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L'Enigme du Dragon-pluie, Ascha, Asilgar, Jarircie, Naïrod, Ulrich
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Habitant des Royaumes
Chambre 26
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Vingt et unième de la Griffe des Soleils Couchants de l'année des Dragons Renégats. 21 Ches 1373. Température la plus basse : -12. Température la plus haute : -5. Température actuelle : -7. Heure actuelle : 19h50, début de soirée.
La cité de Lunargent était encore active malgré l'heure et la période de l'année qui se trouvait à cheval entre deux saisons, la fin de l'hiver et le début du printemps qui se faisait toujours attendre dans les Marches d'Argent. Cependant, ni l'hiver, ni le soir tombant ni les températures froides à faire frissonner un troll n'empêchaient les habitants de la belle et fière capitale des Marches de vivre et de prospérer. Ce qui était d'ailleurs un de ses principaux atouts pour nombre de personnes venus ici pour refaire leur vie ou chercher aventures et richesses.
L'auberge du Bouclier Brisé située non loin de la porte nord de la cité voyait passer toutes sortes de personnes. Elle était connue et appréciée par les aventuriers, les mercenaires, les marchands et les voyageurs pour ses prix corrects, une ambiance chaleureuse ainsi qu'un service impeccable qui sans être luxueux était de très bonne qualité. Et il est vrai que tout était tout de suite perçu comme plus agréable lorsque c'était effectué par une belle et jeune femme aux cheveux aussi roux que les flammes dansantes d'un feu de bois et les yeux aussi verts que deux émeraudes.
La salle commune de l'auberge du Bouclier Brisé était relativement grande aux murs recouvert d'épaisses tentures représentant des paysages des Marches. Son mobilier en bois massif consistait en de multiples tables à pied central généralement entouré de quatre chaises empaillées. Une imposante cheminée trônait au milieu du mur ouest, suffisamment grande pour y faire tourner en broche un cochon entier. Le comptoir occupait une partie du mur nord et était tenu par un homme aussi large que haut, très imposant avoisinant le mètre quatre-vint dix et au moins le quintal. Si l'embonpoint était présent, il restait encore une imposante musculature qui laissait deviner un homme aguerri et au passé plutôt guerrier. idée renforcée par un bouclier brisé et une hache d'arme attachés au mur juste derrière lui. Ses grandes et probables puissantes mains brassaient aussi bien l'argent que les commandes et sa voix de stentor se faisait facilement entendre dans toute la salle commune malgré un groupe de musicien sur une scène installée sur le coin des murs nord et est. L'aubergiste était vêtu de braies, d'une chemise et d'un grand tablier et accueillait tout nouvel arrivant par un grand sourire et un regard bleu semblant scruter l'âme de son interlocuteur.
La salle commune accueillait un nombre important de voyageurs en tout genre, seuls ou en groupe, se joignant aux autres ou alors en train de manigancer quoique ce soit dans un coin. On pouvait côtoyer toutes les races, des humains, des elfes, des demi elfes, des nains, quelques demi orques et des halfelins. Rien ne sortait de l'ordinaire à part un individu aussi grand qu'un homme, aux oreilles pointues comme un elfe mais dont la peau était jaunâtre et les cheveux brun-roux. Il semblait très musclé mais peu vêtu et ne pas posséder grand chose. Il ne restait que quelques tables de libre. L'animation était faite par trois musiciens et un chanteur qui donnaient un spectacle de bonne qualité et usaient d'un répertoire connu et populaires des Marches d'Argents.
Pendant le spectacle, un groupe de quatre individu faisait également son animation. En effet, une cible de paille avait été accrochée au mur visiblement à un endroit prévu à cet effet et les membres du groupe s'engagèrent dans un concours de lancé de couteaux.
Asilgar Volendrir.
Le jeune rôdeur de Maïlikki se trouvait à l'auberge du Bouclier Brisé presque par hasard. Sa traque l'avait menée bien loin de chez lui et il se retrouvait dans une contrée complètement inconnue, dans une des plus grandes ville de cette région, sans aucune connaissance ni de la culture, ni du peuple local et de ses dirigeants. La seule raison de sa présence en ces lieux était un jeune mage du Cormanthor qui avait été pris la main dans le sac en train d'accomplir quelques sombres rituels dans un cimetière de village. Il n'avait du sa survie qu'à l'hésitation des paysans l'ayant trouvé sur le châtiment à lui infliger. Il avait pu prendre la fuite mais ses actes avaient été rapidement connus de tous et le rôdeur, méprisant et haïssant ses hommes c'était mis en chasse. Sauf qu'il venait de le perdre et qu'il se retrouvait ici, sans but ni travail. C'était à lui de décider ce qu'il convenait de faire ou ce qu'il désirait faire désormais.
Alors qu'il était installé depuis à peine une minute, une jeune femme d'environ quinze ou seize ans, rousse aux yeux verts, vint le voir et avec un sourire charmeur et désarmant lui posa la question maintes fois répétée :
- Bonsoir monsieur et bienvenu à l'auberge du Bouclier Brisé. Puis je prendre votre commande. Le plat du jour est constitué de côte d'agneau accompagné de carottes et de navets. Nous avons pour accompagner toutes sortes de bières, de vin et d'autres alcools.
Ulrich.
