énerver ces deux là. Surtout Léandre qui dégageait une énergie hostile...
Artor comptait rester en vie et repartir avec ce trésor, et il ferait tout pour ça mais encore fallait-il qu’il rentre sain et sauf à l’Assemblée...
Et ça n’allait pas être facile, il espérait que Tymora serait clémente avec lui en ces temps maudits...

Alors qu’il allait s’apprêter à répondre aux vociférations d’Artor, quelque chose pris forme devant les yeux incrédules du groupe. L’apparition et les réactions des spectres du puissant paladin Léandre et de sa belle Hannuka confirmaient que le groupe venait d’affronter le reflet du mage Dillarel en personne. L’elfe vert n’avait plus de doute, il était au bon endroit. La légende n’était plus, elle devenait réalité.

¤Je me demande si leur lutte continue malgré leur état spectral. Hurk, ça doit être quelque chose une bataille d’intangible entre eux¤

Le sauvageon sentit à nouveau une sorte de brise glaciale passée non loin de lui. Il frissonna légèrement sans émettre le moindre son. Très surpris par autant d’indifférence et de calme de la part de la silhouette féminine, Lähmee resta en retrait du groupe, puis se dissimula silencieusement dans la végétation afin de pousser un peu plus sa fouille des lieux. Le barde espérait en fait bénéficier du temps passé par les n’tel’quessir à expliquer la situation aux nouveaux gardiens des lieux.
Il balaya du regard les flancs de falaises pour y déceler d’éventuelle ouverture. Il n’hésita pas à grimper aux arbres ou sur des hauteurs du relief pour mieux discerner un détail qui, au sol, lui aurait échappé. Il se demandait encore si cet endroit était un cul de sac et si la chute d’eau était encore bien loin, se guidant au bruit pour rejoindre cette dernière.

Iliana s’était a peine relevé que les apparitions commencèrent a sortir de partout.
Avec un instant de surprise et de recul, elle ne pu lâcher son juron :

-Diable personne ne leur a apprit a frapper avant d’entrer ici

La main sur la garde de son arme, et l’autre sur la tête de la louve pour la garder près d’elle, et observait la scène qui se déroulait devant elle.

*Est ce que une foi dans ma vie je comprendrai les mages. On est en face de deux autre spectres dont l’un est prêt a nous ramener a l’état de poussière et lui il plaisante en traitant ce Léandre de AMIS de Dillarel que lui même viens de traiter de démon, ha mon dieux si on survie avec un plaisantin comme ça en tant que chef de fille, c’est un miracle.*

Attendant que les conversations s’arrêtes, autrement dit que le mage termine son explication a en donner la migraine sur leur venu, elle s’approcha de ce dernier pour mettre son grain de sel.
S’il y avait une chose qu’elle n’aimai pas, c’était ne pas comprendre ce qui se passait, d’autant plus quand sa vie est en jeux.

-Bien, moi c’est Iliana et elle Nephenie, maintenant que les présentations sont faites, je vous inviterai bien a prendre un lait chaud ou un thé mais j’en ai pas sous la main, j’en suis navré.
Mais a part le fait que je suis une piètre hôtesse, pourrait on m’éclaircir sur un point, voir deux si le cœur vous en dit.

Le premier : Ca vous dirai pas de terminer ces ronds de jambes a un endroit plus facilement surveillable que ce merveilleux endroit ou comme vous le remarquez on peu nous surprendre de toute part.

Et le deuxième, se tournant vers les deux nouveaux venus, ne vous vexez pas, vous êtes qui au juste ?


Les regardant en levant un sourcil, elle les dévisageait tout deux.
En effet la femme semblait magnifiquement belle, presque autant qu’elle si elle n’avait plus ces furoncles pensait elle, mais son visage montrai une grand douleur qui ne passait que très difficilement inaperçu. L’homme lui non plus n’était pas désagréable a regardé, et il semblai même avoir le même tempérament que la druidesse.Brailler avant et réfléchir après. Cette pensée lui fit même comprendre qu’elle venait une foi de plus d’appliquer cette fâcheuse habitude. Nephenie toujours près d’elle, sa main toujours dans sa fourrure douce, elle grattait nerveusement l’arrière de ses oreilles.

