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De Castelmithral à Arragrath, Rencontre sur les hauteurs.
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MJ L'air si pur et vivifiant des montagnes était quelque chose de cher à Gardan, lui qui avait choisit récemment de suivre une vie aventureuse à la surface préférait tout de même l'haltitude à la morne plaine. Mais quels étaient les éléments qui rendaient cet air si bon pour lui et qui le faisaient fuir aujhourd'hui les miasmes des villes en se rendant de plus en plus loin dans l'Epine dorsale du Monde en quête d'un séjour bienfaisant pour sa... santé? Telle était la question que de nombreux amis ou simples relations lui avaient posé durant ses derniers jours passés à Castelmithral. Pour y répondre, il était devenus lui-même voyageur, il avait observé, expérimenté, recueilli des données essentielles auprès de soi-disants grands explorateurs. A travers le l'étude des différents textes que la littérature naine avait produits (du simple guide de voyage, au traité climatologique) mais aussi après moultes discutions dans moultes tavernes avec moultes aventuriers, il allait découvrir par lui-même les résultats de leurs récits et montrer par-là que le voyage resterait pour lui un instrument heuristique indispensable.
Castelmithral avait déjà disparu depuis longtemps derrière les montagnes et Gardan la première étape était Arragrath. Faire le chemin de Castelmithral à Arragrath en traversant les cols n'est pas une chose aisée! Tout d'abord il fallait aimer la grimpette... Ensuite supporter la neige, le froid, le blizzard, les engelures et les lèvres gercées, car pendant plus de la moitié de l'année, de Marpenoth à Mirtul, les cols étaient enneigés et la plupart des gens bien pensant qui venaient par ici diraient qu'ils étaint infranchissables.
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ardan ne tenait plus en place. Il n'avait pourtant passé que quelques jours dans la cité de Castelmithral, mais sans savoir véritablement pourquoi, il avait l'intime conviction que ça n'était pas là que devait s'achever son voyage. On lui avait parlé a plus d'une reprise de la forteresse d'Arragrath, et chaque fois cela l'avait démangé un peu plus de s'y rendre. L'hiver était rigoureux et les cols dangereux disait-on, trop dangereux pour s'y aventurer en un pareil moment et seul qui plus est! Mais Gardan était entraîné aux conditions rudes après tout, et il voyageait déjà depuis quelques temps sans trouver destination qui lui convienne véritablement.
Passant une seconde fois chez les marchands pour se fournir en vêtements plus chauds, il avait dépensé sans compter pour affronter les rigueurs du trajet, prenant un maximum de nourriture au cas ou aucun gibier aussi petit soit-il ne se présente. Le rôdeur nain était parti au petit matin de la cité, et progressait lentement mais sûrement sur le chemin qui s'offrait à lui. Il avait rangé tous ses vêtements les plus chauds dans sa besace, cherchant à s'habituer aux froid mordant dans un premier temps. S'il s'habillait trop chaudement maintenant, il serait complètement gelé dès la première nuit!
Humant l'air froid mais pur, le nain profitait de la marche pour étudier le ciel, cherchant à savoir malgré son inexpérience en la matière comment le temps allait évoluer durant la journée. Au loin, les pics enneigés - sa destination - se découpaient sur le ciel comme un parchemin déchiré.
Seuls nous sommes des rochers, mais unis nous sommes aussi forts que la montagne!
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MJSous les pins, les taillis apparaissaienent, puis disparaissaient ; parfois, ils se réduisaient à quelques herbes folles, à des mousses, des myrtilles, ou des fougères ; parfois, ce sont jusqu’à des arbustes, à hauteur d’homme. Là où il n’y avait rien, c'était les branches mortes qui encombrent le sol, couvert d’aiguilles et de pommes de pins ; tout prenait alors une couleur terre. Un hêtre s’était égaré là ; il faisait figure d'intrus, avec ses branches basses et vertes...
Le sentier que suivait Gardan allait maintenant en traverser un second. Près de ce dernier carrefour un panneau indicateur en bois planté là par un fou sans doute, fléchait les quatre chemins caillouiteux. Le premier d'où venait le nain était estampillé de la mention Castelmithral ce que Gardan savait déjà. Sur celui de gauche était indiqué "", tout comme celui qui indiquait le nord, c'est deux sentiers là n'allaient pas bien loin, après quelques mètres la végétation avait repris ses droits. Le dernier panneau, celui de droite était écris en tout petit. Sculté dans le bois il indiquait... Billebaum à quarante mètres. Gardan tourna la tête... Il y avait là, au bord du chemin, un autre hêtre, un vénérable, plusieurs fois centenaire, sans doute le dénommé Billebaum. Que n’a-t-il pas du voir passer! Les nains et les rois du grand royaume du Delzoun, devenu nains de Castelmithral. Les hordes gobelines sont passés par là eux aussi, et nombre de soldats orques, venus assiéger les trois rochers où s'accrochent la Forteresse de Castelmithral. Hélas! Le Billebaum ne verrait plus passer les hordes de notre siècle. Les tempêtes réentes et successives de ces derniers jours avaient eu raison de ses ramures et de son tronc colossal. Il n'en restait aujourd'hui qu'une masse informe et chaotique de bois et un panneau explicatif, un souvenir et un peu de tristesse en imaginant encore le géant terrassé.