Le paladin se trouvait bien loin de chez lui et tout dans les Marches d'Argent était étranger. La culture, le climat, le peuple, l'architecture, les vêtements, les armes, la cuisine et la langue. Cependant tout ceci était une nouveauté bonne à prendre et il avait entendu de nombreuses rumeurs sur les Marches d'Argent disant qu'il s'agissait d'une contrée rude et brutale où se trouvaient toujours des âmes à protéger et des créatures de tout genre à combattre pour le bien des Royaumes et de leurs habitants. Cette région correspond donc aux attentes du jeune guerrier de Torm et son histoire dans la région était à écrire.
Peu de temps après son arrivée, une jeune femme entre la fin de l'adolescence et le début de l'âge adulte se présenta à lui. Ses cheveux roux, ses yeux émeraudes et son sourire espiègle et charmant la rendait belle au possible. D'ne voix douce et mélodieuse, elle s'adressa au paladin tout en restant professionnelle.
- Bonsoir monsieur et bienvenu à l'auberge du Bouclier Brisé. Puis je prendre votre commande. Le plat du jour est constitué de côte d'agneau accompagné de carottes et de navets. Nous avons pour accompagner toutes sortes de bières, de vin et d'autres alcools.
Jarircie.
Sa dernière mission au sein de la Haute Forêt était désormais achevée et la paladine appartenant à la loge de l'Oeil se retrouvait dans une ville aussi belle que paisible par rapport à ce qu'elle avait pu vivre ses derniers temps. Arrivée depuis moins d'une heure et avait trouvé les portes de la ville closes. C'est ainsi qu'elle se retrouvait à l'auberge du Bouclier Brisé entouré par toutes sortes de voyageurs. Certains semblaient plus louches que d'autres mais l'ambiance qui régnait restait bon-enfant. Elle n'était pas la seule femme présente cependant elle était la seule ainsi équipée pour la guerre. Si son entrée retourna quelques têtes, cela ne dura que quelques secondes, le temps pour tous de se dire qu'il ne s'agissait que d'une aventurière comme les autres et qu'elle n'était pas plus intéressante que cela, trop commune dans un auberge de ce type.
Néanmoins, sa présence à Lunargent n'était pas fortuite. En effet, elle avait été contactée par l'Oeil qui lui avait dit de se rendre à Lunargent afin d'y être retrouvée par un membre récent de la loge qui devait apporter un cadeau à un ami de la loge habitant dans la cité de Quaervarr. Ils devaient s'y rendre ensemble et prendre contact avec cet ami qui pouvait avoir des informations intéressantes sur la région. Une description du membre de l'Oeil lui avait été faite mais elle ne le voyait pas encore.
A son arrivée, une jeune femme aux cheveux flamboyants et aux yeux verts armée d'un sourire charmeur s'approcha d'elle et lui dit d'une vox douce et mélodieuse.
- - Bonsoir madame et bienvenu à l'auberge du Bouclier Brisé. Puis je prendre votre commande. Le plat du jour est constitué de côte d'agneau accompagné de carottes et de navets. Nous avons pour accompagner toutes sortes de bières, de vin et d'autres alcools.
Naïrod.
Le paladin d'Ilmater nouvellement affecté dans les rangs de l'Oeil du Dragon s'était vu donnée sa première mission sitôt son intégration effectuée administrativement. Naïrod en avait beaucoup vu et pas mal bavé durant sa dernière aventure et cela avait été pris en compte par les dirigeants de l'Oeil. Il lui avait été remis un petit colis qu'il avait pour mission de donner à un certain Thomas Correnian, habitant dans la petite cité de Quaervarr, dans les Marches d'Argent. Il avait également reçu pour consigne de retrouver dans la cité de Lunargent, dans la même région que Quaervarr et un peu plus au sud, une autre paladine également membre de l'Oeil depuis peu, une certaine Jarircie. Une description détaillée lui avait été faite pour la reconnaître.
Le voyage c'était bien passé et Naïrod venait d'arriver à Lunargent. Cependant, l'heure tardive le voyait arriver dans une cité aux portes closes. Il avait donc été reconduit par les gardes vers l'auberge la plus proche de la porte, l'auberge du Bouclier Brisé. Son entrée dans l'auberge ne fit guère de différence pour les gens déjà installés. Peu après son arrivée, une très belle jeune femme s'approcha de lui et engagea la conversation.
- Bonsoir monsieur et bienvenu à l'auberge du Bouclier Brisé. Puis je prendre votre commande. Le plat du jour est constitué de côte d'agneau accompagné de carottes et de navets. Nous avons pour accompagner toutes sortes de bières, de vin et d'autres alcools.
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Voila maintenant plusieurs mois qu'Ulrich c'était lancé à la poursuite de cet étrange chevalier déchu, agent du dieu Talos qui semait derrière lui ruines et chaos dans de petites localités avant de disparaitre comme une ombre. Il avait suivi sa piste à travers une bonne partie de Faerun sans résultat probant, jusqu'aux territoires lointains des Marches d'Argent. Mais voila qu'il était tombé à cours d'indices et au fur et à mesure qu'il s'approchait de la civilisation les informations tendaient à devenir confuses et imprécises. Il était fatigué de la journée de voyage qui l'avait poussé jusqu'à la cité de Lunargent et s'arrêta dans une auberge à l'allure convenable.