Une nouvelle apparition, deux nouveaux spectres en ces lieux. Décidément, ils n'en finiraient jamais avec ces damnés.
L'homme semblait beaucoup plus impulsif et aggressif que sa probable compagne. Et même si ils n'avaient tout deux rien de rassurant, ils ne semblaient pas vouloir attaquer le groupe pour l'instant.
L'heure était donc aux négociation et Artor en son rôle de chef du petit groupe, était à l'oeuvre.
Une petite question restait en suspend, l'armure révélée par l'halfelin était-elle la source de cette apparition ?
Peu enclin à en savoir plus sur le sujet, le jeune haldelin choisit de déposer celle-ci avec précotion sur le sol.


* Rien ne dit que cette armure ne soit à l'origine de tout ceci, même si ces symboles sont identiques. Mais mieux vaut-être prudent.*

MJ

Les deux silhouettes spectrales se tenaient devant les aventuriers. Le regard peu amène de l'homme restait fixé sur les magiciens mais la fureur initiale semblait s'atténuer quelque peu. Etait-ce la douceur intervention de sa compagne ou les arguments avancés par Artor ? Nul ne pouvait le dire. Pendant que Bekaf reposait discrètement sur le sol l'armure, réplique exacte mais matériels de celle portée par le guerrier intangible, Iliana essayait de comprendre la situation. Fidèle à son habitude, la druide mettait joyeusement les pieds dans le plat, histoire sans doute de clarifier ses idées et de pouvoir confirmer ses suppositions.

Ne prenant même pas la peine de répondre à la dernière question de l'humaine, le mort-vivant fronça les yeux alors qu'il dévisageait, l'un après l'autre, les membres du petits groupe qui se tenaient devant lui. Seul, Lähmee, tapi dans la végétation, échappait à cette inspection.
L'expression de son visage variait en fonction de celui qui se faisait examiner. Douloureuse, avec une pointe de compassion lorsque les yeux se portèrent sur Darkurt, le paladin meurtri, amusée devant les efforts du halfelin pour ce débarrasser de l'armure, respectueuse pour la druide et sa louve, froide et impitoyable pour les deux magiciens et franchement hostile pour la prêtresse loviate.

La voix sèche se fit de nouveau entendre, fustigeant les jeteurs de sorts :

- Partez loin d'ici, maudits sorciers. Vous et vos semblables n'êtes poussés que par la soif du pouvoir personnel. Les êtres vivants n'ont aucune importance pour vous, sauf s’ils peuvent vous servir d'une façon ou d'une autre. Une femme n'est rien de plus qu'un objet à posséder. Fuyez ou craignez mon courroux.

Caché un peu à l'écart, Lähmee ne perdait pas une miette de la scène. Le barde était aux premières loges pour voir, devant lui, les héros maudits d'une des légendes dont il était tellement friand. Son imagination endiablée s'enflammait, le voyant ajouter son nom et celui de ses compagnons à la saga.
Soudain, son attention fut attirée par un mouvement furtif. Profitant que le courroux du spectre soit dirigé vers les magiciens, la prêtresse détachait lentement le fouet qu'elle portait à la ceinture. Son regard haineux fixait la silhouette intangible ou plutôt la ceinture où se détachait le symbole de son dieu. Avec un rictus de rage, le fouet en main, elle fit quelques pas en avant, veillant à rester dissimulée par ses compagnons.