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ardan voyait le paysage évoluer sans cesse sous ses yeux. Il s'émerveillait de la multitude de couleurs que pouvait produire la nature, et de la variété totalement différente de tons qu'elle employait à la surface où sous la montagne. Lorsqu'il arriva à l'embranchement, le nain posa son bardas quelques instants et profita de la pose pour se rafraîchir un peu. Quelques gouttes d'eau fraîche lui firent le plus grand bien. Avant de reprendre ses affaires, il observa les lieux, ce grand arbre déchu, fidèle représentant de ce qu'étaient les siens depuis trop longtemps... des rocs qui malgré leur solidité s'effritaient toujours un peu plus et étaient voués à disparaître!!! ¤Je ne sais pas ce que nous serions sans la bénédiction du tonnerre...¤ Rendant mentalement hommage au vieil arbre, Gardan s'avança de quelques pas dans l'une, puis l'autre des directions indiquées 'Montagne' avant de soupirer, mains sur les hanches, et de jurer à voix haute.- Ben voyons! Deux chemins pourris, et une indication digne d'un gob!!! Ché pas quel est l'andouille qu'a rien d'autre à mettre que 'Montagne'... Pfft ! 'Montagne'... Je vois bien que c'est la montagne, y'a moyen d'être aveugle!!! Tout à ses invectives, le jeune voyageur remettait son havresac sur le dos et après quelques instants à regarder les deux chemins, enfin, ce qu'il en restait, se décida pour celui qui allait au nord! Il avancerait un peu et si rien ne se démarquait, il reviendrait sur ses pas pour aller explorer le chemin qui partait à l'ouest!
Seuls nous sommes des rochers, mais unis nous sommes aussi forts que la montagne!
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MJ Etat préjudiciable : Gardan est Fatigué.
Après une demi-heure de marche Gardan découvrit les restes d'un feu étant donné la distance peu éloignée il faut bien l'avoué entre ici et Arragrath, les nains qui avait festoyé, prenaient leur collation de dix heures trente. La première étape dans un voyage de nains n'est pas très éloignée du point de départ, Gardan le savait, il était de coutume chez ceux de sa race de prendre le petit déjeuner avant de partir et de s'arrêter une nouvelle fois quelque temps plus tard pour ne pas oublier ce que l'on quittait et pour bien peser ses décisions... Un départ ne s'improvisait pas, la première collation permettait donc à la fois aux nains têtes-en-l'air de vérifier leurs sacs une dernière et de laisser la chance de faire demi-tour au moins décidés d'entre eux ou aux plus couards. Ce qui avaient mangé ici partaient donc pour un long voyage, certainement vers la Forteresse naine qu'il cherchait, il avançait donc dans la bonne direction et il se remit en route après un bref repos.
Au fure et à mesure qu'il avançait les paysages changeaient de tout au tout, maintenant les arbres étaient plus clairsemés. Le ciel d'un bleu presque aveuglant à son départ s'était obscurcit peu à peu contrairement au vent glacial qui brusquement s'était déchaîné et ne cessait de tourmenter le nain. La nature était en cette période capricieuse et il ne fallut que quelques minutes avant qu'une tempête d'une force impressionante ne se lève.
Le nain allait devoir trouver un abris et vite! Car à présent des grêlons commençaient à marteler le sol, n'épargnant en rien le voyageur impuissant face aux colères de la montagne. Mais la chance lui sourit cependant, à quelques pas il pouvait apercevoir une petite ouverture dans la roche à peine visible par ce temps. Quand il eu atteint cet abris providentiel, le nain qui aurait put se sentir en sécuritée vit passer juste devant son nez un groupe d'orques qui, bien que n'étant qu'une dizaine, restaient des créatures imposantes et surtout dangereuses pour un seul nain. Le groupe inquiétant passa cependant son chemin sans le voir ni même le sentir, résistant tant bien que mal à la tempête colérique. C'était vraiment un jour de chance pour le nain qui avait marché près de sept heures aujourd'hui et qui s'il était restait à découvert n'aurait jamais sut échapper à autant d'adversaires fatigué comme il l'était.