Ulrich aurait apprécié trouver un endroit plus calme que ce repaire d'aventurier en tout genre, souvent source d'ennui, mais il n'en avait pas le courage et il devait reconnaître que malgré l’ambiance quelque peu agitée la bâtisse était très bien entretenue. L'aubergiste aux relents d'aventurier aguerri dirigeait d'une main de fer son établissement et jusque la tout se déroulait sans aucune anicroches. Le paladin chercha une table libre avant de s'y asseoir et de se libérer de son barda qu'il disposa à porté de main juste avant d'être abordé par une serveuse dont la beauté accrochait le regard de bien des clients. Elle lui demanda ce qu'il souhaitait commander ce à quoi il répondit :-Le plat du jour me conviendra parfaitement. Et apporté moi une carafe d'eau avec s'il vous plait. Alors qu'il attendait son repas avec une impatience scientifiquement dissimulée, Ulrich se mit à observer la population de l'auberge et son attention fut attirée par un être au teint étrange, dont seul les oreilles indiquaient son appartenance au peuple elfique. En plus de son physique inhabituel, il y avait quelque chose chez cet individu qui le faisait sortir de l'ordinaire mais le paladin n'arrivait pas à déterminer l'origine de cette particularité. Cela lui rappela qu'il n'avait pas fait appel à ses dons afin de se prémunir contre une quelconque menace, chose fréquente dans ce genre d'établissement, il se concentra toujours dans l'attente de son repas. Ulrich utilise détection du mal
Fiche de personnage de Ulrich, Paladin de Torm niveau 1
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Aventurier
Chambre 55
Aucune gemme
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Tùrambar avait reçut sa première véritable mission pour l’œil. Une mission en apparence simple et surtout se déroulant dans le terres d'espoir : les marches d'argents. Le paladin aimait cette terre, une terre réputée généreuse promesse de croissance, de prospérité et de paix pour les générations à venir. Un pays ou les elfes, les hommes et les nains, vivent et travaillent de concert à exploiter les ressources de la région, tout en respectant la nature et ses cycles. Une terre ou tous devant la loi sont pleinement égaux, où chacun a le droit de posséder de la terre et ou nul ne peut s'abriter derrière des privilège.
Du moins pour la part civilisée des marches, car Tùrambar le sait les hordes d'orcs, les dragons et autres drows cherchent uniquement le chaos, la chute des cités de paix et l'avènement d'une ère de souffrance.
Mais pour le moment, l'ilmate mettait cela de côtés. Il se trouvait aux portes du joyaux du nord, Lunargent. Cité gouvernée par la confédération de seigneurs et Alustriel de Lunargent dont la bonté est connut jusqu'en Impiltur.
Il n'avait pas put rentrer en ville directement, mais il ne s'en souciait guère. Passé la nuit dans une auberge de la cité ne le gênait nullement, entendre un peu de musique, quelque histoire et bonne plaisanterie, lui ferait du bien. Sans compter que son rendez vous devait surement avoir été conduite dans la même auberge que lui.
Des qu'il y entra, le paladin, sut qu'il ne s'était pas trompé sur l'idée qu'il se faisait du lieu. L'ambiance était chaleureuse, l’endroit semblait propre et la serveuse des plus mignonne, ainsi que son patron avec clairement inscrit sur le front, "ancien aventurier" lui garantissait de passer un bon moment.
D'ailleurs, la serveuse vient presque tout de suite lui proposer le plat du jour. -Ma foi mademoiselle, qui pourrait dire non à de si beaux yeux verts. Je prendrais le plat du jour, un choix d'Elmister et une carafe d'eau.
Tandis que la jeune femme repartait, Tùrambar, se mit à observer les gens dans la salle, mais sans utiliser ses pouvoirs, car cela ne serait bon qu'a créer des ennuis. Il remarqua un homme assit seul à une table, un autre damarien comme lui et étrangement Tùrambar sentait qu'il devrait bien s'entendre avec lui.
Quand il vit les yeux de celui-ci scintillé. De la même manière que les siens quand il faisait appel à son pouvoir de détection du mal. Il s'approcha donc de lui.
-La bonne rencontre mon ami. Puis-je me joindre à toi pour le diné ?
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Mais que faisait-il là ? Il y a de cela quelques mois, une sombre rumeur venait se hisser jusqu'à ses attentives oreilles. Il semblait qu'un jeune mage du Cormanthor s'adonnait au vil art de la nécromancie. Ni une ni deux, après avoir questionné le soudard apportant le renseignement, il quittait cette petite auberge des Vaux – très semblable à celle où il se trouvait actuellement – qu'il affectionnait pour le lot de nouvelles qu'elle apportait ainsi que pour son vin de grande qualité. Bien que ce genre de lieu était loin de figurer parmi ceux qu'il préférait – trop de monde pour trop peu d'espace – il les fréquentait de temps en temps pour y quérir des informations du monde, et ce soir-là, cela avait payé.
Il ne lui fallut qu'une poignée de jours pour rallier le village où sévissait le nécromant. Mais il arrivait trop tard : le nécromancien prit en flagrant délit avait pu s'évaporer avant qu'un quelconque jugement ne soit rendu. Après une rapide inspection du cimetière du village pour s'assurer qu'aucune créature contre nature ne s'y était établie, Pas-Feutré traqua le coupable en fuite. D'après ce qu'il savait sur ce dernier, à savoir une rapide description faite par les villageois, on pouvait présumer qu'il s'agissait d'un coup d'essai mais rien ne demeurait certain. Le criminel possédait une avance certaine sur Asilgar mais celui-ci, spécialisé dans la traque, le suivis à la trace. Sa chasse le mena tout d'abord en direction de l'Est, sur la route de la mer de Lune.