Les sautes d’humeurs de l’apparition commençaient à sérieusement énerver la jeune femme qui aimerait bien savoir un peu plus sure les nouveaux venus que leur nom et leur statu matrimonial.
Elle avait bien vu que l’homme malgré son visible dégoût pour les mages lui avait réservé un visage convenable et presque encourageant à continuer la conversation, jusqu’au moment où il lâcha ses dernières paroles.


*Une femme n’est qu’un objet !!! Mais c’est pas parce qu’il est mort qu’il peut se croire tout permit celui là !*

L’interpellant alors elle tenta de le corriger sur certains points qui ne lui convenaient pas vraiment.

-Alors déjà, je doute que les femmes soient des objets, voir j’ai la sérieuse envie de botter le derrière de tout homme qui le penserait, alors restez courtois s’il vous plait.
Ensuite je pense que tout le monde a bien compris que vous aimeriez nous voir partir mais voyez-vous, si vous expliquiez un peu plus votre point de vue, nous finirions bien par le comprendre et par rebrousser chemin gentiment, mais qui qu’il en soit, la colère des autres m’inspire plutôt de la curiosité que de la crainte.

Soutenant le regard de l’homme à qui elle parlait, la jeune femme essayer de savoir jusqu’où elle pouvait aller trop loin avec eux. Elle était totalement consciente que s’il lui donnait une petite claque, elle serait sonnée pour les prochaines semaines vue sa carrure mais, sa curiosité est et restera toujours son plus grand défaut en ce bas monde.

Nephenie quant à elle observait la scène avec ses yeux de louve. Ne comprenant pas tout ce qui se disait, elle sentait n’est en moins le cœur de sa compagne s’emballer a mesure que la joute verbale avançait. Assise docilement, elle acceptait les caresses d’Iliana.

Comme son animal Totem, le caméléon, Lähmee restait immobile, fondu dans l’épaisse végétation de la forêt sans bruit. Cette petite cache lui rappelait fortement son enfance et les traques de sa tribu dans la Haute-Forêt. Tel son reptile fétiche, il passa sa langue sur ses lèvres et observa de plus belle le spectacle sans émettre le moindre son.
Il aurait aimé pousser un peu plus loin son inspection des lieux mais l’explication entre les spectres et les N’ Tel’Quessir prit le dessus sur sa curiosité.

Il allait peut-être en apprendre un peu plus sur la légende. Avant l’arrivée des intangibles, il pensait trouver un autre endroit pour repartir afin d’éviter de rebrousser chemin. L’idée de réemprunter les longs couloirs sous-terrain où il ne se sentait pas du tout à l’aise le rendait presque claustrophobe.

Aucun son de la nature ne masquait le dialogue et il ne perdait pas une miette de la conversation. Cela pourra lui servir plus tard pour remettre au goût du jour la Légende du Pic de la Dame. Comme à son habitude, il observait chaque fait et geste des acteurs de la scène afin d’en tirer partie pour ses futures représentations. Il ne faisait pas bon être magicien devant ses morts vivants. Léandre exprimait clairement son animosité envers cette profession, c’était comme si un lointain souvenir refaisait surface à la vue des thaumaturges.

¤ Même s’il n’a pas entièrement tord, il fait des généralités de son histoire personnelle ¤

Quelque chose attira un peu plus son attention, la prêtresse s’apprêtait à agir apparemment contre le spectre du paladin.

¤Et bien attendons encore un peu, le spectacle risque d’être des plus divertissant, laissons un peu cette prêtresse assumait ses actes et ses conséquences…¤

Le barde même s’il mourait d’envie de questionner les reflets de Léandre et Hannuka préféra rester dans sa position actuelle afin d’épier comme il le faisait dans sa forêt native. Il retrouvait ainsi un style de comportement propre aux Sy’Tel’Quessir qui lui correspondait à merveille. Il ne manquait plus que les animaux de la forêt viennent s’approcher de lui sans peur mais cela était plus qu’improbable dans ce lieu maudit.