Il ne revit pas les orques mais pendant une bonne heure le petit homme barbu dut se terrer dans son abris, le vent balayant tout sur son passage l'empêchait de sortir. Mais bientôt, aussi brusquement qu'elle était survenue, la tempête se dissipa. Quand il put enfin remettre un pied à l'extérieur de l'étroite grotte, il se retrouva nez à nez avec un homme, du moins de ce qu'il put en voir... L'être de haute taille était emitoufflé dans une épaisse cape sombre, sa capuche rabattue ainsi que son foulard remontant jusqu'à un nez droit et fin, ne laissait entrevoir que ses deux grands yeux brillants de couleur emeraude qui dénotaient d'une intelligence indéniable et d'une certaine sagesse. Le rôdeur qui se dressait face au nain le fixait les sourcils froncés, sans doute sa présence dans les montagnes en ces temps hostiles l'intriguait elle. Le soleil qui était bas dans le ciel fit tout de même briller les deux lames recourbées des dagues que le rôdeur tenait dans ses mains, à moitié sorties. Mais bien vite, il les renfonça dans leurs fourreaux, il observait le nain avec curiosité puis il rabaissa son capuchon pour laisser voir un visage buriné dont les traits creusés témoignaient de son âge mur.
- Que faites vous par ce temps dans les montagnes, maître nain?
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e n'était que la grâce des dieux qui lui avait valu de ne pas être repéré par la troupe orque. Oh! L'envie de sortir hache claire pour tailler dans la peau de ces dégénérés fils de Grumsh n'était pas pour lui déplaire, mais à un contre dix - fatigué de surcroit - l'idée eut été suicidaire... S'il se savait efficace au combat, Gardan n'en restait pas moins lucide sur ses capacités, et s'il était capable de défaire une paire d'orques, un troisième larron suffirait déjà amplement pour envoyer son âme dans les cavernes divines. Blottit au fond de son 'trou', le jeune nain essayait de profiter de l'instant pour étirer ses muscles et se reposer un peu. Mais le vent mugissant était plus efficace qu'une corne de brume, et c'est avec une tête endolorie et des muscles douloureux que Gardan sortit enfin de sa cachette-abris lorsque les éléments furent calmés...¤Par les dieux, les tempêtes sont elles toujours si violentes et imprévues en montagne? Pfiou! Je devrais être mieux préparé à ça la prochaine fois.¤ A peine avait-il fait un pas qu'une silhouette humaine - ça y ressemblait fort en tout cas - s'approcha de lui. Instinctivement, il empoignait les manches de ses haches, mais les relachait aussi sec dès l'instant ou l'humain rengainait ses lames... Son accoutrement et sa façon de prendre deux armes en même temps semblèrent familiers à Gardan, mais il n'avait jamais vu de rôdeur humain, aussi il restait curieux et observait l'homme, alors même qu'il essorait le bout de ses manches imbibé d'eau glaciale. ¤Un ancien!¤ Se dit Gardan lorsqu'il aperçu le visage de son homologue, puis ce dernier lui adressa enfin la parole, avec curiosité mais aussi respect.- Ce temps n'y était pas lorsque je me suis aventuré ici... et un véritable abris m'aurait mieux convenu que ce petit renflement rocheux! Lanca-t-il avec une pointe d'humour et de fatigue. Puis le visage du nain se rehaussa d'un sourcil avant qu'il n'ajoute : "Vous avez de la chance que ces racailles d'orques ne vous aient pas vu!!!"
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MJ Le rôdeur fit quelques pas vers Gardan et s'immobilisa à une distance suffisante pour ne pas paraître hostile. Il ne brocha pas les bras maintenant le long du corps. Ses sourcils remarqua le nain, rappelaient la forme élancée d'un oiseau de proie en plein vol. Ses yeux verts se rivèrent hardimment dans ceux du nains. Un contact si intense qu'il menaça de lui arracher toute conscience de sa propre identité. En un éclair, il eut le sentiment d'avoir toujours connu cet homme. Ce regard qui l'emprisonnait aussi sûrement qu'une main de fer, sondant ses yeux à la recherche de son âme, en quête d'une énigmatique réponse...
- J'étais là-haut et je t'ai vu. Dit l'humain en tendant un doigt vers les hauteurs qui désignait plus un entrelacs de branches plutôt qu'un mont ou une colline. Voyant qu'il n'était pas très clair, il précisa : "J'étais sur les hauteurs qui surplombent le sentier un peu plus haut, les orques que tu as vu, ont découvert tes traces en contrebas et ils remontent ta piste maintenant... Il ne te faut pas rester ici, à moins que tu sois capable de les affronter."