Arrivé à Tilverton il put apprendre, via un aubergiste, que sa proie ne possédait qu'une lune d'avance sur lui. Le Spectre Valien redoubla d'ardeur pour rattraper le fugitif et faillit l'intercepter dans les Montagnes du Couchant. Malheureusement pour lui le magicien renfermait plus d'un tour dans son sac et parvint à semer son poursuivant dans les reliefs escarpés. Se sachant dorénavant suivit, il accéléra la cadence et passa par des chemins moins évidents, mais cela ne perturba point le rôdeur qui pouvait maintenant pister les traces de pas du nécromant-cultiste et non plus uniquement les informations glanées auprès de taverniers, de caravanes ou d'autres voyageurs.
Le fuyard finit par prendre plein nord et mena Volendrir jusque dans les Marches d'Argent, près de Lunargent. Mais c'est ici que la piste semblait s'éteindre et que Pas-Feutré perdit le jeune mage. Ne perdant pas espoir, il fouilla tous les environs de la cité pendant plusieurs jours à la recherche d'indices, questionna les locaux et les voyageurs en quête d'indication, mais rien n'y fit. Le nécromancien semblait s'être volatilisé pour de bon.
Le Silence des Vaux s'en trouva attristé mais pas complètement abattu. Le thaumaturge referait surface et la chasse pourrait alors reprendre, mais pour cela Asilgar craignait que le nécromancien ne dût recommencer ses méfaits et que cela ne débouche jusqu'au meurtre d'innocents. Cette idée le rendait amer.
Le rôdeur hésita longuement entre repartir dans la forêt et s'arrêter dans une auberge. Il était peu friand du contact social de ces lieux et savait pertinemment qu'il n'obtiendrait pas plus d'informations sur son homme, mais qui sait ? Un miracle pouvait toujours survenir et puis un bon verre de vin ne pourrait pas lui faire de mal.
Il pénétra donc dans la taverne du Bouclier Brisé, un établissement plus que correct à l'ambiance chaleureuse, dirigé par un homme qui avait tout de l'aventurier reconvertit. On y trouvait dans la salle commune un comptoir, une grande cheminée ainsi qu'une petite scène. Volendrir se plaça au plus loin de cette dernière, à une table lui permettant de s'adosser à un mur. Les murs étaient rassurants et protecteurs, ils possédaient l’immense avantage de couvrir vos arrières mais pouvaient cependant se révéler un piège mortel interdisant toute fuite. Toutefois leur bénéfice valait entièrement leur inconvénient.
Assis confortablement, Pas-feutré déposa ses armes juste à côté de lui et releva sa capuche. De ses yeux marrons il inspecta toute la pièce. On y trouvait toutes sortes de personnes et de toutes races : humains, nains, halfelins, elfes... En observant ses derniers, Asilgar songea qu'il n'avait pas eu l'occasion de parler à un être du beau peuple depuis bien longtemps. L'envie ne lui manquait pas, mais il n'osa point les approcher. Seul une personne se détachait du lot : un individu aux oreilles pointues et à la peau jaunâtre qui paraissait n'avoir que peu de possessions matérielles. Après l'avoir scruté un instant, L'Ombre de la forêt focalisa son attention autre part.
Assez vite il fut abordé par une magnifique jeune femme aux yeux émeraude qui lui posa une question qui le décontenança temps il remuait ses pensées. Mais se ressaisissant très vite il passa commande.
- Bonsoir... Un plat du jour me conviendra très bien, répliqua-t-il avec un sourire, avec un verre de vin de Sang, s'il vous plaît.
Voici donc Asilgar Volendrir, dit « Pas-Feutrés », dit « Le Spectre Valien », dit « L'Ombre de la forêt », dit « Le Silence des Vaux ». Il est également connu, dans certains lieux, sous le sobriquet du « Taiseux », ou encore d'« Asil le Taiseux », dit « L'endormi », dit « L'inerte des bois ». C'est curieux comme les gens sont méchants. Fiche d'AsilgarPj : MalphaxPnj : Andralucard
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Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
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Emmitouflée dans son manteau à capuche, Jarircie n'en menait pas large par cette température, et l'acier glacé de son armure n'aidait guère. Malgré tout, dès lors qu'elle voyageait, la servante de Kelemvor préférait largement la porter, malgré les inconvénients, le plus évident d'entre eux étant bien évidemment l'odeur, dont il était difficile de se débarrasser. Mais son armure lui avait déjà sauvé la vie plus d'une fois, aussi même si elle devait endurer l'odeur, le poids et le froid, la jeune femme préférait largement être en vie. Heureusement, avec le soir arrivait et avec lui les murs d'Eauprofonde, avec ses portes malheureusement closes. Heureusement qu'on la laissa tout de même entrer, l'emmenant jusqu'à une auberge toute proche de la porte. "L'auberge du bouclier brisé" lut Jarircie du haut de sa monture, à haute voix, toujours aussi fan et aussi doué dans cette activité, à savoir pas beaucoup, même si elle reconnaissait largement l'utilité de cette dernière. Cela ne lui inspirait confiance, pourquoi nommer une auberge du nom d'un outil inutilisable ? Mais elle n'avait de toutes manières pas le choix, et l'endroit semblait honnête, si on regardait l'intérieur.