Le paladin encore un peu sonné, entendais des voix qu’ils ne connaissaient pas. Il tourna la tête ce qui lui procura un mal de crâne qui lui fit plisser les yeux et forma à ses lèvres un rictus. Il repris contact avec la réalité, et sa première réaction fut de remettre ses lèvres à leur place habituelle, afin d’ embellir son visage.

Il eu un sursaut de surprise en voyant la magnifique macchabée, et s’ apprêtais à se renseigner sur ses habitudes quand ses yeux se posèrent sur Léandre. Un frisson l’envahit lorsqu’il aperçut celui dont l’histoire lui avait été contée lors de son apprentissage.

Tout le monde semblais blablater gaiement, et le paladin décida de se joindre à la conversation, parce que après tout, c’est pas tout les jours qu’on peut taper causette à une légende morte depuis un bout de temps déjà. Une chance pour lui, le sujet tournais autour du thème qu’il connaissait le mieux : les femmes.

« Mais non voyons, comme le dis ma charmante compagne que je remercie de m’avoir un peu aider à me remettre d’aplomb, les femmes ne sont pas des objets! Quelle plaisir pourrait on tiré d’une nuit avec un meuble? » Son sens inouï de la perspicacité lui souffla que sa réflexion était mal venu lorsque la druidesse parla de l’éventualité de leur départ. Il termina donc sa phrase dans un marmonnement incompréhensible.


Ne voulant perdre la face et passer pour un minable devant un paladin si célèbre et sa si charmante compagne, Darkurt s’agenouilla soudain devant le spectre, et s’annonça d’une voix qui se voulait téméraire :

« L’homme qui se tient à vos pied en ce jour est Darkurt, paladin et fidèle de Lathandre ». Sa voix perdis de vigueur tant qu’il prononça le nom de celui qu’il avait renier et qui lui avait malgré tout donner la force de combattre le terrible fantôme. « Tient ou est il celui la d’ailleurs? ».

Comprenant que ses mots avaient dépassé ses pensées, il toussa un peu puis rajouta:
« Avons-nous enfin réussi à vaincre cette créature? Je ne me souviens pas très bien de ce qu’il c’est passé… »


Il regarda tout autour de lui, comme si il voyais la forêt pour la première fois, oubliant de suite les deux principaux personnages de la légende du Pic de la Dame,et, par ce fait, manquant au protocole usuel.

La situation ne semblait pas dramatique pour le petit groupe. Le spectre semblait plus aggressif envers certains membres que d'autres. Manisfestement, le paladin avait un rôle a jouer, il semblait le plus apprécié des membres.
L'halfelin n'avait pas non plus ressenti d'animosité envers lui, aussi se sentait-il rassuré.
Sans doute le spectre avait-il ses raisons de vouloir les chasser de son domaine.
Le petit homme se redressa, et se plaça derrière l'armure, maintenant posée au sol. Il fixa le spectre.


- Veuillez excuser notre intrusion en ces lieux, mais il n'était écrit nul part que ceci était votre dernier refuge. Nous n'avions pas la volonté de vous déranger, nous sommes juste en quête de connaissance et cet endroit est source d'enseignements et de découvertes pour nous.
De plus notre dernier combat fut rude et nore ami Darkurt, paladin de Lathandre est bléss et son état nécéssite un peu de repos et de soins avant que de ne reprendre la route. Il a démontré son courage face à notre ennemi, et il doit être traité avec respect pour les actes qu'il a accompli.
Si nous pouvons, dans le cadre de notre présence ici vous aider en quoi que ce soit, ce serait pour nous un plaisir.
Je vous offre en gage de bon entente, mes services, pour une mission de quel ordre soit-elle, et ce afin de vous prouvez notre bonne foi et notre volonté de ne pas vous nuire.

Bekaf savait que ces propos pouvait le mener sur des routes plus dangereuse encore, mais il ne voyait pas d'autres solution afin de s'attirer la sympathie de ces deux spectre.