Une nuit dans une taverne à Baldur, , et pleins d'embrouilles

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L'homme plissa les yeux est regarda le nain avec beaucoup de suspicions.

- "Nous recherchons une jeune femme de taille moyenne, la peau d'albatre et les cheveux blanc vous l'avez vu dans le coin." Puis terminant sa question il regarda le tavernier.

Le tavernier fit une petite moue de la tête puis posa son regard sur le nain.
Revenant auprès des trois guerriers, il leur fit un sourire.

- "Mais bien sûr messieurs, et de plus je peux vous dire avec précision où se trouve une telle beauté, à l'une des tables du fond!"

L'un des guerriers alla voir puis revint en faisant non de la tête.
A ce moment là le tavernier regarda le nain avec intensité, lui lançant un regard sans équivoque.
Soit Glër lui paierais l'info qu'il savait, puisque le nain avait été vu avec la jeune femme soit il crachait tout le morceau aux trois guerriers.

Glër écarquilla les yeux un instant et dit précipitamment :

- Mais non, elle vient de se barrer...moi j'étais allé lui parler parce qu' elle avait le genre de frimousse à attirer l'attention... Mais à peine le temps de lui demander son nom, elle vous a vu entrer, et quand vous êtes venus causer au comptoir elle est sortie vite fait...

Il appuya cette dernière assertion par un geste de la main vers la porte.

- Faut croire que vous l'inquiétez.

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L'homme à l'épée - "L'homme hocha la tête. Si elle est sortit Bayn doit l'avoir capturé. Merci de nous avoir aidé trouffion !"

Les hommes rengainèrent leurs armes et quittèrent la taverne.
Le tavernier posa un mauvais regard sur le nain.

Tavernier - "Espèce de cancrelat, ne remet jamais plus les pieds dans ma taverne sinon j'appel la garde de baldur qui s'occuperont de ton cas !"

Le tavernier repartit s'occuper des clients las de ne pas avoir eu l'argent qu'il avait escompté.
Le calme semblait revenir quand la porte s'ouvrit brusquement jetant à terre un poivrot, qui regardait le nouvel entrant de manière hébété.
L'homme à l'épée large revenait avec ses deux amis et il ne semblaient pas vraiment de bonne humeur. Il appela le tavernier qui ne se fit pas prier. Ce dernier recut un coup de poing en pleine face ce qui le propulsa à terre. Le guerrier attrapa par la peau du cou le vil tavernier et ils commencèrent à parler.
Glër n'entendit rien mais sentit que rien de bon ne se préparait pour lui puisque le tavernier le désigna du doigt.
Glër ne pouvait pas sortir par la porte d'entré car elle était gardé par l'un des collègue au guerrier.

Glër n'avait même pas pensé que les autres bourrins aient pu laisser un de leurs acolytes à la porte pour cueillir la fille lorsqu'elle sortirait.
Maintenant, il s' en mordait les doigts. Il n'avait plus le temps de réfléchir... enfin même avec du temps, y serait-il seulement parvenu ? Nul ne pourrait jamais le savoir : au moment ou le spadassin revint dans l'auberge, le p'tit gros flaira aisément l'imprévu et courut au passage secret tandis que le pauvre tavernier le désignait...

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Le passage s'ouvrit dans un bruit pour permettre à Glër d'y rentrer. Une fois à l'intérieur, la cheminé retourna sur elle même pour sceller l'ouverture.
De petites torches s'allumèrent permettant au nain de s'orienter dans le corridor.
Des bruit derrière la cheminée lui parvint aux oreilles, il semblait entendre hurler le guerrier, qui quelques minutes plutôt menaçait le nain.
Glër se réjouit du coup qu'il avait joué au gros colosse.
Devant lui s'étendait le corridor qui menerait sûrement à la liberté.
Après l'avoir parcourrut il atteint ce qui semblait être un cul de sac.
Au fond du couloir quelqu'un martelait la cheminé.