Étant accueillie dès son arrivée, elle demande :
- J'aurais besoin d'un endroit pour ma monture, ainsi que d'une chambre pour la nuit, et peut-être les prochaines. Ajoutez à cela un repas pour ce soir et un autre pour demain matin, de quoi nourrir cette mule. Avec du vin rouge, ce repas.
Elle s'interrompit un instant et regarda son odeur, songea à ce qu'elle devait faire le lendemain et rajouta, vu qu'elle voulait autant que possible être présentable pour rencontre l'"ami" qu'elle devait voir :
- Et de quoi me laver, pour après le repas.
Jarircie - Norim ; Combats simultanés autorisés dans la Fosse
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Habitant des Royaumes
Chambre 26
Aucune gemme
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Vingt et unième de la Griffe des Soleils Couchants de l'année des Dragons Renégats. 21 Ches 1373. Température la plus basse : -12. Température la plus haute : -5. Température actuelle : -7. Heure actuelle : 20h05, début de soirée.
La soirée commençait à peine et déjà un flot continu de clients de passage pénétrait dans l'auberge du Bouclier Brisé, montrant par là-même que cette auberge était connue et appréciée par un certain nombre de profils différents qui se réunissaient tous ici pour quelques heures avant de reprendre la route.
Ulrich aussitôt après être rentré dans l'établissement avait mis à profit les pouvoirs donnés par son dieu afin de s'assurer qu'il ne se trouverait pas en compagnie d'individus peu fréquentables, pour ne pas dire complètement hostile à son mode de vie et à sa mission. Cependant, il put très vite se détendre et se sentir plus tranquille car aucune aura maléfique ne ressortait du lot de clients. Si tous ici ne devaient pas être la bonté incarnée, au moins personne ne frayait avec le Mal. Même l'étrange individu à la peau jaune et aux cheveux châtains n'avait pas l'âme aussi sombre qu'il aurait été convenu de le penser d'une créature aussi étrange et inhabituelle que lui. Tranquillement assis à sa table, il n'eut que quelques minutes à attendre, bien logiques au vu du nombre d'arrivée, pour se voir servir son repas. L'assiette était copieuse et l'odeur qui s'en dégageait suffisait à affamer une troupe de soldats. Un petit pichet en argile contenant de l'eau accompagnait le plat. La belle et jeune serveuse aux yeux verts gratifia le paladin d'un sourire joyeux avant de repartir s'occuper d'autres clients.
Naïrod, en homme d'expérience et de sagesse, autant dues à son âge qu'à ces dernières mésaventures avait pénétré l'auberge armée de sa foi et prêt à faire usage des pouvoirs accordés par le Dieu Brisé. Très vite cependant il se rendit compte que le Mal n'avait pas mis les pieds en cet endroit et même qu'il n'était probablement pas le seul de sa condition en ces lieux car il venait de reconnaître un autre serviteur des dieux, ou du moins un autre homme, damarien qui plus est, semblant disposer des mêmes capacités que lui. Nul doute qu'il ne lui restait plus qu'à faire ce qu'il désirait afin de conclure ou non une nouvelle rencontre. S'avançant vers Ulrich, et attendant une réponse, il fut légèrement interrompu par la jeune serveuse qui d'une voix douce demanda tout simplement :
- Je vous installe votre commande ici. Bonne soirée à vous messires et bon appétit.
Lorsque Asilgar entra et s'installa dans l'auberge, dos au mur afin de mieux sécuriser ses arrières, il n'attira pas un regard. Tous ici devaient le trouver insipide, sans contenance. Car même la serveuse sembla l'avoir oublié car lorsqu'elle s'approcha de lui avec sa commande, elle semblait l'avoir cherché dans tout l'établissement et paraissait légèrement courroucée. Elle ne lui accorda que peu d'attention, se contentant d'un simple - Bon appétit. avant de repartir s'occuper d'une femme qui venait d'entrer à son tour. Quoiqu'il en soit, la serveuse ne devait pas être la seule à ne pas prêter attention au rôdeur des Vaux car les joueurs de couteaux venaient de décider d'installer leur cible non loin de la table d'Asilgar et commençaient à jouer, se lançant des invectives et faisant des paris. Si certains étaient bons, d'autres l'étaient moins et un couteau se planta dans le mur à quelques mètres sur la gauche du visage du valien.
La serveuse hocha la tête d'un air entendu aux demandes de la jeune femme en armure qu'elle venait d'accueillir tout en lui présentant une table encore inoccupée non loin de là. Aussitôt Jarircie put voir cette dernière discuter avec un jeune homme qui repartit aussitôt dehors. Et lorsque la rouquine aux yeux verts revint voir la paladine en rapportant la commande, une assiette bien remplie, chaude et copieuse, elle glissa en même temps la clef d'une chambre sur laquelle apparaissait le chiffre 4.
- Voici votre chambre ma Dame et un bain vous y sera livré une fois que vous y monterez. Veuillez juste me prévenir avant que nous puissions vous apporter l'eau juste chaude sans vous faire attendre. Il y a également quelqu'un qui s'occupe actuellement de votre mule et je peux vous assurer qu'elle sera bichonnée comme une reine et qu'elle goûtera repos et tranquillité au sein de notre établissement. JE vous souhaite un bon appétit et une bonne soirée en espérant que vous vous plairez chez nous.