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a présence de cet homme mettait mal à l'aise le jeune nain, non pas que le type soit menançant ou dérangeant, mais il se passait quelque chose qui donnait une sensation bizarre à Gardan! Comme si cette manière de poser ses yeux sur autrui ou cette posture à la fois désintéressée et toujours sur le qui-vive lui était familière. Mais quelque chose tout de même lui intimait - loin au fond de ses pensées - à rester prudent!!!
Lorsque l'humain lui montra où il se trouvait lors du passage des orques, Gardan ne put qu'ouvrir de grands yeux tant l'endroit lui semblait inaccessible. Cela ne faisait que renforcer l'impression de puissance que dégageait l'homme et par la même occasion l'impression de sa propre fragilité. Et quant il l'informa que les orques avaient repéré sa trace, Gardan ne se posa même pas la question de savoir comment le type savait ça, ni pourquoi il lui venait en aide, mais il était préférable de mettre les voiles malgré tout... Les questions attendraient!- Je me débrouilles plutôt bien contre ces raclures, mais je n'ai pas la prétention de pouvoir encore en vaincre une dizaine à moi seul... Je te suis! Réajustant son sac, le nain avait sorti ses armes au cas où les orques remontent plus vite qu'il ne l'espérait. Il attendait maintenant que le rôdeur ouvre le chemin.
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MJ Soudain blême le voyageur tourna la tête et sonda les bois derrière lui. Puis dévisagea à nouveau le nain de son regard perçant. "Tu veux donc que je t'aide?" A part sa pâleur, rien sur son visage anguleux ne permettait de deviner ses sentiments. Il hocha la tête, son oeil intelligent s'illumina et un léger sourire montra que l'action qui se jouait en ce moment et que la futur course poursuite qu'il s'apprêtait à jouer pour sauver le nain de cette petite troupe orque lui plaisait...
- Il faut tout d'abord se mettre à couvert des arbres, ces derniers empêcheront non seulement qu'ils nous voient et l'odeur des sapins troublera l'odorat de ses mangeurs d'hommes... Repartons d'où je suis venu, là-bas le couvert végétal et plus dense et nous laisserons moins de traces que dans cette boue. De plus je connais un raccourci vers les cols qui part par là, une fois en haut avec le froid, il ne nous poursuivrons pas de jour ce qui nous laissera le temps de trouver une grotte sûre pour la nuit.
- Maintenant dépêchons-nous! Une fois la décision prise, le rôdeur humain ne parla plus, il dissimula hâtivement leurs traces mais contrairement à ce qu'on pouvait penser, il ne les effaça pas mais en créa de nouvelles qui tournaient dans tous les sens et partaient dans toutes les directions. Une fois cela fait et après un dernier regard derrière son épaule, l'homme fit signe au nain de passer le premier.
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u veux donc que je t'aide? Cette affirmation plus qu'une question étonnait Gardan... L'attitude et les paroles de l'homme semblaient jusqu'à présent aller en ce sens, et cette réflexion semblait ne pas être véritablement à sa place. Gardan pensa immédiatement aux conséquences d'une telle décision... Il aurait très bien pu - en réfléchissant - remercier le type puis se remettre en marche au plus vite, mais l'assurance de son interlocuteur comme son apparente connaissance des lieux l'avaient emporté dans les paroles qui avaient peut être manqué de retenue. ¤Il va sans doute me demander quelque chose en échange une fois que nous serons hors de portée de ces saletés! Pourquoi diable ai-je donc tant l'impression de connaître ce type!¤ Tout à ses pensées, le nain croyait d'ores et déjà partir à la suite de son 'guide', qui semblait prendre un malin plaisir à multiplier encore et encore les traces des pas dans tous les sens... Une tactique qu'on lui avait enseigné à lui aussi, mais qu'il n'avais jamais eu à mettre en pratique, à vrai dire! Dès l'instant où il dut passer devant, et ne plus voir son 'partenaire', Gardan se sentit beaucoup moins en sécurité, et son esprit qui lui intimait la prudence se chamaillait avec ses émotions qui lui chantaient l'ode de la confiance. Le rôdeur nain tacha de faire le moins de traces possibles, et surtout de faire des traces 'merdiques'. Il raclait des pieds sans cesse marchait légèrement de travers et modifiait constamment l'écartement de ses pas, histoire qu'il soit difficile de déterminer qui il était réellement.
Étais ce le contre-coup du stress dans la petite caverne ou l'idée de trouver quelqu'un? Peut-être encore la perspective de pouvoir tendre un piège à ces saletés verdâtres... En tout cas, Gardan semblait avoir repris du souffle!
Seuls nous sommes des rochers, mais unis nous sommes aussi forts que la montagne!
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