Acha Cheynn
Le grand blond avait été redirigé vers l'auberge du Bouclier Brisé lors de son arrivée aux portes de Lunargent pour la simple et bonne raison que les portes étaient fermées et que les gardes ne feraient aucune espèce d'exception pour qui que ce soit, tant la sécurité de leur cité leur importait. Et en cela, Ascha ne pouvait être étonné, habitué aux Marches et à la mentalité de ses habitants et surtout de ses protecteurs. Il n'était rentré que depuis peu lorsqu'une jeune femme rousse aux yeux émeraudes se présenta à lui, appréciant visiblement le spectacle de ce colosse blond probablement béni des dieux pour être aussi beau.
- Bonsoir messire et bienvenu à l'auberge du Bouclier Brisé. J'espère que vous passerez une très agréable soirée dans notre établissement et je me ferai une joie de tout faire pour que ce soit le cas. Le plat du jour est constitué de côte d'agneau accompagnée de carottes et de navets. Nous avons pour accompagner toutes sortes de bières, de vin et d'autres alcools.
C'était d'ailleurs la raison de sa présence ici, cette habitude, cette connaissance. Depuis son retour du Sud, où en chemin il avait apprit la terrible nouvelle, la dissolution de l'Assemblée suite à des attaques de démons, il avait préféré se séparer de sa jeune protégée afin de retourner vite et en sécurité à Everlund voir ce qu'il pouvait encore sauver de l'organisation qui avait été un temps sa maison. De plus, c'était l'occasion pour lui de vérifier ce qu'il avait pu apprendre, d'abord par des survivants, ensuite par des rumeurs, à savoir la mort d'un certain nombre des membres de l'Assemblée en luttant contre les Tanarris. Il s'agissait en outre de pouvoir sauver ce qui pouvait encore l'être, ignorant à quel point la destruction de la guilde était avancée.
Son arrivée à Everlund ne c'était pas déroulée sans anicroches. En effet, les habitants et les dirigeants de la cité n'appréciaient guère de voir fouiner et fouiller dans les vestiges d'une organisation qui après leur avoir apporté sécurité et richesse leur avait apporté la mort et des attaques de démons entre autres problèmes récurrents au rassemblement de temps d'arcanistes. Ainsi, l'aasimar avait très vite compris qu'il n'était guère le bienvenu et que sa présence n'était tolérée que le temps de l'hiver et à la condition qu'il ne fasse pas parler de lui. Et lorsque l'hiver commença à toucher à sa fin, plusieurs gardes avaient été envoyé à lui afin de s'assurer que ses bagages étaient bien prêts.
Tous
La musique du petit groupe devenait de plus en plus forte et le rythme accélérait pour enjoindre le gens à bouger ou du moins à mettre de la bonne humeur parmi tous les différents groupes de clients. D'ailleurs, les musiciens se mirent vite à passer entre les tables, n'hésitant pas à joindre à eux, plus ou moins volontairement, ceux qui pouvaient se trouver prêt d'eux.
Cela faisait prêt d'une dizaine de minutes lorsque que la porte s'ouvrit une nouvelle fois mais non pas sur des voyageurs mais sur deux hommes escortés par deux soldats. Les soldats portaient l'uniforme de la cité, une épée à la ceinture et une lance dans la main droite. L'homme qui marchait en tête portait un pourpoint pourpre, des pantalons collants de la même couleur et une paire de botte noires. Il portait une dague à la ceinture ainsi qu'une baguette. SOn visage était fermé et son pas décidé, faisait apparaître un homme sûr de lui. L'homme qui se trouvait un pas derrière lui sur sa droite était tout l'inverse du meneur. Visage fatigué, des vêtements de voyage sales, une barbe de plusieurs jours, une cape brun. Il portait en outre une armure d'écaille et une épée longue à la ceinture. Il regardait tout autour de lui comme s'il se demandait ce qu'ils faisaient là et paraissait mal à l'aise. Le petit groupe se dirigea aussitôt vers l'aubergiste à qui l'homme en pourpre commença à chuchoter à l'oreille pendant que les deux soldats se plaçaient face à la foule, prêt à faire rempart de leur corps et de leur arme si jamais une quelconque menace apparaissait.
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Quêteur de Chants
Aucune chambre
Aucune gemme
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Les choses ne s’étaient pas passées au mieux pour Ascha. Lors de leur retour en terres du Nord, Enola et lui avaient croisé quelques visages connus parmi une caravane descendant la piste marchande en sens inverse. Tous, il les avait déjà croisés dans les locaux de l’Assemblée, avant son propre départ pour le Mitan Occidental, et la nouvelle qu’ils lui apportèrent plongèrent le barde dans un profond désarroi. L’Assemblée, son second foyer, son moyen de développer ses connaissances fidèlement à Oghma, n’était plus, ravagée par une attaque de démons à ce que lui narra Kipepeo. Cela changeait pas mal de choses pour le barde et sa protégée, il n’était plus question d’infliger à la fillette le lourd voyage vers les terres glaciales des Marches d’Argent en ce début d’hiver. Assuré par ses anciens partenaires de l’Assemblée survivants qu’Enola aurait leur protection et bénéficierai d’une bonne éducation dans leurs nouveaux locaux, l’Aasimar se sépara à nouveau de sa pupille, cette fois en la sachant en sécurité, et en sachant qu’il pourrait à tout moment aller la voir, ou la récupérer à la Tour d’Emeraude. De son côté, il se devait de poursuivre sa route, d’une part il avait le fâcheux besoin de voir par ses propres yeux ce qui avait résulté de l’attaque, mais il estimait aussi qu’il était de son devoir de s’assurer qu’il ne restait pas d’écrits à sauver des décombres. Il promit aux survivants que s’il croisait de leurs anciens compagnons il les redirigerait vers eux. C’est ainsi qu’il quitta Enola et poursuivi sa route vers Everlund. Seulement ses amis ne lui avaient visiblement rien caché de l’état de leur école et de sa bibliothèque. Rien ne subsistait. Le servant d’Oghma n’avait aucun livre, aucune bribe de connaissance à sauver en respect à son dieu, il n’avait que la contemplation de la désolation et des sombres idées à ruminer à lui offrir. La soif de connaissances, de mauvaise et dangereuse connaissance visiblement, avait attiré le mauvais sort et l’avidité des démons. Coup dur pour le barde de se dire que certaines connaissances n’étaient pas faites pour être mise à portée du commun des mortels.
Le seul point positif pour le servant d’Oghma, c’est que quelques bricoles avaient résisté au feu, soigneusement emballée dans un coffre de plomb. Les environs des décombres lui firent aussi croiser la route de Sabot d'Argent, une mule qui allait se retrouver à porter son bardas.
En attendant, l’hiver était bien entamé maintenant, le rude climat du Nord forçait le barde à rester dans le secteur, s’annonçant dans les tavernes comme Cheynn, un artiste en vadrouille, venu dans ces territoires pour rencontrer les aventuriers dont il racontait les exploits, s’arrangeant avec les aubergistes pour assurer sa subsistance en échange de soirées à tirer des mélodies de sa lyre. Il profitait des journées ensoleillées, un peux moins pénibles malgré le froid, pour voyager de villes en villages, de bourgs en bourgs. Et ainsi vers la fin de cet hiver assez pénible pour son moral, l’Aasimar se trouva aux portes de Lunargent. Ici il était moins facile pour lui de trouver des arrangements, ses confrères musiciens semblaient bien implantés dans les diverses auberges et tavernes de la ville et de ses environs. Cette situation allait mettre un sérieux coup à ses maigres économies. Il lui fallait donc changer d’approche. Le printemps reviendrait sous peu, même ici au nord du continent. Les marchands reprendraient leurs échanges, les généreux mécènes se remettraient à offrir des récompenses aux aventuriers amateurs avides d’adrénaline en échange de quelques sottes tâches, mais peut être que parmi toutes ces farces il se trouverait une aventure digne d’être vécue, digne d’être narrée.
L’espoir renaissait pour le barde, peut être allait il pouvoir enfin ranger Cheynn l’itinérant au placard, et redevenir Ascha, le fidèle d’Oghma, mettant ses humbles capacités au service d’une cause qui en vaille le coup.
Il décida de ne pas entrer tout de suite en ville, comptant ainsi trouver des occasions de distraire d'autres oreilles, de ravir un nouveau public, avant de se retrouver mêlé aux habitants de la cité. Seulement face au-dit nouveau public, il n’avait pas eu vent d’une quelconque mission sur le départ, aucun appel au regroupement d’aventuriers, cela dit sur ces deux jours il n’avait visité que des auberges assez miteuses, les seules où il pouvait encore espérer s’imposer facilement avec son instrument, la concurrence étant à ce qu’il avait compris, autant habituée à se tenir sur scène que sous les tables en fin de soirée, imbibée de bière rance. Deux soirs à limiter la casse, mais cette situation ne lui convenait pas. La proximité de la porte Nord de la ville lui serait peut être plus avantageuse, c’est ce qu’il se disait alors qu’il se rapprochait de ce qu’il espérait être son gîte pour la soirée, une auberge au blason de bouclier. Un marchand de vêtements lui en avait dit grand bien en fin d’après midi, aussi le Cormyrien tenta sa chance. Une fois la mule confiée aux écuries de l’établissement, il s’avança vers la porte.
Il s’arrêta quelques secondes une fois le palier passé, embrassant la salle du regard, laissant l’ambiance générale pénétrer ses oreilles et son esprit. L’endroit serait bien plus raisonnable que ceux des nuits passées, seulement les mélodies provenant de la scène étaient suffisamment agréable pour qu’il n’ait pas la possibilité de les remplacer. Tant pis pour le musicien. C’est donc le vagabond conteur qui parlerait ce soir.
Ascha s'engagea donc dans la salle, proposant l'allure d'un homme fatigué mais enjoué, prêt à passer une agréable soirée, caché dans la foule, dans l'attente d'heureuses rencontres. Malgré sa distance avec le comptoir et le propriétaire supposé des lieux, le barde gardait comme objectif d'interroger le tenancier sur le nom de l'établissement.
D'ici là, il se fendit d'un grand sourire, accueillant avec bienveillance la rencontre presque fortuite avec la serveuse. -Merci bien ma jeune amie, aucun doute que cette soirée sera des plus agréable. Le plat du jour me fera grand bien je pense, un verre de bon vin également. Le barde se laissa aller à un sourire à l'attention de la serveuse avant de la questionner rapidement. -Sauriez vous me dire ma jeune amie si parmi toute cette foule il se trouverait des clients reconnus pour leur plaisir à raconter toute sorte d'histoires de voyages et d'aventures en tout genre? J'apprécierai d'autant plus ce repas en le passant a écouter de distrayantes anecdotes.
Unifier c'est nouer mieux les diversités particulières et non les effacer pour un ordre vain. Fiche d'Ascha lvl3Ascha Cheynn, Narvarth
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Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
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- Parfait, indiqua Jarircie devant ce que lui annonçait la jeune femme tout en tendant de quoi payer ce qu'elle avait commandé, l'autre main plaçant la clef dans une poche pour ne pas la perdre.
Elle s'attaqua dès lors à son assiette, il était toujours bon de manger chaud lorsqu'il faisait aussi froid, c'était un plaisir dont on ne se laissait jamais. Au fur et à mesure que la nourriture la réchauffait, Jarircie put enlever les couches les plus extérieures de ses habits. Mais la nourriture ne dura guère longtemps, le voyage ayant creusé l'appétit du petit bout de femme. Elle prévint donc la serveuse rousse avant de monter de sa chambre, passant par l'écurie pour prendre ses fontes, trouvant sans difficulté la chambre numéro quatre. L'eau du bain montée, elle en profita longuement, enlevant la crasse du voyage de sa peau, de ses cheveux, de ses ongles... se prélassant longuement, puis elle sortit de l'eau pour nettoyer les vêtements qu'elle avait porté toute la journée. Elle les étendit alors comme elle put et mis sa seconde tenue, jupe et chemise et petite veste. Elle laissa aussi ses grosses bottes près de la porte, avec son sac à dos, et mis ses bottes à talons pour redescendre, libérée de la majorité de ses affaires, ne gardant sur elle que sa bourse pour payer ses consommations dans laquelle elle ajouta sa clef, préférant laisser son Luth dans son écrin pour aujourd'hui, elle n'était d'ailleurs pas assez doué pour se produire dans des établissements publiques, tout au plus pouvait-elle divertir un groupe d'ami autour d'un feu de camp, si elle prenait le temps de bien accorder l'instrument avant. Celui qu'elle devait retrouver aujourd'hui était certainement arrivé à cette heure, même si le trouver sur une simple description au milieu d'une salle commune, surtout quand on voyait rarement au dessus des épaules des gens, même avec ses talons légers.
Jarircie - Norim ; Combats simultanés autorisés dans la Fosse
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Tranquillement adossé à son mur, Asilgar finit par recevoir sa commande bien que celle-ci due mettre plus de temps à venir que prévu, au vu du léger courroux que l'on pouvait lire sur le doux visage de la serveuse aux yeux émeraude. Déposant son plat devant le rôdeur, elle ne s'attarda pas plus que de raison, se contentant du simple minimum avec son client.
Portant le verre de vin à ses lèvres, Pas-Feutré le dégusta avec délectation. Voilà bien longtemps qu'un tel breuvage ne fut porté à ses papilles. Il attaqua ensuite la côte d'agneaux : tout bonnement succulente. La viande chaude lui fit un bien fou et il la passa avec une nouvelle pointe de vin.
Alors qu'il continuait à manger paisiblement au milieu du bruit ambiant composé de musique, de chants, de paroles diverses et de rires tonitruants, les joueurs de couteaux n'avaient rien trouvé de mieux à faire que de changer de localisation, comme si un nouvel espace les aiderait à mieux toucher le centre de la cible. Spécifiquement assis à cette table pour être éloigné de ce genre d'activité, Volendrir se trouvait maintenant avec un coutelas planté à quelques mètres de sa tête. Il se contenta d'un simple regard en direction du mauvais lanceur avant de porter un morceau de navet à sa bouche.
¤Apprends à viser avant de jouer.¤
Il ne restait plus que quelques bouts de carottes dans son assiette quand de nouveaux venus firent leur apparition dans l'auberge. Ceux-là ne ressemblaient guère aux clients habituels. Deux soldats accompagnant ce qui semblaient être un notable de la ville et un mercenaire. Les yeux fins du Spectre Valien purent remarquer une étrange baguette à la ceinture de l'homme en velours rouge. Un magicien ? Quoi qu'il en soit, ce groupe hétéroclite sortait de l'ordinaire et le mage, si s'en était bien un, alla directement parler à l'aubergiste. Venaient-ils pour une annonce ? Venait-on de trouver les traces d'un nécromancien ? Se pourrait-il que la proie de Pas-Feutré refit surface ? Impossible de le savoir sur le moment. Le rôdeur ne bougea pas, mais son attention ne quitta pas les nouveaux arrivants.
Voici donc Asilgar Volendrir, dit « Pas-Feutrés », dit « Le Spectre Valien », dit « L'Ombre de la forêt », dit « Le Silence des Vaux ». Il est également connu, dans certains lieux, sous le sobriquet du « Taiseux », ou encore d'« Asil le Taiseux », dit « L'endormi », dit « L'inerte des bois ». C'est curieux comme les gens sont méchants. Fiche d'AsilgarPj : MalphaxPnj : Andralucard
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